Avec mes voisines - Partie 2/4

Chapitre 3

Où, au cours du dîner chez les C., la maîtresse de maison se prend d’une affection furieuse à l’endroit de Jean-Baptiste et fait de lui son professeur très particulier, avant que Nicole ne montre une fois de plus l’intérêt qu’elle accorde aux relations de voisinage.


Le lendemain soir et ceux qui suivirent, je revenais frapper à la porte de Nicole mais celle-ci ne me répondait pas. Depuis la rue, je vis qu’il n’y avait pas de lumière et en déduisis avec une grande déception qu’elle n’était pas chez elle.

Puis vint le soir du second dîner chez les C. J’étais en effervescence. Je m’étais branlé deux fois dans l’après-midi pour calmer mes ardeurs. La seule évocation du prénom de Camille me faisait douloureusement bander, je me demandais comment j’allais pouvoir tenir pendant le repas.

J’arrivai un peu en avance, et ce fut Madame C. qui m’ouvrit la porte. Elle portait une robe bleu marine sans manches, très années cinquante, qui mettait en valeur sa taille mais dissimulait ses seins, et juste un collier de perles. Sobre, mais efficace, me dis-je.

  • Bonjour Jean-Baptiste, entre vite je t’attendais.

Et d’autorité, elle me fit la bise en me pressant le bras.

  • Bonjour, Madame.
  • Tu peux m’appeler Hélène, tu sais.
  • Très bien, Hélène. Tenez, c’est pour vous, dis-je en brandissant un petit bouquet de fleurs que j’étais allé chercher.
  • Elles sont ravissantes, merci beaucoup.

Après quelques autres banalités d’usage, elle me fit pénétrer dans le salon où Thibaut finissait de préparer les flûtes à champagne. Puis elle m’entraîna dans son bureau pour me montrer des gravures qu’elle avait retrouvées. De très belles pièces, qui avaient sans doute une grande valeur.

  • Et tes travaux, m’en as-tu amené quelques-uns ?
  • J’ai oublié, veuillez m’en excuser.
  • Quel dommage, dit-elle, l’air sincèrement déçue.
  • Si vous voulez je peux monter rapidement les chercher dans ma chambre.
  • Bonne idée ! Tiens, je vais t’accompagner, je dois vérifier quelque chose.

Je me demandai ce qu’elle avait à vérifier, mais me contentai d’opiner. Nous prîmes l’étroit ascenseur et notre proximité physique me causa un début d’érection. Hélène était à craquer dans ce petit ensemble. Au niveau du palier, nous aperçûmes Nicole qui rentrait chez elle. Hélène la salua et, dès qu’elle eut tourné la tête, Nicole me regarda fixement et prit ses gros seins dans ses mains en se passant la langue sur les lèvres avant de m’envoyer un clin d’œil, ce qui eut pour effet de faire grossir un peu plus la bosse qui me déformait le pantalon. Je déglutissais péniblement quand Hélène me demanda :

  • Tout va bien, Jean-Baptiste ?
  • Euh, oui, j’ai juste de petits vertiges de temps en temps, rien de grave, rassurez-vous
  • Ah, la jeunesse, tu demandes trop à ton corps, sans doute.

L’ascenseur arrivait au dernier étage et la secousse habituelle qu’il produisit surprit Hélène qui trébucha bizarrement et appuya son joli petit postérieur sur ma queue tendue. Je rougis instantanément et elle dit :

  • Ah cette vieille machine, il faudra y mettre un peu d’huile, elle est bien dure, non ?
  • Euh, oui, certainement, répondis-je troublé par sa drôle de réponse et encore embarrassé du contact sur ma queue.

Je lui montrai mes dessins et elle eut l’air réellement aussi intéressée qu’admirative. Penchée sur mon bureau, elle faisait saillir son derrière duquel mes yeux avaient du mal à décoller. Sans se retourner, elle commenta :

  • C’est très joli, vraiment.
  • Merci, vous êtes trop bonne, ce sont juste des croquis.
  • As-tu des nus à me montrer ?
  • Eh bien, oui… dis-je un peu gêné. Ils sont dans ce carton.

Se saisissant des feuilles, elle les feuilleta en silence. Certains d’entre eux étaient un mélange de poses réelles et de fantasmes d’adolescents. Des seins énormes, des bouches pulpeuses, ces détails n’échappaient pas à Hélène qui me regardait à la dérobée.

  • Tu es très doué, on sent tout à fait ce que tu voulais faire passer.
  • Tu as l’air d’aimer les femmes.
  • Eh bien, oui, comme tout le monde.
  • Si on veut. Quels seins, dis-moi, elle devait avoir du mal à marcher celle-là ! Et celle-ci, mon Dieu quel postérieur, ça a l’air confortable…
  • J’ai peut-être un peu exagéré, avouais-je honteux.
  • Note que ce qui compte, c’est ta vision de la chose, n’est-ce pas ?
  • Oui, sans doute.

Elle posa un de mes dessins sur la table et s’accouda dessus en déhanchant son postérieur.

  • Mmmm, très joli, n’est-ce pas, dit-elle en me regardant l’œil lourd de sous-entendus.

Enhardi par mon expérience avec Nicole, je saisis ma chance et me mis à lui pétrir lentement les fesses. Elle ferma les yeux.

  • Très, très joli, oui, répondis-je.
  • Tu as du talent au bout des doigts, tu sais, mon grand ? Il faut juste libérer les choses, y mettre de la rigueur… Mmmm oui tu me comprends, c’est ça, mets bien ta rigueur à cet endroit. C’est ce que répète mon mari, notre monde manque de rigueur…

Je venais de coller ma queue sur son derrière et relevai sa robe. Mes mains lui tirèrent les épaules et je la relevai pour lui prendre les seins.

  • Mmmm, et tu comprends vite, en plus. J’ai vraiment besoin d’un garçon comme toi, mon mari n’est jamais là et je m’ennuie terriblement. Quand je t’ai vu, j’ai tout de suite… mmmmm… su que… que tu étais exactement ce qu’il me fallait. Quel dommage que nous n’ayons pas plus de temps !

Elle se retourna alors et me dit :

  • Je vais te faire patienter jusqu’à notre prochaine fois.

Maintenant à genoux, elle sortit ma queue avec des gestes experts. Elle me branlait lentement et léchait la base de ma verge. Puis elle descendit et prit mes couilles dans sa bouche, l’une après l’autre. Je lui pris la tête et guidait ma bite dans sa bouche. Elle suçait voracement ma queue en me regardant droit dans les yeux.

  • Vous sucez divinement, Hélène…
  • Mmm merci, jeune flatteur, mais tu sais, ta queue est très… motivante. Tu veux jouir dans ma bouche ou sur mon cul ?
  • Dans votre bouche, voyons !
  • Très bien, alors c’est parti.

Alors, elle engloutit mon sexe entièrement, le ressortit, lécha le gland rapidement de la pointe de sa langue, reprit ses va-et-vient. En moins d’une minute, j’explosai dans sa bouche, et elle n’en perdit pas une goutte.

En se léchant les doigts, elle regarda sa montre.

  • Vite, on va nous attendre.

Décidément, la soirée commençait bien…

De retour à l’appartement des C., Hélène me présenta officiellement à Camille. J’étais un jeune artiste à l’impressionnant talent dont le père était un ami de la famille. Ces exagérations sans doute causées par l’enthousiasme de notre récente petite séance me firent sourire. Camille déclara timidement m’avoir déjà croisé dans l’escalier et me serra la main avec une timidité feinte qui la rendait encore plus désirable. Elle portait ce soir une jupe fine rouge qui s’arrêtait au niveau de ses genoux, un chemisier blanc entrouvert qui dissimulait tant bien que mal sa poitrine qu’un soutien-gorge push-up mettait sans doute en valeur. Le contraire aurait été une injure aux lois de la gravité. Elle portait des bas ou un collant, mais la jupe était trop longue pour en être sûr. Au-dessus de ses seins, sa médaille de baptême se baladait au bout d’une chaîne arachnéenne en or. Aucun maquillage visible, et les cheveux noués en une sobre queue de cheval.

Pour ce qui était de mettre en avant, Hélène me mâchait le travail tandis que son mari ponctuait la conversation d’approbations sentencieuses de père de famille. Thibaut restait relativement silencieux et paraissait s’ennuyer ferme. Quant à Camille, elle me fixait sans rien dire, un petit sourire amusé à peine visible au coin de ses lèvres entre lesquelles j’aurais bien glissé une extrémité de mon anatomie. Avant de passer à table, elle s’absenta pour aller se laver les mains. J’étais assis en face d’elle, et Hélène était à ma droite. La conversation ennuyeuse entamée dans le salon se poursuivit dans la salle à manger, et je bandais toujours, hésitant entre la mère et la fille. Soudain, je sentis une pression sur mon entrejambe : Camille me massait la queue du bout de son pied. Je jetai rapidement un coup d’œil entre mes jambes et m’aperçus qu’elle venait d’y déposer sa culotte. Je la regardai, et elle me sourit en mangeant la purée que sa mère avait cuisinée. Tandis que son père nous assommait de ses convictions sur le délabrement des bonnes mœurs dans notre société d’aujourd’hui, j’aperçus Camille qui dessinait dans sa purée du bout de sa fourchette. J’observai plus attentivement et quand je compris le motif qu’elle dessinait machinalement, je n’en crus pas mes yeux. Camille avait dessiné une paire de fesses entre lesquelles elle enfonçait l’air de rien sa fourchette. Quand elle vit que j’avais compris, elle s’absenta de nouveau, prétextant un coup de fil important à passer et à son retour, elle me fit passer son soutien-gorge de la même manière qu’elle m’avait transmise sa culotte, toujours le même sourire aux lèvres.

Arrivés au dessert, nous parlions de ma vie d’étudiant et de mon travail au fast-food. Embarrassé par ce sujet que je trouvais un peu humiliant et ayant beaucoup de mal à me concentrer avec les sous-vêtements de Camille dans chacune de mes poches, je fus sauvé par Hélène qui me demanda :

  • Jean-Baptiste, j’ai peine à croire que vous en soyez réduit à une telle extrémité. Pourquoi ne donnez-vous pas des cours particuliers de dessin ?
  • Eh bien, je n’y ai jamais pensé mais effectivement, si vous connaissez des personnes intéressées, je tenterais l’expérience avec plaisir.

En disant ces mots je regardai fixement Camille, l’implorant du regard de déclarer que justement, elle mourrait d’envie d’avoir des cours très particuliers. Mais Hélène nous prit de cours tous les deux en déclarant :

  • Eh bien, pourquoi pas moi ? Je connais quelques bases, bien entendu, mais je suis très loin de posséder votre technique. Et puis ça occupera mes semaines quand mon époux est en voyage d’affaires. De plus, j’aurais l’impression de vous aider en vous arrachant des griffes de ce métier dans la restauration rapide, tellement indigne de votre talent !

Je ne pouvais pas refuser et feignis la joie d’accepter cette proposition. Les cours commenceraient dès le lendemain, Hélène semblait mourir d’envie de tâter de longs crayons très durs…

Je quittai leur appartement un peu déçu, en me consolant à l’idée que ça me rapprochait par ricochet de Camille. En regagnant ma chambre, je vis que la porte de Nicole était ouverte. Bien décidé à sauver ma soirée, j’entrai sans hésiter. L’appartement était plongé dans le noir. En cherchant un interrupteur à tâtons, je touchai soudain un sein que je reconnus. Une main avide se plaqua alors sur ma queue et j’entendis ma belle rouquine ronronner à mon oreille.

  • Ta queue m’a manqué, tu sais ? J’ai très très envie que tu me la mettes dans le cul ce soir !
  • Eh bien… mais ça sera avec plaisir, j’ai toujours rêvé d’enculer une belle salope comme vous.
  • Des mots, des mots, dit-elle en se mettant à genoux, avant de me prendre dans sa bouche.

Une minute après, alors que Nicole était en train de me lécher le bout de la bite, j’ajoutai :

  • Mmm, j’ai très envie de t’enculer aussi mais je suis si bien dans ta bouche que je me demande si je vais en sortir.

À ces mots, elle arrêta de me sucer et me prit par la queue pour m’entraîner dans sa chambre. Elle s’allongea sur le lit à plat ventre et écarta ses fesses à deux mains.

  • Commence par me lécher, qu’on voit si tu mérites d’aller plus loin.

Je lui enfonçais alors ma langue dans la chatte et lui aspirais le clitoris tandis que je lui pistonnais son adorable anus de deux doigts. Elle gémissait et son bassin allait à la rencontre de ma bouche.

  • Mmmm, lèche-moi bien partout, bouffe ma petite chatte, fais-moi du bien Jean-Baptiste.

Je me mis alors à lui lécher toute la raie et j’enfonçai même à l’occasion ma langue dans son petit cul serré. Rapidement, elle me supplia de la sodomiser, ce que je fis.

  • Encule-moi, encule-moi… Mmmmm maintenant, viiiite, mets-la moi dans les fesses, ramone-moi bien le cul avec ta grosse queue bien raide. Je sens tes couilles me fouetter la chatte, c’est si boooon…
  • Je vais te défoncer salope, est-ce que tu la sens bien comme ça ?
  • Plus foooort, plus foort, Jean-Baptiste, enfonce-toi plus loin, éclate-moi le cul ! Défonce-moi, je suis ta chienne, traite-moi comme ta chienne, Mmmmmmmm !!! C’est BOOOONNNN, COMME ÇA, OUIIII, PLUS FOOORT !!!!

Ses gros seins ballottaient à chaque mouvement de mes hanches, les tétons raides effleuraient parfois le couvre-lit, la faisant ronronner à chaque fois. Je lui tirai violemment les cheveux pour la redresser et lui pris les seins à deux mains, les malaxant pendant qu’elle s’empalait frénétiquement sur ma queue, m’attirant en elle en plaquant ses mains sur mes fesses.

Après une poignée de minutes d’un tel traitement, je me vidai entre ses reins en la maintenant plaquée sur le ventre d’une main. Je m’effondrai sous elle et manquai de m’endormir, la queue encore raide plantée dans son superbe cul. Elle m’attendait sans doute puisque quelques coups de bassin suffirent à l’amener à l’orgasme. Elle hurla littéralement son plaisir et je me dis que tout l’immeuble devait être au courant que ce soir, elle n’était pas seule.

Je la laissais comateuse sur son lit et regagnais mon petit appartement en titubant. J’avais oublié Camille et sa mère pour tout le reste de la nuit, repensant sans cesse au mouvement pendulaire des seins de Nicole.


Chapitre 4

Où je donne à Madame C. sa première leçon et découvre en elle une élève particulièrement dévouée à son professeur.

La première leçon que je donnais à Hélène ne laissa pas une grande place au dessin. À peine arrivée, elle se frottait contre moi, me susurrant des mots obscènes à l’oreille, enchaînant jeux de mots graveleux et demandes salaces.

  • Mmm, mon jeune professeur, je sens votre crayon bien raide, voulez-vous que je le taille moi-même ? Ohh, mais va-t-il s’arrêter de grossir sous ma main ? Il faut que vous me le montriez…
  • Je ne sais pas bien quel orifice conviendrait le mieux pour ça Hélène, faites preuve d’imagination. La créativité est très importante pour une jeune artiste qui aspire à progresser…
  • J’ai bien l’intention d’aspirer, tu sais, ne t’en fais pas. Hier soir, je me suis caressé la chatte dans mon lit, à quelques centimètres de mon mari. Je n’en pouvais plus, il me fallait sentir une queue. En plus, j’entendais cette cochonne de Nicole F. au-dessus qui se faisait sauter comme une chienne, j’entendais son lit bouger à chaque coup de bite qu’elle se prenait.
  • Vous auriez bien aimé être à sa place hein, avouez-le, Hélène ?
  • J’aurais vendu mon âme pour ça, tu veux dire.
  • Et qu’avez-vous fait pendant que Nicole grimpait aux murs au-dessus de votre tête ?
  • Je me suis mis trois doigts dans la chatte, et…
  • Et ?
  • Et je me suis enfoncé le manche de ma brosse à cheveux dans le petit trou…
  • Cochonne…
  • Mais doucement, parce que je ne voulais pas réveiller mon mari. Chaque onde de plaisir à retenir était un supplice. J’aurais tant voulu être dans ta petite chambre, à quatre pattes sur ton lit.
  • Vous parlez bien, Hélène, mais ça suffit. Revenons à notre leçon, voulez-vous ?
  • Par quoi commence-t-on, professeur ?
  • Par me tailler le crayon, vous aviez oublié ?
  • Mmmmm, non…

Elle me suça, alternant rythme rapide, lent, me demandant ce que je préférais. Je lui pris la tête dans mes mains et lui imprimai mon rythme, baisant sa bouche lentement en prenant garde à ne pas jouir tout de suite. Quand je sentis que l’orgasme allait me cueillir sous peu, j’enlevai ma queue de sa bouche et la passai sur ses joues. Je la fis se redresser et la culbutai brusquement par terre, enfonçant ma tête entre ses jambes, lui baisant l’intérieur des cuisses, lui léchant sa culotte déjà rendue en partie transparente par sa fente humide. Je la léchais longuement, toujours sans enlever sa culotte, écartant par moment le tissu, enfonçant ma langue entre ses lèvres. Elle était comme folle, délirant des insanités incompréhensibles, me plaquant la tête des deux mains avant d’étouffer un long râle de jouissance. Je me redressai et contemplai cette bourgeoise de quarante-cinq ans, le serre-tête de travers, les jambes écartées, la jupe retroussée. Je découvris qu’elle avait ouvert son corsage pour faire sortir ses seins et les caresser pendant que je lui léchais la chatte. Je lui arrachai alors sa culotte, déchirant le dernier rempart qui me séparait encore un peu de son intimité brûlante. Je lui calais les jambes contre mon torse et m’enfonçais en elle d’un seul coup. Si elle paraissait jusque-là endormie, ma brusque pénétration la réveilla instantanément. Elle poussa un petit couinement et étouffa un petit rire nerveux, suivi d’un tremblement de contentement.

  • Bourre-moi la chatte Jean-Baptiste, bourre-la, prends-moi FOOOOORRRT !!!

J’attrapai alors un bibelot que nous avions fait tomber d’une tablette. Il s’agissait d’un oiseau stylisé en bois poli, une sorte de cigogne, les ailes et la tête le long de son long corps.

  • Mettez-vous ça dans le cul, Hélène, en attendant que je prenne sa place.
  • Mais Jean-Baptiste, vous n’y pensez pas, c’est énorme, ça ne rentrera jamais, je…
  • Taisez-vous et mettez-vous ça entre les fesses, plus c’est long plus c’est bon, voyons.
  • Mais je…

J’étouffai sa protestation en plongeant ma langue dans sa bouche. Je la sentis se rendre à mon dernier argument et, quelques contorsions plus tard, je pus sentir mes bourses fouetter ses mains en train de positionner l’objet entre ses fesses. Je ralentis le rythme pour lui permettre de se concentrer sur ce qu’elle faisait. Quand la tête de l’oiseau fut passée, je sentis tout le corps d’Hélène se tendre autour du bibelot et de ma queue.

  • Alors Hélène, vous voyez ?
  • Oh mon Dieu, mais c’est à peine croyable. Jamais je n’aurais cru…
  • Que ça rentre ?
  • Non, que ça serait si booooooon !

Elle se pistonnait maintenant toute seule, à tel point que je me sentis presque accessoire. Après une minute, je décidai que ce petit jeu avait assez duré et lui ordonnai de retirer son jouet pour me laisser la place.

  • J’arrive, Hélène, préparez-vous.
  • Mon Dieu oui, viens Jean-Baptiste, prends-moi les fesses, prends-les fort, enfonce ta queue DANS MON CUUUUUL !!!

Je venais de poser mon gland sur sa rondelle et entamai ma poussée. La préparation facilitait ma pénétration et il me sembla que son cul m’accueillait comme une fleur qui s’ouvre. Je lui bourrai le derrière avec application, avant de la changer légèrement de position. Je la fis se mettre perpendiculaire à moi, une jambe encore contre mon torse. Puis je me retirai, sentant l’orgasme venir. Je me relevai et finit de me branler sur son corps encore allongé par terre. Elle était inerte et j’éjaculai sur ses vêtements, ses cheveux, ses petites lunettes fines. Puis je m’agenouillai devant sa bouche et elle finit de me nettoyer la queue consciencieusement.

Puis je quittai son appartement et partis me reposer chez moi.