Un café avec ma belle mère qui dérape
En ce samedi après-midi, quelle ne fut pas ma surprise d’apercevoir la belle-mère de Marion, Maryse de son prénom, au corps potelé là où il le faut, seins lourds, fesses volumineuses, bien balancées dans un tailleur gris, au pied de mon immeuble. Après un salut pas très amical,…