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Visite chez ma belle mère pendant un déplacement professionnel

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J’étais à l’époque en déplacement professionnel, à une centaine de kilomètres de chez moi. J’avais pris l’habitude d’aller dormir un soir par semaine chez mes beaux-parents qui n’habitaient qu’à dix kilomètres de ma zone de travail, pour alléger un peu ma fatigue et les kilomètres.

Ce mardi-là, une fois mon dernier rendez-vous terminé, je prends la direction de leur maison. C’est ma belle-mère, S., qui m’accueille, toujours aussi bien arrangée. Elle porte une jupe et un chemisier blanc semi-transparent qui laisse discrètement entrevoir un joli soutien-gorge à dentelle. Je dois dire que malgré ses formes généreuses, du haut de ses soixante-deux ans, elle a encore largement de quoi attiser la convoitise du jeune homme de tout juste quarante ans que je suis…

Nous sommes en juillet, il fait très, très chaud. S. me dit que son mari est parti ce matin en séminaire pour l’association dont il est le président, et qu’il ne rentrera que le lendemain soir mais que, bien sûr, ma présence ne lui pose aucun problème.

Nous dînons donc tranquillement, et pendant le repas, S. se met, sans aucune arrière-pensée, à me faire des confidences. Je savais que mon beau-père avait été opéré de la prostate l’année précédente mais pas plus, et S. me dit qu’elle commençait à trouver le temps long. Je comprends alors qu’elle n’avait plus de relations sexuelles depuis un bon moment… Je lui dis que moi, de mon côté, ce n’était pas non plus la grosse forme en ce moment avec sa fille. Elle sait que nous avons quelques problèmes et la discussion en reste là.

J’avais passé une journée longue et difficile. Je décide donc d’aller me coucher tôt pour être en forme le lendemain… Je ne mets pas longtemps à m’endormir.

Je dors toujours nu, et la forte chaleur m’oblige à ne me couvrir que d’un simple drap. Je laisse la fenêtre et la porte ouvertes pour laisser filtrer un peu d’air.

D’habitude, je ne suis pas très matinal, mais m’étant couché tôt la veille, je me réveille de bonne heure. Par contre, je sais que ma belle-mère l’est, et sur le coup de 7 heures je l’entends s’affairer dans la maison. Je suis surpris de la voir rentrer dans ma chambre pour prendre de mes nouvelles.

  • Alors, comment va mon gendre préféré, ce matin ? me demande-t-elle.

Je ne sais pas pourquoi, mais ma réponse est immédiate :

  • Ben, comme tous les matins, c’est la grande forme ! en tendant le drap et en regardant vers le bas…

J’ai en effet une gaule pas possible qui déforme complètement le drap à hauteur de mon bas-ventre. Je vois ses yeux se diriger vers la zone en question et s’écarquiller.

  • Oh ben oui, dis-donc, j’aimerais bien que P. tienne la même forme que toi tous les matins ! me dit-elle en rigolant.
  • Si ça peut vous rendre service, je veux bien me dévouer ! lui dis-je aussi en rigolant.

Sauf qu’elle n’a pas pris ça à la rigolade. Je vois ses tétons commencer à pointer sous sa robe de chambre moulante rose bonbon.

  • Ce n’est pas très sérieux ! me rétorqua-t-elle en s’asseyant sur le bord du lit…
  • Si personne ne l’apprend, il y a pas de mal à se faire du bien, non ? Et puis… je vous rappelle que c’est juste pour vous rendre service !

Je lui prends la main et la dirige sous le drap :

  • Mais avant de s’y coller, il faut bien tâter la marchandise…

Sa main ne se fait pas prier pour mieux se rendre compte de ma forme matinale.

  • Ooooh, mais qu’est-ce qu’elle est grosse ! P. n’est pas aussi bien équipé… Je confirme, oui, tu tiens une sacrée forme ce matin ! me confie-t-elle en commençant à branler ma queue toute gonflée de désir.

Je prends conscience que je vais enfin réaliser un vieux fantasme et mon excitation n’en est que décuplée… Voyant qu’elle ne se décide pas, je prends les choses en main, je soulève le drap en lui montrant la bête. Elle écarquille à nouveau les yeux en me disant :

  • Hhhhhhmmmmmm, qu’est-ce qu’elle est belle !

Je lui fais ôter sa robe de chambre et la fais allonger près de moi, ses seins sont beaucoup plus gros que ce que je pensais, pour mon plus grand bonheur ! Je dirige ma langue vers ses tétons, je les sens durcir, ils deviennent énormes, quel bonheur de pouvoir les titiller, les sucer, les dévorer, les engloutir dans ma bouche, j’en rêvais depuis si longtemps. Ses gémissements deviennent de plus en plus forts. Je sais, grâce à certaines allusions, que son mari n’avait pas le droit à la petite gâterie car elle n’aimait pas trop ça, ce qui m’excite encore davantage !

J’amène mon sexe à hauteur de ses seins, elle commence à les resserrer pensant que je voulais une petite cravate de notaire en guise d’apéritif, mais moi c’est un amuse-gueule que je lui propose ! Lentement j’amène mon membre à hauteur de sa bouche pour voir sa réaction, elle se montre un peu réticente en tournant la tête et grimaçant, pour la convaincre complètement, je lui souffle qu’il y a longtemps que j’en rêve secrètement, du coup elle entrouvre sa bouche, j’en profite pour forcer l’entrée de cet antre que j’ai souvent eu envie de pénétrer.

J’y vais progressivement, ça y est mon gland est maintenant entièrement dans sa bouche, je ferme les yeux, quel bonheur ! Il faut que je fasse attention car je sens que mon excitation est telle que je suis prêt à exploser à tout moment. Je vais maintenant un peu plus vite en m’enfonçant un peu plus profondément, elle semble apprécier et gobe maintenant mon sexe comme une morte de faim. Quelle joie de me faire pomper par belle-maman !

J’en profite pour voir un peu plus bas ce qui se passe, j’insinue un doigt le long de son sexe, mon dieu… elle est déjà toute trempée, il va absolument falloir faire quelque chose !

Je me positionne immédiatement de manière à la satisfaire, elle écarte maintenant largement les cuisses… si sa fille nous voyait, dans son lit en plus. Elle prend mon sexe qu’elle dirige vers l’entrée dégoulinante de son vagin. Ses mains se posent immédiatement sur mon bassin comme pour m’inviter à lancer la cadence…

Je rentre tout entier et très facilement en elle, je ne vous raconte pas à quel point c’est bon, je la sens toute humide, mes lents va-et-vient se font de plus en plus rapides, ses gémissements s’accélèrent en même temps que mes mouvements. Elle glousse de bonheur et ses mains m’invitent à aller de plus en plus vite, je ne me fais pas prier pour lui infliger une cadence qui devient peu à peu infernale. Je n’aurais jamais pensé prendre autant de plaisir à lui en donner, justement. Je sens qu’il ne va pas être facile de me retenir. Au bout de quelques minutes, je suis à nouveau au bord de l’explosion, je me retire et m’allonge à côté d’elle comme pour l’inviter à me chevaucher. Elle comprend vite mon intention et, à peine retournée, la voilà sur moi, j’ai la queue bien raide, et je la sens se positionner au mieux au-dessus de mon pieu pour mieux l’engloutir.

Ça y est, elle vient s’empaler d’un coup sur la colonne de chair, je la laisse faire au début, ses premiers mouvements sont maladroits mais ses grosses fesses trouvent vite un rythme approprié à la situation, elle se remet à glousser, c’est indescriptible… tellement bon. Je la laisse quelques minutes prendre son plaisir, ses seins se promènent devant ma bouche, je ne mets pas longtemps à attraper un de ses tétons que je gobe goulûment, elle tend un peu plus son buste et se tourne légèrement, il semble que l’autre soit jaloux…

Pendant ce temps, je reprends les devants enfin… façon de parler ! Mes mains quittent ses hanches pour venir se positionner sur ses grosses fesses. Et je commence à imprimer une nouvelle cadence qui la fait réagir immédiatement. J’en profite pour glisser un doigt à l’entrée de son arrière-garde. Là aussi j’avais rêvé mille fois que je visitais cet endroit intime…

Surprise, elle se soulève un peu et j’essuie un semblant de refus, mais je ne lâche pas, j’insiste et j’arrive à mes fins en introduisant petit à petit le majeur tout entier. Je sens qu’elle y prend goût, je la défonce littéralement, le lit craque de partout, ses gémissements se transforment en hurlements, je vais de plus en plus vite, je la sens bientôt atteindre le septième ciel, je n’en peux plus, je lâche quasiment un mois d’abstinence, la semence part d’un coup dans son vagin, les longs jets chauds sont interminables – mémorable !

L’étreinte terminée, nous nous affalons chacun de notre côté, éreintés, et mettons quelques minutes à reprendre nos esprits et nous remettre de ces efforts intenses. Lorsqu’elle se lève, elle me remercie pour ce moment de bonheur en me faisant un gros bisou baveux sur la bouche.

Une fois cette fantastique chevauchée terminée, c’est l’estomac que nous allons maintenant nous remplir !

Je me promets, la prochaine fois que je viendrai voir belle-maman, de rentrer par la porte de derrière…