Incroyable voyage au Maroc avec ma belle-mère
Samedi 16 h 30
Le voyage s’était bien passé et nous étions arrivés à l’aéroport de Marrakech en plein après-midi de juillet. Les vacances commençaient vraiment mais avec une légère déception. En effet, nous avions prévus de passer ce séjour avec ma compagne et sa famille pour les cinquante ans de sa mère mais elle avait dû renoncer à ses vacances à cause de son travail où elle avait eu une promotion peu de temps avant le départ et son patron avait été clair : pas de vacances pour elle si elle voulait son nouveau poste.
Je me retrouvais donc avec son frère de 17 ans et sa mère Chantal. Malgré tout, j’étais très content de ces vacances et surtout de les passer avec ma belle-mère que je trouvais superbe et qui avait été à l’origine de fantasmes inavouables…
Chantal venait d’avoir 50 ans, un visage radieux, brune, les cheveux mi-longs légèrement ondulés. Elle mesurait dans les 1,65 m et pour un poids d’environ 50 kg. Pour tout vous dire, elle n’avait rien à envier aux jeunes filles de 20 ans et possédait surtout une belle poitrine. Ses tenues près du corps avaient du mal à contenir son 95C, pour mon plus grand bonheur. Pour le voyage, elle avait opté pour une tenue légère, petit short qui mettait en valeur ses jambes déjà légèrement bronzées et un petit haut sans manche avec un grand col en V mettant en valeur sa généreuse poitrine. D’ailleurs, pendant les 2 h de vol, je peux vous dire que je ne me suis pas gêné pour y plonger mon regard ou frôler ses cuisses. J’avais peur qu’elle s’en aperçoive mais la promiscuité des sièges dans l’avion était mon alibi si jamais elle devait me faire une remarque.
Pour me présenter j’ai 35 ans, 1,75 m, 65 kg, cheveux courts et j’entretiens régulièrement mon corps, mais sans excès. Je ne suis ni beau ni moche, juste dans la moyenne. Et très attiré par les femmes mûres dont j’avais déjà eu de nombreuses conquêtes, jusqu’à ce que je rencontre ma femme. Et depuis, Chantal était devenue mon fantasme, ceci renforcé par le fait que c’était une femme qui n’arrivait pas à se caser à cause de son fort caractère. Mais cela ne l’empêchait pas de rencontrer des hommes. D’ailleurs, au cours des six ans passés avec ma femme, elle nous en avait présentés une dizaine officiellement, voire le double officieusement…
Arrivés au Club, une heure plus tard, nous avons été accueillis par un responsable pour un petit briefing des activités et du fonctionnement de l’établissement, puis nous avons pris possession de nos chambres dans des petits bâtiments imbriqués les uns dans les autres. J’avais une simple chambre avec un lit double alors que ma belle-mère et son fils avaient une sorte de petite suite. Leur chambre était en forme de L avec un lit double à chaque extrémité et la salle de bain en son centre. Ils avaient aussi à leur disposition un balcon avec des chaises longues.
Après avoir rangé nos affaires, nous avons décidés de commencer les vacances par la piscine ! Quel plaisir de voir Chantal en bikini, et quel plus grand plaisir encore que de s’être chamaillés dans l’eau pendant cinq minutes à se faire tomber, à se couler, de voir ses seins bouger au rythme de ses mouvements. Car, malgré ses 50 ans, elle avait l’esprit jeune, nous le répétait souvent, et je m’entendais très bien avec elle. Elle aimait plaire et je la soupçonnais de savoir qu’elle ne me laissait pas indifférent !
Puis la journée se termina et nous allâmes nous coucher.
Dimanche, 9 h
Après une petite toilette je suis allé chercher ma belle-famille dans leur suite mais je remarquai très vite que l’ambiance était électrique ! Ma belle-mère reprochait à son fils d’être sorti voir ses nouveaux copains, d’être rentré tard, de l’avoir réveillée et, pour finir, d’avoir ronflé, ce qui l’avait totalement empêchée de dormir. Elle était d’une humeur massacrante, et mon beau-frère ne se dérangeait pas de lui répondre sèchement, ce qui dégradait encore plus la situation.
Après avoir discuté brièvement avec les deux, je leur proposai, non sans intérêt, de laisser ma chambre à mon beau-frère et de prendre sa place. Comme ça, celui-ci aurait son indépendance et pourrait faire ce qu’il veut et ma belle-mère pourrait être tranquille. Mon idée fut accueillie comme le remède miracle et avant d’aller prendre notre petit déjeuner nous changeâmes nos affaires de place.
Pour la journée un seul mot d’ordre : bronzette ! Chantal voulait absolument rentrer en France, noire comme un gâteau au chocolat, pour en mettre plein la vue à ses copines de boulot ! La journée se passa normalement, allongés sur une chaise longue, à boire des cocktails et à faire quelques tours dans la piscine.
Enfin presque normalement, si ce n’est les deux fois où elle m’a demandé de lui mettre de la crème solaire. La première fois, c’était uniquement dans le dos. Elle avait la peau douce et c’est avec plaisir que j’ai accepté sa demande, m’appliquant minutieusement à l’étaler sur son dos. Mais la deuxième fois, elle m’a dit d’en mettre aussi sur ses jambes. Quel bonheur d’étaler la crème sur ses cuisses en m’arrêtant au bord de ses fesses, de redescendre puis de remonter mes mains… Mais cela étant, j’ai commencé à avoir une belle érection, et après avoir fini je suis vite parti piquer une tête, histoire de refroidir mes ardeurs !
Tout au long de la journée, mon beau-frère s’est amusé à draguer toutes les filles qu’il croisait et ma belle-mère à râler sur le fait qu’il n’y avait pas d’hommes à son goût ou que ceux qui auraient pu l’être étaient déjà accompagnés de « pouffiasses ». J’en rigolais intérieurement et j’en profitais pour la mater au maximum et faire de jolies photos !
Le soir, après le repas, sur le coup des 23 h, Chantal est partie se coucher et je l’ai suivie un quart d’heure plus tard, après avoir salué un couple qui avait partagé notre soirée.
Lorsque je suis rentré dans la chambre, ma belle-mère était en train de prendre sa douche, porte fermée, à mon plus grand désespoir ! Je me suis allongé sur mon lit et ai attendu qu’elle finisse. Elle est sortie de la douche vêtue d’une légère petite nuisette lui arrivant à mi-cuisse et avec un sourire m’a dit :
- C’est bon, tu peux y aller !
- Ok.
Je me suis levé et dirigé vers la salle de bain tout en la regardant ranger des vêtements dans sa valise. La nuisette était légèrement remontée, je voyais son joli cul, et je pus remarquer qu’elle était totalement nue en dessous !
Dans la salle de bain, j’avais une folle envie de me caresser mais je me retins et après une bonne douche, je ressortis, une serviette autour de la taille. J’avais pour habitude de dormir nu et je faisais attention de me couvrir, n’étant pas seul.
- Dis-moi, je crois que j’ai pris un bon coup de soleil, tu peux me mettre de la crème hydratante s’il te plait ?
- Euh oui, mais là, j’ai juste ma serviette !
- T’inquiète pas elle tombera pas, et puis c’est juste pour me passer un peu de crème !
- Ok, j’arrive
- Attends retourne-toi deux secondes, j’enlève ma nuisette. Ok, c’est bon !
Elle était couchée sur le ventre, nue avec juste son drap qui couvrait ses jambes et ses fesses. Je m’assis à côté d’elle sur le lit et je commençai à soulager son dos avec le lait hydratant.
- Vous ne le direz pas à votre fille, sinon ça va être la crise ! lui dis-je en rigolant.
- Non, t’inquiète pas, je dirai rien, et puis ce qui se passe au Maroc reste au Maroc ! me répondit-elle
- En tout cas, vous avez une peau très douce.
- Merci, mais je suis une vieille, dit-elle avec un sourire.
- Mais non, vous êtes encore très belle.
- Pfff… tu parles, aucun homme veut de moi.
- Gardez confiance ! Je vous le répète, vous êtes encore très belle et très désirable, et je suis sûr qu’il y a plein d’hommes qui rêveraient d’être à ma place !
- Merci, c’est gentil…
Oh oui, elle était désirable et même tellement désirable que je commençais à bander. J’avais son corps nu à quelques centimètres de moi et mes mains lui passaient de la crème, caressant ses reins, glissant jusqu’à sa nuque puis descendant sur les côtés où mes doigts effleuraient ses seins…
Arrivant à la fin, ni tenant plus et connaissant le désert sexuel de ma belle-mère depuis quelques semaines, qu’elle m’avait avoué dans l’après-midi, je décidai de passer à l’offensive.
- Voilà, c’est fini mais je vous trouve un peu tendue, je vais vous faire un petit massage !
Et, sans attendre sa réponse, je me mis au-dessus d’elle, décalant légèrement le drap. J’étais donc au-dessus de ses fesses, avec ma serviette comme seul rempart. Je commençai à lui masser tout doucement le dos.
- Euh… d’accord. T’es sûr de savoir masser ?
- Mais oui, ne vous inquiétez pas, votre fille me le demande souvent.
- Bon d’accord, en tout cas ça fait du bien !
J’avais son corps entre mes mains, je massais son dos, sa nuque, ses reins. Chantal avait les yeux fermés et semblait apprécier mon massage.
- Humm, c’est vraiment bon, me dit-elle, si j’avais su que tu étais si doué, je t’aurais demandé ça avant !
- Ravi que vous aimiez ! Je suis à votre disposition quand vous voulez !
Je faisais tout pour que le massage soit le plus sensuel possible, glissant par moment sur le bord de ses seins ou m’arrêtant au début de ses fesses. Je bandais comme un taureau et ce qui devait arriver arriva : la serviette glissa. Pendant une seconde, je fus paralysé de peur qu’elle s’en aperçoive puis, sans réaction de sa part, je continuai.
Deuxième peur lorsque mon gland vint toucher ses fesses mais, là non plus, toujours pas de réaction. Je continuai le massage puis je me dis qu’après tout, qui ne tente rien n’a rien, et que je n’avais rien à me reprocher, alors je m’assis sur elle, coinçant ma queue entre ses fesses.
- Humm, c’est vraiment un bon massage ! Ça fait longtemps que je n’en avais pas eu un aussi bon ! dit-elle.
Feu vert ! Tout en la massant je me penchai sur elle et l’embrassai dans le cou. Elle se releva sur ses coudes et tout en lui mordant le lobe de l’oreille, je saisis ses seins. Je vis une de ses mains glisser sous son ventre. Elle commença à se caresser. Elle ronronnait de plaisir… Puis au bout de deux à trois minutes, je me relevai, reculai un peu et mis mes mains sur son cul tout en présentant mon gland à l’entrée de sa chatte rasée.
- Non arrête ! Il ne faut pas !
- Quoi ?
- Arrête ! On est allé trop loin !
- Mais pourquoi ? Vous vous caressez, vous en avez envie, et moi aussi ! Alors pourquoi arrêter ?
- Non arrête, je n’aurais pas dû succomber, tu es mon gendre, on ne peut pas !
- Mais tout à l’heure vous avez dit que tout ce qui se passe au Maroc reste au Maroc !
Nous n’avions pas bougé ; mon gland était toujours à l’entrée des lèvres gonflées de sa chatte et je savais qu’elle en avait envie autant que moi. Alors je pris mon sexe d’une main pour le guider et je le fis entrer d’un seul coup dans sa chatte humide.
- Argh ! Putain le salaud, il me la mise d’un coup !
Et je commençai un va-et-vient de plus en plus rapide.
- Ah ah ah… stop !…. ah ah ah… arrête, il ne faut pas !
- Oh non, c’est trop bon, vous êtes trop bonne !
- Et si quelqu’un l’apprend, je serais morte de honte !
- Rassurez-vous, personne n’en saura rien !
Quel plaisir de fourrer ma belle-mère ; elle était allongée sur le ventre et j’étais droit sur mes genoux. Je tenais ses fesses et je voyais mon sexe écarter ses lèvres, par moment je m’amusais à le sortir entièrement pour le rentrer d’un coup ce qui à chaque fois lui arrachait un « argh… » de plaisir. D’ailleurs, je remarquai que sa honte avait laissé la place au plaisir, Chantal appréciait le traitement que je lui infligeais.
- Ah oh… ah oh… vas-y, continues… ah ah ah…
- Oh, belle-maman, c’est trop bon !
- Oui… ah ah… vas-y… ah ah… baise-moi… baise ta salope de belle-mère !
- Humm… elle est bonne ma queue ?
- Ah ah ah… oui elle est bonne… ah ah ah… vas-y plus fort !
Je voyais Chantal sous un autre jour et je n’aurais jamais imaginé qu’elle soit si crue dans ses paroles et si chaude. Je baisais ma belle-mère avec un plaisir immense que je n’avais pas ressenti depuis très longtemps. Allongé sur elle, je lui caressais les seins, pinçant ses tétons. J’embrassais son dos, son cou, puis, à un moment, elle a tourné la tête pour un premier baiser. Tout en étant au plus profond de son intimité nos langues dansaient ensemble. Quel délice !
Floc, floc, floc, floc… j’y allais de plus en plus vite et de plus en plus fort !
- Oui… ah ah ah… continue… ah ah ah… ça vient… ah ah ah… je vais jouir… ah ah ah
- C’est bon de se faire baiser par son gendre ?
- Ouiiii… c’est trop bon, putain ça vient… ah ah… continue… ah ah ah…
Quelle santé, la belle-mère ! Je commençais à être essoufflé quand, tout à coup, elle jouit dans un long râle.
- Aaaaaaaaaaaaaah ouiiiiiiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaaah !
Quelques instants après, je ralentis le rythme puis me retirai, le sexe encore fièrement dressé. Je n’avais pas encore joui mais je voulais surtout goûter à sa jouissance. Je la fis se retourner sur le dos et je vis un radieux sourire sur son visage, même si elle avait un peu de mal à reprendre ses esprits. Elle comprit ce que je voulais faire et écarta elle-même les cuisses. J’avais devant mon visage sa belle chatte rasée aux lèvres gonflées de plaisir. Après avoir écarté ses lèvres, je commençai à titiller son clitoris dur avec mes doigts puis ma langue prit le relais. Elle posa ses mains sur ma tête pour plaquer mon visage sur son sexe lisse et m’encourager.
- Oui, oui, encore, caresse-moi encore… ah ah ah… Vas-y, lèche-moi, bien mon bébé… ah ah ah…
Mes doigts tournèrent autour de son clitoris, l’effleurèrent puis retournèrent dans son ventre, d’abord un puis deux, ils fouillèrent sa chatte avec des mouvements de va-et-vient… j’enfilai ma langue en elle… je sentis sa substance chaude et visqueuse. Je regardai son corps de femme mature se cambrer, les cuisses grandes ouvertes, obscène et belle à la fois… je la regardai gémir.
Ma langue fouilla entre ses lèvres, joua avec son clitoris, baisa cette belle chatte si agréable…
- Oh c’est bon ce que tu me fais…ah ah ah…continue, ah ah ah…
Très vite elle eut un orgasme qui secoua son corps par saccades… elle jouit une deuxième fois, la tête en arrière…
Je me relevai et la pénétrai de nouveau pendant qu’elle continuait à jouir. Je vis ses seins bouger au rythme de mes coups, je m’empressai de les caresser, je vins les lécher, je mordillai les tétons ce qui décupla son plaisir, je la pilonnai de plus en plus fort, de plus en plus vite. Elle entoura ses jambes autour de mon bassin pour que je reste bien en elle. Nous nous embrassions goulûment, mon corps était plaqué contre le sien, je sentis que j’étais au bord de l’orgasme, je lui pris ses fesses et j’accélérai encore le va-et-vient.
- Ah ah ah….ça vient, je vais jouir !
- Oui… ah ah ah… vas-y, jouis en moi… ah ah ah… vas-y, remplis-moi bien… ah ah ah…
- Ouiiiiiii… je jouis… aaaaaaaah !
Je sentis mon sperme chaud se répandre par saccades au plus profond de son vagin.
Je me retirai, puis elle vint se lover contre moi, tout en remontant le drap.
- Ce n’est pas bien, ce qu’on a fait ! me dit-elle avec un grand sourire.
- Oui, peut-être mais c’était tellement bon et puis j’avais tellement envie de vous, belle-maman !
- Oui, moi aussi j’en avais envie, mais…
- Rassurez-vous, personne n’en saura rien !
- Oui, je te fais confiance, c’est pour ça que j’ai décidé d’en profiter toute la semaine.
- Ouah ! Je vais être un homme heureux ! dis-je en rigolant
- Et moi, une femme comblée !
Nous nous embrassâmes un long moment tout en nous caressant, puis Chantal prit l’initiative d’aller prendre une douche en m’invitant à la rejoindre.
Sous la douche, nous étions collés tous les deux à nous savonner mutuellement. Mes mains parcouraient tendrement son corps, passant avec insistance sur ses seins, jouant avec ses tétons, je caressais son cul, sa chatte. On s’embrassait avec passion, et ses mains ne restaient pas inactives non plus. Je recommençai à bander, elle le remarqua et prit ma queue dans sa main tout en me caressant les boules.
- Humm, je te fais tant d’effet que ça ?
- Oh oui, belle-maman, vous êtes superbe et très désirable !
Tout en me caressant la queue elle s’amusa à la faire frotter contre sa chatte puis, une fois rincée, elle s’accroupit. Quelle vue superbe de voir mon sexe devant son visage. Je n’osais y croire, et pourtant elle ouvrit la bouche et tout en me regardant avec envie, elle engloba mon sexe. Sa langue tournait autour de mon gland et, tout en me suçant, elle me masturba la queue.
- Oh oui, c’est bon, continue Chantal, suce-moi bien !
Je lui ai pris la tête, j’ai commencé un léger va-et-vient. Je baisais ma belle-mère par la bouche. Tout en me suçant avec frénésie, elle se caressa la chatte ! J’aurais voulu avoir un appareil photo pour immortaliser la scène tellement c’était érotique !
J’étais au bord de l’explosion, elle le sentit et se releva et sortit de la douche pour s’asseoir sur le bord du lavabo de la salle de bain. Elle remonta les jambes, écarta les cuisses et me dit :
- Viens, j’ai encore envie de sentir ta queue en moi, vas-y, viens baiser ta belle-mère !
- Humm… avec plaisir
Le sexe fièrement dressé, je m’approchai d’elle, je lui léchai la chatte quelques secondes puis ma queue s’engouffra tout au fond de son intimité.
- Arggh ! Comme elle est bonne ta queue, elle me fait trop du bien !
Je la maintins par les fesses. Les bras en arrière pour se tenir, elle se cambra, ses mamelles devant mon visage ; je mordillai ses tétons que je ne lâchai que pour rouler des pelles à Chantal.
- Ah ah ah… oui continue, c’est si bon… ah ah ah… vas-y, baise-moi bien… ah ah ah…
- Humm… Ça vous plait de vous faire baiser par un jeune ?
- Ah ah ah… oui… ah ah ah… baise-moi comme une salope… ah ah ah…
Je lui mis encore quelques coups de queue bien au fond ce qui la firent râler de plaisir puis je la fis changer de position. Elle se pencha sur le lavabo, j’avais son cul devant moi et sans plus attendre, ma queue reprit possession de sa chatte. Je la maintins par les hanches, tout en allant et venant en elle.
Floc, floc, floc, floc ! Je nous vis dans la glace, je vis ses grimaces de plaisir sur son visage, les yeux mi-clos. Je voyais ma bite entrer et sortir de sa chatte, je vis son petit trou… J’avais envie de l’enculer mais je ne savais pas si elle aimait. Alors je pris un peu de savon dans mes mains et je commençai à caresser sa rondelle avec mon pouce. Puis je l’enfonçai doucement… Elle ne s’en offusqua pas, au contraire ça semblait lui plaire.
- Ah ah ah ah ah ah ah… encore… ah ah ah ah… continue… ah ah ah ah…
Alors tout en la baisant, j’enfonçai mon pouce au plus profond de son cul avec un léger mouvement de va-et-vient.
- Vas-y, prends-moi par le cul, me cria-t-elle. Mais doucement, ça fait longtemps !
Je présentai mon gland à l’entrée de son trou et poussai légèrement. Ma queue avait du mal à rentrer, tellement il était serré.
- Ouiiiii… c’est bon ! Doucement… ouiii… vas-y !
Une fois rentré entièrement, j’attendis quelques secondes le temps que son cul se dilate, puis je recommençai mes mouvements. Je lui tenais les hanches pour bien la culbuter et pendant ce temps une de ses mains jouait avec sa chatte.
- Oh putain, que c’est bon de se faire enculer ! … ah ah ah…
Je continuai quelques minutes à lui baiser le cul, mais il était tellement serré que je sentis la sève monter. J’accélérai le mouvement.
- Ah ah ah… votre petit cul est trop bon, belle-maman… ah ah ah… ça vient… ah ah ah…
- Ouiiiii ouiiiii ouiiiii… vas-y… ah ah ah.
- Aaaargh… je jouis !
Et dans quelques derniers coups d’effort, je me vidai dans son cul. Après quelques secondes de récupération, nous partîmes pour la deuxième fois sous la douche. Une fois lavés, nous regagnâmes le lit et après un câlin soft mêlant baisers et caresses, nous nous endormîmes.
Lundi, 9 h
Je fus réveillé par la plus agréable des surprises ! Ma belle-mère, réveillée avant moi, avait profité de mon érection matinale pour entamer une fellation. Des frissons de plaisir parcouraient mon corps, une de ses mains me caressait les couilles, l’autre me masturbait pendant que la bouche et sa langue jouaient avec mon gland.
Lorsqu’elle vit que j’étais réveillé, sans rien dire, elle se déplaça et vint me présenter sa chatte devant mon visage. Le message était clair, nous étions partis pour un bon 69. Tout en la léchant, je lui caressai le cul, j’enfonçai deux doigts dans sa chatte. Tout en me suçant, elle ronronnait de plaisir.
- Slurp slurp slurp… tu suces trop bien… je vais jouir… slurp slurp slurp…
- Slurp slurp, ouiii… vas-y, continue… slurp slurp… moi aussi, je viens
- Ça y est, je viens !
- Moi aussi, répondit-elle… aaaaaah…
Je jouis et elle me suivit quelques secondes plus tard. Elle avala entièrement ma jouissance, léchant les quelques gouttes de sperme qui lui avaient échappé pendant que je recueillais la sienne, la léchant avec délice tout en gardant mes deux doigts au fond de sa chatte.
On se reposa quelques minutes, quand soudain : toc toc toc !
J’eu à peine le temps de me cacher dans la salle de bain que mon beau-frère entra dans la chambre ! Nous partîmes tous les trois prendre le petit déjeuner, tout en ayant des regards complices avec ma belle-mère qui laissaient présager que la semaine allait être chaude, très, très chaude !
Chantal avait le feu au cul, j’avais réveillé son appétit sexuel !
Jeudi 14 heures
Ces trois derniers jours passés ont été riches en émotion ! La libido de ma belle-mère était incessante, ainsi que ses envies auxquelles je répondais toujours présent. À chaque fois qu’elle voulait de la crème solaire, c’est vers moi qu’elle se tournait, un après-midi elle m’a même masturbé longtemps dans la piscine, puis avec un sourire coquin s’en est allé en me disant qu’elle rentrait se prendre une douche ! La salope ! J’ai dû attendre cinq bonnes minutes avant de pouvoir sortir et je me suis précipité dans notre suite. Là, je peux vous dire que je l’ai gentiment grondée de m’avoir allumé ainsi, et elle en a eu pour son compte !
Un soir nous sommes allés nous promener dans une petite palmeraie proche du club. On entendait au long la musique avec un brouhaha indescriptible de personnes qui chantaient. Après avoir trouvé un endroit à l’abri des regards, on s’est assis et notre étreinte a commencé. Je ne faisais rien, elle menait la danse. Elle a ouvert mon short, sa bouche s’est emparée de mon sexe qui commençait à durcir sous l’effet de ses caresses buccales, puis elle a remonté sa jupe, écarté son string et est venue s’empaler sur ma queue. Elle menait la cadence comme une folle et mes mains, passant de ses fesses à ses seins, ne restaient pas inactives ! Après quelques minutes on s’est relevés, je l’ai prise par les fesses pour la porter et tout en s’embrassant goulûment, je l’ai fait descendre sur mon sexe, puis je l’ai plaquée contre le palmier pour finir de la baiser et d’exploser en elle !
Les journées auraient pu se suivre et se ressembler par des parties de jambes en l’air, de plaisir, de caresses et d’envie, mais en ce jour un événement imprévu fit son apparition.
En effet, depuis notre arrivée Chantal s’était liée d’amitié avec une animatrice du club, Saïda. Elles s’entendaient comme deux bonnes copines de classe, allant même jusqu’à s’échanger des fringues ! Saïda était une jeune algérienne de vingt-neuf ans qui était venue au Maroc avec son mari pour un job d’été. Elle s’occupait des animations du club alors que son mari était chargé de l’organisation des excursions journalières. Physiquement, elle ressemblait à ma belle-mère, mais avec des seins plus petits, peut-être un 90B. Son visage était doux, fin, les cheveux assez longs qu’elle coiffait en une multitude de petites tresses, sa peau légèrement ambrée. Elle aimait notre compagnie. Chantal et Saïda était tellement devenues copines qu’elles s’échangeaient même des fringues pour la journée ou des soirées, mais le plus important, c’est que ma belle-mère se sentait rajeunir auprès d’elle.
C’est donc tout naturellement qu’en cet après-midi, après avoir un peu lézardé au bord de la piscine, elle me dit qu’elle allait voir Saïda dans son logement pour essayer des fringues et voir la tenue qu’elle mettrait ce soir. Je la laissai donc partir et continuai à bronzer dans mon transat.
J’ai dû m’assoupir car au bout d’une heure trente, je rouvris les yeux et regardai autour de moi. Il y avait toujours autant de monde dans et autour de la piscine, mais ma belle-mère n’était toujours pas revenue. Je me levai, pris mes affaires et me décidai à aller les rejoindre. Je connaissais l’appartement de Saïda pour y avoir déjà été avec Chantal. C’était dans un bâtiment à un étage à l’écart du club, en bordure du désert. Arrivé devant sa porte au rez-de-chaussée, j’allais frapper quand j’entendis des bruits particuliers, c’étaient des sons de plaisirs. J’écoutai quelques instants et me dis que notre belle algérienne devait bien s’amuser et prendre son pied.
Mû par un désir de voyeurisme, je contournai le bâtiment par un petit passage entre celui-ci et une haie d’arbustes et vis que le volet de son logement était entrebâillé. Je regardai autour de moi pour être sûr que j’étais seul et m’approchai sans faire de bruit.
Ouah ! Quel spectacle ! La chambre partiellement éclairée me montrait une femme allongée sur le lit et la tête de Saïda entre ses cuisses en train de la lécher avidement. Je n’aurais jamais cru que notre amie était lesbienne, vu la façon dont elle parlait des hommes et les regards pleins de malice auxquels j’avais eu droit. Le spectacle était saisissant, plein d’érotisme. J’avais une vue magnifique sur le joli cul de l’algérienne et je voyais distinctement sa belle petite chatte rasée. L’inconnue jouissait sous ses coups de langues et ses caresses. Je bandais, j’avais envie de prendre ce sexe qui appelait à la délivrance à quelques mètres de moi, j’enviais l’inconnue de prendre du plaisir dans les bras de Saïda. Mais l’inconnue ne resta pas inconnue pour longtemps, car lorsque celle-ci leva la tête ce fut un choc ! Je reconnus ma belle-mère Chantal ! Quelle salope ! Le séjour au Maroc était vraiment pour elle les vacances de toutes ses envies, et je compris qu’elle comptait en profiter au maximum !
- Vas-y ma chérie, continue, c’est trop bon, ah ah ah !
- Slurp slurp slurp ! Hum, tu l’aimes ma langue, slurp slurp slurp…
- Ouiii, lèche-moi encore, ah ah ah…
Au bout d’un moment, Saïda se releva et se dirigea vers sa table de nuit d’où elle sortit un gode argenté. Elle s’approcha de ma belle-mère et lui tendit le gode qu’elle suça en fixant de son regard de salope sa jeune proie, puis alla se replacer entre les cuisses de Chantal pendant que celle-ci s’était déjà enfilé le gode au fond de la chatte.
Puis au bout d’un moment, Saïda se plaça en position de 69 au-dessus de ma belle-mère et leurs ébats reprirent. Ce fut au tour de Chantal de prendre le gode et de s’en amuser avec la chatte de la belle algérienne, pour son plus grand plaisir. Elles variaient les positions, leurs caresses étaient sensuelles, elles avaient déjà jouis plusieurs fois quand elles s’arrêtèrent pour se reposer un peu.
C’est à ce moment-là que je décidai d’arrêter mon voyeurisme et de retourner m’allonger sur les transats de la piscine et d’attendre le retour de Chantal. Je me demandais bien si elle allait tout me révéler ou comment j’allais pouvoir lui en parler.
Ce n’est qu’au bout de quarante-cinq minutes qu’elle revint me voir.
- Ben alors t’étais où ? Vous en avez mis du temps ! lui dis-je avec un sourire ironique.
- Oh mon chou ! Désolée, on a essayé plein de fringues et discuté un peu. On n’a pas vu le temps passer !
La menteuse ! Elle ne voulait rien me dire ! Les idées s’entrechoquaient dans ma tête et en une fraction de seconde j’avais trouvé ma réplique et décidé de jouer avec elle.
- Oui c’est sûr, vu votre « bavardage » vous devez avoir les langues bien fatiguées !
Chantal rougit. Mes derniers mots l’avaient mise mal à l’aise.
- Mais pourquoi cette ironie, on a juste discuté !
- Arrête, ne te sens pas mal à l’aise ! J’ai trouvé le spectacle sublime !
- Quoi, tu nous as vues ?
- Oui, mais ne t’inquiètes pas c’était superbe et je ne te porte pas de jugement, si tu as pris ton plaisir c’est l’essentiel !
- Oh, t’es vraiment un amant parfait ! Confidences pour confidences j’ai toujours eu envie d’essayer avec une femme et l’occasion s’est présentée ! Mais rassure-toi, j’aime toujours autant les hommes !
- Oui c’est bien d’essayer. Et sans prétention, vu le plaisir qu’on a tous les deux, je pensais bien que tu ne renoncerais pas aux hommes.
- Avec une femme, c’est bien aussi !
- Oui c’est sûr, mais là tu m’as mis en appétit, viens avec moi dans la suite, j’ai envie de te baiser !
Et sans attendre une seconde, nous sommes allés dans notre chambre où nous avons baisé jusqu’au petit matin. Mon beau-frère ne voyait rien de ce que nous faisions, ce qui nous arrangeait pleinement, tellement occupé et fier de sa nouvelle copine Marina de dix-neuf ans.
Vendredi 15 heures
Ce jour-là, ma belle-mère était partie en excursion « spéciale femmes » pour découvrir les charmes des produits marocains, et m’avait laissé seul au club avec pour mission de rendre à Saïda ses escarpins rouges empruntés la veille. Tout en me confiant cette mission, elle avait aussi ajouté avec un grand sourire qu’il fallait que je sois très gentil avec elle !
Je retrouvai Saïda déambulant dans le club pendant sa pause et lui rendis ses escarpins.
- Merci, c’est très gentil.
- De rien, t’es en pause ?
- Oui.
- Tu vas faire quoi ?
- Je sais pas trop, je vais aller à mon studio.
- Ok, ben à plus tard alors !
- Ok ça marche ! Non attends, viens, je t’invite à prendre un café.
- Avec plaisir.
Et nous voilà partis, moi suivant cette belle algérienne vêtue de son petit short moulant et de son t-shirt vert du club.
Une fois rentrée dans son studio, elle me prépara un café, me le servit et se mit devant sa fenêtre en regardant vers l’extérieur.
- Alors, elle est belle la vue d’ici ?
- …
- Allez, t’en fais pas, Chantal m’a déjà tout raconté, dit-elle en se retournant.
- Ah bon !
- Oui et elle m’a aussi dit pour vous deux !
- Oh non, elle a osé !
- Oui et ça m’a beaucoup excitée ! Je me suis caressée plusieurs fois en y pensant, il paraît que tu es un super amant et j’ai envie d’essayer…
- Ah oui ! Et ton mari ?
- Chut…
Saïda s’avança vers moi, tellement près qu’elle plaça sa main sur mon sexe à travers mon bermuda, qui commença à bander sous sa caresse. J’ai posé mes mains sur sa taille pour l’attirer contre moi et nous nous sommes embrassés sauvagement. Ses lèvres étaient douces, sucrées. J’en ai profité pour lui enlever son t-shirt vert, ce qui me permit d’apprécier sa belle poitrine maintenue par un soutien-gorge mauve à dentelles. Elle fit de même avec le mien et vint me caresser mon torse en y déposant quelques baisers, puis d’elle-même enleva son petit short. Son string était transparent, de couleur mauve aussi, et on pouvait très nettement voir la forme de sa petite chatte. Saïda s’accroupit, fit descendre mon bermuda, retira mon caleçon et d’une main saisit mon sexe déjà bien dur qu’elle commença à masturber. Ces caresses étaient précises et délicieuses. Elle remonta ma queue et sa langue vint me lécher les couilles et par moment me les sucer.
- Hum c’est bon continue, vas-y suce-moi !
- T’as une belle queue, comme celle de mon mari.
- Oui mais lui te fait l’amour comme un mari, sans véritable passion, moi je vais te baiser comme la salope que tu es !
Ma vue plongeante était un régal, et d’une main je lui pris la tête pour l’amener à me sucer. Sa bouche grande ouverte elle avala ma queue tout en me fixant avec un regard de chienne en chaleur. Je me délectais de ce traitement, d’autant plus qu’elle aussi prenait du plaisir en se caressant la chatte sous son string.
Je n’aurais pas pu dire laquelle de ma belle-mère ou d’elle suçait le mieux, mais l’une comme l’autre avaient l’expérience de la chose et savaient s’y prendre ! J’étais au bord de la jouissance mais je ne voulais pas jouir maintenant, je voulais goûter à son petit abricot.
- Arrête Saïda, c’est trop bon mais j’ai envie de te lécher, viens sur le lit !
Je la fis se relever, elle alla s’allonger sur le lit, retira ses sous-vêtements et écarta grandement les cuisses entre lesquelles ma tête s’engouffra. Je commençai à la lécher sur toute la surface de sa chatte, puis en écartant légèrement ses lèvres ma langue accentua ses caresses sur son clitoris.
- Aaaah, comme c’est bon ! Ah ah ah, tu me lèches bien, continue, ah ah ah…
Tout en la léchant j’introduisis deux doigts dans sa chatte dégoulinante, mais elle en voulait plus et me tendit son gode après l’avoir léché quelques secondes.
- Tiens, vas-y, mets-le moi, j’adore ça !
Alors tout en continuant mon cunnilingus, j’introduisis le gode au fond de sa chatte. Je le rentrais et le sortais aussi vite que je pouvais, comme si ce morceau de plastique était animé d’une furieuse envie de la baiser.
- Ah ah ah, oui je vais jouir, ah ah ah, vas-y continue, ah ah ah…
Je continuai quelques secondes, mais lorsque je sentis qu’elle était au bord de l’explosion je retirai le gode pour y engouffrer ma queue. Je voulais qu’elle jouisse avec mon sexe ! Et tout aussi rapides qu’avec son gode, mes va-et-vient la clouaient littéralement sur le lit, lui arrachant des cris de plaisir. Je m’amusai à lui caresser les seins, à les sucer, à l’embrasser à pleine bouche.
- Oh putain qu’elle est bonne ta queue ! ah ah ah !
- Alors c’est mieux qu’avec ton mari ?
- Ah ah ah, oh oui, vas-y continue, ah ah ah, c’est trop bon, ah ah ah, je vais jouir, ah ah ah…
- Vas-y fais-toi plaisir, jouis, elle est trop bonne ta chatte !
- Aaaaaaaaaaaaaaah, je jouis, ah ah ah ah aaaaaaaaaaaaah ah ah ah ah !
Son corps légèrement cambré frissonnait de plaisir, ses cris de jouissance remplissaient la pièce. Je ralentis ma cadence pour lui permettre de reprendre ses esprits et en profitai pour caresser toutes les parties de son anatomie. Sa peau était douce et mes lèvres y glissaient dessus avec envie et plaisir.
- Alors, tu trompes souvent ton mari ?
- Non, c’est la deuxième fois avec un homme depuis quatre ans qu’on est ensemble.
- Et avec les femmes ?
- C’est plus souvent…
- Et pourquoi moi ?
- Parce que tu me plais, et aussi avec tout ce que Chantal m’a raconté, ça m’a terriblement excitée !
Tout en restant en elle, je nous fis rouler sur le côté pour me retrouver allongé sur le dos pendant qu’elle me chevauchait.
- Allez, vas-y ma belle, chevauche-moi, fais-toi plaisir !
- Ah ah ah, oui c’est bon comme ça, ah ah ah, je te sens bien en moi, ah ah ah…
Saïda me chevauchait comme une furie, elle prenait plaisir à me dominer et s’amusait à changer par moment le rythme de la pénétration pour contenir son excitation. Je voyais sa belle poitrine assez ferme au-dessus de moi. Mes mains empoignaient ses fesses ou venaient malaxer ses seins. Par moment elle se cambrait assez pour me permettre de lui mordiller les tétons, ce dont je raffolais. J’étais au bord de l’explosion mais je me retenais tant bien que mal pour faire durer notre plaisir.
- Vas-y ma belle, continue, je vais jouir !
- Ah ah ah, oui oui, moi aussi, ah ah ah…
Saïda accéléra sa chevauchée, elle voulait nous faire jouir.
- Ah ah ah, ça vient, ah ah ah, je jouis !
- Argh oui, moi aussi je jouis !
Nous jouîmes en même temps, et mon sperme se déversa tout au fond de sa chatte. Au bout de quelques secondes Saïda s’écroula sur moi et je l’enlaçai de mes bras tout en la couvrant de baisers. Au bout de quelques minutes, elle se leva pour aller se rafraîchir et se nettoyer un peu, puis vint me rejoindre dans le lit.
- Humm, c’était très bon ! J’ai encore envie de toi.
- Ça tombe bien, moi aussi.
Ma belle algérienne se retourna pour m’offrir sa chatte à lécher pendant qu’elle redonnait de la vigueur à ma queue à l’aide de ses mains et de sa bouche experte. Une fois que mon sexe fut bien bandé, je lui dis de se mettre à quatre pattes sur le lit.
- Oui vas-y, prends-moi comme une chienne ! me dit-elle.
- Oh oui, ma belle salope, je vais te baiser comme une chienne !
Et positionné derrière elle, je mis mon gland à l’entrée de sa chatte et je l’enfilai d’un coup.
- Ah putain, tu me l’as mise d’un coup !
Mes couilles butaient contre son cul et ma queue s’engouffrait au plus profond de sa belle petite chatte, et chacun de mes coups lui arrachaient un cri de plaisir.
- Ah ah ah, c’est bon, ah ah ah…
- T’aimes bien te faire baiser ?
- Ah ah ah, oui, ah ah ah…
- T’es une salope, dis-le !
- Ah ah ah, oui, je suis une salope, ah ah ah…
Mes mains lui maintenaient la taille ou empoignaient ses seins, et par moment pour qu’elle se cambre encore plus, je la tirais par les épaules.
- Alors, ton mari baise mieux que moi ?
- Ah ah ah, non, ah ah ah !
- T’aimes le faire cocu, ton mari ?
- Oui, ah ah ah…
- T’es une salope qu’aime se faire baiser !
- Oh oui, ah ah ah, baise-moi, ah ah ah, baise-moi bien profond, ah ah ah…
Cela faisait déjà plusieurs minutes que je la baisais par derrière quand j’écartai ses fesses et après y avoir salivé dessus, j’introduisis mon pouce dans son cul.
- Et par là, tu aimes ?
- Ah ah ah, oui !
- T’aimes te faire enculer ?
- Ah ah ah, oui !
Alors je sortis ma verge et la présentai devant son cul. Je n’eus qu’à pousser deux fois pour que ma queue rentre entièrement.
- Oh putain, tu me déchires le cul avec ta grosse queue ! ah ah ah !
Tout en la sodomisant, je pris son gode que je lui fis sucer quelques instants avant de le lui enfiler dans la chatte.
- Aaaaaaaaaaaaaaaaah !
- T’as déjà couché avec deux hommes en même temps ?
- Ah ah ah, nooooon !
- Et la double pénétration avec ton gode, t’as déjà fait ?
- Ah ah ah, nooooon…
- Et alors tu aimes ?
- Ah ah ah, ça fait un peu mal, ça me déchire, ah ah ah, mais c’est trop bon !
- Tiens ma petite salope, regarde comme mes « deux queues » te baisent !
- Ah ah ah, je jouiiiiiiiiiiiiis ! ah ah ah !
Saïda s’effondra de plaisir alors que je continuais de l’enculer avec force. Puis, ayant repris ses esprits, c’est elle-même qui donna un rythme au gode qui lui labourait la chatte pendant que je la tenais par les hanches et que ma queue lui défonçait le cul. Quelques minutes plus tard, je jouis à mon tour au fond de son cul.
Vendredi 17 heures
Il était temps pour Saïda de retourner au boulot, et après un langoureux baiser nous nous quittâmes.
- Merci pour cet après-midi, me dit-elle. C’était trop bon, je ne me souviens pas avoir déjà pris autant mon pied !
- De rien, tout le plaisir est pour moi !
- Reviens me voir avant ton retour pour la France, j’aurais encore envie que tu me baises !
- Pas de soucis, je reviendrai avec plaisir !
Je retournai me reposer dans ma chambre, et vers dix-neuf heures Chantal rentra de son excursion les bras chargés de souvenirs. La première chose qu’elle voulut savoir était si j’avais bien rendu ses escarpins à Saïda, et si j’avais été gentil avec elle.
- Alors, tu l’as baisée ?
- Oui.
- Salaud ! Et alors c’était bien ?
- Oui.
Je m’empressai de tout lui raconter en détail, ce qui réveilla son excitation mais aussi sa jalousie.
- Ah oui, elle baise si bien que ça ! Tu vas voir ce soir, je vais te faire changer d’avis !
- Humm ça promet d’être torride !
Samedi 13 h
Déjà une semaine de finie, je ne l’avais pas vu passer tellement que celle-ci avait été riche en émotion ! Il nous en restait encore une et j’avais bien décidé d’en profiter au maximum !
Nos prouesses de la veille avec ma belle-mère avaient été si intenses que nous nous étions levés très tard et donc nous prenions notre repas en guise de petit déjeuner.
- C’était super hier soir ! me dit Chantal.
- Oh oui, comme à chaque fois !
- Alors, c’était mieux qu’avec Saïda ?
- C’était différent mais l’une comme l’autre, vous êtes exceptionnelles ! Je n’ai pas de préférence, chacune de vous me procure un plaisir intense à sa façon.
- Oui, tu as raison et puis j’adore Saïda et je ne veux pas me mettre en compétition avec elle. D’ailleurs, ça te dérange si je passe l’après-midi avec elle ? J’ai envie d’elle !
- Non, non, vas-y, et puis vu les nuages qui arrivent, je vais aller me reposer dans la suite.
Chantal se leva, me fit un bisou sur la joue en me remerciant et partit en direction du bâtiment de Saïda. Moi, de mon côté, je pris le chemin de notre suite. Arrivé à proximité de la porte de mon logement, je vis celle de mon beau-frère qui s’ouvrait et Marina en sortir. Elle referma la porte en la claquant avec énervement puis alla s’asseoir sur des marches d’escaliers. Elle prit son visage dans ses mains et commença à pleurer. Touché par sa tristesse, je m’approchai d’elle.
- Que t’arrive-t-il ?
- Rien !
- Ça c’est mal passé avec mon beau-frère ? Que t’a-t-il fait ?
- Rien !
- Il t’a touché ? Il a essayé d’abuser de toi ?
- Non, c’est pas ça ! (pleurs)
- Ben alors, dis-moi !
- Non, c’est rien, je veux pas en parler !
- Bon, aller, viens avec moi, je t’offre un soda. Ça sert à rien de rester là à pleurer !
- Non, c’est bon, ça va aller.
- Aller, viens, ça te fera du bien et puis tu seras plus tranquille.
- Ok.
Je lui tendis la main pour l’aider à se lever puis après avoir ouvert la porte, elle me suivit et s’assit sur un fauteuil en continuant toujours à pleurer. De mon côté je m’assis sur le bord du lit, attendit un moment tout en la regardant. Marina était une jeune fille de 19 ans, blonde avec des cheveux lisses et longs, fine, elle devait peser dans les 45 kg. Son corps était bien sculpté, et ses formes réparties à son avantage. Elle était belle et avait une paire de seins plus développé que les filles de son âge, ce devait être du 90B, tout comme Saïda. Elle était vêtue de son maillot de bain deux-pièces avec un paréo autour de la taille. Mais plus que l’intérêt de sa plastique, c’était surtout sa détresse qui m’inquiétait et surtout la cause de celle-ci. Je me levai et lui tendis un soda.
- Tiens.
- Merci.
- Bon alors, qu’est ce qui s’est passé ?
- Rien.
- Écoute, si c’est mon beau-frère qui t’a fait quelque chose de pas bien, faut que tu me le dises !
- Mais non, c’est pas ça.
- Ben alors, c’est quoi ? Il a essayé d’abuser de toi ?
- Non… c’est… non, rien !
Je sentis qu’elle était prête à tout me dire et je continuai mes questions.
- Alors c’est quoi ? T’allais me le dire !
- Je peux pas en parler.
- C’est fini entre vous ?
- Oui… non… enfin, je sais pas.
- Ben alors, c’est quoi ? Vas-y, dis-le, tu te sentiras mieux !
- Je… enfin il… il m’a dit que je savais pas sucer ! (pleurs)
- Quoi !
Je m’approchai d’elle et la pris dans mes bras pour la réconforter, puis au bout de deux minutes, voyant qu’elle était plus calme, je relâchai mon étreinte et revint m’asseoir en face d’elle.
- Bon, alors il a dit que tu savais pas sucer ! Mais c’est quoi ce délire, explique-moi !
- On… on avait décidé de faire l’amour… et il m’a demandé de lui faire une pipe… et après il m’a dit que j’étais nulle et m’a jetée…
- Ah… ben, je pensais pas que c’était ça… mais vous êtes encore jeunes pour être au top en amour, y a des choses qui s’apprennent avec le temps…
- Mais je veux pas attendre !
- Retourne le voir et réessayer à nouveau !
- Non, je veux pas, je suis nulle !
- Mais non, t’es pas nulle ! T’as déjà eu d’autres copains ?
- Oui deux, mon mec et un autre avant lui
- Ah, tu as déjà un copain en France ?
- Oui.
- Et alors, ça se passe bien ? Ils ont jamais été méchants avec toi ?
- Ben le premier, je l’ai jamais sucé, on a juste fait l’amour trois ou quatre fois.
- Et avec ton copain ?
- Ça fait cinq mois qu’on est ensemble.
- Et alors, il est content de ce que vous faites ?
- Euh… oui, je pense. Je le suce mais pas longtemps, il veut vite changer de position pour me prendre.
- Ah… ok… et il te lèche aussi ?
- Oui… non, pas vraiment en fait.
- Ok, je vois, t’es novice en la matière en fait, et tu n’as jamais vraiment sucé un homme.
Je voyais le désespoir dans ces yeux et ça m’attristait, mais c’est la vie et c’était à elle de trouver son chemin.
- J’ai besoin de votre aide !
- Oui, dis-moi.
- Vous voulez pas aller le voir et lui dire que je sais faire ? Il me plaît trop, j’ai pas envie qu’il me quitte !
- Quoi ! Écoute, déjà t’as un mec en France et je ne crois pas que tu en souffriras beaucoup si c’est fini avec mon beau-frère. En plus, vu comme tu es mignonne, tu n’auras pas de mal à en trouver d’autres et je ne vais pas mentir et lui dire que tu sais faire !
- Mais pourquoi, je croyais que vous vouliez m’aider !
- Pourquoi ! Mais parce que je mens pas et que si je lui dis que tu sais bien sucer, il faudrait que j’en sois convaincu !
Elle ne pleurait plus. Sa tenue composée d’un petit short avec un débardeur près du corps ainsi que son envie de sexe commençaient à me déconcentrer et très vite, j’eus l’idée de tirer avantage de la situation.
- Écoute Marina, si tu veux je peux t’aider, je peux te montrer…
- Hein !
- Tu veux bien apprendre à sucer ?
- Euh oui… mais…
- Eh bien, je peux t’apprendre à sucer…
- …
- Alors ?
- Non mais, ça va pas la tête ! Vous pourriez être mon père ! Vieux pervers !
- Ah, tu le prends comme ça !
- Ouais, je me casse, sale obsédé !
Elle se leva et se dirigea vers la porte.
- T’as raison, vas-t-en !
- Ouais, et puis je vais tout dire à mon père !
- Ok, dis-lui tout, mais moi aussi je lui dirai tout ce que tu m’as raconté, je pense qu’il sera content de savoir que sa chère fille se comporte comme une salope !
- Oh non, ne dites rien, s’il vous plaît !
- Moi, je dis rien si tu dis rien ! Allez, maintenant casse-toi et va retrouver tes gamins. Moi, je vais me reposer. Je vais pas perdre mon temps avec une gamine qui sait pas sucer !
Marina s’arrêta devant la porte la poignée dans la main, prête à sortir.
- Allez vas-y, va retrouver tes gamins et laisse-moi avec les vraies femmes ! Mais j’espère pour toi que tes amis ne sauront jamais que tu sais pas sucer sinon t’auras plus qu’à te cacher !
À mon grand étonnement, elle ferma le verrou de la porte, se retourna et s’approcha de moi.
- Non, je suis pas une gamine et tu vas voir !
- Ah oui !
- Oui, je suis pas une gamine ! Tu veux m’apprendre, alors apprends-moi !
Ah, les jeunes et leur fierté ! Je savais qu’en la traitant de gamine j’allais la pousser dans ses retranchements et obtenir d’elle ce que je voulais !
- Ok ! alors vas-y, commence à me caresser le sexe. Vas-y, fais descendre mon short et mon caleçon !
Marina s’exécuta et après je sentis sa main se plaquer contre mon sexe et le caresser quelques instants, ce qui commença à me faire bander, celle-ci s’accroupit et tira vers le bas mes habits faisant jaillir mon sexe devant son visage.
- Alors, comment tu la trouves ?
- Elle est belle, me dit-elle tout en faisant glisser ses doigts sur ma verge
- Allez, vas-y commence à me masturber !
- Comme ça ?
- Oui, comme ça et avec ton autre main, tu me caresses les couilles !
Je sentais ses doigts fins qui entouraient ma queue à demi bandée pendant qu’elle me masturbait doucement. Elle était hypnotisée par la chose et son regard n’en perdait pas une miette !
- Ok, maintenant commence à me sucer !
Debout, je voyais sa bouche s’ouvrir, sa langue sortit, s’approchant lentement de ma queue. Je sentis mon gland s’écraser sur sa langue pendant que ma queue était avalée par sa bouche. Mais je sentis aussi ses dents me mordre violemment !
- Aie ! non pas comme ça ! Ne mords pas !
- Humph ! Pardon.
- Vas-y, suce-moi. Oui, comme ça, fais la glisser dans ta bouche !
- Slurp, slurp !
- Oui, vas-y comme ça ! Ne t’arrête pas de me caresser les couilles en même temps ! Oui, c’est bon comme ça !
- Slurp, slurp !
Marina apprenait vite et j’avais envie d’elle mais il ne fallait pas que je la brusque. Alors je m’allongeai sur le lit et à côté de moi elle reprit la fellation. J’avais son joli cul à quelques centimètres de mon visage mais j’attendis quelques instants avant de passer à l’action et lui caresser les fesses. Surprise, elle arrêta net de me sucer !
- Oh, qu’est-ce que vous faites !
- Ben, je te caresse !
- Ah non ! Vous deviez juste m’apprendre à sucer !
- C’est ce qu’on fait, ma petite, je voulais juste savoir si tu étais capable de bien sucer lorsqu’on te caresse…
- Et alors ?
- Et alors non, tu sais plus, tu t’es arrêtée !
- Ah ouais… Ok, vas-y, caresse-moi bien, tu vas voir si je sais pas sucer !
Piquée au vif encore une fois, elle reprit la fellation avec plus d’entrain pendant que j’avais carte blanche pour m’occuper de son corps. Et je ne perdis pas une seconde à lui retirer ses habits, à caresser ses seins et lui embrasser les fesses. Je la fis mettre au-dessus de moi, en position de 69, puis je glissai une main sur sa chatte que je trouvai trempée, dans laquelle j’introduisis un puis deux doigts avant de la lécher avidement.
- T’es toute mouillée ! Je vois que tu aimes ce que je te fais !
- Slurp, slurp. Oh oui, c’est trop bon. Slurp, slurp. Et moi, je suce bien ?
- Hum oui, c’est clair que tu suces bien, t’as vu comme je bande ! T’as encore envie d’apprendre des trucs ?
- Oui !
- Ok, vas-y, allonge-toi, j’ai envie de toi !
- Slurp, slurp. Oh oui, moi aussi !
Marina s’allongea sur le dos en écartant les cuisses et je vins la pénétrer tout doucement tout en l’embrassant. Sa petite chatte inexpérimentée était si serrée que je crus ne pas pouvoir rentrer. Ce n’est qu’au bout de quelques allers et retours qu’elle se détendit et que je pus profiter pleinement de son petit fruit d’amour.
- Aaaah, comme t’es gros en moi…
- Tu vas voir tu vas aimer.
- Ah, ah, ah, oui, encore, ah, ah, ah !
- Hum, comme c’est bon de se sentir en toi, tu aimes ?
- Oui, ah, ah, ah, vas-y, plus fort, ah, ah, ah !
Je sentais ses jambes m’entourer me poussant à la pénétrer au plus profond de son intimité pendant que je jouais avec ses tétons ou que je l’embrassais à pleine bouche.
- Viens sur moi, montre-moi ce que tu sais faire, ma belle !
- Ah, ah, ah ! OK.
Je nous fis rouler sur le lit et Marina se retrouva sur moi. Ce superbe corps de jeune femme me faisait perdre la tête ! J’empoignai ses seins que je pétrissais ou que je léchais quand elle se rapprochait de moi, et par moment je titillais son clitoris. Je lui attrapai ses fesses et lui donnai un mouvement plus rapide.
- Ça va ? Vas-y, bouge, fais-toi plaisir !
- Ah, ah, ah. Oh oui, c’est bon !
- T’aime ça, baiser ?
- Oh oui ! Ah, ah, ah, ça vient… Aaaaaaaaaaaaaaah Aaaaaaaaaaaaah
Marina me chevauchait tout en jouissant, les yeux fermés, la bouche ouverte, elle criait son plaisir. Elle s’arrêta et s’écroula sur moi pour reprendre ses esprits.
- Comme c’est bon ce que tu me fais, t’es un bon prof !
- Et toi, une très bonne élève ! Alors ça fait quoi, à 19 ans, de se taper son premier « vieux » ?
- C’est trop bon, c’est le top, les gars de mon âge manquent vraiment d’expérience !
- Mets-toi à quatre pattes, c’est pas fini !
Marina s’exécuta et je m’empressai de lui fourrer ma queue par derrière. Je la tenais par les hanches pour bien m’enfoncer en elle, je variais le rythme ; lentement quand je faisais ressortir ma queue pour bien la repénétrer à fond, ou rapide à lui couper le souffle !
- Oh putain ! Ah, ah, ah ! C’est pas croyable ce que tu me mets ! Ah, ah, ah !
- Oh oui, t’es trop bonne ! T’aimes te faire défoncer ?
- Ah, ah, ah, ouiiii ! Ah, ah, ah ! Vas-y, défonce-moi bien, elle est trop bonne ta queue. Ah, ah, ah !
Et je continuai à pénétrer cette jeune fille de 19 ans à un rythme endiablé, toujours plus vite, toujours plus profond, et je sentis en moi venir la délivrance.
- Marina, ça vient… Je vais jouir !
- Ah, ah, ah ! Oui, vas-y, envoie tout ! Ah, ah, ah ! T’inquiètes pas, je prends la pilule. Ah, ah, ah !
- Oui ça vient Aaaaaah ! Aaaaaah !
Tout en la clouant sur le lit, je déversai en elle une grosse quantité de sperme. Une fois mon plaisir fini, je me retirai d’elle et je présentai ma queue devant son visage.
- Vas-y, suce. Finis de me vider ! lui ordonnai-je.
Marina ne tarda pas à me reprendre en bouche, à sucer mon sexe et à aspirer ce qui restait de sperme. Elle nettoya ma tige consciencieusement pendant quelques minutes puis vint se lover contre moi.
- Humm, c’était trop bon, je pourrais presque tomber amoureuse de toi si t’étais pas si vieux ! me dit-elle en rigolant. On m’avait jamais fait l’amour comme ça !
- Oui c’est sûr, maintenant les gars de ton âge n’ont qu’à bien se tenir !
On éclata de rire tous les deux, et après quelques baisers passionnés et une bonne douche, Marina s’en alla vers 15 h 30. J’étais crevé et j’en profitai pour me reposer après son départ.
19 h
Chantal m’avait rejoint en fin d’après-midi et nous étions installés à une table du club. En attendant de prendre notre repas, elle me raconta son fol après-midi avec Saida en me répétant qu’elle était désolée de m’avoir abandonné. Ah, si elle savait…
Puis mon beau-frère arriva avec la belle Marina pendue à son cou qui me fit un clin d’œil avant de partir rejoindre la table où se trouvaient ses parents. Je commençais à avoir une idée de ce qui s‘était passé, idée qui me fut confirmée lorsque je me retrouvai quelques minutes seul avec lui à table. Il était tout heureux de m’annoncer qu’il était devenu un homme en cette fin d’après-midi. Ouah la garce ! Après m’avoir quitté, Marina avait directement filé dans la chambre de mon beau-frère pour lui faire voir qu’elle savait sucer. Et bien entendu, sa chatte avait reçu sa deuxième queue de l’après-midi ! Rien que d’y penser j’avais encore envie de la baiser.
Après le repas, nous avons participé à la soirée-danse du club où j’en profitai pour danser un slow avec Marina pendant que Chantal dansait avec son fils. Et sans lui dire que je savais pour mon beau-frère, je lui proposai un rendez-vous en pleine nuit qu’elle accepta de suite, à mon grand étonnement.
La fin de la soirée se déroula dans la joie, et après quelques caresses Chantal s’endormit dans mes bras.
Dimanche 3 h
Chantal était à mes côtés et dormait profondément. Je pris un papier sur lequel j’écrivis : « Je meurs de chaud, je suis sorti prendre l’air. Bisous » que je déposai sur la table de nuit, puis je filai en direction du lieu de rendez-vous.
J’attendis deux minutes et Marina me rejoignit. Sans un mot je lui pris la main et l’entraînai avec moi dans la palmeraie, dans un coin à l’écart des lumières et des personnes qui auraient pu nous voir.
Sans attendre, elle fit descendre mon short et avala ma queue qui ne cessait de grossir au fond de sa bouche. Puis à quatre pattes, après avoir remonté sa jupe et écarté son string, ma verge s’engouffra au fond de sa chatte onctueuse à souhait.
- Ah, comme c’est bon, me dit-elle !
- T’aimes ça ?
- Oh oui !
- T’es une vraie salope !
- Pourquoi tu dis ça ?
- Cet après-midi, après notre petite partie de jambe en l’air, t’es allée baiser avec mon beau-frère et maintenant tu reviens me voir…
- Oui, je voulais lui faire voir que j’étais pas une gamine, et avec toi, c’est trop bon !
Je continuai à la baiser au plus profond de son corps ; j’en profitai pour cracher de la salive sur son trou du cul puis je me retirai de sa chatte et présentai mon gland à l’entrée de son cul.
- Tu vas m’enculer ? me demanda-t-elle avec un grand étonnement
- Oui.
- Non, il paraît que ça fait mal !
- Non, peut-être un peu au début mais après, non !
- T’es sûr ?
- Oui.
Et tout en lui parlant, je poussai et fis rentrer ma queue petit à petit lui arrachant des cris de douleur. Puis une fois bien rentré en elle, tout en la tenant par la taille, j’accélérai la cadence et ses cris de douleurs se transformèrent en cris de plaisir.
- Oh oui, continue, ah, ah, ah ! C’est trop bon, ah, ah, ah.
- Alors tu aimes te faire enculer ?
- Oui, ah, ah, ah. Vas-y, baise-moi bien, ah, ah, ah !
Elle jouissait de plaisir à chaque coup. Son cul était si serré que mon plaisir arriva vite et je jouis tout au fond de ses entrailles. Après quelques échanges de tendresse, nous sommes rentrés chacun de notre côté après nous être promis de nous revoir.
Mardi 15 h
Une fois encore Chantal avait prévu de passer l’après-midi chez Saida, et une fois encore j’en profitai pour regagner mon studio pour une sieste bien méritée.
À peine après avoir refermé la porte, je tombe nez à nez avec Chantal et Saida, nues, enlacées dans le lit.
- Ben qu’est-ce que vous faites là ? leur demandai-je
- Saida a de la famille chez elle et on n’avait pas d’endroit où aller, me répondis Chantal.
- Maintenant que t’es là, t’as qu’à venir nous rejoindre ! me dit Saida
- Bonne idée !
Et ni une ni deux, je me déshabille et je les rejoins dans le lit.
Les deux femmes me caressent la bite et commencent une fellation à tour de rôle. Saida commence et me suce le gland avec sa bouche pendant que Chantal se laisse caresser et embrasser. Sa chatte est bien humide et je lui enfonce un doigt, ce qui lui plaît énormément. Puis Saida dit à Chantal d’inverser la position, elle se lève et vient me présenter sa chatte afin que je la lui lèche, ce que je fais sans me faire prier. Elle pousse de petits cris de joie et se caresse la poitrine en même temps. Chantal continue à me sucer la bite comme une experte et me palpe les testicules tout en me suçant. Deux maîtresses et leur amant pour un trio, que du bonheur !
Saida se relève et, après un regard d’acquiescement avec Chantal, vient se positionner au niveau de ma bite et s’empale dessus lentement. Sa chatte est étroite et elle a du mal à prendre ma bite entière. Une fois fait, elle commence doucement à monter et descendre sur ma queue en poussant des cris de jouissance. Chantal m’a redonné sa chatte à lécher et crie également de jouissance. Face à face les deux femmes s’embrassent goulûment.
- Oh Chantal, ah, ah, ah. Comme il me baise bien, ton gendre ! crie Saida
- Oui, vas-y ma Chérie. Ah, ah, fais-toi plaisir, vas-y, fais-le jouir ! lui répond Chantal
Saida crie de plus en plus et je commence à avoir du mal à me retenir, je lui crie que je vais tout lâcher mais elle ne s’arrête pas et je lui éjacule dans ses entrailles.
Nous reprenons nos esprits tranquillement et Chantal me murmure à l’oreille qu’elle aussi veut mon sperme. Elle commence à me branler puis à me sucer pour que ma bite se redresse et Saida la rejoint vite pour l’aider.
Une fois ma bite raide, Chantal s’allonge sur le lit les cuisses grandes ouvertes.
- Aller, viens baiser ta belle-mère !
Je la pénètre d’un coup, tellement elle est mouillée ce qui lui arrache un gémissement très fort, puis les va-et-vient commencent. Saida s’est redressée et se met debout au-dessus de Chantal pour qu’elle lui lèche sa chatte.
- Vas-y, belle maman, bouffe-lui sa belle petite chatte !
- Oui, vas-y Chantal, lèche-moi !
- Oui, ah, ah, ah, slurp, slurp, ah, ah, ah, slurp, slurp…
J’accélère mes va-et-vient et Chantal gémit de plus en plus fort. Cela fait déjà plusieurs minutes, quand Chantal jouit la première, très vite suivie de Saida, ce qui emplit la pièce de leurs cris de jouissance un long moment.
- Aaaaah, elle est trop bonne ta queue, mon chéri. Ah, ah, ah !
Puis j’ai fait mettre les deux filles à quatre pattes, côte à côte, et je les ai enculées chacune à tour de rôle. Quelle douce sensation d’avoir ces deux culs offerts, d’en baiser un pendant que l’autre attend patiemment son dû, puis de changer et changer encore ; pour finalement remplir de ma semence le cul de Chantal comme je le lui avait promis.
- Quel après-midi de dingue ! J’en veux des comme ça tous les jours ! leur dis-je en rigolant
Après une bonne douche à trois, très sensuelle, où mes deux femmes se sont amusées à me sucer jusqu’à ce que je jouisse sur leur visage et leurs seins, nous sommes allés profiter du grand air au bord de la piscine pour finir la journée.
Mercredi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas ; car chaque jour j’avais droit aux faveurs de l’une de mes trois amantes, Marina l’apprentie, Saida la belle algérienne ou Chantal la nymphomane ; parfois même j’en avais deux dans la journée !
Quant à notre retour en France, ma belle-mère m’offrit encore son corps dans les toilettes de l’aéroport, et d’autres fois encore…