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Moments d'égarement avec mon neveu

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Cette histoire, qui a tout de même un peu duré, m’est arrivée lors du millénaire dernier.

Je m’étais mise à l’informatique et j’avais tout de même un peu de mal à m’en sortir. Je faisais donc appel régulièrement à mon neveu.

C’était un de ces bidouilleurs qui passent l’essentiel de leur temps derrière leur écran. Pas le genre boutonneux, mais je sentais bien que ses lunettes le complexaient vraiment. Je le trouvais mignon, mais c’était plus un timide qu’un grand séducteur.

Pour ma part, j’essayais bien de m’entretenir, mais ma cinquantaine me rendait les choses difficiles. Je vivais seule, et je m’en accommodais fort bien.

J’avais décidé, pour le remercier, de l’inviter dans un restaurant pas trop loin de chez moi, qui offrait la délicieuse particularité d’accompagner chacun des plats d’un verre de vin de qualité. Je savais bien que ce n’était pas son souci majeur, mais j’aime bien goûter des vins un peu recherchés, et j’avais envie de partager ce goût.

Bien entendu, la conversation n’était pas son fort mais vous connaissez la faculté des femmes pour parler toute seules et je me laissais aller à tchatcher sans retenue avec lui, d’autant que nous avions commencé par un petit blanc en apéritif. J’avais bien aimé cette soirée, toute à mon euphorie, un peu aidée par les quelques verres qui m’enchantaient.

Sur le chemin du retour, je m’étais appuyée sans vergogne sur son bras. Je me sentais bien, et j’avais encore envie de prolonger mon état. Aussi, je lui avais proposé de venir boire une petite liqueur avant de rentrer. Je sentais sa main parfois se poser sur moi, mais je n’imaginais ni ne pensais à mal. Dans l’ascenseur, je m’étais appuyée sur lui, en rigolant doucement de mon état. Il restait un peu sur la défensive, mais il me laissait mener la soirée à ma guise.

Sur le divan, je sortis une petite verveine que j’aimais bien. J’étais toujours à mon euphorie, et je riais régulièrement. J’avais envie de son contact, aussi je n’hésitais pas à me mettre contre lui, jusqu’à appuyer mon dos contre lui. Sans complexe, je m’étais pelotonné dans ses bras, et je savourais mon petit verre en discutant de tout et de rien.

Je ne lui cachais pas que ça me faisait du bien qu’il me câline un peu, mais les quelques fois où je sentis ses mains remonter vers mes seins, je l’arrêtai sans ambiguïté. Je finis par lui proposer de dormir chez moi, et même avec moi, mais en insistant pour qu’il soit clair entre nous qu’il n’était pas question de s’envoyer en l’air. Je sentais bien qu’il avait quelques idées dans la tête, mais j’avais trop envie de dormir dans les bras d’un homme.

Il ne se fit pas trop prier. Aussi, comme je commençais à m’assoupir, je lui proposai d’aller se doucher, puis de se coucher de suite. En temps normal, je me serais inquiétée du voisinage, mais je n’étais pas en état d’être raisonnable.

Après ma douche, j’éteignis vite la lumière et je me mis dans le lit en me pelotonnant contre lui. J’avais plus envie de dormir qu’autre chose mais, bien entendu, je sentis rapidement ses mains me caresser, en effleurant mes seins, et son bas-ventre ne me laissait aucun doute sur son envie de dormir. Aussi, je me retournai bien vite contre lui, en mettant ma tête sur son épaule. Ainsi, il pouvait difficilement me caresser autre chose que le dos. Je lui fis un bisou sur la poitrine, et je lui intimai de dormir.

Il n’était pas athlétique, mais sa peau était douce, exempte de poils. En lui caressant la poitrine, je sentis son gland contre mon coude. Je me moquais gentiment de lui, en lui faisant encore un bisou, et en lui intimant encore l’ordre de dormir.

Mais je sentais qu’il avait du mal à se retenir, et ça me plaisait bien de le sentir tout excité ; aussi, je lui faisais des petits bisous, fort prudes, mais qui l’empêchaient de se déconcentrer. Je commençais à m’exciter également de l’ambiguïté de cette situation où je faisais semblant de le refuser, tout en l’empêchant de se calmer.

De temps en temps, je reprenais mes caresses sur sa poitrine et je l’effleurais du bout de mon coude. Je lui susurrais qu’on était bien ainsi, et que c’était bien de se contenter de bisous. Il essayait de temps en temps de me caresser les seins ou le haut de mes cuisses, mais je bloquais sa main immédiatement. Il se mit soudain à me caresser les cheveux, et je l’encourageais en gémissant tout doucement de plaisir. J’accompagnais ce petit message en lui disant que ça me plaisait de lui faire des bisous sur la poitrine. Mon ex mari était plein de poils, et je trouvais mignonne cette poitrine toute lisse.

Bien entendu, il chercha à empêcher ma tête de reprendre sa place sur son épaule. Je me laissai faire ingénument, tant je trouvais ce petit jeu délicieux. Je l’aimais bien, et j’avais envie de lui faire plaisir pour ce petit moment de tendresse qu’il m’offrait. Aussi, lorsque je sentis sa main s’alourdir et guider mes baisers sur le bas de la poitrine, je m’en amusais plus que je ne le fuyais.

Je lui demandai si ça lui plaisait que je lui fasse des bisous partout, et il me répondit bien entendu que oui, mais je sentais sa voix vraiment troublée. Je n’ignorais pas, bien sûr, où il avait envie que je lui fasse des bisous, mais je me complaisais dans ces non-dits, dans ce vice plein de tendresse.

Effectivement, mes baisers amenèrent bientôt ma joue au contact de son gland, ce qui le fit se crisper de tout son corps. Je sentis qu’il risquait de m’échapper, aussi je le menaçai, s’il ne se laissait pas faire, d’arrêter de lui faire des bisous.

J’enlevai son bras qui essayait de pousser ma tête, et je posai celle-ci contre son ventre. Je sentis, sans le toucher, son gland à quelques millimètres de ma bouche, et je trouvai ce moment d’une rare intensité. Aussi, je pris mon temps avant de faire un bisou sur ce gland si proche. Je lui dis qu’il était coquin et, à nouveau, il essaya de me forcer avec sa main.

J’alternais des petits bisous et des paroles. Je lui fis d’abord promettre de se laisser faire. Puis ensuite, je lui fis promettre de n’en jamais parler à personne.

Il n’y avait à présent plus aucune ambiguïté puisque mes lèvres se posaient sur son sexe. Jamais je n’avais été aussi excitée en donnant du plaisir. Je n’aimais pas trop ce genre de rapport lorsque j’étais plus jeune, mais le vin et la tendresse que j’avais pour lui faisaient leur effet. Je m’amusai avec son sexe, alternant les baisers et les paroles. Je lui dis que j’avais envie de le prendre dans ma bouche, mais qu’il fallait qu’il me promette de ne pas jouir.

Je lui offris donc ma bouche, mais avec beaucoup de précautions tant je le sentais excité. Pour lui laisser le temps de reprendre un peu son contrôle, je me déplaçai pour m’agenouiller entre ses jambes.

À nouveau, je repris mon petit jeu, en lui susurrant des petits mots et en le prenant doucement dans ma bouche. Je lui disais qu’il se serait bien fait sucer, que ça se sentait qu’il en avait besoin, qu’il pourrait revenir pour que je le soulage.

Je sentais que ces petites phrases lui faisaient quasiment autant d’effet que les caresses de ma bouche. Je lui dis même qu’il avait l’air d’aimer les salopes. Je continuais à lui intimer l’ordre de ne pas jouir, et pourtant je faisais tout pour le rendre fou. Je sentais qu’il faisait des efforts désespérés pour se contrôler, aussi, je me montrais de plus en plus avide et précise dans ma fellation, en même temps que je l’aspirais de toutes mes forces, je caressais sa verge dans ma bouche avec ma langue.

Il s’était tellement contenu que son éjaculation fut très forte, très longue, avec de nombreux spasmes.

Je finis par revenir me blottir contre son épaule, je lui fis un bisou très tendre dans le cou, et je lui demandai s’il allait enfin s’endormir. Il finit par se détendre et se laisser aller dans un sommeil profond. Il me fallut à mon tour du temps pour m’endormir, et ce fut bref puisqu’il me réveilla et me pénétra sans trop de ménagement. Mais ce fut délicieux de sentir ce membre vigoureux se montrer si exigeant de son plaisir.

J’ai pris soin, jusqu’à ce qu’il trouve sa compagne, à maintenir des délais assez longs entre ses visites. Cela me permit souvent d’avoir droit à un désir débordant. Sans complexes, j’ai goûté à ce laisser-aller, me moquant de l’image prude que je donnais à mon voisinage ou à mes collègues de travail.

Je ne regrette rien.