Ma belle mère n'aime pas le foot. Moi aussi...
Je suis marié à Sophie depuis maintenant six ans, une belle femme douce et attentionnée de 32 ans. Nous avons une petite fille de trois ans dont elle s’occupe avec tendresse. Elle n’a pas connu son père, celui-ci étant décédé alors qu’elle n’avait que deux ans dans un accident de voiture. Ma belle-mère n’a jamais refait sa vie avec quelqu’un. Mamie vient passer régulièrement quelques jours à la maison, pour voir ses deux petites filles, comme elle aime à le répéter. C’est une femme de 55 ans, pas portée pour un sou sur le sexe, elle est même un peu trop prude à mon goût. Tout ce qui se rapporte au sexe, de près ou de loin est tabou. Parfois j’ai le sentiment que ma femme a hérité de sa mère. Depuis la naissance de Léa, la bagatelle se fait plus rare mais reste intense à chaque fois.
Ma belle-mère, Michèle, est passionnée par le sport qu’elle n’a d’ailleurs jamais pratiqué. Elle regarde toutes les retransmissions, comme les matches de foot, de rugby ou le tour de France en cyclisme. Lorsqu’elle est chez nous, nous avons régulièrement le droit de regarder la soirée foot de Canal. C’est limite si elle ne devient pas propriétaire des programmes de notre télé.
Dans ces cas-là, ma femme va directement se coucher et me laisse avec sa maman chérie. Un soir de retransmission, j’étais dans le canapé avec Michèle à mes côtés, à distance respectable. Elle était vêtue d’une robe de chambre et d’une chemise de nuit. Ma femme est venue nous dire bonne nuit. Je lui ai rétorqué : j’arrive bientôt, un match, une pipe et hop au lit !
J’ai alors vu deux regards foudroyants me dévisager, mince j’ai dit une connerie. Sophie est partie un peu en colère, sa mère est restée, offusquée par mes propos.
Le match commence, je reste de mon côté du canapé, un peu gêné et honteux d’avoir sorti cette phrase.
La première mi-temps est triste à mourir. Je profite de l’intermède pour alimenter la cheminée en bois, me sers un verre d’eau et reviens m’asseoir. La seconde mi-temps reprend, elle est tout aussi ennuyeuse que la première. Je me tourne vers Mamie et lui annonce que je vais aller me coucher. C’est alors qu’elle me dit :
- Ben et la petite pipe ?
Je reste sur le cul. Elle rajoute :
- Sophie doit dormir, je crois que je suis la seule en état…
Je n’en reviens pas ! Cette femme ronde et BCBG, qui plus est ma belle-mère, me fait du rentre-dedans.
- Je suis désolé, Mamie, pour mes propos de tout à l’heure, je ne voulais pas vous mettre mal à l’aise.
- Ce n’est rien, je sais que beaucoup d’hommes ont le fantasme d’une fellation devant un match.
C’est alors, qu’elle pose sa main sur mon entrecuisse et commence à palper mon sexe. J’ai un petit moment de recul. Se fout-elle de ma gueule ? Est-ce un test de fidélité qu’elle me fait passer avec ma femme ?
- Non, Mamie, nous ne pouvons pas faire ça ! Vous êtes la mère de Sophie et je l’aime. Je ne veux pas la tromper, encore moins avec vous.
- Tu ne me trouves pas à ton goût ? Je suis trop vieille ? Trop grosse ? Trop vertueuse ?
- Ce n’est pas ça, mais vous pourriez être ma mère… Même si vous êtes jolie et raffinée, restez Mamie.
Elle continue ses caresses et me dit à l’oreille :
- Laisse-toi faire, tu ne seras pas déçu ! Et moi ça fait tellement longtemps que je n’ai pas fait ça…
Elle pose sa tête sur ma poitrine et passe la main dans mon pantalon. Je suis électrisé et me laisse aller. Elle me dit doucement :
- Sophie ne doit rien savoir, ce sera notre petit secret.
Les boutons de mon jean sautent les uns après les autres. Je lève légèrement les fesses pour que mon pantalon descende un peu. Mon shorty devient de plus en plus serré comme ma gorge. Elle baisse aussi mon caleçon ; ma verge n’en demandait pas tant. Elle sort et, sous les caresses précises de Michèle, se dresse comme rarement. Je souffle face à ce moment improbable.
Elle me masturbe tendrement pendant que son autre main s’occupe de mes bourses. C’est un massage exquis. Je la regarde sans rien faire. Elle tourne la tête et me dit :
- Passons aux choses sérieuses !
Sa chevelure se rapproche de mon sexe bandé de désir. Un petit baiser dessus, sa langue puis sa bouche viennent entourer ma bite. Les va-et-vient commencent lentement mais sûrement. Pourquoi me retenir ? Autant profiter de la situation…
Mes mains explorent ses cheveux puis le haut de son dos, enfin je me lance et tente un rapprocher vers ses seins. Elle ne bronche pas lorsque je prends le premier globe dans la paume. Ma caresse doit lui plaire car elle se dégage un peu pour que je puisse mieux m’en saisir. J’ouvre sa robe de chambre et me rapproche de sa peau. Ses succions sont fermes. Elle malaxe mes couilles comme une vraie assoiffée de sexe.
J’ôte mon jean qui gêne la manœuvre. Elle enlève sa robe de chambre et se retrouve en chemise de nuit en coton, pas très glamour. Toujours assise, elle se met à quatre pattes sur le canapé. J’ai tout le loisir de palper ses seins, plus gros mais moins fermes que ceux de Sophie.
Quelle pipe elle me fait ! Un truc de fou ! Elle lèche, suce, titille, m’engouffre presque entièrement dans sa bouche.
Après ses seins, c’étaient ses fesses qui m’obsédaient. Une de mes mains glisse vers le bas de son dos.
- Mamie, puis-je ?
- Oui, vas-y !
Je remonte le dernier obstacle et pose mes doigts sur son gros derrière. Les fais glisser sur sa raie et découvre son mont-de-vénus. Elle n’est pas très poilue, l’âge sûrement, et pas entretenue. Elle n’a pas dû rendre visite à l’esthéticienne depuis longtemps. Sa chatte est humide et charnue. Mes doigts glissent sur sa fente sans oser y pénétrer.
Elle suce de plus belle. Elle manque de perdre sa respiration à chaque va-et-vient.
Ma main continue de découvrir ses fesses et sa chatte. À l’entrée de celle-ci :
- Mamie, puis-je ?
- Arrête de me demander, viens !
L’autorisation accordée, mon majeur trouve l’ouverture. Mon index le suit. Quelle situation irréelle ! Je me fais sucer par ma belle-mère devant un match de foot et je fouille son intimité.
N’y tenant plus, je bascule sur le côté pour me retrouver vers sa foune. Elle lève d’elle-même une jambe pour nous retrouver en 69. Je ne me fais pas prier, attrape ses fesses à pleines mains pour les écarter. Je me mets à lécher sa fente et remonte vers son petit trou. Faire un anulingus à Mamie… pas croyable ! Je tente un doigt dans son cul ouvert. Elle ne réagit pas et se laisse faire.
Pendant ce temps, elle me pompe comme si sa vie en dépendait. Mon doigt dans son rectum doit lui donner des idées car à son tour elle tente une approche vers mon intimité jusque-là inviolée. Cette caresse nouvelle et inattendue me surprend. Elle me sodomise tout en accélérant ses va-et-vient. Je ne peux plus me retenir ; comme avec Sophie, je me donne la peine de la prévenir de mon éjaculation à venir pour qu’elle ait le temps de se retirer. En effet Sophie ne m’a jamais autorisé à éjaculer dans sa bouche. Sentant la fin proche, je l’avertis. Elle continue à pomper et à pomper. J’explose dans sa bouche. Elle ne s’arrête pas pour autant et suce de plus belle. J’ai l’impression qu’elle ne veut pas en perdre une goutte. Son gros cul s’écrase sur mon visage pour que je lui mange encore sa chatte. Je la bois comme elle m’a bu.
Elle se relève soudainement et me dit :
- Maintenant, tu peux aller te coucher.
Le lendemain au petit-déjeuner, ma femme Sophie nous demande comment était le match. Et Mamie de répondre :
- La deuxième mi-temps était bien plus agréable que la première !
J’aimerais bien savoir quand est le prochain match que Mamie voudra regarder…