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Avec mes voisines - Partie 3/4

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Chapitre 5

Où je croise en même temps Camille dans l’ascenseur et Nicole dans l’escalier.


Quelques jours plus tard, je revenais des cours et croisai Camille dans le hall d’entrée. Il me semblait qu’elle allait sortir. Mais bizarrement elle prétendit qu’elle remontait chez elle. Nous dûmes bien entendu nous serrer dans l’ascenseur et elle colla tout de suite son petit postérieur contre mon sexe qui se raidit instantanément.

  • Ma mère a l’air d’apprécier tes leçons.
  • Ah ? elle t’en a parlé ?
  • Non, j’ai croisé Nicole qui m’a dit qu’elle avait presque l’impression d’être à vos côtés pendant la… leçon.

Elle ondulait contre ma queue et me regardait en tournant la tête.

L’ascenseur était presque arrivé quand son bras se détendit soudain, sa main appuyant sur le bouton d’arrêt.

  • Mmmmm, ronronnait-elle contre ma queue.

Je lui pris les seins à travers son petit gilet et l’embrassai dans le cou.

  • Camille, tu me rends fou, je vais…
  • Chuuut, quelqu’un vient…

Nicole, n’ayant pu appeler l’ascenseur, montait à pied et arrivait à notre niveau. Camille souleva son gilet puis ouvrit alors son chemisier et colla ses seins contre la vitre, les bras toujours levés. Mes mains sur sa taille, je continuais à frotter mon pantalon déformé par ma bite contre sa jupette. Nicole s’arrêta devant nous, laissa son sac à main et défit rapidement son imperméable, avant à son tour d’ouvrir son corsage, de défaire son soutien-gorge et d’écraser ses propres seins contre ceux de Camille, tout juste séparés de la jeune poitrine par la porte vitrée de l’ascenseur.

  • Quelle cochonne, cette Nicole… Tu la baises ?
  • Ça m’arrive.

Je venais de baisser la jupe de Camille, la queue sortie, et je m’apprêtai à la pénétrer.

  • La semaine dernière, je l’ai regardée se toucher à travers mon judas, pendant que Pauline me baisait les fesses. J’ai… OHHHH, elle est grosse !

Je venais de la pénétrer.

  • MmmmMMMMMmmhhh, doucement, je ne voudrais pas que l’ascenseur se décroche. Oh ! OHH OUIIII, Jean-Baptiste, quelle vigueur ! Je comprends pourquoi ma mère t’appréciiiiiiiieeee !

La scène était décidément trop érotique. Camille semblait perdre le contrôle de son corps. D’un mouvement désordonné, elle heurta le bouton « arrêt » et l’ascenseur redémarra tandis que je me vidais les couilles dans sa petite chatte.

Nous laissâmes Nicole se finir contre la porte en verre et descendîmes à l’étage du dessus. Sur son palier, Camille se rhabilla.

  • Tu me dois un orgasme, tu sais ?
  • Tu n’as pas joui ?
  • Il m’en faut un peu plus, Jean-Baptiste. Ta queue est délicieuse et ne manque pas de… bonne volonté mais j’ai besoin d’un peu plus.
  • Je suis désolé, bafouillais-je, un peu humilié.
  • Mais non, c’était très bien, c’est juste que tu dois pratiquer. À ce propos, j’ai une idée. Pour le prochain cours que tu donneras à ma cochonne de mère, je me cacherai dans le petit cagibi qui donne dans le bureau de mon père. Je vous regarderai et tu auras le droit de me faire tout ce que tu feras à ma mère.
  • Tout ?
  • Tout…

Elle me laissa sur ces mots, les bras ballants sur le seuil de sa porte.

Chapitre 6

Où Jean-Baptiste donne sa deuxième leçon à Madame C. et lui lance un audacieux défi qu’elle se doit de relever, tandis qu’une paire d’yeux familiers les observe.


Je commençais à avoir du mal à tenir physiquement un tel rythme. Entre mes passages chez Nicole, les deux fois où Hélène m’avait rendu visite dans ma chambre et une branlette rapide offerte par Camille dans la cour de l’immeuble, je me sentais assez fatigué.

Le cours de dessin suivant, Hélène m’attendait l’air contrariée. Je m’enquis de ce qui causait cette mine maussade et elle m’avoua sèchement qu’elle avait croisé Nicole et que cette dernière lui avait avoué avoir rencontré récemment un « jeune étalon » monté parfaitement et qui lui prodiguait tous les plaisirs possibles.

  • C’est toi qui baise cette poufiasse, c’est ça ? Je ne te suffis pas ? Il te faut des nichons plus gros, c’est ça ?

Elle me faisait une crise de jalousie ! Si elle avait su ne serait-ce qu’un quart de toute l’histoire, la pauvre ! Je refusais de me laisser entraîner sur ce terrain là, d’autant que je savais que Camille nous écoutait cachée dans le cagibi, sans doute déjà la main dans la culotte. Je décidai d’y aller à l’instinct et je giflai sèchement Hélène. Aller et retour.

  • Je ne vous permets pas de me parler comme ça, je vous rappelle que je suis votre professeur !
  • Comment oses-tu, espèce…

Je levai ma main de nouveau et sa réplique mourut sur ses lèvres.

  • Je saute Nicole si je veux, vous n’êtes pas tout le temps disponible et j’ai certains besoins. De plus, elle est très accorte et me laisse lui faire tout ce que je veux.
  • Mais je ferais ce que tu veux, Jean-Baptiste !
  • C’est ce qu’on va voir. Tu as un appareil photo ?
  • Oui, ici, dans le tiroir.
  • Donne-le-moi et suce.
  • Mais je…
  • SUCE !

Elle s’exécuta aussitôt et me prit dans sa bouche. Je la prenais en photo, la renvoyant par la suite se maquiller de manière outrancière, je lui fis se faire une natte et mettre les sous-vêtements trop petits de sa fille. Aucune des nouvelles limites que j’imposais ne l’effrayait. Par la porte entrouverte, j’apercevais Camille qui se masturbait comme une folle. Je pris sa mère dans toutes les positions ; quand je l’enculais, Camille dut jouir et fit un drôle de bruit.

  • Il y a quelqu’un ? demanda Hélène que la peur avait fait se raidir d’un coup. Tu as entendu Jean- Baptiste ? demanda-t-elle ma bite dans le cul, haletante et soumise.
  • C’est le bureau qui bouge quand je vous encule Hélène.
  • Mmmmm, tu as raison, continue de prendre mes fesses, j’adore ça. Baise-moi bien profond, AhhhhhHHH, comme ça OUIIIII, tu prends encore des photos, coquin ? Tu ne les montreras à personne, n’est-ce pas ?
  • C’est pour mon usage personnel, pour voir si vous faites des progrès.

Sa peur d’être surprise tout à l’heure me donna une idée. Alors que je venais de jouir sur le soutien-gorge rose de Camille qu’elle portait, je lui demandais :

  • Vous m’aviez bien dit que vous feriez tout ce que je veux, Hélène ?
  • Tout ce que tu veux mon garçon, tant que tu me limes de cette façon, je ferai tout pour t’être agréable.
  • Je veux vous baiser avec une autre femme, une de vos amies.

Instantanément elle pâlit.

  • Tu… tu n’es pas sérieux n’est-ce pas ?
  • Je suis très sérieux au contraire, et la semaine prochaine.
  • Mais voyons, c’est impossible, tu ne peux pas me demander ça.
  • Bien. Je vais aller demander à Nicole dans ce cas, je suis sûr qu’elle accédera à ma demande, contrairement à vous.
  • Cette salope ? Ah tu ne prends pas de risque, dit-elle méchamment. Mais voyons, je n’ai pas d’amie de ce genre, reprit-elle plus docile, je ne connais personne qui accepterait de faire ce que nous faisons.
  • Pas d’amie de quel genre ?
  • Eh bien…
  • Vous ne connaissez aucune salope, aucune de votre acabit, c’est ça ?
  • Mais…
  • Dites-le que vous êtes une salope.
  • DITES-LE !
  • Je suis une salope, ta salope.
  • Regarde-toi, avec les sous-vêtements de Camille, du foutre dans les cheveux… (en disant ça, je lui touchai la chatte et commençai à la doigter). Tu aimes ça, être une salope, Hélène. Ce soudain tutoiement la mettait dans tous ses états, en plus de mes trois doigts dans sa chatte.
  • OuIIII, j’aime être une salope, c’est si bon d’être ta salope, Jean-Baptiste, tu me fais dire des choses incroyaaaaables ! Continue je t’en suppliiiiiiiie !

Je venais de lui mettre un autre doigt dans le cul et la menais jusqu’au bord d’un nouvel orgasme. Puis, brusquement j’arrêtai.

  • Eh bien, si tu aimes tant ça et que tu veux que ça continue, amène-moi une autre élève la semaine prochaine.

Elle me supplia, pleura même un peu mais je restais ferme et la laissai dans cet état, en me demandant si je n’étais pas allé trop loin, cette fois-ci.

Chapitre 7

Où Camille se fait attachante et introduit Jean-Baptiste à Pauline, une de ses plus chères amies.


Quand Camille vint me rejoindre ce soir-là, nous rîmes un bon moment en se demandant si sa mère irait jusqu’au bout. J’essayai de l’attirer dans mon lit mais elle se refusa à moi.

  • Pas maintenant, Jean-Baptiste, sois patient.
  • Mais…
  • Tu n’es jamais fatigué ? Après ce que tu as mis à ma mère, j’ai peine à croire que tu sois prêt à remettre le couvert maintenant.
  • Je suis toujours disponible pour toi, Camille, tu le sais. Et puis tu m’avais dit que je pourrai te faire tout ce que j’ai fait à ta mère, non ?
  • Je n’ai pas dit quand je te laisserai disposer de moi.
  • Tricheuse.
  • Peut-être, dit-elle en prenant ses seins à deux mains et en les écrasant l’un contre l’autre. Ou peut-être pas…

Elle grimpa sur mon lit et se pencha alors sur moi, défaisant ma ceinture. Je crus que j’allais finalement être autorisé à lui faire emprunter les mêmes chemins que sa mère et moi avions pris cet après-midi. Elle défit ma ceinture en m’effleurant la queue à travers le pantalon avant de me pousser sur le dos. Elle remonta ma chemise et caressait mon torse de ses cheveux. Quand je voulus la toucher, elle s’allongea sur moi et, en m’embrassant fougueusement, elle me plaqua les bras derrière ma tête. Je fermai les yeux un instant pour savourer le plaisir de sentir sa culotte contre mon torse quand soudain, elle m’attacha les mains à un montant de mon lit avec ma propre ceinture. Elle sortit ma queue de mon pantalon, la prit dans sa main et la lécha sur toute sa longueur, les yeux dans les miens.

  • Tu es mon prisonnier maintenant, Jean-Baptiste.

Puis elle se redressa, m’attacha les jambes avec les draps et entama un long strip-tease à l’issue duquel elle me déshabilla également.

Elle enleva tout d’abord son gilet, défit ses cheveux puis dégrafa son soutien-gorge. Ensuite, toujours en dansant de façon lascive, elle s’accroupit tête-bêche au-dessus de moi et ondula du bassin à quelques centimètres de mon visage. Je ne pouvais que la lécher. De son côté, elle se contentait de frôler ma queue avec ses cheveux. Je la suppliai de me prendre dans sa main, elle se dégagea, revint à genoux devant moi et me branla dans ses cheveux, lentement. À une ou deux reprises, elle me lécha le bout du gland, juste pour maintenir l’espoir. Puis elle s’enfonça une bougie dans la chatte et, accroupie et me tournant le dos, elle se mit à onduler au-dessus de mon visage, jusqu’à ce que j’attrape la bougie entre mes dents. Elle entama alors un lent va-et-vient sur la bougie. Elle se fit jouir sur la bougie, toujours coincée dans ma bouche. J’étais aux premières loges pour voir rentrer et sortir la chandelle dans sa petite chatte et quand elle atteint l’orgasme, ma frustration était à son comble.

Après avoir joui, elle se leva et partit prendre une douche, sourde à mes suppliques. En ressortant, elle se sécha les cheveux, uniquement vêtue de sa jupe plissée et de ses petites baskets blanches, ses seins se balançant librement.

  • Détache-moi maintenant, Camille, tu as eu ce que tu voulais.
  • Je ne sais pas, mon petit Jean-Baptiste. Je pense qu’on peut encore t’utiliser dans cette position, tu ne crois pas ?
  • Mais qu’est-ce que…

Elle regarda l’heure et me dit :

  • Pauline doit venir réviser chez moi dans dix minutes. Apparemment tu avais envie d’un petit truc à trois tout à l’heure. Ne bouge pas, je reviens avec mon amie.

Quand elle revint, j’étais bien entendu toujours entravé sur le lit. Pauline pouffa en me voyant. Elle me salua en riant. Elle était plus petite et plus ronde que Camille. Sous son pull, on devinait deux gros seins lourds qui répondaient de façon un peu symétrique à son postérieur rebondi, recouvert par une petite jupe en laine. Ses yeux était cernés de noir et sa bouche peinte d’un rose à lèvres pailleté.

  • Ouh… mes enfants, ça sent la chatte ici
  • Et ça n’est que le début, lui répondit Camille.
  • On commence par quoi ?
  • Eh bien, comme tu préfères. Jean-Baptiste est très serviable et sa langue est très agile, je te conseille de l’essayer.

Pauline venait d’envoyer valser ses chaussures et d’enlever son pull. Son soutien-gorge et sa culotte suivirent et quand elle monta sur le lit elle ne portait plus que ses mi-bas. Elle s’assit à califourchon sur moi, m’écrasa ses gros seins sur le visage en riant et me dit :

  • Bonjour, jeune homme, enchantée. Ouhhhh, mais qu’est-ce que je sens pointer contre ma chatte ?

Ma queue venait de se dresser et frôlait les poils de son pubis. Elle se retourna et s’assit tout simplement sur mon visage en se trémoussant.

  • Allez, lèche, lèche ma petite chatte, qu’on voit ce que tu sais faire. Mmmmm, pas mal, ouhhHHHH, tu me chatouilles. Il me lèche le cul, confia-t-elle à Camille en pouffant.
  • Oui, il adore ça. Jean-Baptiste, n’oublie pas de lui fouiller le petit trou, Pauline adoooore qu’on lui lèche le cul, n’est-ce pas, Pauline ?
  • Mmmmm, oui, j’adore ça, c’est vrai. AhhhHHH, encoooore… il est doué le petit, dis-moi ?
  • Très, tu verrais comment il a baisé ma mère…
  • Il saute ta mère ?
  • Il lui fait faire des trucs pas croyables. Elle saisit alors l’appareil photo que j’avais pris à Hélène et le tendit à Pauline qui, toujours assise sur ma bouche, regardait les photos en grognant de plaisir.
  • Eh bien, Madame C., quelle délurée vous faites ! Moi qui croyais que vous étiez du genre à baiser dans le noir. Mais, c’est ton soutif, Camille ?
  • Eh oui, une fantaisie de Jean-Baptiste.
  • Il l’a tout tâché, quel cochon…

Camille s’était assise sur moi et se passait ma queue dans la raie, nonchalamment. Pauline se leva de mon visage.

  • Comment ça va, là-dessous ?
  • Très bien, répondis-je, le bas de mon visage plein de mouille. Ma langue fatigue un peu, par contre.
  • Voyons voir ça.

Et elle plongea la sienne dans ma bouche lentement, tournant autour. Je lui suçais les lèvres et mourrais d’envie de lui toucher ses gros seins laiteux. Camille de son côté les prenait dans ses mains, les pressait entre ses doigts, n’en laissant sortir que les tétons qu’elle présentait à ma bouche. Pauline me fouetta alors doucement le visage de ses seins, je trouvais ça délicieux. Soudain, elle se raidit. Je ne pouvais pas voir ce que Camille faisait mais je la sentais remuer depuis quelque temps.

  • Jean-Baptiste, je te présente Gérard, notre gode-ceinture. Je viens de l’introduire dans la chatte de Pauline. Ça te plaît, Paulinette ?
  • Mmmmmm, ce bon vieux Gérard, un peu que je l’aime, oh oui, ne bouge plus, tourne un peu à cet endroit… parfait, tu fais ça comme si tu en avais une entre les jambes depuis longtemps.
  • Disons plutôt que j’ai souvent différents modèles sous la main pour pratiquer. Dis, on détache Jean-Baptiste, alors ?
  • Mesdemoiselles, je vous en serais reconnaissant, je…
  • Pas encore, coupa Pauline, j’ai une idée d’abord. Tu te rappelles le film que j’avais piqué à ma tante ? Celui avec la brune aux gros seins.
  • Avec la double péné…
  • Celui-là.. ouuhOUUUIII, oh ma salope, qu’est-ce que c’est bon !!! Mets la queue de Jean-Baptiste à la place de Gérard et toi, encule-moi !
  • Tu es sûre que tu en as envie ?
  • J’ai l’air de ne pas en avoir envie, Camille ? dit-elle en se retournant.

J’avais vraiment l’impression d’être devenu un jouet dont les deux jeunes filles abusaient, mais étrangement, ce sentiment n’était pas si désagréable, d’autant que leurs anatomies se frottant à la mienne produisaient de sacrées étincelles.

Quand Camille prit ma queue pour la planter dans la chatte de Pauline, une décharge de plaisir me causa presque un orgasme. Sa chatte était la plus serrée dans laquelle ma bite soit jamais rentrée. Et étonnamment très chaude. Je savourais ce plaisir quand je sentis la poussée du gode que Camille s’était attaché à la taille.

  • MpffFFFF, la vache, c’est quand même gros, deux à la fois, dit Pauline.
  • Tu veux que je me retire ?
  • Non, pousse doucement. AHHHH, la vache, c’est bon comme ça, essayez de vous désynchroniser. Oh oui, comme ça ! Mpfff, c’est BOOON, j’ai jamais autant eu l’impression d’être une chienne. Défoncez-moi la chatte et le cul, oh OUIIIII, PLUS FORT ! PLUS FORT !!! ENCOOOOOORRRRE !!!

Après deux minutes de ce traitement, Pauline se tendit et s’effondra sur moi, ses deux gros seins m’écrasant le torse. Elle me posait de petits baisers sur tout le visage en me remerciant. Puis elle me détacha et je pus enfin lui malaxer ses gros nichons. Je la retournai sur le dos et m’installai à califourchon sur elle.

  • Je suis épuisée, là, Jean-Baptiste, une autre fois peut-être ?
  • J’ai juste besoin de tes gros nichons.

Sur ces mots, je calai ma bite quelque peu ramollie et enduite de sa mouille et de mon foutre entre ses seins. Une minute après, ma queue reprenait de la vigueur et je coulissais aisément entre ses deux nichons. Elle les prit dans ses mains et les compressa pour augmenter mes sensations. Quand ma queue poussait assez loin, elle la prenait dans sa bouche. Au bout de cinq bonnes minutes, je me levai et lui jouis dessus, envoyant de longs jets de sperme qu’elle reçut sur les seins, le menton et les cheveux. Camille, le gode-ceinture toujours en place, vint l’embrasser et lécher le foutre qui maculait le visage de Pauline.

  • Mesdemoiselles, ce fut un plaisir, dis-je en me laissant tomber sur le lit qui n’était pas habitué à recevoir tant de personnes à la fois.

Camille et Pauline se lovèrent contre moi et nous nous caressèrent encore pendant deux heures.

Chapitre 8

Où face à la difficulté, Hélène C. se révèle et relève le défi au-delà des espérances du corps enseignant.


Pendant la semaine, Hélène vint deux fois me supplier à travers ma porte fermée de changer d’avis. Elle me promit tout, sauf ce que j’exigeais. Mais je restais inflexible. Je voulais voir jusqu’où elle pouvait aller.

Le lundi suivant, je descendis enfin chez les C., bandant déjà à l’idée que mon vœu allait s’exaucer. Hélène m’ouvrit, pâle comme un linge. Sans un mot, l’air terrifiée, elle me prit à part avant de me faire passer dans le salon.

  • Brigitte et moi étions ensemble au pensionnat. Je n’ai pas trouvé les mots pour lui présenter notre… pour lui décrire la… situation. C’est la seule de mes connaissances assez excentrique pour peut-être… enfin, tu comprends ?
  • La plus salope de tes amies, c’est ça, ajoutais-je en lui collant ma main sur la chatte et en la massant du bout de mes doigts.
  • Mmmm, oui, mais je ne pense pas qu’elle… Ohhh, arrête !
  • Tu ne sais rien de scabreux à son sujet ?
  • Non, enfin… une rumeur courait à l’époque au pensionnat, une histoire avec une fille appelée Gwendoline. On les avait surprises en train de jouer à touche-pipi, je crois. Je ne sais pas pourquoi je lui ai raconté que tu étais un masseur exceptionnel, sans doute pour que tu puisses facilemmmmm… – arrête, laisse ma chatte tranquille ! – pour que tu puisses…
  • La toucher ? dis-je en prenant dans mes mains les seins d’Hélène.

Elle se dégagea, se recoiffa dans la glace avant de me faire passer au salon où une femme du même âge qu’elle nous attendait, une tasse de thé à la main. Les cheveux teints en un roux foncé, de grandes lunettes en amande, Brigitte n’était pas très jolie mais assurément pulpeuse : de gros seins et un gros cul appétissants. Ses vêtements un peu trop petits pour ses formes pleines, et quelques détails excentriques comme ses pendants d’oreille fluos et son sac à main de midinette me laissaient pour je ne sais quelle raison un léger espoir.

Je savais donc qu’Hélène et elle s’étaient connues au pensionnat et m’imaginais une mère supérieure salope nymphomane qui abusait de ses élèves pas si sages, quand soudain Brigitte me demanda.

  • Et vous Jean-Baptiste, où avez-vous suivi vos études de massage, en Orient ?
  • En Chine. J’ai vécu là-bas avec mes parents qui étaient diplomates. J’ai commencé à huit ans (plus c’est gros plus ça passe me dis-je).
  • Vraiment ? Comme c’est intéressant ! Hélène m’a parlé de votre talent au téléphone. Elle a insisté pour que je vienne et que vous me parliez de votre art. Il parait que vous êtes épatant.
  • Hélène vous a dit ça ?
  • Oui, pourquoi ?
  • Et vous êtes tentée ?
  • Eh bien… un peu oui, avoua-t-elle en rougissant, même si Hélène et moi, bien que pensionnaires à Sainte-Clotilde ensemble, n’avons jamais été vraiment amies, et c’est la première fois qu’elle…
  • Qu’elle vous appelle depuis que vous avez quitté le pensionnat, c’est ça ?

Hélène tremblait légèrement, confuse et gênée par la situation. Peut-être plus encore par ce qui risquait d’arriver, ou de ne pas arriver.

  • Eh bien, c’est très étonnant, dis-je.
  • Que… Quoi donc ?
  • Qu’Hélène ne vous ai pas appelée avant. Elle me parle souvent de vous.
  • Vraiment ?
  • Oui, tout à fait. « Brigitte est une fille formidable, belle et pleine de vie », « Brigitte ne ferait pas ça comme ça », « ce vêtement irait si bien à Brigitte ».
  • Ah ? eh bien, je dois vous avouer que…
  • Ça vous étonne ? Pourtant, je trouve qu’Hélène a raison, vous êtes très belle. Vous n’êtes pas mariée ?
  • Divorcée.
  • Votre ex-époux est aveugle !
  • Vous me flattez, M. Jean-Baptiste.

Je me levai et passai derrière son dos en poursuivant.

  • Pas du tout, je sais reconnaître une belle femme. Et mon métier m’a appris le langage que parle un corps. Voyez-vous, Brigitte, Hélène me parle souvent de vous, et plus particulièrement du souvenir qu’elle garde de vous à l’internat. De votre corps, pour être plus précis.
  • Mon corps ?

Je sentais que je jouais serré, Hélène avait agi à la va-vite et invité une femme qu’elle ne connaissait pas, et Brigitte ignorait la raison secrète de sa présence ici. Je me mis à lui masser les épaules.

  • Oui, Hélène m’a avoué qu’elle voudrait beaucoup vous ressembler, et je la comprends. Hélène, tenez, venez masser les pieds de Brigitte comme je vous l’ai appris.
  • Vraiment ?

Ignorant de quoi je parlais, Hélène vint s’asseoir sur le petit repose-pieds et prit dans ses mains les pieds de Brigitte, qu’elle déchaussa en ayant l’air de savoir ce qu’elle faisait. Cette dernière posa sa tasse de thé et essaya de se donner une contenance.

  • Détendez-vous, Brigitte. Je ne vous fais pas de mal, au moins ?
  • Pas du tout, mais…
  • Non parce que vous savez, le Ti-ching est une technique ancestrale et très particulière. Je ne voudrais pas vous froisser un muscle si vous êtes trop tendue.
  • Très bien, dit-elle en relâchant les muscles de ses épaules.

Je sentais qu’elle mordait à l’hameçon, ça allait peut-être marcher après tout. Même Hélène avait l’air moins terrifiée.

  • Donc, Hélène vous a parlé de moi. Et qu’est-ce qu’elle a pu vous dire ?
  • Que vous étiez une femme superbe, que beaucoup de jeunes filles vous enviaient au pensionnat.
  • Vraiment, qui donc ?

Je décidai d’aller à la pêche, pour voir :

  • Eh bien, la grande blonde…
  • Sabine de V. ?
  • Elle-même, et son amie également…
  • Maud G. ? Pourtant elle n’était pas tendre avec moi.
  • Vous vous rappelez vos affaires qui disparaissaient…
  • Oh oui alors, plus d’une fois.
  • Ces sous-vêtements que vous ne retrouviez pas…
  • Oui, peut-être…
  • Eh bien Sabine et Maud vous les volaient et… elles les mettaient parfois. Enlevez votre veste, je dois descendre plus bas.
  • Vraiment, elles les passaient ? dit Brigitte en riant pendant qu’elle enlevait sa veste, laissant apparaître un haut beige sans manche au tissu tendu sur ses gros seins dont les tétons pointaient.

Elle aimait ça la cochonne, elle allait être servie.

  • Tout à fait, une fois Hélène les a surpris… je ne sais pas si je dois vous le dire.
  • Mais dites, dites, n’est-ce pas Hélène qu’il peut me le dire ? Ce sont de vieilles histoires vous savez.
  • Eh bien… j’appuyais maintenant mes doigts serrés sur le haut et les côtés de ses seins, prenant bien garde de ne pas trop m’attarder, remontant sur les épaules de temps à autre. Eh bien, pour tout vous dire, et autant le dire crûment, Hélène les a surprise les mains dans votre culotte. En train de se tripoter.
  • Ohhh ! Vraimeeent ? Hélène, c’est vrai ?

Hélène acquiesça.

  • Tout à fait, ces deux petites pimbêches s’embrassaient. Avec la langue. Et leurs deux mains, eh bien Jean-Baptiste a bien résumé, elles se caressaient furieusement.
  • Mais tu ne l’as dit à personne ?
  • Non, j’avais peur de créer un scandale.
  • Et qu’est-ce que tu… Mmmm, Jean-Baptiste, votre technique me fait de l’effet, c’est inouï ce que je me sens bien.

Je plaquais alors ma queue tendue sur sa nuque tout en continuant à la masser.

  • Merci, je suis flatté. Fermez les yeux maintenant.

Je fis signe à Hélène de passer aux choses sérieuses en sortant ma langue et en indiquant Brigitte du menton. Elle fit non de la tête mais mon regard la réduisit au silence et elle se mit à masser les mollets de Brigitte, puis les genoux. De mon côté, je retournais m’occuper des deux gros obus de notre invitée, passant désormais ostensiblement sur ses pointes tendues.

  • Mon Dieu, quel délice, mais Hélène, que fais-tu à…
  • Détendez-vous, Hélène va maintenant vous masser l’intérieur des cuisses du bout de ses doigts. N’ayez crainte, je lui ai appris, elle est douée pour ça. Et pour beaucoup d’autres choses aussi…
  • Comment ? mais je…
  • Je vous fais mal ? Vous ne vous sentez pas bien ?
  • Si, si, mais je… ohhhhhh !

Brigitte se mordait les lèvres, Hélène avait les deux mains sous sa jupe et lui écartait doucement les jambes. Elle n’avait plus du tout l’air apeurée. Je lui mis les mains sur les yeux pour qu’elle ne soit pas choquée par la vue de la situation et lui massais doucement les paupières.

  • Et puis surtout, Sabine et Maud ont avoué à Hélène qu’elles vous avaient surprise…
  • Avec Gwenaëlle ? Elles nous ont vu ?

Brigitte s’était raidie et refermait ses jambes. Je la tirai contre moi et lui collai la nuque sur ma bite tendue à l’extrême.

  • Détendez-vous, il n’y a pas de mal. Et puis, cette Gwendoline…
  • Gwenaëlle…
  • C’est ça, Gwenaëlle. Elle vous a fait du bien, n’est-ce pas, dis-je en lui prenant les deux tétons entre mes doigts.
  • OHHHH oui, Mmmmm, elle m’a fait beaucoup de bien !!! Mais Hélène, qu’est-ce…

Hélène avait enfoui sa tête entre les jambes de Brigitte, qui les écartait volontairement. À genoux, elle pétrissait maintenant ses deux gros nichons dont je pinçais les bouts.

  • Elle vous fait du bien, Brigitte, c’est tout. Restez détendue, dis-je en frottant ma queue sur son cou.
  • Mpffff, OHHHH ouiiii, Hélène, tu me, tu m’as…AHHH elle me lèche la culotte ! Oh, elle écarte la culotte !
  • Elle vous lèche, et ça vous plaît ?
  • OHHHH, je ne devrais pas, je… AHHHHH ! lèche, oh oui, lèche !
  • Et où vous lèche-t-elle ?
  • Elle me lèche la chatte, cette cochonne. Et vous, je sens votre..
  • Ma ?
  • Votre grosse queue que vous me frottez dans les cheveux depuis tout à l’heure !
  • Et ça vous déplaît ? Vous voudriez peut-être que je change de position, que je vous l’enfourne dans votre grosse bouche de suceuse de bite, Brigitte ?
  • MMMMM, AHhhh.. AhHHH ! Oh mon Dieu, Hélène, Hélèèèène… Oui je veux que vous me la mettiez dans la bouche, je veux que tu me baises la bouche et je veux qu’elle me lèèèèche en mêêêêême temps, cette petite vicieuse d’Hélène, si j’avais su à l’époque du pens… à l’époque du pensionnNNNAAT que tu léchais si… bieeeeen !!! je serais venue te rendre visite dans ta chambre et tu m’aurais brouté l’abricot plus tôt.

Brigitte était comme hystérique, possédée par son désir. Je la levai, finis de la déshabiller et l’assis sur le canapé. Debout devant elle, je sortis ma queue et, lui tirant les cheveux, je lui enfonçai d’autorité ma bite dans la bouche, ratant mon coup une première fois avant de prendre possession de ses lèvres pincées.

  • MMmmmpf, Jean-Baptiste, la médecine chinoise est vraiment délicieuse dans vos… Mpppff Mgghhh !!!

Je rentrais et sortais de sa bouche dans d’obscènes bruits de succion, à l’aide de ma queue luisante de salive je faisais baver son maquillage avant de lui baiser la bouche de nouveau. Pendant ce temps, Hélène avait repris position entre les jambes dodues de Brigitte et, à l’aide du bibelot en forme de cigogne qu’elle affectionnait maintenant tellement, entamait de lui ramoner la chatte.

Au moment de jouir, je maintins la tête de Brigitte entre mes mains et me vidai dans sa bouche tandis que l’orgasme qu’Hélène lui offrait lui faisait monter les larmes aux yeux.

Je savais qu’une fois le plaisir passé, la honte viendrait peut-être s’emparer de Brigitte, j’enchaînai donc aussitôt.

  • Hélène, allonge-toi sur le canapé et toi Brigitte, mets-toi sur elle tête-bêche.

J’attrapais une bougie et reproduit ce que Camille m’avait infligé : j’enfonçai le cierge dans la bouche d’Hélène et invitai Brigitte à s’empaler dessus. Le spectacle était sublime. Les gros seins de Brigitte se balançaient en rythme au-dessus de la chatte d’Hélène qui, la bougie serrée entre ses dents, besognait son ancienne camarade de classe. Satisfait, je les laissais s’amuser encore un peu avant d’ordonner à Hélène de présenter sa chatte à Brigitte. Je demandai à cette dernière de rouler sa langue pour en faire un simulacre de petit pénis qui viendrait pénétrer Hélène à chacun de mes coups de boutoir.

Je me positionnai derrière le gros cul de Brigitte et la pénétrai sauvagement, envoyant sa langue s’enfoncer dans la chatte d’Hélène qui, le feu aux joues et les cheveux collés par la sueur, s’abandonnait au spectacle en me remerciant du regard.

  • Brigitte, quel cul superbe, vous êtes un vibrant appel à la sodomie.
  • La sodomie ? Je n’ai jamais…On ne m’a jamais…
  • Jamais ?
  • Jamais…
  • Eh bien c’est le grand jour, je vais avoir le plaisir de vous enculer, dis-je en lui enfonçant mon index dans l’anus.
  • OHHHHHH ! OHHH ! OHH OUI, oh mon Dieu Hélène, c’est boooon ! Oh oui, prends-moi le cuuuul !!
  • Tu vas aimer ça te faire enculer, grosse cochonne ?
  • Oh oui, je vais adorer je sens… MmmmMMMPFF !!!
  • Demande-le-moi, alors.
  • Encule-moi, encule-moi… Encule-moi !!! Encule-moi FOOOORT !!! baise mon cul, défonce-moi les fesses, ramone-moi l’anus, laboure-moi ! Oh, je crois que j’en ai enviiiie depuis si longtemps, encule-moi, encule-mOOOOUUUIII !!! Ohh… Ohh Ohhhh OUIII !

Hélène était passée en dessous Brigitte maintenant, et elle me léchait les bourses chaque fois qu’elle pouvait les attraper avant qu’elles ne s’écrasent sur la chatte de Brigitte. Celle-ci vagissait des sons inarticulés, ses deux gros seins lourds battant un rythme connu d’elle seule, tandis que je me retirai avant de lui exploser une quantité impressionnante de foutre en plein visage et dans les cheveux.

Hélène vint lui nettoyer le sperme qui constellait son front et ses pommettes et partagea sa récolte en lui roulant une pelle longue et visqueuse.

Je me rhabillai rapidement et fus assez étonné que Brigitte ne prenne pas la poudre d’escampette. Nue sur le canapé, elle se touchait les seins l’air absente, un sourire béat. Je fis un clin d’œil à Hélène et partis raconter tout ça à Camille.