Avec mon neveu
Je commence par me présenter : je m’appelle Marie-Dominique (Mado pour les intimes), j’ai 56 ans, suis célibataire et, sans me vanter, je suis assez "bien conservée". Dans ma vie, j’ai connu plusieurs hommes, mais seule ma dernière aventure sexuelle mérite à mes yeux d’être racontée, et pour deux raisons. Tout d’abord, c’était avec mon neveu Vincent qui a 31 ans, et ensuite de par les circonstances qui ont mené à l’acte.
En règle générale, je vois Vincent deux à trois fois par an, notamment pendant les vacances d’été dans le sud de la France où la famille a une maison. Il faut savoir avant tout qu’avec la famille, je ne suis pas très pudique et, sans être exhibitionniste, je n’ai jamais été obnubilée par le fait de cacher ma nudité : il m’arrive de me changer avec la porte ouverte, je ne ferme jamais à clef celle de la salle de bains, etc. Depuis plusieurs années déjà, j’avais cru remarquer que Vincent me regardait avec envie et cherchait régulièrement à me voir nue. Par exemple, il était le seul à rentrer à l’improviste dans la salle de bains quand je prenais ma douche, en feignant de croire qu’il n’y avait personne, ou à passer devant la porte entrouverte de la chambre pendant que je me changeais.
De mon côté, je faisais comme si je ne remarquais pas ses manœuvres, mais quand j’en ai pris conscience, cela m’a bien plu. Je savais qu’il n’était pas si rare que cela qu’un jeune homme fantasme sur une de ses tantes et j’étais évidemment flattée, puis excitée par la situation. Si bien que, lorsqu’il arrivait que "fortuitement" il tombe sur moi à poil, je tentais de paraître la plus naturelle possible tout en essayant de lui montrer tout ce qu’il voulait voir ! De plus Vincent est assez rigolo, nous blaguions souvent tous les deux, et régulièrement sur des sujets tendancieux, avec des allusions orientées sur le sexe. Mais cela ne restait que des blagues.
Ce manège a duré pendant plusieurs années et m’excitait beaucoup, si bien que j’avais de plus en plus envie de me taper mon neveu. Je supposais bien que c’était réciproque. Malheureusement, je ne voyais Vincent qu’avec la famille, ce qui ne me laissait aucune possibilité de risquer quoi que ce soit. Sans compter qu’il restait possible que je me fasse des idées, et je n’ose imaginer le scandale si j’avais tenté ouvertement (même seule à seul avec lui) de lui faire des avances plus poussées ! Pendant tout ce temps, quand je pensais à lui, je m’imaginais des moyens réalistes pour arriver à mes fins. Le premier impératif était évidemment que nous ne devions être que tous les deux. Ce qui n’était déjà pas facile car nous n’habitons pas la même région, et il fallait trouver un prétexte sans que ce soit explicite, au cas où je me serais méprise sur ses envies… Ensuite, comme certaines de nos blagues avaient tendance à m’échauffer, je me disais que cela pourrait être un moyen d’y arriver : une plaisanterie qui ne s’arrêterait pas "à temps" et qui irait jusqu’au bout. L’avantage étant bien sûr que, si je m’apercevais que je m’étais trompée sur ses intentions, je pourrais à tout moment prétexter que « ce n’était qu’une blague… »
Je n’avais pas encore trouvé le prétexte pour qu’on puisse se voir quand je l’ai appelé pour son anniversaire. Pendant notre conversation téléphonique, je lui ai parlé des vacances d’été, et lui ai demandé si on le verrait. Il m’a répondu par l’affirmative en disant qu’il comptait y aller en voiture (d’habitude, tout le monde y va en avion ou en train). Je lui ai demandé s’il serait seul en voiture, et il m’a répondu oui. J’ai donc saisi l’opportunité en lui proposant de faire coïncider nos dates et d’y aller ensemble, ce qui l’obligerait à faire un détour par chez moi. Il a accepté la proposition. Sur le moment, mon idée était qu’il s’arrête une nuit chez moi et que nous repartions le lendemain. Je le lui ai donc proposé, expliquant que ça pourrait éviter de faire trop de route d’un seul trait et, comme je l’espérais, il a trouvé l’idée intéressante.
Le voyage était prévu plusieurs mois plus tard, mais il fallait que je profite de cette occasion. Pendant les mois qui ont suivi, je repensais sans cesse à cette opportunité, en m’imaginant que, de son côté, il la voyait également comme une chance. Le jour en question enfin venu, Vincent devait arriver chez moi le soir. Tout d’abord, je l’ai attendu en surveillant son arrivée par la fenêtre. Dès que je l’ai vu, je me suis vite mouillée dans la salle de bains, me suis juste couverte d’une serviette et je l’ai accueilli ainsi en arguant que je sortais tout juste de la douche. Je l’ai fait entrer et nous avons échangé quelques mots.
De plus, j’avais passé une commande par correspondance quelques jours auparavant de lingerie et maillots de bains et j’avais volontairement laissé le colis fermé dans l’entrée afin de faire croire que je venais de le recevoir le jour même. J’ai pris le carton tout en discutant et me suis dirigée vers le salon pour l’ouvrir. J’ai ouvert le carton et sorti les articles devant lui en comptant sur lui pour qu’il me demande "en plaisantant" de les essayer tout de suite. Il a mordu à l’hameçon et j’ai accepté "sa" proposition. Puis, tout en discutant afin qu’il me suive, je me suis dirigée vers ma chambre. J’ai posé les affaires sur le lit et j’ai retiré la serviette le plus naturellement du monde, tandis que mon neveu restait debout à la porte.
Je continuais à parler pour qu’il ne s’éloigne pas et j’ai enfilé un maillot de bain deux pièces. J’essayais de ne pas en faire trop quand même, mais après tout c’était lui qui m’avait proposé l’essayage ! Puis j’ai retiré le premier maillot avant d’ouvrir le paquet suivant. Je prenais mon temps (notre conversation justifiant que je fasse des pauses dans mes actions), afin qu’il profite du spectacle. J’ai alors enfilé un deuxième maillot en lui demandant de m’aider à attacher le haut afin qu’il rentre dans la chambre, ce qu’il a fait. Je l’ai poliment invité à s’asseoir sur le lit et il ne s’est pas fait prier. De cette hauteur, il pourrait encore mieux profiter du panorama ! Vincent essayait de me regarder dans les yeux au maximum : il ne pouvait évidemment pas fixer le corps de sa tante trop ouvertement.
J’ai donc retiré ce maillot ; il me restait deux slips en dentelle assez sexy à essayer. Je les ai saisis et, en les plaçant l’un après l’autre devant mon pubis, j’ai demandé à Vincent par lequel il voulait que je commence. Je regardais mes slips que je continuais à amener tour à tour devant mon sexe. En agissant ainsi, j’incitais Vincent à baisser le regard afin qu’il puisse jouir de la vue sans embarras. Il commençait à prendre la chose avec plaisir et feignait exagérément l’hésitation sur le ton de la plaisanterie :
- Je ne sais pas… Fais voir l’autre, Mado… Non, le premier… J’hésite…
Etc.
J’encourageais évidemment la blague en rigolant et en rentrant ouvertement dans son jeu. Je lui ai alors tendu les dessous en disant :
- Tiens, je te laisse réfléchir !
Puis je suis restée debout devant lui tandis qu’il tendait mes slips successivement vers moi pour les placer lui-même devant mon sexe tout en continuant ses pseudo hésitations. J’étais ravie de la tournure que prenait la situation : son attirance pour moi, ainsi que mon exhibitionnisme, pouvaient maintenant passer pour un jeu, totalement consenti par nous deux, ce qui lui permettait désormais de me mater sans timidité ni malaise. Et j’imaginais bien que ce manège pouvait aller plus loin. Mon neveu a tout de même fini par me tendre un slip en disant :
- Allez ! Essaye celui-là !
Ce que j’ai fait en demandant ce qu’il en pensait et il a répondu :
- Très sexy !
Puis je l’ai retiré pour enfiler le dernier et Vincent a dit :
- Très sexy aussi !
Je l’ai retiré également pour le poser sur le lit. Sur le coup j’étais assez excitée, et je pense qu’il l’était aussi, mais je ne savais pas trop quoi faire pour que la situation s’intensifie. Malgré ma quasi-certitude qu’on avait tous les deux aussi envie l’un que l’autre de finir au lit, il restait tout de même un soupçon de doute et de gêne dus à nos liens familiaux. J’ai quand même tenté le coup :
- J’aurais bien d’autres petites choses sympas mais elles sont dans la valise !
Et Vincent m’a encouragée à continuer :
- Une valise, ça se défait et ça se refait !
J’ai alors pris ma valise que j’ai posée par terre et me suis placée de manière à être dirigée vers lui puis, pour l’ouvrir, je me suis accroupie face à la valise en écartant les jambes de manière à ce qu’il ait une belle vue plongeante entre mes jambes. J’ai pris une petite culotte en soie, je me suis relevée, l’ai enfilée et j’ai dit :
- Elle n’est peut-être pas aussi "sexy", mais c’est de la soie !
Je me suis approchée de lui afin de l’inciter à la toucher. Il a compris et a caressé mon slip au niveau de mes fesses en disant :
- Waouh ! C’est doux !
À ce moment-là, j’ai eu une meilleure idée ; j’ai dit :
- J’en ai une autre en soie dans un tiroir.
Vincent était justement assis face à ma commode. Je me suis donc placée juste devant lui, de dos, puis me suis baissée pour ouvrir le tiroir du bas. Je lui présentais donc mes fesses bien en arrière, à quelques centimètres devant lui, et mon neveu en a profité pour y remettre la main afin de caresser ma culotte. Je faisais exagérément semblant de ne pas trouver ce que je cherchais en disant :
- C’est bizarre, j’étais sûre qu’il était là…
Et Vincent a enchaîné :
- C’est pas grave, prends ton temps.
Il caressait maintenant mes fesses des deux mains tandis que je continuais à "chercher". Après un petit moment, j’ai pris un string en soie et je me suis relevée en disant :
- Ah ! Le voilà !
J’ai alors retiré ma culotte et enfilé le string, puis je me suis placée face à lui, les jambes légèrement écartées, en disant :
- C’est aussi de la soie !
Je l’encourageais ainsi à le caresser mais cette fois-ci, comme c’était un string, il n’avait d’autre choix que de le caresser au niveau de mon pubis. Il ne s’est pas fait prier et a posé sa main dessus pour le toucher. J’ai demandé :
- Alors ?
Et Vincent a répondu :
- Je pourrais rester comme ça toute la soirée !
J’ai alors dit :
- À ce moment-là, il vaut mieux que je m’assoie !
Et, joignant le geste à la parole, je me suis assise sur ses genoux, de profil, les jambes un peu écartées. Mon neveu continuait à caresser mon string en amenant de plus en plus sa main entre mes jambes. Comme je me laissais faire, il insistait de plus en plus avec son majeur au niveau de mon vagin tandis que je l’encourageais en écartant un peu plus les jambes. Son doigt s’est alors faufilé sous mon string pour se glisser dans mon vagin. Puis il a remonté sa main le long de mon pubis pour la rentrer ensuite tout entière dans mon string, et il a repris ses attouchements de plus belle. J’ai mis ma tête en arrière en bombant le torse afin de lui faire comprendre qu’il pouvait continuer autant qu’il le voulait, et il en a profité pour me lécher les seins et me sucer les tétons tout en continuant à me masturber.
Quelques instants après, il a retiré sa main et a passé son bras sous mes jambes pour me soulever et me poser sur le lit. Il a saisi mon string qu’il a retiré, puis il m’a écarté les jambes et s’est baissé pour m’embrasser l’intérieur des cuisses, en remontant lentement vers mon sexe qu’il a d’abord embrassé, puis léché délicatement. Il a ensuite amené sa main pour introduire un doigt dans mon vagin tout en continuant de me lécher le clitoris. J’étais dans un état d’excitation incroyable. J’avais rêvé de baiser avec mon neveu et il était en train de me faire un cunnilingus magnifique. Et il était tellement doué qu’il m’a fait jouir.
Je me suis alors redressée et l’ai incité à s’allonger. Je lui ai défait son pantalon que j’ai baissé en embarquant son caleçon avec. Il était en érection et j’ai saisi son sexe que j’ai d’abord massé doucement, puis je me suis baissée pour lui faire une fellation. Je l’ai sucé pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. J’ai avalé tout le sperme qui sortait en continuant à lécher jusqu’à la dernière goutte, puis je me suis allongée à côté de lui sur le lit. J’aurais aimé continuer tout de suite, mais Vincent avait perdu son érection. J’ai donc proposé qu’on dîne. Nous nous sommes habillés et sommes allés manger. Pendant le repas, nous n’avons pas parlé de ce qui venait de se passer, mais nous avons tout de même plaisanté sur des sujets assez grivois. Après le dîner, je lui ai demandé :
- Tu veux dormir dans ma chambre, cette nuit ?
Et il a répondu :
- Avec plaisir !
Puis nous sommes allés dans la chambre. Nous nous sommes déshabillés tous les deux, et mon neveu s’est approché de moi pour me caresser les seins, puis il a baissé une main pour me toucher le sexe. De mon côté, j’ai saisi le sien pour le masturber doucement, puis il m’a poussée doucement vers le lit pour que je m’y allonge. Il m’a écarté les jambes puis, une nouvelle fois, m’a gratifiée d’un merveilleux cunnilingus. Et il a de nouveau réussi à me faire jouir ! Puis il est remonté doucement le long de mon ventre, puis de mes seins qu’il a léchés et sucés, et il a amené son sexe vers le mien pour me pénétrer. Il avait retrouvé une érection parfaite. Nous avons d’abord fait l’amour dans cette position pendant un moment, puis il m’a incitée à me retourner et il m’a prise en levrette en me caressant alternativement les seins et le clitoris. Il était vraiment doué et je sentais qu’il en voulait au moins autant que moi. Après un moment, je l’ai invité à s’allonger et je l’ai chevauché pour m’asseoir sur son sexe. Je faisais des petits mouvements de bassin qui semblaient lui plaire énormément pendant qu’il me caressait les fesses et m’embrassait les seins, jusqu’à ce qu’il éjacule en moi.
Nous avions enfin eu ce que nous voulions tous les deux depuis un moment sans jamais oser nous l’avouer jusque là.
Nous avons donc dormi ensemble cette nuit-là. Le lendemain, nous nous sommes offert un 69 avant de baiser une nouvelle fois, puis nous sommes partis sur la route des vacances. Nous avons réussi à refaire l’amour une seule fois, pendant ces vacances, en trouvant un moyen de nous retrouver seuls quelques heures. Depuis, je ne l’ai pas encore revu, mais j’aimerais qu’il ait encore envie de moi et que nous recommencions.