Retrouvailles avec notre ancien voisin
Nous nous appelons Julien et Émilie, couple de 25 ans, depuis des années ensemble, passés par la fac puis la vie active, et aujourd’hui toujours aussi unis et heureux. Nous ne sommes pas libertins mais assez « exhib » et nous pratiquons le sexe en extérieur, dans des endroits insolites ainsi que sur le web, et madame porte très rarement des sous-vêtements sous ses jupes et robes.
C’est une petite blonde, très bien faite, 1,60 m pour 50 kilos, un superbe 90C et un visage angélique qui ne révèle pas ce qu’elle est vraiment… Pour ma part, je suis un grand brun, mince et un peu mieux que la moyenne physiquement, mais je ne joue pas dans la même division que madame…
Nous sommes de retour dans la ville où nous avons fait nos études, cette fois-ci pour le travail. Nous avons donc décidé d’acheter une maison en banlieue pour avoir plus d’espace. Mais, évidemment, nous avons toujours des amis que nous côtoyions à l’époque ainsi qu’un voisin, M. H, un homme de 55-60 ans, bien conservé, super sympa, et qui adorait ma femme ainsi que ses tenues légères des beaux jours, il m’a dit plusieurs fois à l’époque que c’était une très belle fille et que j’avais beaucoup de chance. Vu que nous aimions bien M. H, je décide de lui passer un coup de fil histoire de se revoir et de parler de tout et de rien comme à l’époque.
M. H nous donne donc rendez-vous dans un café du centre-ville, ce dimanche ensoleillé du 29 avril 2012, et nous l’y retrouvons, madame et moi, à l’heure dite.
Madame porte une belle petite robe d’été bleue et c’est là son seul vêtement, elle ne fait pas ça pour attirer l’œil, au départ, mais par confort. Nous discutons donc avec M. H un bon moment en buvant des bières pour lui et moi et du vin blanc pour madame. Jusqu’au moment où elle se lève pour aller aux toilettes. Mon camarade en profite pour me glisser qu’elle est toujours aussi jolie voire plus qu’avant car elle a acquis de l’assurance, ce à quoi j’approuve, et il poursuit en m’expliquant qu’il entendait à l’époque quand nous faisions l’amour, notre chambre étant au-dessus de la sienne, et que ça lui donnait des idées, ce à quoi je lui réponds que c’est normal.
N’y tenant plus, je lui souffle que s’il lève la tête quand elle reviendra des toilettes et qu’il regarde son entrejambe quand elle descendra l’escalier, il aura plus que des idées… Il est interloqué mais me dit qu’il va le faire. Quelques secondes plus tard elle revient et lui et moi ne manquons pas le spectacle offert par sa jupe volante et l’escalier qui nous surplombe. Quand elle s’assied, ce n’est pas sans gêne que M. H lui reparle directement pour faire comme si tout était normal.
Les discussions et les rires se poursuivent, ainsi que les regards du voisin dans le décolleté plongeant de madame, et nous décidons d’aller manger un morceau chez M. H qui n’habite pas loin. Avant de partir, Émilie retourne aux toilettes et il se rince l’œil encore une fois, quand elle monte cette fois. Je lui dis que si ce soir il veut en voir plus, je veux bien lui en montrer plus, mais il faut qu’il fasse comme si de rien n’était.
Madame revenue, nous prenons la direction de chez lui pour une petite bouffe sur la table basse de son salon, tout en buvant du champagne. L’alcool aidant, madame fait très peu attention à son entrejambe, ce que M. H ne manque pas de regarder alors que je sens de plus en plus d’envie dans ses yeux.
Quand elle se lève pour aller, encore, aux toilettes, je lui dis qu’il peut aller la mater s’il veut, ce qu’il s’empresse de faire, il regarde par le trou de la serrure et se touche la verge à travers son pantalon, quand il revient, je peux voir au travers qu’il a une gaule d’enfer. Émilie nous dit en revenant qu’elle a trop bu, qu’elle a du mal à coordonner ses mouvements, je lui propose donc de rester assise là à se reposer pendant que lui et moi allons dans sa bibliothèque pour qu’il me montre ses lectures, ce à quoi elle répond par la positive.
À ce moment-là je réalise que je suis bien saoul et que j’ai déjà dépassé les bornes vis-à-vis de ma femme, mais je me dis aussi que l’on ne fait rien de mal et je me décide à aller plus loin. J’explique à M. H que s’il veut voir bien plus, à ce moment-là ses yeux brillent, il n’a qu’à nous laisser dormir ici et venir mater par la serrure de la chambre d’ami quand je ferai l’amour à Émilie. Il me répond qu’il a bien mieux à me proposer, il me laisse sa chambre qui est, du fait que l’appartement soit en coin, quasiment en face de la pièce où nous nous trouvons, et qui grâce à une porte-fenêtre, permet de bien voir ce qu’il se passe sur le lit.
J’aurai dû y penser puisque notre appartement était fait de la même manière, j’accepte donc volontiers son idée et nous retournons de ce pas dans le salon, où Émilie feuillette un magazine en attendant. Je lui dis que M. H est fatigué et que moi aussi, mais qu’il nous laisse sa chambre et va prendre le canapé où il a l’habitude de faire sa sieste.
Nous nous disons donc bonne nuit et nous dirigeons vers nos chambres respectives, nous en tant qu’acteurs, lui en tant que spectateur… Et là, dès que j’ai allumé la lumière pour qu’il voie le mieux possible, Émilie me déboutonne le pantalon et sort ma queue afin de l’engloutir. L’alcool lui fait toujours un effet bœuf mais là elle a l’air plus chaud que jamais. Elle me suce goulûment, puis nous nous mettons sur le lit pour un superbe 69, je lui suce sa chatte qui dégouline déjà et introduit ma langue puis un doigt dedans avant de m’occuper de son anus. Pendant ce temps elle me lèche les couilles ainsi que le périnée ce qui me fait presque jouir.
Elle se met sur le dos et je la prends en missionnaire mais je reste à la verticale pour que mon complice n’en rate pas une miette, ce faisant je lui donne mon pouce qu’elle suce comme d’habitude très goulûment comme s’il s’agissait d’une deuxième queue. Je la prends ensuite en amazone puis en levrette face à la porte-fenêtre et en regardant bien, je vois mon voisin qui semble se masturber. J’introduis à ma petite coquine un doigt dans l’anus que je lui donne ensuite à sucer, l’alcool aidant elle accepte et cela ne fait qu’amplifier mon excitation.
Je lui dis de descendre du lit pour ensuite continuer à la besogner par derrière mais debout, et ce tout contre la fenêtre et elle atteint l’orgasme quand je la porte sous les genoux et la baise toujours au même endroit. Elle se met ensuite à genoux pour recueillir mon sperme dans sa bouche et ensuite l’avaler. C’est trempés et exténués que nous nous endormons directement après.
Le lendemain matin nous prenons le petit déjeuner avec H sans que nos attitudes ne diffèrent puis, pendant qu’elle prend sa douche, il me remercie et me dit que c’était génial et qu’il n’avait jamais vu un corps comme celui d’Émilie, mieux que tout ce qu’il imaginait, je lui réponds qu’on s’arrangera pour qu’il le revoie.
Nous repartons chez nous en bus, dans lequel madame me dit avoir dès le départ compris qu’il allait nous regarder faire l’amour et qu’il n’avait fait que la reluquer de la soirée, et qu’elle n’avait rien caché d’ailleurs. Malgré ma gaule qui revient à vitesse grand V, je simule l’étonnement et un peu la colère et elle me dit que je suis très naïf et que c’était ostensible, mais qu’elle a pris son pied comme rarement et qu’elle a hâte de renouveler l’expérience, je lui réponds, en cachant mon plaisir, qu’on verra. C’est déjà tout vu…