Après avoir vu ma belle mere sous la douche
C’est samedi, le week-end commence et, avec ma femme Aline, nous accomplissons notre devoir conjugal. Il en est ainsi depuis trois ans, c’est la coutume puisque j’ai le samedi et le dimanche de congés, alors qu’Aline, qui travaille dans une banque, a dimanche et lundi de repos. Nos ébats s’achèvent presqu’à chaque fois par les hurlements de plaisir d’Aline quand l’orgasme arrive, ce qui est souvent le cas le matin, plus que le soir où nous sommes fatigués.
Elle se lève ensuite pour se préparer, je l’entends dans la salle de bains, pièce voisine de notre chambre. Je m’attarde quelques minutes supplémentaires au lit pour récupérer de mes efforts avant de me lever et de me rendre à la salle de bains. J’entends l’eau de la douche qui coule et naturellement je pense que c’est Aline qui se trouve derrière le rideau. C’est nu comme un ver, la queue encore raide que je décide de la rejoindre. J’ouvre le rideau et, oh surprise ! Ce n’est pas Aline sous la douche mais Yvette, ma belle-mère !
Le spectacle qui s’offre à mes yeux est imprévu, fugace comme une série de photos-flash qui défilent devant mon regard. Yvette tient la douchette d’une main et de l’autre elle tente de cacher ce qui peut encore l’être, à savoir sa poitrine qu’elle couvre de son bras disponible. Pour ma part, je vois successivement de haut en bas : sa tête ébahie, son corps nu de femme presque septuagénaire et sa chatte dépourvue de poils.
J’avais totalement oublié qu’Yvette était là, comme chaque fin de semaine depuis son veuvage. Je ne sais rien de son intimité, ne m’étant jamais posé cette question, c’est la mère de ma femme et pas plus.
C’est donc aussi gênés l’un que l’autre que nous tentons de nous donner une contenance différente des apparences qui ne plaident pas en notre faveur.
- Excusez-moi, dit Yvette, j’avais chaud et j’ai pensé qu’une douche avant le petit déjeuner me ferait du bien. Je vous croyais sur la terrasse avec Aline.
- Et moi je vous croyais encore dans votre chambre et je pensais que c’était Aline sous la douche, dis-je en refermant le rideau comme un voile sur sa nudité. Excusez-moi aussi belle-maman, je n’ai pas voulu être indiscret.
Le petit déjeuner est plutôt austère. Bien sûr, je ne dis rien de cet incident à Aline, et Yvette, en arrivant sur la terrasse vêtue d’une robe d’intérieur longue, ne fait aucune allusion à cet épisode non provoqué. Elle dit bonjour en nous embrassant l’un après l’autre comme si elle venait de se lever. Le déjeuner se passe sans conversation, Aline ne s’en offusque pas, elle est déjà dans la peau de la femme qui part au travail.
- Au revoir mon chéri, à ce soir, il est l’heure pour moi de partir, je pense que tu vas t’occuper au jardin comme d’habitude ?
- Oui amour, je vais tondre la pelouse et je passerai le robot pour nettoyer la piscine et cet après-midi je me reposerai, car il fait vraiment trop chaud passé midi et j’ai envie de rêvasser.
- Bien, et toi maman quel est ton programme ?
- Rien de spécial ma fille. Tu sais que je n’aime pas trop la chaleur, alors je crois que je vais passer une grande partie de la journée entre la lecture et la baignade à la piscine, à l’ombre d’un parasol.
- Bonne journée, heureux veinards, il y a ce qu’il faut dans le réfrigérateur, je ramènerai le dîner. Ne vous disputez pas et à ce soir, dit Aline en nous quittant.
Je ne me suis jamais disputé avec belle-maman. C’est une femme discrète, peu exigeante qui ne veut que le bonheur de sa fille. Je ne peux pas dire que nous soyons proches l’un de l’autre mais, avant ce matin, il n’y avait jamais eu d’incident entre nous. Mais est-ce seulement grave ?
Yvette décide enfin de rompre le silence.
- Ce qui est arrivé tout à l’heure, me contrarie vraiment Michel, c’est de ma faute et vous savez, je n’ai pas voulu vous provoquer, je vous respecte trop pour cela, je veux que vous en soyez certain. Comment avez-vous vu mon corps ?
- Je vais vous dire Yvette, que j’ai vu une femme encore jolie avec un corps bien fait pour votre âge et je veux aussi vous dire que vous n’êtes pas responsable de ce qui s’est passé puisque c’est moi qui ai ouvert le rideau, pensant que c’était Aline sous la douche.
- Oui, mais ce n’était pas ma fille, c’était moi, alors dites-moi ce que vous avez vu exactement ?
- Je n’ai pas vu vos seins que vous cachiez du bras, mais par contre, je ne veux pas vous mentir et c’est vrai que j’ai apprécié votre chatte rasée. Mais ne soyez pas choquée belle-maman, vous avez encore de beaux atours et si vous voulez tout savoir, j’ai le fantasme de me payer un jour une femme plus âgée que moi alors pourquoi pas vous et, si j’en crois ce que j’ai vu, vous ne paraissez pas avoir tiré un trait sur votre avenir sexuel ?
- Vous n’y pensez pas Michel, vous êtes mon gendre et le mari de ma fille, vous tromperiez Aline ?
- Aujourd’hui, pas avec une autre femme mais avec vous, probablement, et puis cela resterait dans la famille. Je crois qu’il vaut mieux le faire ensemble, plutôt qu’attendre plus tard et avec qui ? De toute façon, je sais que je satisferai un jour mon fantasme de coucher avec une femme qui pourrait être ma mère. Nous sommes seuls jusqu’à 18 heures alors pourquoi réfléchir plus longtemps ?
- Mais j’ai ma conscience qui me recommande de respecter mon défunt mari, moralement mon deuil n’est pas terminé.
- Belle-maman, cela fait maintenant trois ans que vous êtes veuve, vous devriez penser à refaire votre vie. N’écoutez pas toujours votre conscience qui n’est pas forcément la meilleure des conseillères.
Sur ces paroles, je la laisse à ses réflexions et pensées et je pars travailler au jardin.
C’est vrai qu’Yvette pourrait être la femme d’un fantasme. J’en ai eu le déclic ce matin en la voyant nue sous la douche. C’est une femme de 69 ans. Elle avait 44 ans lorsque, sur le retour d’âge, elle est tombée enceinte d’Aline. C’est une femme de plus de 1 m 65, sans embonpoint avec ses 62 kg, une poitrine généreuse sans excès qu’elle porte encore très bien. Elle pourrait trouver facilement un amant si elle le désirait mais elle a du mal à faire le deuil de son mari.
La matinée se passe comme prévue, en suivant le programme décrit à Aline. Yvette vient me rejoindre vers les 10 heures pour me proposer un café que j’accepte. Nous le prenons à l’ombre sur la terrasse au bord de la piscine sans reparler de l’incident de la salle de bains. Nous en profitons pour arrêter le menu du midi ; ce sera crudités et grillade au barbecue. Yvette s’occupe de préparer l’entrée et moi le barbecue.
Le repas de midi se déroule comme si rien ne s’était passé. Yvette est habillée d’une robe de plage légère qui laisse transparaître son maillot de bain deux pièces de couleur noire. Je remarque aussi que ses tétons pointent, montrant deux pointes rondes au centre des seins. Je pense tout d’abord que ce sont les bouts des bonnets mais comme le maillot moule parfaitement la poitrine, j’acquiers vite la certitude que ce sont ses tétons. Je ne les avais jamais remarqués ainsi, mais les avais-je seulement regardés ?
Nous décidons de prendre le café au bord de la piscine, allongés sur des chaises longues, comme deux amants que nous ne sommes pas encore.
J’ai retiré mon short et je suis maintenant en slip de bain noir. Yvette a ôté sa robe dévoilant son maillot deux pièces épié au repas. Elle est allongée sur le transat, désireuse de quelque chose mais je sens qu’elle ne sait pas comment le dire. J’ai toujours en tête mon fantasme et elle probablement l’incident de la douche et notre conversation par rapport à sa conscience, je sens qu’il me faut crever l’abcès alors, je prends la parole :
- Vous avez l’air d’avoir chaud Yvette, pourquoi n’iriez-vous pas vous baigner ? Après si vous me le demandez, je vous passerai de la crème dans le dos pour vous protéger du soleil.
- Vous avez raison mon gendre, un bain me fera le plus grand bien. Pouvez-vous me dégrafer mon soutien-gorge ?
- Avec plaisir belle-maman.
Ce n’est pas ses habitudes, jamais Yvette ne montre ses seins nus, ni à la plage, ni à la piscine et surtout jamais devant moi.
- Je croyais que vous ne vouliez pas être nue en ma présence, dis-je en dégrafant le haut du maillot.
- Jusqu’à ce matin, c’était vrai mais notre petite discussion m’a ouvert les yeux et depuis je ne fais que ressasser vos paroles et je dois aussi vous avouer Michel que j’ai le même fantasme que vous.
- Ah bon ! Vous voulez aussi coucher avec un homme plus vieux que vous ?
- Non pas plus vieux, plus jeune, vous avez très bien compris mon allusion, petit coquin.
Quel retournement de situation ! Hier je n’échangeais avec ma belle-mère que des banalités familiales dans nos discussions, ce matin je la vois à poil sous la douche, et cet après-midi, elle me fait des avances pour coucher avec moi. J’ai gagné au jackpot des amants.
Dépoitraillée, elle me fait face et demande mon avis sur ses seins.
- Suis-je la femme de vos fantasmes Michel ?
- Bien sûr que oui, ma chère Yvette, vos seins sont superbes et n’ont rien à envier à votre chatte rasée que j’ai aperçue ce matin. Vous vous êtes mise d’accord avec votre conscience ?
- Je crois que je vais l’oublier et faire avec aujourd’hui, si je ne vous déplais pas trop.
- Bien au contraire, je vous ai dit ce matin que je préférais remplir mon fantasme avec vous que je trouve engageante, gracieuse, désirable et que je connais, plutôt qu’avec une femme prise au hasard.
Yvette possède une poitrine magnifique avec deux seins lourds légèrement tombants mais les bouts restent pointés en avant, les tétons sont gros comme de petites perles et ses seins ont la particularité d’avoir des aréoles et des tétons rose bonbon. Je n’ai jamais vu cette couleur de pigmentation sur d’autres poitrines féminines et je trouve cela divin !
- Si vous me permettez ma chère belle-maman, je voudrais vous demander pourquoi vous vous rasez la chatte ?
J’emploie volontairement des mots crus pour la tester, mais elle ne s’en indigne nullement pour réagir :
- Je peux vous répondre Michel. Vous savez qu’il y a deux ans, j’ai été opérée de l’appendicite et pour cette intervention il faut être totalement rasée. Je ne vous cache pas que cela a été une révélation pour moi, je me suis sentie plus propre, mieux avec cette partie de mon corps que je n’appréciais pas auparavant et depuis je me rase régulièrement le pubis et la vulve. Qu’en pensez-vous ?
- Je n’y avais jamais pensé auparavant mais c’est vrai que c’est érotique pour un homme. De plus, il m’a semblé voir que vous aviez la fente de la vulve bien dessinée et visible verticalement sur plusieurs centimètres de haut lorsque vous êtes debout, jambes jointes.
- C’est depuis mon accouchement d’Aline, j’ai eu une césarienne et la cicatrice me tire la fente vers le ventre, vous avez remarqué cela ce matin ? Très sincèrement, je vous remercie d’apprécier autant mon corps et de me mettre aussi à l’aise par vos gentilles paroles. Ma fille a vraiment beaucoup de chance. Je vais tout de même aller me baigner pour évacuer totalement les derniers blocages de mon corps.
Je reste allongé sur mon transat pendant qu’Yvette barbotte dans la piscine, tantôt sur le dos, je vois ses deux mamelles qui flottent à la surface de l’eau de chaque côté du corps, tantôt en brasse, les seins plongent alors à la verticale sous son corps. Le manège dure une demi-heure avant qu’elle ne se décide à ressortir du bain.
J’ai la queue en pleine excitation et mon slip est trop petit pour cacher mon anatomie qui forme une proéminence au-dessus de mes cuisses. Je ne m’en cache pas et je reste sur le dos pour lui montrer mon attirance pour elle. Yvette ne s’en laisse pas compter et en passant à ma hauteur, elle me tapote la queue et dit :
- Michel, cachez ce sexe que je ne saurais voir !
Alors je lui réponds par allusion au Tartuffe de Molière :
- Yvette cachez ces seins qui me font tout cet effet !
Je découvre Yvette encore plus désirable que tout à l’heure et ne voulant pas perdre plus de temps à attendre, je lui propose de rentrer à la maison, choix qu’elle accepte tout de go.
Nous passons sous la douche, ensemble, sans retenue cette fois avant de gagner l’étage de la maison. Nous n’avons aucune crainte d’être dérangés, ni par Aline qui est au travail ni par la famille qui est loin, ni par les voisins qui n’ont pas pour habitude de nous rendre visite. Nous choisissons la chambre d’Yvette contiguë à celle que nous occupons avec Aline.
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À peine entrés dans la pièce, Yvette se montre une autre femme, entreprenante, active, désireuse de me plaire et de se satisfaire. Elle est au diapason avec ma conscience et probablement aussi avec la sienne qu’elle met en sommeil en cet après-midi où je vais pour la première fois faire l’amour avec ma belle-mère.
Par pudeur ou par habitude, j’ai remis un slip de bain après la douche, Yvette totalement nue prend l’initiative. Elle se met à genoux devant moi, sur la descente de lit, m’attrape le slip par les côtés pour le descendre d’un seul coup jusqu’aux genoux et enfourne ma queue raidie qu’elle tient d’une main dans sa bouche sensuelle, de l’autre elle presse mes couilles qui me font mal. Ce n’est pas sa main qui fait mal mais toute l’envie et l’excitation d’avoir attendu ce moment divin où je vais pouvoir m’offrir ma belle-mère.
Je sens ses lèvres chaudes coulisser sur mon gland qu’elle prend bien profond en bouche. Elle pompe ainsi en experte pendant plusieurs minutes, retardant mon éjaculation que je ne peux plus contenir. Au moment divin de l’extase, je prends sa tête entre mes mains pour pousser mon sexe loin en bouche et finir par lâcher mon sperme au plus profond de sa gorge. Elle n’a aucun dégoût de recevoir ma semence qu’elle avale avec délice. J’en reste coi, ne pensant pas qu’une belle-mère puisse donner autant de plaisir à un gendre qui n’en demandait pas tant.
Pour remercier mon amante du jour, je la relève et vient déposer sur ses lèvres souillées sentant le sperme, un baiser qui se veut être un baiser de reconnaissance, de complaisance mais aussi d’amour.
J’enserre Yvette dans mes bras pour lui dire :
- Merci du plus profond de moi-même pour m’avoir permis d’accomplir ce fantasme dont je rêvais depuis longtemps et qui tranquillement mûrissait dans ma tête sans savoir quand, où et avec qui j’allais pouvoir l’accomplir. J’ai enfin pu grâce à toi – pardon, à vous – le réaliser et c’est probablement un instant qui restera gravé dans ma mémoire.
- Je te remercie Michel en t’avouant que dans l’intimité je te tutoie déjà surtout quand tu es seul dans mes pensées et puis grâce à toi j’ai pu redécouvrir mon corps, alors tu peux me tutoyer sans hésitation ni retenue.
- Ah bon ! Précise-moi ce que tu sous-entends dans cet aveu intime ?
- Tu sais que tous les samedis matin lorsqu’Aline et toi vous faites l’amour, tu es « mon » Michel.
- C’est-à-dire ?
- Les murs ici ne sont pas très épais et Aline n’est guère discrète lorsqu’elle prend du plaisir avec toi. Je pense que tu dois être un bon amant et que tu la satisfais à chaque fois. C’est pourquoi j’aime venir chez vous dès le vendredi soir car je sais que le samedi matin tu vas faire jouir Aline. C’est aussi avec moi que tu fais l’amour et je peux te l’avouer maintenant que des orgasmes, j’en ai eu beaucoup et souvent avec michel.
- Comment cela ?
- Quand vous faites l’amour dans la chambre voisine, je me caresse le clitoris et je m’introduis un gode dans le vagin pour te remplacer. Ce gode je l’appelle michel et en fermant les yeux, en vous écoutant crier de plaisir à côté, j’ai le sentiment que c’est avec moi que tu fais l’amour et que tu t’éclates en moi. J’ai aussi envie que tu me prennes partout, devant, derrière comme la maîtresse que je veux être pour toi. J’ai souvent eu envie de venir vous rejoindre mais Aline n’aurait pas compris car ce n’est pas l’image qu’elle a de moi. J’ai aussi souvent eu envie de te parler lorsque nous sommes seuls les samedis, mais j’ai craint de te perdre complètement. Alors ce matin, quand tu m’as vu nue sous la douche, j’ai eu un instant de pudeur en me cachant mais j’ai regretté mon geste après car enfin, je me révélais à toi et comme tu m’as dit que je correspondais à l’un de tes fantasmes, je n’ai pas voulu laisser passer la journée sans m’offrir totalement à toi.
- Le regrettes-tu maintenant ?
- Oh que non ! Je m’arrangerai plus tard avec ma conscience et je suis prête à réaliser tes autres fantasmes, puisque tu m’as dit en avoir d’autres. Puis-je être la femme qui te permettra de les réaliser ?
- Bien sûr que tu le peux puisque tu le veux. Mon principal autre fantasme est de sodomiser une femme mais Aline s’y refuse toujours malgré toutes mes approches. Est-ce normal d’après toi ?
- Je ne sais pas si cela est normal ou pas mais avec André mon mari, j’ai mis de nombreuses années avant de l’autoriser à me pénétrer par l’anus. Longuement, patiemment il m’a expliqué que cet orifice n’était pas plus interdit que d’autres, ni plus sale, ni moins sensible et je dois aussi t’avouer que j’en ai souvent éprouvé du plaisir à partir du moment où l’étape de l’appréhension a été surmontée. Tout espoir n’est pas perdu avec Aline, si tu sais être persévérant.
- Et aujourd’hui Yvette, tu accepterais que je te pénètre analement ? Tu pourrais être le professeur et le modèle que je n’ai jamais eu en amour.
- Je ne crois pas Michel que j’ai quoi que soit à t’apprendre. Avec ta sensibilité et ta douceur je suis certaine que tu réussiras à me satisfaire. Je veux bien que tu me sodomises et même je te le réclame de suite.
- C’est entendu, mais auparavant tu viens de me faire penser à un autre fantasme que je voudrais que tu réalises de suite sans plus attendre.
- Tu me fais peur, Michel qu’as-tu inventé encore ?
- Je voudrais que tu me montres ce que tu fais et comment tu jouis lorsque je fais l’amour avec Aline dans la chambre voisine.
- Tu veux voir ce que je fais ?
- Oui, pour mieux t’imaginer et penser à toi quand j’aurai ta fille dans mes bras. J’aurai ainsi le sentiment de faire l’amour avec sa mère… ma belle-mère !
Sur ces paroles, Yvette n’en dit pas plus. Elle me plante au milieu de la chambre, j’ai la queue tendue à l’extrême, parallèle au sol. Elle s’allonge sur le dos, remonte ses genoux en prenant appui sur les talons qu’elle pose au niveau des fesses et ouvre les jambes au maximum comme une femme qui accouche. Elle est ainsi complètement offerte sur le lit, mais je me garde bien de venir la rejoindre, préférant m’asseoir sur un fauteuil dans l’angle de la pièce pour mieux l’observer. De cet endroit, j’ai une vue de face sur sa chatte largement ouverte et dans la porte-miroir de l’armoire, je peux voir Yvette de côté en train de se masturber.
Elle ferme les yeux et commence avec le majeur de la main droite à se caresser le petit bouton du plaisir, pendant que sa main gauche s’attarde à serrer ses seins pour les peloter avant de faire rouler les tétons entre le pouce et l’index. Quand elle juge qu’un sein a eu suffisamment d’excitation, elle change pour l’autre. Elle n’arrête pas de titiller son clitoris, caressant aussi de haut en bas et de bas en haut les petites lèvres jusqu’au vagin, petites lèvres que je devine bien faites car parfois elle les pince entre deux doigts pour se donner encore plus de sensations. Il me semble apercevoir deux excroissances plates comme des écus et roses comme ses tétons.
La scène dure, dure longtemps. Yvette a toujours les yeux clos, concentrée dans ses pensées, elle remue le corps de gauche à droite, caresse le drap du lit avec ses fesses qu’elle soulève légèrement, ouvre encore plus largement les cuisses en appuyant sur ses talons en se tortillant et en poussant de petits gémissements de plaisir. Je suis à mon maximum d’excitation mais je me refuse de toucher ma queue de crainte de ne pas pouvoir arrêter de me masturber. Je veux que mon désir et mon plaisir soient réservés à ma maîtresse du jour et cette maîtresse est ma belle-mère.
Plusieurs minutes se passent ainsi avant qu’Yvette, reprenant un instant ses esprits, ouvre les yeux et dise :
- Je n’arrive pas à aller jusqu’à l’orgasme.
- Tu veux que je te prenne maintenant pour l’atteindre ?
- Non ! Tu veux me voir jouir et je souhaite te donner ce plaisir pour que tu puisses mieux m’imaginer me masturbant lorsqu’Aline gémira dans tes bras.
- Alors si tu veux, fais-le. Je reste installé dans mon fauteuil à te regarder et à attendre. J’ai tout le temps et c’est un trône de roi tu sais ! Mais peut-être qu’être observée te gêne pour aboutir à l’orgasme ?
- Non mon chéri, ce n’est pas cela. C’est plus long qu’à l’habitude non pas parce que tu me regardes mais parce qu’il manque les gémissements de plaisir de la chambre voisine. Tu comprends ?
- Je vois mais je ne peux pas faire grand-chose dans l’immédiat. Si j’avais su, j’aurais enregistré Aline en train de jouir !
- Non, n’allons pas jusque là, passe-moi michel.
- Michel ?
- Regarde dans mon sac, il y a une pochette avec un gode : c’est michel !
J’ai compris qu’en plus d’écouter à travers les murs, ma belle-mère se gode la chatte pendant mes ébats avec sa fille. J’en reste pantois d’imaginer cela mais je dois bien me rallier à la réalité des faits.
J’ouvre son sac de voyage et sous un chemisier, au milieu des petites culottes et autres lingeries féminine, il y a une pochette souple à travers laquelle je sens au toucher la forme d’un gode que je sors de son étui. C’est un gode noir d’environ 20 cm de long pour 4 cm de diamètre. Il n’est pas totalement cylindrique, le bout est en forme de gland rond et il a aussi un renflement à mi-hauteur. Il est gonflant grâce à une poire que l’on peut presser et il est aussi vibrant grâce à un variateur de vitesse. J’étais loin de m’imaginer tous ses fantasmes mais j’en éprouve un sentiment de bien-être d’avoir une belle-mère aussi libérée sexuellement.
- C’est lui, michel ?
- Oui je te présente michel l’objet de mes plaisirs solitaires et de mes jouissances de fins de semaines chez vous. Tu comprends maintenant que tu ne puisses pas m’être indifférent.
- Je vois et maintenant j’en fais quoi de ton michel, puisque c’est le prénom que tu lui donnes. Pourvu que je n’en sois pas jaloux.
- Je pense que tu n’as rien à craindre, un original ne peut pas être moins bon qu’une copie. Si tu es déçu on peut le mettre au rencard mais je te rappelle que c’est toi qui as voulu voir comment je me faisais jouir pour mieux m’imaginer à l’avenir.
- Exact, je profiterai donc de ton michel jusqu’au bout. Vas-y, je te regarde.
Ne faisant ni une, ni deux, Yvette mouille de gland du gode d’un peu de salive et s’introduit l’engin dans le vagin. Après quelques va-et-vient et quelques gémissements de plaisir, le gode bien enfoncé dans l’orifice, elle attrape la poire et appuie plusieurs fois dessus pour gonfler le gland. J’ai compté sept ou huit pressions successives sur la poire. Je ne sais pas la grosseur que cela peut représenter mais je compte bien m’en assurer plus tard. Elle met aussi doucement la vitesse en service et cet effet lui déclenche quelques frémissements supplémentaires. Elle semble s’abandonner à ce bien-être, détendue et offerte.
Yvette tire sur le gode toujours gonflé à l’intérieur de son vagin puis le repousse plus profond. Elle ne jouit pas mais son plaisir semble immense. Elle ouvre les yeux et son regard vers moi est vide, comme lointain. Je lui propose de l’aider à atteindre son orgasme.
- Veux-tu que je vienne te faire l’amour maintenant ?
- Non Michel, pas tant que je n’aurai pas atteint ma jouissance. Si tu veux viens t’occuper du gode, tes mains remplaceront les gémissements habituels et je pourrai ainsi me concentrer sur mon plaisir que je voudrais t’offrir très fort, pour toi seul.
Je m’assois sur le bord du lit et attrape le gode d’une main. Je commence à jouer avec le variateur de vitesse et l’effet ne se fait pas attendre, Yvette apprécie. Elle a les yeux fermés, un bras au-dessus de la tête et avec l’autre elle titille ses bouts de seins.
Maintenant je fais aller et venir le gode sur toute sa longueur. Lorsque la partie gonflée se rapproche des petites lèvres, je vois le vagin s’élargir et le clitoris sortir de son capuchon. Je me refuse d’y mettre les doigts pour ne pas fausser le jeu par contre je m’autorise à sortir complètement l’engin pour voir sa taille gonflée. L’effet produit chez Yvette est très fort, elle hurle de plaisir.
- Aaaah ! Encore, je t’en supplie ! Continue mon chéri, remet michel à l’intérieur, je vais bientôt jouir.
Le gode ainsi gonflé doit bien faire près de 6 à 7 cm de diamètre. Je lui fais reprendre sa taille initiale avant de le réintroduire dans le vagin et je le regonfle par pressions de la poire. J’en rajoute trois supplémentaires ainsi il doit bien faire 8 cm à l’intérieur. J’actionne le variateur et là, c’est le paradis de l’abandon pour Yvette.
Le gode ainsi grossi, appuie sur la vessie et un jet d’urine sort du méat comme un geyser. Yvette ne peut plus se retenir et dans des râles et des cris de jouissance extrêmes, elle s’abandonne sans retenir la moindre jouissance. Je retire d’un coup le gode présentant une tête comme une boule de pétanque et plonge mon visage entre les cuisses de ma belle-mère pour lui faire un cunnilingus.
- Que c’est divin mon Michel, fais-moi jouir avec ta bouche.
J’aspire son clitoris gonflé à l’explosion, je passe ma langue le long des petites lèvres rosies par l’excitation, puis je l’enfonce le plus possible dans son vagin. Je récupère toute son intime sécrétion qui abonde dans toute sa chatte. Je sens son plaisir intense arriver au point de non-retour lorsque j’introduis deux doigts – l’index et le majeur – dans la chatte pour lui caresser le périnée derrière le méat urinaire, là où se situe son point G.
Le résultat ne se fait pas attendre, dans un hurlement de jouissance et d’orgasme, Yvette se libère totalement. L’explosion de sa jouissance propulse un jet de liquide visqueux, qui n’est pas de l’urine ni du sperme. Je connaissais de nom les femmes-fontaine, j’en découvre une aujourd’hui pour mon plus grand bonheur. Elle m’avouera plus tard que c’est la première fois qu’elle se découvre être une femme-fontaine.
- Ne t’arrête pas ! m’ordonne Yvette, continue Michel, c’est trop bon.
C’est vrai que je ne souhaite pas arrêter là une expérience si positive, même si c’est au détriment de mon plaisir personnel que je reporte à plus tard. Pour l’immédiat, tout en voulant donner un maximum de plaisir à ma belle-mère, je profite de cette situation inespérée ce matin lorsque me réveillant, je faisais mon devoir conjugal avec sa fille.
Je ne peux pas dire si Yvette a eu plusieurs fois du plaisir. Je pense plutôt qu’elle jouit d’un orgasme continu avec par moment des pulsions positives qui libèrent des petits jets de jouissance.
C’est complètement abattue, les bras en croix qu’elle tente de récupérer un peu de respiration plus rythmée que les saccades courtes et haletantes précédentes. Elle se dit « toute chose » mais entre deux reprises de respiration, elle en demande plus :
- Nous n’avons pas exécuté totalement le contrat de nos paroles, mon amour. Sodomise-moi comme je le mérite, comme dans mes pensées. Tu ne dois plus pouvoir résister à te contenir et tu pourras ainsi te soulager !
Sans plus attendre, Yvette se met à quatre pattes, les fesses en l’air me proposant ses deux globes de chair fraîche. Mais ma surprise est encore plus grande, lorsque, écartant ses fesses pour accéder à sa pastille plissée, je découvre un anus tout rose, comme ses tétons, comme ses petites lèvres vaginales et maintenant comme l’orifice anal. Je ne savais pas qu’une femme pouvait avoir sur toutes ces extrémités une pigmentation de la peau aussi claire, aussi rose. C’est du jamais vu pour moi et très beau à regarder.
Je ne m’attarde pas en préambules, juste une vérification d’usage pour tester le degré de lubrification et une autre vérification pour la souplesse du sphincter. Tout va bien, je peux la pénétrer.
- Remets michel dans mon vagin, j’aurai ainsi l’impression d’être pénétrée par mes deux plus chers amants : deux Michel en même temps.
Je m’exécute en introduisant le gode dans sa chatte et par quelques pressions sur la poire, je le gonfle pour qu’elle le sente bien sur ses parois vaginales sans mettre de vibration pour qu’Yvette profite de ma queue au maximum. J’approche ensuite ma verge à l’entrée de sa rosette, pousse légèrement pour bien sentir la résistance avant de l’introduire. Yvette est soumise, nullement contractée par cette première pénétration de ma part. Elle se laisse faire en toute confiance, alors je pousse mon engin 17 fois 5 à l’intérieur, au plus profond de son rectum, jusqu’à la garde. Je sens le gode gonflé de l’autre côté de la paroi. Yvette trouve agréable de sentir le gode appuyer sur sa vessie et sur son point G à la cadence de mes va-et-vient.
- Continue ainsi, doucement et lentement, comme tu fais. C’est trop bon et je crois que tu vas encore m’envoyer au Nirvana sous peu.
Dans la glace de l’armoire, j’ai le film de nos ébats, Yvette en travers du lit à quatre pattes, les bras allongés loin devant, et moi debout sur le sol, face à l’armoire, la queue dans le cul de ma belle-mère. Entre ses jambes pendent la poire du gode et le variateur de vitesse et entre ses bras, je vois les deux seins se balancer en rythme avec les tétons qui caressent le drap de lit. Le spectacle est sublime et mériterait d’en faire une vidéo, mais je ne pense pas trop à cela ni au cul que je pénètre, pour me concentrer plus sur l’acte lui-même car, pour cette première, je voudrais jouir simultanément avec Yvette ma belle-mère.
Il ne faut pas longtemps pour qu’Yvette explose dans un nouvel orgasme. Je m’allonge sur son dos, attrape ses seins pour les serrer dans mes mains, j’enfonce encore plus mon sexe dans son cul, puis je ne bouge plus pour laisser mon éjaculation se propulser loin dans son rectum. C’est dans des cris de jouissances partagées que nous restons ainsi collés l’un à l’autre sans bouger pour savourer l’instant divin.
- Tu m’as offert la plus belle réponse à tous les fantasmes de mes nuits sans amant et à tous les films que je me fais lorsque je vous entends faire l’amour dans la chambre voisine. Tu sais Michel, chaque lundi quand je repars, j’ai hâte d’être au vendredi suivant pour revenir vous écouter faire l’amour.
- Et maintenant belle-maman, qu’elles seront nos relations sentimentales ?
- Maintenant, ce ne sera plus pareil. Nous avons eu une belle journée d’amour que je veux garder comme cela, sans rien y ajouter, sans la renouveler samedi prochain ou un autre jour. Je sais qu’avec Aline vous êtes heureux sexuellement et je ne veux pas gâcher votre bonheur ni être une ombre dans votre couple.
- Quel dommage, mais je respecte ce choix.
- De plus Michel, j’hésitais à répondre favorablement à un homme que tu connais, Paul, qui m’a proposé d’aller le rejoindre quand je veux dans le sud de la France sur la Côte d’Azur et je crois que je vais accepter de partir le retrouver. Ici, je suis trop loin de vous et trop seule la semaine et notre aventure d’aujourd’hui n’a pas d’avenir, elle ne serait qu’une source de problèmes futurs.
C’est vrai que je connais ce Paul, c’est un ami d’enfance d’Yvette, un homme élégant qui a beaucoup de classe, bien conservé avec des cheveux courts frisés tout blanc, un joli blanc lumineux. Je ne veux pas aller contre le choix de ma belle-mère car je sais qu’elle sera heureuse avec Paul. Nous avons passé plusieurs réveillons en sa compagnie et je pensais qu’Yvette avait déjà eu une aventure avec lui. Elle m’affirme encore aujourd’hui que ce n’est pas le cas en ajoutant qu’elle me le dirait s’il en était autrement. Pour nous deux, elle n’a qu’un double regret : la différence d’âge entre nous et que je sois le mari de sa fille Aline.
Nous n’avons même pas refait l’amour une fois de plus, Yvette en femme d’expérience, a choisi comme toujours. Elle est partie vivre dans le sud, sur la Côte et Aline n’a jamais rien su de cette aventure d’un jour.