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Une MILF divorcée découvre le sexe avec sa voisine

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Une ville inconnue, une renaissance à 45 ans, l’âge mûr, le bel âge, assez vieux pour connaître ses erreurs passées et assez jeune pour en commettre de nouvelles…

Divorce tumultueux, trois enfants volant de leurs propres ailes, alors je me suis décidée, il ne m’a pas fallu longtemps d’ailleurs, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ma mutation était acceptée. Adieu région parisienne… Bonjour Montpellier ! J’avais trouvé très rapidement un petit appartement dans la périphérie de la ville, très clair, une belle baie vitrée dans le salon donnant sur un magnifique balcon, d’une superficie relativement correcte pour y mettre une table, deux chaises et une chaise longue.

J’étais contente d’être au premier, en bas les appartements avaient un tout petit jardin, certes, mais tous les appartements des étages supérieurs avaient une vue imprenable dessus, ce qui m’aurait fortement déplu. Ceci dit, le bâtiment formant un L, je pouvais pratiquement serrer la main de mes voisins de droite, et faire la conversation sans m’égosiller avec la personne donnant sur le balcon d’après.

Tout se mettait en place doucement, mon emploi du temps professionnel ne me permettait pas vraiment de lier connaissance avec les résidents, ce que je trouvais un peu dommage en soi, mais bon…

Je venais de rentrer, après une longue et interminable journée, vingt-et-une heures trente, je tournais enfin la clef dans la serrure. Je me décidais, après une bonne douche, à prendre un petit en-cas sur le balcon, la nuit était chaude en ce milieu du mois de juin, ciel étoilé et une pleine lune éclairant suffisamment. Me voilà attablée, grignotant quelques crudités lorsque de petits gémissements m’interpellent, tendant l’oreille pour en définir la provenance.

Je me lève, m’approche de la rambarde et regardant vers les jardins, je vois un couple en pleine partie de jambes en l’air, nus comme des vers. Bizarrement, je ne pouvais détacher mes yeux de cette scène, je ne suis pas voyeuse, j’ai regardé une fois un film porno, pour voir, il y a bien longtemps, mais là je restais à les regarder. La pleine lune les éclairait, ils ne se souciaient pas du reste du monde, elle se faisait lécher en couinant, son regard croisa le mien, j’eus un mouvement de recul, finalement je me rapprochai de nouveau, elle me fixait, cela devait lui plaire et à moi aussi il faut bien l’avouer. Ma vie sexuelle avait été d’une platitude, monotone durant ces 20 années de mariage, mais j’étais restée fidèle. Là, une excitation grandissait, je me suis surprise à mettre ma main entre mes cuisses, ma fente nue sous ma nuisette était très humide, je me caressais sans cesser de quitter cette femme du regard. D’en bas elle voyait bien ce que je faisais, elle avait l’air de m’approuver, de m’inciter à continuer. Son râle de plaisir me fit comprendre qu’elle jouissait sous la langue de cet homme, qui se redressa, je n’avais vu que ses fesses jusque-là, beau cul ferme, de ce que je pouvais voir de là-haut, mais son membre dressé donnait envie de s’empaler dessus avec frénésie. Il se mit devant elle qui, bouche ouverte, se mit à le sucer, ses yeux ouverts le regardaient et par moments elle cherchait mon regard, comme pour être certaine que j’étais toujours spectatrice.

J’étais au bord de la jouissance, il finit par la prendre en levrette sur la petite table de jardin, je rêvais d’être à sa place à elle et de me faire prendre de la sorte par ce mâle si viril.

Pourtant, je me demandais lequel des deux m’excitait le plus, je suis hétéro pure et dure, jamais je ne me suis sentie attirée par une femme et encore moins envie de faire l’amour avec. À cet instant précis, je la désirais elle et elle seule. Je devais chasser cette idée complètement déplacée.

Quelques jours passent, la scène est toujours présente dans ma tête, j’ai encore rêvé d’elle, c’est bête, elle n’a rien fait pour ça… Mon état au lever mérite une douche avant toute autre chose. Elle n’est pas vraiment belle, mais dégage un charme qui m’ensorcèle. Comment une femme, que je ne connais pas, pouvait créer ce désir en moi, avais-je refoulé, durant toutes ces années, une homosexualité, ou tout simplement une envie ?

Je passais sur le balcon pour prendre mon petit déjeuner, souvent je regardais par-dessus la rambarde, espérant croiser sa silhouette de nouveau, même furtivement. Et ce matin-là, elle était en bas, installée à table, dans son petit short en coton bouclé blanc et son débardeur rouge cachant à peine sa poitrine dont je devinais, même de mon perchoir, les tétons dressés dessous. Voilà, j’étais de nouveau sous son charme. Il fallait établir le contact, mais comment ?

L’idée qui me traversa l’esprit fut de jeter quelque chose, qui tomberait dans son jardinet, et sans réfléchir, oui vraiment sans réfléchir, je pris ma tasse de café et la lançai. Quelle idiote je fais ! Évidemment elle se brisa arrivée à destination, ce qui fut non sans surprendre la locataire.

Je me confondis en excuses et rentrai immédiatement dans le salon, rouge de honte. La sonnette retentit et en ouvrant : surprise ! Elle se trouvait sur le pas de ma porte, les débris de ma tasse dans ses mains, le sourire sur ses lèvres en disait long sur l’ironie de la situation.

À cet instant je voulais l’embrasser, je devinais sans peine sa fente se dessinant sous son short moulant, elle devait être épilée totalement, voilà je suis en train de fantasmer et ne la fais même pas rentrer.

  • Bonjour, je suis Adéla, ta voisine d’en bas, et je pense que si tu veux m’offrir un café, c’est mieux de m’inviter plutôt que de me l’envoyer avec un élan de générosité par-dessus la rambarde non ? Voilà les restes, désolée je n’ai jamais été très bonne à la réception du jeté de tasses.

Elle me tendit les morceaux que je mis à la poubelle et je lui proposai donc de s’installer sur la terrasse tout en préparant deux nouvelles tasses de café.

On fit les présentations en bonne et due forme et on parla un moment, comme deux vieilles amies. Elle vivait seule mais pas ici, en ce moment elle logeait chez un ami, avait 32 ans et était représentante de commerce en lingerie, donc toujours par monts et par vaux. Nous n’avons pas abordé la scène de l’autre soir, j’étais légèrement déçue, mais c’était préférable, la conversation m’avait apporté une précision, ce n’était pas son mari, elle n’avait pas d’attache… Elle parlait de son métier avec passion, faisait même des ventes à domicile agrémentées d’accessoires qu’elle vendait également. Je connaissais la vente d’objets plastiques d’une marque très connue, mais les réunions lingerie et sextoys, pas du tout. Cet univers était nouveau pour moi, eh oui, malgré mon âge !

Mon voisin très proche – il suffisait qu’il enjambe les balcons, c’est prendre un risque, l’écart n’est pas très important mais quand même – venait de sortir à son tour pour profiter des premiers rayons de soleil. Nous nous saluâmes tous les trois.

Nous continuons notre conversation, sa main par moments frôle ma cuisse, ce qui a pour effet immédiat une onde de chaleur envahissant tout mon être. Elle s’absente quelques minutes, me demandant les toilettes. J’en profite pour débarrasser, me penchant pour nettoyer la table, je sens le regard de mon voisin, il essaie certainement de voir un peu plus que je ne lui offre en jouant les contorsionnistes, pensè-je, un léger sourire au coin des lèvres, amusée par la situation, amusée ou excitée, je ne saurais le dire.

Elle était revenue, et dans l’embrasement de la baie vitrée, suivait la scène, elle se positionna derrière moi et mit sa main sous ma nuisette, touchant mon sexe humide, j’étais tétanisée, je la laissais faire.

  • Très humide comme endroit, tu as un très joli cul, on en mangerait, n’est-ce pas monsieur ?

Je pouvais le voir en train de sortir son engin et commencer un lent va-et-vient avec sa main tandis que ses yeux ne perdaient pas une miette de ce qui se passait chez moi.

Tout en douceur, elle se mit à m’embrasser les fesses. Que m’arrive-t-il soudain ? Après mon divorce j’avais bien l’intention de m’adonner aux joies du sexe, mais je ne l’avais pas un instant imaginé comme ça, avec une femme, me donnant en spectacle devant un inconnu.

Ses mains se faisaient délicates entre mes cuisses, puis elles sont venues écarter mes fesses mettant à nu mon sillon où sa langue se glissa soudain, je me raidis lorsqu’elle arriva sur l’anus, fermé cet endroit depuis toujours, vierge en quelque sorte. Sa langue gourmande savait s’y prendre et là c’était merveilleusement bon puis elle continua son chemin et vint souffler sur ma vulve avant de lécher mes lèvres. Je me décidai à monter à quatre pattes sur la table afin de lui faciliter tous les accès et de ce fait rendre la vue encore plus excitante à mon voisin. Son doigt s’approcha de mon bouton gonflé d’excitation et se mit à jouer avec, tandis que sa langue s’affairait maintenant à l’intérieur de ma fente, récupérant ma cyprine. Mon souffle haletant, mes sens bouleversés. Elle m’amenait à un orgasme que je n’aurais jamais pu imaginer si fort, si puissant.

Ses longs doigts avaient maintenant pris la place de sa langue, ils bougeaient en moi, elle me souffla à l’oreille :

  • Alors ma belle, la première fois avec une femme, tu aimes hein ?

J’acquiesçai d’un mouvement de tête et me mis à l’embrasser avec fougue, je défis son haut découvrant sa poitrine, que j’avais devinée, à juste raison, très généreuse. Ma bouche empoigna son mamelon rond et tendu, quelle douceur sa peau, je tétais comme un bébé au sein, la succion tendre au départ se faisait plus pressante. Elle aimait et moi aussi, sa peau douce légèrement parfumée m’enivrait. Je n’en pouvais plus, une sensation merveilleuse de chaleur et de bien-être m’envahit de nouveau sous la pression de ses doigts et je jouis de nouveau, sans pouvoir étouffer le cri qui s’échappait de ma bouche à ce moment-là. Nos langues s’emmêlèrent, un baiser sensuel, langoureux, je ne voulais pas en voir la fin.

  • Veux-tu venir me goûter, sentir l’excitation provoquée ? Je suis sûre que tu vas très bien te débrouiller, allez viens.

M’allongeant sur la table, je me penchais, croupe bien levée face à cet inconnu toujours spectateur de la scène se jouant à quelques pas de lui, je me mis à l’embrasser entre les cuisses, remontant sur son minishort, légère pression de ma bouche sur ses lèvres au travers du tissu bien humide, je pris soin de lui enlever découvrant son mont de Vénus imberbe, dégoulinant, à la senteur envoûtante, je le regardais longuement, je n’avais jamais vu un clitoris et une vulve de si près, j’hésitais à mettre ma bouche, je commençais d’un doigt hésitant à entrouvrir ses lèvres, ses mains sont venues prendre ma tête pour amener mon nez sur son bouton, d’elle-même ma langue se mit à la lécher, j’aimais son goût et découvrais ce que pouvait ressentir un homme lorsqu’il vient à cette place. J’éprouvais de plus en plus de plaisir à la manger de la sorte. Ma langue se promenait tout le long de sa chatte, rentrant par moments dans son intimité puis allant de nouveau sucer son clitoris, elle gémissait sous mes caresses buccales, le soleil me chauffait les fesses, j’écartais les cuisses comme pour donner l’occasion à cet astre brûlant de me chauffer plus loin encore. Prise dans ce tourbillon de sensations, je n’avais pas du tout entendu mon voisin franchir les balcons, et sentis des doigts s’immiscer en moi m’arrachant un petit cri… de surprise. Laissant sa main vaquer, il mit sa verge dans la bouche d’Adéla, je ne cessais de la lécher avec ardeur, elle jouissait enfin dans ma bouche.

L’homme s’assit sur une des chaises, je vins me positionner dessus, à l’envers, mes pieds reposant sur ses cuisses, et doucement fis entrer son sexe dans le mien, et ma douce voisine, accroupie devant moi, se mit à sucer mon clitoris en même temps, ce que je ressentais à cet instant n’a pas de nom. Mon corps ne m’appartenait plus, il devenait un objet sexuel entre ces deux êtres et je ne voulais pas que ça se termine. Elle me quitta quelques instants pour lécher les bourses de monsieur, qui aimait je pense vu le sourire béat venant de s’afficher sur son visage.

  • Un lit serait bien pour continuer les présentations ! me fit-il.

Comme un zombi, incapable qu’était mon esprit à reprendre possession de mon corps, nous sommes partis tous les trois dans ma chambre, elle s’allongea et me fit signe d’entamer un 69 avec elle, pendant que superman ne vous moquez pas il faut bien que je lui trouve un prénom car les présentations sont, jusqu’à présent, bien atypiques. Les hommes en collants ne font, à priori, pas très viril, mais c’est tout ce qui m’est venu dans l’état des choses. Je disais donc que superman est venu derrière moi et entreprit de dilater mon anus avec sa langue, d’abord réfractaire à l’idée, je me laissais très vite persuader. Un doigt fit bientôt son entrée suivi d’un second, enfin trouvant l’entrée assez dégagée à son goût, il mit son gland, le dépucelage légèrement désagréable laissa vite la place à un plaisir fort appréciable, il poussa plus loin les investigations et me sodomisa de sa queue complète, ses bourses venant me tambouriner. Le cumul de cette pénétration, de la langue de cette femme sur ma vulve gonflée et moi suçotant son clitoris me donnait des spasmes de bien-être intense.

Je ne pourrais dire combien de temps ce trio s’est fait, défait et refait dans des positions et dispositions différentes. Nous étions tous les trois enfin repus, nous étions allongés sur mon lit chacune de nous d’un côté, dans les bras de superman, ça fait très cliché, vu comme ça. Pas un mot n’était prononcé, puis le silence se fit pesant.

  • Vincent, salut les filles, très heureux de faire votre connaissance.

Tu penses bien qu’il était heureux, quel homme ne le serait pas !

  • Adéla et…
  • Heu, Sophie… Moi c’est Sophie.

Voilà donc trois corps dotés de prénoms, je proposai à chacun une douche puis ensuite en-cas et boissons, il fallait se remettre de toute cette dépense d’énergie. Nous nous sommes restaurés et avons discuté comme si rien ne venait de se produire, puis ils sont rentrés chez eux, rassurez-vous Vincent est passé par la porte cette fois-ci.