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J'ai couché avec la tante de mon épouse

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Mon épouse et moi avons quarante-cinq ans, et mon épouse a un oncle de seulement sept ans de plus que nous. Nous l’appellerons "D" dans le récit. Il s’est marié tardivement avec une femme du même âge, que l’on nommera "G". Elle m’a toujours donné l’impression d’être assez portée sur le sexe.

Il y a quelques mois "D" m’avait prêté un outillage pour des travaux et à l’occasion d’un de mes déplacements près de chez eux, je lui avais téléphoné pour prévenir que je passais lui rendre. Comme c’était le matin, je précisais que j’apporterais les croissants.

Le jour-dit, après être passé à la boulangerie, je me rendis à leur propriété. C’est "G" qui m’a ouvert. J’ai tout de suite remarqué qu’elle n’était vêtue que d’une chemise de nuit courte et fine, ce qui n’était pas anormal vu la chaleur de ce jour d’été.

Une fois entré, je lui demandai où était "D". Elle m’expliqua que celui-ci avait dû s’absenter de bonne heure pour toute la matinée, mais que cela ne faisait rien et qu’elle allait préparer le café.

Nous nous sommes donc rendus dans la cuisine où elle a commencé à préparer la cafetière. Elle allait et venait et le soleil matinal entrant par les portes-fenêtres me permettait, grâce aux contre-jours, de me rendre compte qu’elle avait encore un corps bien conservé et surtout qu’elle était totalement nue sous son vêtement. Cette vue commença à m’échauffer les sens.

Au bout de quelques minutes, le café étant passé, elle s’approcha des éléments de cuisine pour prendre les tasses à café sur l’étagère du haut. Elle se dressa sur la pointe des pieds pour attraper les tasses, en étendant son bras, ce qui fit remonter sa chemise de nuit à mi-fesses. Inutile de dire que cette vue ne fit qu’accroître mon envie naissante, et me provoqua un début d’érection.

Ne parvenant pas à attraper les tasses, elle tourna la tête vers moi, et me demanda de l’aider. Je me levai et vins me placer derrière elle. Nos corps se frôlaient donc. C’est à ce moment-là que, se cambrant en arrière, elle appuya franchement ses fesses au niveau de mon bassin. Elle ne pouvait plus ignorer mon désir mais ne chercha pas à rompre le contact.

Passant sa main droite entre nos deux corps et la plaquant sur mon sexe, elle commença un lent mais appuyé mouvement de masturbation à travers mon pantalon. J’ai posé mes mains sur sa poitrine et titillé à travers le tissu les pointes qui se dressaient de plus en plus longues et dures.

C’est alors que, toujours le dos tourné, elle arrêta sa masturbation et s’attaqua à la ceinture de mon pantalon et à ma fermeture. L’espace dégagé, elle plongea sa main dans mon slip et s’empara de mon sexe dressé, qu’elle se mit à caresser de plus en plus vite. J’étais alors très excité et n’avais qu’une envie m’emparer et pénétrer ce corps offert.

Je la retournai donc face à moi et remontant sa chemise de nuit au-dessus de sa poitrine, je lui ai tété et mordillé les seins. Sa respiration devenait de plus en plus haletante. De ma main droite, la gauche maintenant la chemise de nuit, j’ai commencé à caresser et explorer son sexe qui était déjà largement inondé. J’ai introduit un, puis deux doigts dans son sexe et par des mouvements d’aller-retour, je l’ai à mon tour masturbée.

Au bout d’environ une minute de ce traitement, elle se laissa tomber à genoux, tira mon pantalon et mon slip au niveau de mes chevilles et engloutit mon sexe. Elle me fit une fellation endiablée, qui m’amena très rapidement au bord de l’explosion, accentuée du fait qu’avec le majeur de sa main droite, elle me fouillait l’anus. Il me devenait de plus en plus difficile de me retenir.

  • Si tu continues, tout va partir, lui ai-je alors dit.

C’est alors que, se relevant, elle m’entraîna dans la salle à manger et se dirigea vers le canapé.

Arrivé au bord de celui-ci, je me débarrassai de mes affaires, alors qu’elle s’allongeait sur le dos en écartant largement les cuisses, me dévoilant son sexe brillant de mouille. J’ai collé ma bouche à celui-ci et, me servant de ma langue comme d’un petit sexe, j’ai alors fouillé son intimité. J’ai commencé également à m’occuper de son anus, sans aucune réaction de réticence de sa part. Elle gémissait secouant sa tête dans tous les sens et ses deux mains dans mes cheveux plaquaient mon visage sur son bas-ventre. Petit à petit, ses gémissements se transformèrent en cris rauques.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, mon sexe était dur comme du bois et il devenait urgent de conclure. Me relevant, je positionnai mon sexe à l’entrée du sien. C’est à ce moment qu’elle me dit :

  • Allez ! Mets-la-moi ! Bien profond ! Baise-moi !

Je m’enfonçai jusqu’à la garde dans son sexe brûlant. Je l’ai pénétrée avec une facilité incroyable tant elle était lubrifiée. Ayant bien relevé ses jambes en passant mes bras sous ses cuisses, j’ai commencé à la pourfendre en espaçant mes mouvements afin de ne pas tout lâcher trop vite. Au bout de quelques minutes, n’en pouvant plus, j’ai déchargé mon sperme dans une dernière pénétration.

Je me suis alors retiré pour m’asseoir à l’autre bout du canapé, et c’est alors qu’elle s’est rapprochée de moi, et a entrepris une nouvelle fellation. Le contact de cette langue experte m’a permis de retrouver une raideur satisfaisante au bout de quelques minutes (on n’a plus vingt ans !). Tout en continuant sa fellation, elle s’est mise en position de 69 et j’avais donc son sexe et son anus à quelques centimètres de la bouche. J’ai alors entrepris de m’occuper de ces deux orifices. Ses gémissements ont repris et elle s’est activée avec une ardeur décuplée sur mon sexe.

Au bout d’un moment, nous avons repris la position plus traditionnelle du missionnaire et, au moment où j’allais de nouveau m’enfoncer en elle, d’une main elle s’est saisi de mon sexe et m’a dirigé droit sur son anus qui était bien dilaté par mes coups de langue précédents.

  • Prends-moi par là, cela fait longtemps que je n’en ai pas pris une dans le c…, m’a-t-elle dit alors.

Que voulez vous dire ou faire ? Dans ces cas-là, il ne reste qu’à obéir. J’ai donc positionné mon sexe et ai commencé par petites poussées successives à introduire le gland. Au bout de cinq ou six poussées, son anus s’est totalement relâché et mon sexe s’est enfoncé jusqu’à la garde. J’ai alors entrepris de larges mouvements qui a chaque fois lui déclenchaient des cris de plaisir.

Étant donné que j’avais éjaculé depuis peu, j’ai pu ainsi tenir plus longtemps. Au bout d’un moment, nous étions tous deux couverts de sueur, et comme je commençais à fatiguer, j’ai encore accéléré la cadence et elle, plantant ses ongles dans mon dos, me bloqua totalement enfoncé et me dit :

  • Envoie tout, je n’en peux plus.

À ces mots, mon sperme jaillit, alors qu’elle exhalait un profond râle de plaisir.

Je me suis alors dégagé et assis à ses cotés sur le canapé. Nous avions tous deux un peu de mal à revenir à la réalité tant notre plaisir avait été intense. Elle s’est alors de nouveau penché sur moi et a repris mon sexe dans sa bouche afin, me dit-elle, de nettoyer tout çà. Tandis qu’elle me léchait délicatement avec sa langue, je lui demandai :

  • Pourquoi ?

Abandonnant ses travaux ménagers, elle me répondit que cela faisait longtemps qu’elle en avait envie, en particulier depuis qu’elle m’avais vu en maillot de bain, et qu’elle avait profité du fait de ma visite sans mon épouse, pour envoyer D. Hors de la maison et qu’elle avait l’intention de me provoquer et tenter sa chance, ce qui avait parfaitement réussi, et qu’elle espérait que j’aie encore prochainement besoin de matériel.

Pour conclure, je dois avouer que le café était froid et que nous n’avons pas non plus mangé les croissants.