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Nous et la baby-sitter

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On peut dire qu’ils attendaient ce moment avec une impatience dévorante. Véronique ayant accouché de son premier enfant et étant sortie de la maternité depuis quatre semaines, ce samedi était un jour de fête puisqu’elle et son mari, Philippe, allaient pouvoir enfin s’éclater lors d’une soirée organisée par leurs amis comme ils ne l’avaient pas fait depuis des mois.

Ils avaient trouvé la parfaite baby-sitter en la personne de Daphné, la nièce de Véronique et purent ainsi partir quelques heures et profiter l’esprit tranquille…

C’est tard dans la nuit qu’ils regagnèrent leur chez-eux, joyeux et pas mal éméchés. La soirée avait été divine et ils ne tenaient plus ; c’est que cette escapade n’était pas la seule chose qu’ils attendaient ! Véronique était maintenant entièrement remise de ses couches et son bas-ventre criait famine, tout comme celui de Philippe qui était cruellement en manque malgré les fellations goulues de sa très chaude épouse.

C’est donc bruyamment qu’ils grimpèrent les escaliers, ce qui évidemment réveilla Daphné qui vint aux nouvelles pour savoir s’ils s’étaient bien amusés…

  • Oui ma puce, impec ! lui répond Véronique.

Tout s’étant bien passé à la maison, un petit bisou au bébé qui dormait comme un ange et direction le lit.

  • Bon, on va se coucher, on est crevé ; à tout à l’heure…

Se coucher, oui, mais crevés, ils ne le sont pas ! Et la baby-sitter ne va pas tarder à le comprendre. De très fortes complaintes se font rapidement entendre dans la chambre de Daphné, très vite suivies de râles beaucoup plus prononcés. Pendant quelques instants, la jeunette essaie tant bien que mal de les ignorer, mais la tentation est trop forte ; elle a bien envie d’aller dans le couloir pour les écouter de plus près !

Par chance pour elle, dans leur précipitation, les heureux parents ont laissé la porte entrebâillée et un mince filet de lumière venant d’une des lampes de chevet guide la jeune fille dans l’obscurité du corridor.

Elle avance à tâtons, frémissante et intriguée par les sons et les bruits venant de la chambre et à peine a-t-elle l’oreille collée le plus près possible de la porte qu’elle est effarée par ce qu’elle entend.

  • Oh oui, mon amour, baise-moi plus fort ! J’ai si envie… Oh oui !
  • Espèce de salope, t’avais envie que je te ramone à fond, hein !
  • Oh oui, oui, oui, Philippe !

Jamais elle n’aurait pu imaginer sa tante et son mari user d’un tel langage, se comporter, grogner et jouir comme des bêtes, lâchant des cris de plaisir dignes des meilleures productions pornographiques ! Mais c’est bien tata qui se fait baiser ainsi par Philippe qui la fait grimper aux rideaux.

Elle se rapproche encore, très discrètement, l’œil dans l’interstice et constate que le visuel vaut largement le sonore ! Philippe malmène sa femme avec hargne et la garce n’en jouit que de plus belle. Les changements de positions sont fréquents et Daphné est abasourdie de découvrir comment un homme et une femme peuvent s’y prendre pour se donner du plaisir.

La jeune baby-sitter n’a effectivement guère d’expérience en la matière. S’étant fait dépuceler à la va vite par un rustre qui l’a balancée presque aussitôt après lui avoir promis monts et merveilles, elle garde un souvenir amer de la bagatelle. Mais voir ainsi s’ébattre furieusement deux êtres qui s’aiment l’a, non seulement intriguée, mais également excitée.

Elle sent ses petits bouts durcir et la chaleur envahir son corps. Aussitôt, elle passe la main sous sa liquette et se met à se caresser. Sa fente est déjà bien humide et sa mouille commence à lui enrober les doigts quand Véronique grimpe en 69 sur Philippe pour le sucer comme une diablesse.

Plus qu’honorablement monté, le mari de sa tante lui fait vraiment envie. Véronique s’y prend à merveille pour le faire mugir de plaisir et son vit dressé et reluisant lui met l’eau à la bouche… qu’elle a d’ailleurs très sèche à cet instant !

Des attributs d’un homme, elle ne connaît que les timides et sporadiques masturbations qu’elle a prodiguées - dans le noir ! - à son ancien boy-friend. Ce salaud s’était contenté de la trousser comme une brute, ne lui laissant que le souvenir d’une pénétration douloureuse, mais la bestialité de Philippe avec Véronique n’a rien de comparable ; quel plaisir et quels orgasmes il lui donne !

  • Hum… Gros salaud, comment tu fais pour tenir si longtemps après toutes ces semaines d’abstinence ? T’avais une remplaçante, hein ? lui demande-t-elle en le taquinant, ravie que les galipettes s’éternisent.
  • Ne dis donc pas n’importe quoi ! Tu sais bien que quand j’ai pas mal bu, l’alcool agit sur moi comme un retardateur. Et puis tes pipes ont…
  • Alors continue au lieu de discuter ! lui ordonne-t-elle en lui léchant le torse.

Véronique se place alors à quatre pattes en travers du lit et elle n’est pas sitôt en position que Philippe a déjà la langue collée contre son œillet.

  • Je vais t’enculer ! J’ai trop envie de te la fourrer là !
  • Oh oui, mon chéri, donne-moi du plaisir ! lui répond-elle en haussant fortement la voix.

Toujours à l’abri en son observatoire, Daphné est sidérée ; sa tante va se faire prendre par derrière et ils ont l’air d’avoir l’habitude ! Sidérée, mais encore plus intriguée, ce qui fait qu’elle s’enhardit à ouvrir la porte un peu plus pour y voir davantage clair.

Et elle n’est pas déçue du voyage ! De grands coups de langue sur le petit trou de son épouse, qui se trémousse comme un ver en gloussant, un petit jeu de doigts et voilà Philippe qui encule directement Véronique sans trop de préliminaires.

  • Ah, je vois que ça rentre toujours aussi bien de ce côté-là ! lui dit-il.
  • Eh oui, mon chéri ; c’est l’avantage d’être naturellement large du fion !

Leurs propos deviennent très crûs, mais Daphné n’y prend plus garde ; les hurlements de sa tante ont déchaîné sa main qui s’affaire de plus en plus entre ses cuisses et elle doit se mordre la lèvre pour ne pas gémir à son tour. Vu le vacarme qui sort de la chambre, cette précaution est futile, mais elle préfère ne pas tenter le diable.

  • Oh ça vient, chérie, ça vient !
  • Ouiiiii !

Un dernier soubresaut et Philippe décharge une onde de sperme brûlant dans le derrière de sa femme qui hurle de jouissance à s’en égosiller. Il était temps aussi pour Daphné qui a bien du mal à tenir sur ses jambes, tellement le plaisir fut grand pour elle-aussi.

Comprenant que la cabriole est terminée, elle ôte la main de son pubis et regagne sa chambre sans faire de bruit.

  • Oh mon amour, t’as été fantastique ! Je t’aime… dit Véronique, s’épongeant le front.
  • Et toi mon cœur ; t’es encore plus chaude qu’avant !
  • Hé ! J’espère bien ! lui répond-elle en l’embrassant.

Elle s’allonge près de lui, pose la tête sur son buste, puis se relève aussitôt, une envie pressante se faisant sentir.

  • Faut que j’aille faire pipi. Garde-moi la place au chaud !

Elle va jusqu’à la porte, s’arrête, puis revient près de son mari.

  • T’as rien remarqué tout à l’heure ?
  • Heu… Non… Quoi donc ?
  • Je suis à peu près certaine que Daphné nous espionnait ! lui dit-elle en souriant.
  • Quoi ?
  • Oui ! Attends, je reviens…

Philippe est assez contrarié. Se faire mater en train de baiser, ce n’est déjà pas tellement son truc, mais en plus par la nièce de sa femme. Mais peut-être Véronique s’est-elle fait des idées ?

  • Je t’assure chéri, elle était là, j’ai vu un peu son ombre sur le mur…

Et non, Véronique n’avait pas rêvé ; sa nièce était aux premières loges de la représentation sulfureuse !

  • Et tu t’en es aperçue quand ?
  • Un peu avant que tu m’encules ! lui répond-elle, malicieuse.

Très étonné qu’elle ne soit pas intervenue quand elle l’a découverte, Philippe ne l’est plus du tout quand il comprend que cette petite voyeuse a rudement excité Véronique ; et comme il ne peut que reconnaître l’entrain que ça lui a donné, la contrariété s’estompe rapidement.

Elle se colle alors sur lui et se met à lui masser le ventre et le buste, les yeux tout enflammés.

  • Tu sais chéri, pour être franc ; j’aurais adoré qu’elle nous rejoigne… lui annonce-t-elle en balbutiant.
  • Hein ? s’écrit-il en se redressant.
  • Oui, ça m’a rappelé des souvenirs ; de vieux souvenirs.

Dans sa jeunesse, Véronique a eu une relation avec sa cousine le temps d’un été. Elles ont découvert ainsi leur corps et goûté aux caresses entre filles jusqu’à ce que chacune vive sa première fois avec un garçon ; à la suite de quoi elles ont définitivement tiré un trait sur les plaisirs goudous. Et là, après cette période d’abstinence, la folle nuit d’amour qu’elle vivait, les orgasmes qu’elle avait, voir sa nièce qui les épiait, ont fait remonter en elle certaines envies.

  • Quoi ! Avec ta cousine !
  • Oui, mon chéri. lui répond-elle, amoureuse.

Philippe n’est pas si surpris que ça que sa femme se soit un jour envoyée en l’air avec une autre fille, mais le lien familial est moins facile à avaler. Et quand par-dessus le marché, Véronique fantasme maintenant sur sa propre nièce…

  • Hé ! T’as pas épousé une sainte, mon chéri !
  • Ah ça non ! Et ce n’est pas une sainte non plus qui est dans mon lit !
  • Attends, tu vas voir…

Elle se met à le branler avec légèreté, lui caresse les couilles, lui donne de petits coups de langue sur le gland pendant de longues minutes, jusqu’à ce qu’il soit à point.

  • Mon chéri, tu n’aimerais pas me voir faire des trucs avec une femme ? lui demande-t-elle sur un ton mielleux.
  • Heu… Je sais pas… Continue… Oui… Si…
  • Et bien entendu, tu pourrais participer aussi… ajoute-t-elle.
  • Quoi ? Avec…
  • Oui !

Très habilement, elle teste son mari sur un sujet qu’ils n’ont jamais abordé et la gâterie qu’elle est en train de lui prodiguer est un sérieux atout pour qu’il la rejoigne dans son fantasme. Elle est si rusée qu’elle espère bien le persuader que l’idée vienne de lui avant qu’il n’éjacule et ainsi effacer tout scrupule qu’il pourrait avoir !

Philippe ne sait plus trop quoi penser. La fellation fait son effet et il se met à s’imaginer des choses. Jusqu’à présent, il ne s’était jamais trop posé la question de savoir si sa nièce était attirante, mais là, après cette abstinence, ses envies décuplées…

Elle n’a pas encore 19 ans, elle est mignonne, bien qu’un peu boulotte, elle est un fruit vert très appétissant dans lequel il croquerait finalement bien ; surtout que de la bouche de Véronique, la nièce l’a toujours trouvé beau mec.

  • Et puis tu sais, comme toutes les filles de son âge, cette gamine a du vice ! La preuve, puisqu’elle nous matait. Et je suis sûre qu’elle se touchait… ajoute-t-elle.
  • Oui, du vice ; surtout quand elles ont de qui tenir !
  • Ça ! Et maintenant, tais-toi ; je vais te faire jouir dans ma bouche.

Elle se met alors à le branler de toutes ses forces, claustrant son gland entre ses lèvres. Il s’accroche aux draps, serre les dents et grogne de plaisir quand son foutre bouillonnant remplit la bouche de Véronique.

Cette nuit-là, il n’y aura pas de troisième acte. Repus et comblés, ils se blottissent l’un dans l’autre et se dorlotent en attendant que le sommeil les emporte. Mais Véronique n’a pas dit son dernier mot ; et comme si la cause était entendue…

  • Tu me laisseras faire avec Daphné.
  • Ah parce que tu songes déjà à…
  • Chut, mon amour. Tu verras bien demain…

Demain, c’est si proche ; demain, c’est aujourd’hui puisque la pendule marque 6 heures passées…

C’est vers 10 heures que Véronique ouvre les yeux et à peine bien réveillée qu’elle tire presque Philippe de son sommeil.

  • Allez, mon chéri, on se lève ; bébé nous attend.

Ils descendent l’escalier l’un après l’autre et vont directement dans la cuisine où Daphné vient de donner le biberon à bébé. Le gros câlin du matin avec leur fils et une fois rendormi, la jeune fille monte le recoucher dans son berceau avant de redescendre pour prendre son petit déjeuner avec eux.

  • Alors, vraiment bien passée votre soirée ?
  • Oui, super… répond Philippe.
  • Et l’after a été fantastique ! ajoute Véronique.
  • L’after ?

Philippe a compris et ils se mettent à rire, laissant Daphné pantoise. Véronique rapproche alors sa chaise très près de la sienne.

  • Tu verras ma puce, quand tu auras un enfant ; dès que tu seras bien remise à l’intérieur, t’auras une envie folle de faire l’amour… comme nous cette nuit !
  • Quoi ? Heu… Je comprends pas, tata…
  • Cesse de m’appeler ainsi ! Tu sais bien que j’ai horreur de ça. Est-ce que j’ai l’air d’une tata ?

Non, à 35 ans, elle n’a vraiment pas l’air d’une tata, mais d’une femme terriblement affriolante.

  • Allons, pas d’histoires. Tu nous as matés, je t’ai vue !

Daphné pensait pourtant avoir été d’une discrétion absolue mais elle est stupéfiée et presque honteuse de s’être fait percer à jour. Elle bégaie, semble paniquée, baisse les yeux, rougit et ne sait plus où se mettre.

Philippe ne dit mot ; il garde un sourire réservé et pense comprendre que sa femme a commencé son petit jeu.

Véronique tire alors sa nièce contre elle pour qu’elle se remette de ses émotions.

  • Mais dis-nous ; tu as aimé ce que tu as vu, ce que nous t’avons involontairement offert ?

Se sentant pleinement en confiance grâce au tact de sa tante, son petit sourire mutin répond pour elle : oui, elle a aimé ! D’instinct, Véronique lui saisit la main et la porte sous son nez.

  • Oui, tu as aimé et plus que ça à ce que je vois ; tes doigts sentent encore la mouille !
  • Mais non Véro ! Je me suis lavé les mains avant de…

Venant bêtement de se trahir, elle devient rouge comme un coquelicot et Véronique en profite pour passer à l’acte.

  • Mais il n’y a rien de mal à ça ma puce ! lui dit-elle en la plaquant contre elle.

Puis, faisant mine de l’apaiser, elle se met à la toucher et lui confie qu’à elle aussi il lui arrive de se masturber.

  • Pourtant avec Philippe…
  • Ça n’a rien à voir ; c’est tellement bon de temps en temps…
  • Oui. répond-elle timidement.
  • Allons, voyons voir ce qu’il y a là-dessous… ajoute-t-elle en la faisant se lever.

Sans hésitation, elle passe les mains sous sa liquette et remonte doucement le long de ses cuisses.

  • Comme ta peau est douce ; j’adore…

Daphné, alors plus que surprise est comme pétrifiée et elle est incapable de dire quoi que ce soit tellement le bien-être monte en elle. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive, elle sent la honte la picoter, mais…

Philippe aussi en reste bouche bée. C’est presque une machination, menée haut la main par son épouse qui est en train de se dessiner devant lui. Et il se rappelle quelques années en arrière, comment sa future s’y était prise pour le séduire ! Non, il n’est pas vraiment surpris par la virtuosité de sa femme.

  • Tiens, tu ne mets pas de culotte pour dormir ? remarque Véronique.

Ses mains sont arrivées à la hauteur de ses hanches et Daphné, qui commence à respirer plus fort baisse les yeux en souriant pour acquiescer.

  • C’est vrai, pour se doigter, c’est bien mieux comme ça… ajoute Véronique.

Elle reprend son ascension, toujours en douceur, pour arriver au niveau de ses seins qu’elle prend tout de suite en mains.

  • Hum, tes tétons sont tout durs.

Daphné se laisse aller et ferme les yeux. Elle est certes un peu gênée par la présence de Philippe, mais Véronique lui fait trop de bien pour qu’elle objecte.

  • Viens, assieds-toi sur la table, tu seras mieux. Oui, comme ça.

La baby-sitter obéit et pose ses fesses sur la table tandis que Véronique lui déboutonne sa liquette.

  • Oh, les beaux petits lolos…

Elle se met à les lécher et les croquer avec une grande finesse, ce qui procure à la nièce une jubilation succulente. Puis elle continue de la déboutonner et finit par écarter les pans de la liquette.

  • C’est tout mignon ta petite houppette.

À peine effleure-t-elle son bouton que la petite fleur de Daphné s’épanouit. Elle se tortille et grimace de bonheur sous les gestes habiles de Véronique qui lui entre un doigt entre les nymphes avant de le sucer.

  • C’est bien ce que je disais : tu sens encore la mouille.

Elle dénoue alors la ceinture de son peignoir pour faire profiter sa nièce de ses attributs. La jeune fille est éblouie par ses belles loches, encore toutes gonflées par sa grossesse. Et sans qu’on ne l’y invite, elle se met à les caresser, ce qui fait vibrer Véronique.

  • Oh, ils sont beaux, Véro ! lui dit-elle, admirative.
  • Alors touche-les… avec ta bouche !

Sa tante est vraiment une très belle femme et l’invitation est trop tentante pour qu’elle n’obtempère pas. De ses lèvres devenues humides, elle gobe ses gros mamelons et le bienfait de sa langue rugueuse oblige Véronique à saisir la chaise pour ne pas basculer.

  • Tu t’y prends très bien dis-donc ! C’est pas la première fois, hein ? la taquine-t-elle.
  • Mais si Véro, je te jure !

Elle lui donne un baiser sur la bouche, tire un peu la chaise et pose un pied dessus pour offrir son intimité à sa nièce.

  • Tu peux toucher aussi…

Véronique n’est pas une farouche partisane du rasoir ; son superbe et très fourni triangle roux éblouit Daphné encore plus que ses seins. Cette nuit, dans la pénombre de la chambre, elle n’avait fait que le discerner, mais là…

Très excitée, elle glisse sa main dans ses longs poils bouclés et descend jusqu’à sa vulve, tout aussi poilue. La sensation est sublime et les poils collés sur ses grandes lèvres l’excitent. Elle qui est si étroite, elle a l’impression d’être à la lisière d’un gouffre juteux et sa stupéfaction n’échappe pas à Véronique.

  • Et oui, je suis encore assez large suite à ma grossesse. Tu entreras facilement comme ça !

Oui, très facilement. C’est directement deux doigts qu’elle met dans sa moule, chaude et gluante, et commence à les remuer. Véronique se laisserait bien doigtée en profondeur, elle a envie que Daphné lui donne du plaisir, mais comme pour le moment elle veut garder la maîtrise de la situation, elle lui attrape brusquement le poignet.

  • Hum, c’est bon ma puce ; mais à toi de goûter maintenant…

La jeunette ôte la main de son minou et hésitante, elle la dirige sous ses narines. L’arôme est très fort ; la cyprine de Véro est teintée d’une odeur d’urine et d’une autre qui lui est inconnue mais qu’elle devine être le sperme de Philippe.

  • Allez, lèche…

Elle entre ses deux doigts dans sa bouche et se met à les sucer tandis que Véronique la pénètre à nouveau de son majeur très fouineur. Elle a l’air d’apprécier le parfum de sa sucette, mais son regard se fige instantanément sur Philippe ou plutôt sur sa bite qui est dressée d’équerre au milieu de son peignoir. Et il ne semble même pas avoir remarqué qu’il bande aussi fort tellement il est absorbé par les cochonneries se sa femme et de sa nièce !

  • Mon chéri, tu te joins à nous… lui dit Véronique en tirant sur sa ceinture pour la dénouer.

Elle empoigne son engin dans la foulée et le branle très langoureusement.

  • Ton mufle, tu le suçais ?
  • Non… Non… Je voulais pas…
  • Et Philippe, il te fait envie ? poursuit-elle, bien que lisant la réponse dans ses yeux.

Elle ne répond pas, elle n’ose pas avouer que dans l’état où elle est, elle n’a qu’une envie : s’empaler sur ce braquemart alléchant !

  • Oui, tu as envie. Alors approche-toi d’elle, mon chéri.

Un pas en avant et la bite de Philippe est à portée de main de Daphné qui s’en détache du regard une seconde pour fixer Véronique.

  • Vas-y… se contente-t-elle de lui dire.

Sa respiration accélère et Philippe glousse, dès que sa main étrangle son chibre. Voilà plus de cinq ans qu’aucune autre femme ne l’avait touché, que nulle autre que son ardente Véronique ne lui avait trituré le bout.

Avec des gestes plus qu’imprécis, elle commence à le branler, s’excitant à faire apparaître et disparaître son gland violacé et encore rutilant des ébats de cette nuit ; c’est un plaisir explorateur et donc doublement excitant puisque c’est la première fois qu’elle masturbe un homme en contemplant son vit.

Véronique l’enserre par derrière, fait tomber son peignoir et passe la tête au-dessus de son épaule pour observer la branlette de l’intrépide et maintenant dévergondée Daphné qui a pris le tempo. Mais comme la position n’est pas la plus appropriée, elle demande à son mari de prendre la place de sa nièce sur la table.

  • Ma puce, tu sais ce que tu as à faire maintenant, hein ?

Oui, elle le sait : s’initier à sa première fellation. Elle se penche un peu pour être à bonne hauteur et chaperonnée par sa tante, elle approche ses lèvres très près du gland. L’odeur est exactement identique à celle qui tout à l’heure lui a imprégné les doigts, ce qui lui fait de nouveau perdre tout sens commun. Véronique s’accroupit aussitôt derrière elle pour lui peloter les seins.

  • Vas-y ou c’est moi qui vais le bouffer !

Elle ouvre alors la bouche et gobe ce gland qui est ce matin pour elle en s’accrochant aux genoux de Philippe. Le goût est âpre, mais pas question de jouer les difficiles ; surtout qu’elle est encouragée par Véro qui la doigte tellement elle est excitée elle-aussi.

Mais ses doigts font trop merveille et la jeune fille sursaute de plaisir, ce qui fait également bondir Philippe.

  • Oh là, doucement ou tu vas me la sectionner ! dit-il en riant.
  • C’est parce qu’elle ne sait pas encore se contrôler pour donner et recevoir en même temps. Mais on va lui apprendre… répond sa femme.

Son minou est prêt ; un liquide chaud coule sur les doigts de Véronique, mais Daphné ne semble pas vouloir lâcher prise, sa première pipe étant sensationnelle.

  • Daphné, grimpe sur Philippe maintenant.

Les paroles de sa tante, douces et subtiles, sonnent comme des injonctions auxquelles la nièce se plie dans l’instant tellement le plaisir la dévore. Philippe s’allonge sur la table machinalement et la jeunette l’enjambe, guidée comme il se doit par Véronique qui s’est emparée de la queue de son homme et la plaque contre la vulve de Daphné.

  • À présent, Philippe est ta monture ; tu le chevauches comme tu veux…

Elle a encore du mal à le regarder directement et ferme les yeux sitôt qu’elle commence à descendre sur son engin. Les deux pieds sur la table, Véronique la maintient pour lui éviter de tomber à la renverse et elle pousse un petit couinement une fois en fin de course.

Mais ces timides marques de plaisir prennent vite de l’ampleur dès les premiers va-et-vient. Elle ne saurait dire si le sexe de Philippe est plus gros que celui de son ex, mais en tout cas elle le sent passer ! Mouillant profusément, le coulissement est idéal et elle le fait entendre, à la grande joie de Véronique qui l’encourage promptement à se laisser aller.

  • Oh je jouis !

Daphné met le paquet à monter et descendre, mais sans expérience, la machine s’emballe vite et sera bientôt hors-service si Véronique n’y prend pas garde. Elle l’attrape alors par les hanches, la fait mettre à genoux et l’allonge sur Philippe qui donne instantanément du bassin pour ne pas casser l’allure. Daphné s’écrase sur lui et le cramponne de ses lèvres dans le creux du cou sous l’œil bienveillant de son épouse qui a déjà effleuré du doigt la rosette de la jeune fille.

Voir le sexe de son mari entrer et sortir dans celui de sa nièce la rend folle de désir, surtout qu’il est couvert de son suc blanchâtre et parfumé qu’elle s’empresse de lécher à chaque aller-retour. Le petit trou de Daphné en est rapidement imbibé et la tante se met à lui masser avant de lui rentrer un doigt jusqu’à la garde.

  • Haaaaan ! s’écrie-t-elle.
  • C’est bon un doigt dans le cul, hein petite cochonne !
  • Oh oui !
  • Ça aussi c’est nouveau ?
  • Oui Véro !
  • Et Philippe, il te fait du bien ?
  • Ouiiiii !

Le calibre de son index n’est guère imposant, mais c’est une cerise sur le gâteau de Daphné qui jouit à outrance sur la petite table de cuisine. D’une main, Véronique lui trifouille l’anus, de l’autre, elle applique quelques claques à chaque moment propice pour qu’elle se rétracte et Philippe ne faiblit pas, la gardant accrochée bien à lui par les orgasmes qu’il lui offre.

Et le suivant est si fort que la jeunette en perd presque connaissance. Véronique est plus que ravie de ce parcours initiatique hautement réussi, mais son ventre est brûlant et il réclame son dû ! Elle fait donc un petit signe de la tête à Philippe pour qu’il tempère ses gestes et Daphné se rehausse calmement pour savoir ce qu’il en est. Elle a jouit énormément, son visage est radieux et Véronique l’embrasse comme une amante.

  • Tu es heureuse Daphné ?
  • Oh oui Véro, c’était super ! Philippe, vraiment, tu…

Elle ne sait que dire de plus dans cette circonstance particulière, mais son visage déborde de gratitude pour celui qui vient de lui apprendre réellement ce que le mot plaisir veut dire.

  • J’espère que tu as encore des forces, mon amour, parce que je n’en peux plus !

Tout le monde a compris que tante Véro a le feu au cul et que son mari doit y remédier ! Mais avant cela, elle a envie d’un petit en cas. Elle s’assoit à son tour sur la table et écarte bien les cuisses, les pieds posés sur les coins.

  • Alors Daphné, comme ça, qu’est-ce que tu en dis ? demande Philippe.

Voilà seulement qu’il entre vraiment dans la conversation et Daphné est transportée d’émoi à la vue de la chatte largement ouverte de sa tante.

  • Lèche-moi, Daphné, vite !

Une nouvelle odeur embaume de sa vulve, celle de la cyprine toute "fraîche" qui s’écoule de son vagin embrasé. Mais Daphné n’aura droit qu’à un avant-goût par un timide coup de langue sur sa vulve ; la place est rapidement prise d’assaut par Philippe qui fait trembler la table d’entrée de jeu par de solides coups de reins, propices à la jouissance extrême de Véronique qui se met à bramer, consumée par le plaisir.

Malgré ce qu’elle a pris, la baby-sitter est dans un premier temps presque choquée par cette baise animale où le mâle qui vient de la faire jouir n’a rien à voir avec celui qui est en train d’entreprendre sa tante. Mais un tel plaisir, de telles sensations, elle en rêve déjà et sa première impression s’éclipse très vite.

  • Allez, retourne-toi et montre-moi ton gros cul ! Je n’en ai pas fini avec toi ! ordonne Philippe.
  • Oh oui, mon amour ! répond-elle.

Elle descend de la table et conformément au désir de son homme, se retourne, lève une jambe et repose son pied sur le coin. Philippe la prend sur-le-champ et se remet à la faire jouir sous des coups encore plus emportés.

L’abricot bien garni de Véronique commence à exsuder et sa mouille coule le long de son entrejambe. Daphné, remise en appétit, voudrait bien la lécher mais c’est un autre jus qui l’attend.

  • Oh je ne tiens plus ! prévient alors Philippe.

Véronique se désenclave et fait plier Daphné aux pieds de son époux.

  • Je sens que tu vas aimer…

La nièce ravit sa queue et le masturbe très fort dans sa bouche, suivant les conseils de sa tante, se délectant de l’écume acidulée qui recouvre ce dard si besogneux.

  • Oui ! crie Philippe.

L’écluse s’ouvre alors et une houle de sperme se verse dans la bouche de la jeunette qui en paniquerait presque. C’est chaud, épais et amer ; l’ondée semble interminable et Daphné est dans l’incapacité de tout avaler. Mais Véronique s’y attendait ; accroupie à côté d’elle, elle guette la fuite entre ses lèvres et se met à lécher le foutre qui s’en échappe et qui fuse sur le menton de la jeune fille.

  • Hum… s’exclame Philippe.
  • Elle s’est bien débrouillée, hein ! lui dit Véronique.

Puis s’adressant à Daphné, elle ajoute :

  • La prochaine fois, tu ne laisseras rien perdre ma chérie !

Elle lui donne alors un baiser, lui offrant ce qu’elle a perdu et qu’elle avait gardé en bouche.

Après cette partie matinale, tous les trois finissent par s’asseoir autour de la table pour respirer un peu. Daphné est naturellement heureuse et comblée, Véronique très satisfaite et Philippe rudement content d’avoir baisé une petite cochonne pratiquement offerte en cadeau par son épouse !

  • Heu… Bon… Heu… Je vais peut-être aller prendre une douche et m’habiller… dit alors Daphné, redevenue tout à coup timide.
  • Mais oui ma puce, vas-y…

À peine a-t-elle fermé la porte que Véronique vient s’asseoir sur les genoux de son mari.

  • Alors mon amour, tu as aimé ? lui demande-t-elle, très coquine.
  • Je sais pas quoi dire, vraiment.
  • Et t’aurais envie qu’on remette ça ? continue-t-elle, avec beaucoup d’insistance.
  • Ben… heu… je sais…
  • Dis-le ! insiste-t-elle, ne tenant plus.
  • Oui !
  • J’aime mieux ça, mon chéri…

Philippe était partant pour que Daphné devienne leur jouet intime et ce n’est pas la jeune fille qui allait refuser ! Dès le week-end suivant, Véro et son mari auraient de nouveau besoin de ses services de baby-sitter, ce que naturellement elle accepta, surtout que la sortie des parents se déroulerait à la maison, comme bien des samedis suivants…