Mon gentil petit voisin me trouble et je succombe

J’habite en banlieue verte un beau pavillon entouré d’un jardin qui fait l’objet de tous mes soins. Récemment une piscine est venue encore augmenter le plaisir de vivre là.

Vie sans grande histoire d’ailleurs. La quarantaine, un mari exploitant avec succès une importante étude notariale, lui une Mercedes, moi une Mini Cooper, un grand fils de dix-neuf ans, brillant, rentrant à Ponts et Chaussée, une seconde résidence en Dordogne, beaucoup de relations mais peu d’amis ou d’amies, une vie sexuelle banale. N’est-ce pas le lot de beaucoup ?

Il y a quelques jours est venu s’installer dans un pavillon voisin un couple d’expatriés de nationalité indienne. Je leur ai rendu une visite de bon voisinage et de bienvenue.

Le mari m’a expliqué qu’il ne restait que quelques jours et qu’ensuite il s’en allait pour trois mois en Argentine. Son épouse, de mon âge, était très contente de me voir car elle craignait un peu la solitude et son peu de connaissance du français risquait de la handicaper. Son peu de français et mon peu d’anglais sont cependant parvenus à nouer un agréable dialogue ! Nous sommes convenus de pendre la crémaillère chez eux encore avant le départ du mari.

J’allais quitter ce couple assez sympathique et j’étais déjà sur le pas de la porte lorsque leur fils est rentré. Un grand gars d’un mètre quatre-vingt, très typé de son pays. Je ne lui ai jeté qu’un rapide coup d’œil mais l’ai trouvé sympa. Sa mère m’a confié qu’il avait vingt ans et que son plan d’étude post bac allait s’élaborer en fonction des disponibilités pratiques. Il parlait un français bien meilleur que sa mère.

J’avais presque oublié leur arrivée, lorsqu’un matin, le fils est venu sonner chez nous dans le seul but de me dire qu’il était tout disposé à tondre la pelouse, laver les voitures, nettoyer la piscine etc. car il avait besoin de se faire de l’argent de poche. Il m’a dit s’appeler Beran et être à ma disposition.

Avec le recul, j’aurais dû m’apercevoir qu’il me regardait avec des yeux de mâle gourmand et que son regard batifolait tout autour de mon corps. Son regard… parlons-en ! Des yeux noirs remplis de paillettes d’or ! Je l’ai remercié et lui ai dit qu’on penserait à lui s’il y avait des travaux quelconques.

J’avais presque oublié cette visite. Une après midi, j’avais pris une longue douche en prévision d’une soirée entre copines. Je m’étais maquillée et j’avais déjà mis mon soutien-gorge qui contenait ma forte poitrine quatre-vingt-dix D ainsi qu’une culotte « petit bateau » qui recouvre bien mon entre jambes que j’ai très poilu et que je ne taille pratiquement jamais, au plus grand plaisir d’ailleurs de mon mari qui adore y passer les doigts et jouer avec les mèches. Je suis ridicule en string… et, d’ailleurs, quelle importance puisque je n’ai pas d’amant pour en profiter. J’avais mis au-dessus un peignoir de bain en éponge avec une grosse ceinture nouée.

Je me faisais les ongles dans ma chambre lorsque j’entendis sonner à la porte.

J’ai eu la surprise de voir mon jeune voisin Beran en T-shirt et boxer short. Il revenait d’un jogging et ses parents étant absents. Il supposait que j’allai lui offrir un jus de fruit.

J’ai trouvé cela un peu désinvolte mais comment refuser. Heureusement qu’il n’a pas demandé de prendre une douche ! Un peu sans gène ces étrangers. Il avait le front mouillé et de larges auréoles tachaient son T-shirt. Il sentait la transpiration sportive. J’ai voulu lui dire que je n’avais pas le temps mais je ne sais ce qui s’est passé dans ma tête et je l’ai laissé rentrer. Peut-être était-ce le magnétisme de ses yeux pailletés d’or ? Que sais-je…

Il m’a suivie dans la cuisine pendant que je pressais deux oranges. Ce n’est qu’en lui tendant le verre que j’ai constaté que ce qu’il regardait, c’était ma jambe nue jusqu’à mi cuisse qui apparaissait dans l’ouverture de mon peignoir à chaque pas.

J’aurais dû, là, immédiatement mettre fin, me réajuster et le prier de me laisser dès que son verre serait vide. Mais non… Voyant l’objet de son regard j’ai souri. Imprudente, me direz-vous ! Mais oui… Mais comment expliquer que ce jeune mâle exotique, transpirant, me donnait des bouffées de chaleur aux joues (et autre part) ?

Taquin, souriant, il s’est approché de moi et comme si c’était un jeu, a défait le nœud de la ceinture de mon peignoir. Celui-ci s’est largement ouvert. Il était encore temps de tout arrêter, de refermer mon peignoir et de gentiment le mettre à la porte avec une petite tape sur la joue…

Mais non, j’étais tétanisée par son regard se promenant sur mon corps partiellement dénudé. Cela faisait longtemps, trop longtemps, qu’un regard d’homme avide de plaisir ne m’avait plus ainsi admirée.

Je n’avais pas remarqué qu’il avait retiré son sexe de son boxershort et l’exhibait ainsi à mon regard tout en le manipulant. Je n’avais, dans ma vie amoureuse, pas vu beaucoup de sexe d’homme, à part celui de mon mari et de l’une ou l’autre aventure préalable sans lendemain. Celui-ci me semblait plus long que gros mais ce qui était prodigieusement érotique c’était sa couleur ambrée surmontée d’un gland beaucoup plus clair. J’étais dans un état second. À sa merci…

Beran s’est approché de moi et, comme si c’était naturel, a mis ses lèvres sur les miennes et m’a pressé contre lui. Les dés étaient jetés. Rapidement nos langues se sont jointes et virevoltaient dans nos bouches comme des oiseaux un peu fous. Il était doué ce gamin ! En ballet endiablé, nous avons mélangé nos salives, mordus nos lèvres, aspirés nos respirations comme si nous attendions ce moment depuis longtemps.

Presque sans le vouloir, comme conduite par une autre volonté que la mienne, ma main s’est glissée entre nous et s’est emparée de son engin. C’était une chaude tige de bois dur qui palpitait sous mes doigts.

Beran a fait doucement glisser le peignoir de mes épaules et, passant ses mains derrière mon dos, a dégrafé mon soutien-gorge. Mes seins légèrement tombants ont trouvé refuge dans ses mains. Il les malaxait un peu maladroitement et a poussé l’audace jusqu’à se mettre à en sucer les mamelons. Au point où nous en étions, je voulais surtout qu’il n’arrête pas ! Finie mon éducation bourgeoise, finie la fidélité à mon mari. J’explosais de bonheur sexuel peut-être trop longtemps contenu.

Sentant son impatience, je lui ai demandé s’il avait déjà vu une femme nue. Je compris que son semblant d’expérience était plus livresque que réelle. À mi voix hésitante, il me confessa qu’il avait été déniaisé par une amie de sa mère le jour de ses dix-huit ans et que, depuis, il n’avait pas eu beaucoup d’occasions.

S’enhardissant, il me dit cependant que depuis qu’il m’avait vu chez sa mère il fantasmait sur moi et se masturbait souvent en m’imaginant toute à lui. On est bien partis !

J’avais toujours son sexe dans ma main et, l’écoutant parler, j’ai entamé un lent mouvement de va-et-vient. Je crois que ce serpent vivant et chaud qui occupait ma paume grossissait encore. Comme j’étais loin du bandage de bonne compagnie de mon mari, gentil mais mi-mou.

Il me demanda s’il pouvait voir ma chatte. Quel effronté ! J’ai enlevé ma culotte et ses yeux se sont écarquillés en voyant ma toison abondante. Il devait être habitué aux chattes imberbes des magazines pornos. Il faut dire que mon pubis est à faire rêver un connaisseur ! Une abondance de poils se répand en large nappe sur mon bas ventre pour remonter en une belle tresse quasi jusqu’à mon nombril. Sauf lors de mon accouchement, jamais les ciseaux ou le rasoir ne sont venu modifier ce don de la nature. Comme je suis châtain foncé vous imaginez cette couverture érotique cachant complètement mes lèvres vaginales.

Bien souvent, après que mon mari se soit libéré en moi mais sans me mener à l’orgasme, je me fouille moi-même et me caresse délicieusement, recherchant surtout le contact clitoridien qui, selon mon rythme, m’amène à devoir mordre mes lèvres pour ne pas crier de plaisir. Heureusement mon mari s’endort rapidement après son coït. Ce plaisir solitaire n’a pas besoin de fantasme quelconque et répond simplement à un besoin si agréable à satisfaire. Mais, revenons à Beran.

Celui-ci, n’osa toucher cette toison que je venai de lui dévoiler mais j’en ressentis l’effet dans les palpitations de son sexe que je tenais toujours à la main comme si c’était mon jouet favori. J’espérais qu’il n’allait quant même pas décharger dans ma main ! Ses mains d’homme s’occupaient toujours de ma poitrine, donnant à mes seins une vie propre. On aurait dit qu’il les auscultait, les palpait passant sa langue sur mes boutons durs et érigés.

Il faudra, à l’occasion, que je lui demande d’ailleurs comment s’était déroulée sa première expérience sexuelle avec l’amie de sa mère car il me semblait encore bien peu au courant des besoins des femmes…

Comme une dévergondée, que je ne suis pourtant pas, tirant un peu sur sa queue rigide, j’ai ramené mon jeune visiteur tout contre moi. Je respirais avec avidité cette odeur jeune et forte de transpiration sportive. À nouveau, et cette fois de mon initiative, nos bouches se sont rejointes mais cette fois pour un baiser moins fougueux, plus amoureux, plus calme mais combien envoûtant. Je promenais son sexe sur ma toison, jouant dans les poils tout en le masturbant un peu plus vite…

Inutile d’expliquer dans quel état d’humidité était mon vagin. Je crois que cela me coulait le long des cuisses. Soudain, je sentis des soubresauts dans cette queue, objet de mon jeu et interrompant notre baiser j’entendis mon jeune me dire « attention, madame… » d’une voix rauque. Effectivement, il se mit à jouir à longs jets, inondant ma toison de longs filets baveux. Il avait le corps arqué et couinait de plaisir. Il ne cessait de dire « pardon… pardon… Il devait être embêté le bonhomme !

Je n’avais pas lâché son sexe pendant ses décharges et, en sentant celles-ci se produire, j’ai eu moi-même un formidable orgasme qui a agité mon bassin d’avant en arrière comme à la recherche d’une pénétration. Il n’avait pas débandé et, reprenant ma bouche il a tenté de me pousser vers la table du salon. Visiblement, il aurait voulu m’y coucher et me prendre comme un soudard, à la culbute. Heureusement que mon précédent orgasme avait quelque peu pu calmer mes ardeurs, sinon vous voyez la scène d’ici. Moi les cuisses largement ouvertes, à la merci des assauts de ce gamin couchée sur la table du salon.

J’ai alors eu un sursaut, de dignité peut-être, et brusquement j’ai mis fin à tous nos attouchements et j’ai reculé, rattrapant mon peignoir qui gisait au sol avec ma culotte et mon soutien-gorge. Mon jeune ami était étonné. Je lui ai dit :

  • Écoute, Beran, nous n’aurions pas du faire ce qu’on a fait. C’était peut être fort agréable mais c’est terminé. Crois-moi, cela vaut mieux pour tous. Tu es bien sympa, mais comprends-moi.

Il était tout penaud et un peu dépité. Les jeunes se croient tout permis ! Il a cependant compris que le rideau était tombé sur la fin de la pièce. Il a rangé son engin dans son boxer short, m’a fait la bise sur la joue et s’en est retourné chez lui.

Toute songeuse et peut être un peu sexuellement insatisfaite, j’ai rapidement pris une douche, m’attardant sur ma toison où le sperme de mon jeune voisin n’avait pas encore eu le temps de sécher.

À la soirée mes copines m’ont trouvée particulièrement joyeuse mais l’une, peut être plus perspicace, m’a dit que j’avais de la nostalgie dans les yeux ! Fine mouche ? En tout cas ma résolution était bien prise… pas d’aventure avec ce jeune voisin.

°°°

Ce serait mentir que de dire que ma brève aventure interrompue avec mon jeune voisin n’a pas laissé de traces. La nuit, plusieurs fois, je me réveillai, interrompant un rêve, quasi toujours le même, celui d’un serpent basané en forme de verge avec une tête claire imaginant un gland qui me pénétrait au plus profond de moi-même et m’inondait d’un liquide abondant. Inutile d’expliquer dans quel état d’excitation je me trouvais à chaque fois.

Je n’avais plus revu Beran et, ni lui ni moi, n’avons d’ailleurs cherché prétexte à une rencontre.

Le dimanche suivant, les parents du jeune homme ont organisé leur « pendaison de crémaillère » dans leur jardin. C’était très sympa, nos maris, nos fils se sont trouvé beaucoup de points communs malgré la différence de race. Finalement, comme il faisait très chaud, nous sommes convenus de terminer la soirée autour de notre piscine.

Comme nous tous, la maman de Beran s’était mise en maillot ce qui m’a permis de l’examiner. Nous avions le même âge, elle était plus petite que moi et avait un corps menu agrémenté d’une poitrine que j’évaluais vers les quatre-vingt-cinq. Sa couleur de peau ambrée et fine laissait bien voir le jeu des muscles. Sportive, elle n’avait pas la moindre cellulite. Elle était jolie avec ses longs cheveux noirs jais réunis en chignon, ses sourcils abondants et longs mais très soignés et ses yeux… Ah ! Ses yeux ! Comme son fils, de l’or en fusion !

Instinctivement, j’ai regardé son pubis. Il m’a semblé un peu proéminent, gonflant le maillot. Des fesses copieuses mais bien fermes. Je me demande encore pourquoi je la décris ainsi car je n’ai aucun attrait sexuel pour une autre femme. Appelons cela simplement de la curiosité !

Nos maris parlaient entre eux de je ne sais quoi. Mon fils étudiait dans sa chambre et Beran dormait au soleil. Il n’était pas loin de moi, étendu sur le dos, avec pour tout habit un petit slip genre string homme. Je ne pouvais empêcher mon regard de se fixer sur ce petit bout de tissus bien gonflé. En fermant les yeux je revoyais distinctement le serpent tentateur qui peuplait mes nuits. Stop, me disais-je, modère tes envies car rien de bon ne peut résulter d’une liaison avec un gamin de la moitié de ton âge.

Comme il faisait vraiment agréablement bon, la maman de Beran et moi avons enlevé notre soutien-gorge et continué les seins nus. Avec envie, j’ai regardé la poitrine bien ferme de ma voisine. On aurait dit une poitrine de gamine, avec en plus, une puissance érotique étonnante due à une large aréole très foncée agrémentée d’un bourgeon quasi noir saillant de deux bons centimètres.

Je me trouvais un peu moche avec ma poitrine volumineuse un peu tombante et mes petits bourgeons à peine érigés. Je me suis vite consolé en me disant que malgré tout, cela avait fort plu à mon petit voisin et qu’il s’en ferait bien son quotidien. D’ailleurs, le petit vicieux ne cessait de me regarder au travers de ses yeux mi-clos et très distinctement j’ai constaté des mouvements suspects sous les tissus de son string.

Mon fils nous a rejoints pour quelques moments de détente et boire un jus de fruit. J’ai bien vu qu’il lorgnait sans retenue les appas de ma voisine ! Il faut dire que, à ma connaissance Jean (mon fils) était jusqu’à présent plus préoccupé par ses études que par des conquêtes. C’est un sujet que ni moi ni mon mari n’avons d’ailleurs abordé avec lui. Il n’est pas resté longtemps et a rejoint la maison.

Ma voisine Jora (tel est son prénom) s’était assoupie et je me suis dit que quelques brasses dans la piscine me feraient du bien. J’ai remis mon soutien-gorge car je n’aime pas marcher seins nus. Je trouve que le ballottement de mon imposante poitrine n’a rien de beau. Erreur peut-être. Par contre, mon slip de bain, pourtant pas mini laissait échapper des poils follets de mon abondante toison et la mèche remontant vers mon nombril agrémentait mon ventre.

Je me trouvais diantrement comestible. Mais mon mari parlait toujours avec son nouvel ami (de vins ou de foot… ou de politique ?) et ne me jetait pas un regard.

Après plusieurs longueurs de bassin je me suis reposée un peu en tenant le bord. Beran m’y a rejoint et s’est assis sur le bord du bassin, laissant ses jambes pendre dans l’eau autour de moi. J’avais donc juste devant moi son imposant paquet sexuel encore contenu par le tissu. Le mâle ! Il savait bien ce qu’il faisait !

Une fois encore, j’aurais pu mettre fin au début de ce jeu, plonger et quitter la piscine. Mais non. Mon regard était attiré comme par un aimant par ce paquet de chair que je connaissais bien pour l’avoir admiré, caressé et fait jouir quelques jours auparavant.

Mon jeune ami a poussé l’audace jusqu’à faire glisser doucement sa verge hors du slip et l’a décalottée tout en la manipulant. Elle était à dix centimètres de moi et je voyais bien le méat ouvert et les veines de la hampe bien marquées en plus foncées sur la couleur ambrée. Personne ne vous voyait, nous étions loin de la terrasse de repos.

Là, je ne sais ce qui m’a pris. Ma seule envie était de m’emparer de ce sexe un peu dressé, de le manger, de le sucer, de l’aspirer jusqu’à conclusion et de boire à la source l’explosion de celui qui serait alors mon amant. Heureusement, j’en ai été empêchée, par l’arrivée de Jora qui s’était éveillée et venait également nager.

Beran voyant arriver sa mère, s’est laissé glisser dans l’eau, à mes cotés.

Jora s’est mise à nager sans se préoccuper de nous. Son fils a pris ma main et l’a amenée, dans l’eau, au contact de sa verge maintenant entièrement bandée et m’a dit :

  • Joue avec elle, tu en as envie.

Petit salaud… c’était vrai ! Une nouvelle fois, ce contact avec cette tige dure et palpitante a balayé tous mes scrupules et, comme la dernière fois, j’en ai fait mon jouet, soupesant les bourses imposantes, faisant glisser la peau sur la hampe, touchant le gland.

De son côté, mon jeune voisin me caressait les fesses et a osé glisser sa main dans mon maillot, venant rapidement au contact de mes lèvres vaginales. J’ai cru défaillir et avoir là un malaise d’extase dans la piscine, d’autant plus que ses doigts agiles avaient trouvé mon petit bouton d’amour et, ma foi, avec habilité, y cherchait mon plaisir.

J’étais prête à me faire prendre là, dans l’eau, par ce gamin, sans aucune pudeur ni honte alors que mon mari, mon fils etc. étaient à proximité. Je n’étais plus qu’une boule de luxure appelant le plaisir dans mon ventre, dans ma bouche. Je n’avais jamais connu cela. Beran s’en rendait compte, car il fourrageait maintenant avec trois doigts bien loin dans mon vagin me provoquant des orgasmes à répétition. J’étais ivre d’amour sexuel et prête à tout sacrifier pour jouir, jouir encore de ce jeune corps. Heureusement, j’ai été sauvée, si l’on peut dire, par l’arrivée de Jora qui nous rejoignit. Nous sommes tous sortis de l’eau.

Peu après, mon fils est venu nous saluer car il nous quittait pour rejoindre son logement à Paris et réintégrer les cours le lundi matin. Nous sommes encore restés à parler un peu et comme le mari de Jora quittait bientôt pour son long stage en Argentine, nous avons décidé d’inviter Jora et son fils tout le mois d’août dans notre seconde résidence en Dordogne. Agenda en main, nous avons constaté que mon mari et moi pouvions partir dès le vingt juillet mais que mon fils ne serait libre qu’à partir du trente-et-un. Jora s’est spontanément proposée pour partir avec Jean, la date lui convenant d’ailleurs mieux car elle avait encore beaucoup de formalités à accomplir

Donc, le vingt, départ de mon mari et moi avec Beran et le trente-et-un, Jora et Jean nous rejoindraient avec ma Mini Cooper. J’adorais la Dordogne et notre maison y avait tout le confort. Mon mari s’est excusé car il avait encore des actes à relire et Jora et son mari sont partis.

Beran, devant tout le monde, a dit :

  • Madame, je vais vous aider à tout ranger et à recouvrir la piscine.

Évidemment, les dés étaient jetés ! Nous nous sommes effectivement mis à tout ranger, sans parler, remettant les fauteuils de terrasse en ordre, portant les verres et autres vaisselles dans la cuisine.

Je ne sais pas ce que je voulais. Continuer ce que nous avions commencé dans la piscine ou mettre fin à ce jeu stérile qui ne pouvait que nous amener des ennuis à l’un et à l’autre. Ce seront les circonstances qui décideront pour moi. Nous sommes alors allés vers la piscine pour y mettre la bâche protectrice. Nous étions alors hors de vue de la maison.

Ne voilà-t-il pas qu’en me retournant, j’ai vu que mon jeune voisin qui me suivait, avait retiré son slip et était totalement nu. Son long sexe au repos pendait sur ses bourses. Il était immobile et me regardait de ses yeux dorés et gourmands. En état second j’en ai fait de même, abandonnant mes vêtements pour être nue devant lui. Les dés étaient jetés !

Nous étions là, tous deux nus, à deux mètres l’un de l’autre, oubliant totalement que vingt ans d’âge nous séparaient. Nous nous regardions, attendant le moment où l’un ou l’autre ferait le premier pas. C’est presque ensemble que nous nous sommes rapprochés.

Des matelas de plage gisaient au sol. Je m’y suis couchée et, impudique, j’ai largement ouvert mes cuisses m’offrant à mon jeune voisin. Il se précipita sur moi et sans préparation aucune il enfonça son sexe en moi. C’est ce que je voulais : du sexe à l’état pur, des orgasmes rapides sans fioritures. Pas de préliminaires, mais de la fougue. Presque un viol consenti.

Beran s’agitait sur et en moi comme un jeune chien. Je sentis sa verge dure aller et venir en moi, profondément. Je n’avais pas peur qu’il jouisse en moi puisque j’avais fait ligaturer les trompes il y a quelques années déjà. Cette chevauchée semblait ne pas avoir de fin. De mon côté j’usais de mon vagin comme pression sur cette queue et mon bassin tentait d’épouser le rythme de mon maintenant amant. Instants sans fin. Instants de plaisir. J’aurais voulu que cela ne cessât jamais.

Nous conservions le silence chacun, les mots étant signification. Je n’allais quant même pas lui dire « je t’aime mon chéri… » alors que pour moi ce n’était qu’un parcours sexuel corporel. Sans plus, mais c’était déjà beaucoup.

À certains grognements et mouvements plus désordonnés j’ai compris que mon cavalier allait se libérer en moi. Quelle puissance ! C’est à longs et nombreux jets que ma chatte a été inondée.

Après son plaisir Beran s’est extrait de moi et avec un peu de maladresse il a posé un bisou doux sur mes lèvres puis, honteux semble t-il, il s’est habillé et s’est quasi enfui, me laissant les cuisses ouvertes dégoulinantes de nos deux jouissances. J’aurais voulu un peu de câlineries post coït, un peu de douceur, quelques mots gentils, un dialogue amoureux. Il faudra que je fasse son éducation, à ce gamin, car s’il veut m’avoir encore à lui autant que ce soit bien fait !

Lorsque je suis rentré à la maison, mon mari lisait déjà au lit. C’est vrai que je n’avais pas vu le temps passer et que les performances de mon jeune amant n’étaient pas de celle d’un éjaculateur précoce. Il prenait et tenait tout son temps. Une douche longue m’a détendue et, arrivée dans mon lit, ne voilà t-il pas que mon mari voulait « remplir son devoir conjugal » Amusant non ? J’avais le vagin encore en feu de la prestation fougueuse de mon jeune voisin et n’avais pas envie de recevoir le sexe de mon mari. Alors, en bonne épouse, je lui ai fait une fellation, sans grande conviction mais avec dévouement et efficacité. Ses quelques petits jets ont été recueillis dans un mouchoir que j’avais préparé à cet effet.