En vacances avec mon beau père

Je m’appelle Alizée (cela fait penser à une certaine chanteuse), j’ai 25 ans, brune cheveux mi-longs, 1,73 m pour 57 kg, les yeux marron, et un petit 90B, voilà pour la description. Je vis en couple avec Vincent, nous ne sommes pas mariés mais cela ne nous empêche pas de nous aimer. Notre couple va bien et nous avons une vie sexuelle très épanouie. Vincent a 25 ans également, cheveux bruns courts, 1,74 m pour 62 kg, les yeux marron, il est cadre dans une entreprise de mobilier. Moi, je suis secrétaire dans une agence de voyage. Grâce aux parents de Vincent, nous avons pu faire construire une belle maison avec piscine en campagne.

Pendant les vacances d’été, j’avais pris deux semaines de congés et je comptais bien en profiter avec Vincent. Mais un mois avant ces vacances, Vincent m’annonce qu’il a un voyage avec son entreprise pour visiter des usines de mobilier en Finlande durant une semaine, et il me propose de venir avec lui. Ce n’est pas l’envie qui me manque, malheureusement, avec la maison à payer, nous n’avons pas de quoi nous offrir un voyage à deux en Finlande (surtout vu les conditions du marché actuel, bah oui, je travaille dans une agence de voyage). Ainsi, Vincent est parti la veille de mes débuts de congés. On pouvait dire que mes vacances commençaient bien.

Le lendemain de son départ, je reçois un coup de fil de sa part :

  • Allô ?
  • Chérie ? C’est moi, Vincent, je te réveille ?
  • Oui, un peu, il est 8 heures du matin ici, je te signale.
  • Oh, désolé, j’avais oublié.
  • Ce n’est pas grave. Alors, comment c’est là-bas ?
  • Bah pour l’instant on ne voit pas grand chose, il fait encore nuit, je te raconterai en rentrant.
  • D’accord, allez amuse-toi bien.
  • Au fait, j’ai demandé à mes parents de passer te voir de temps en temps, pour que tu sois moins seule.
  • Merci, c’est gentil.
  • Au revoir, mon amour.
  • Bye, je t’aime.

Bon, eh bien je n’avais plus qu’à me préparer : si mes beaux-parents devaient venir, il fallait que je sois impeccable. Je me suis habillée et je me suis mise aux fourneaux pour leur préparer une petite tarte maison. À 14 heures, ils n’étaient toujours pas arrivés, je suis donc allée me mettre en maillot de bain deux pièces et me suis installée sur un transat en espérant avoir le temps de profiter du soleil avant qu’ils n’arrivent.

Manque de chance, après un petit quart d’heure de bronzette, j’entends une voiture arriver dans la cour. Je me lève, c’est bien eux, enfin plutôt lui. Je m’en vais l’accueillir :

  • Bonjour Marc, comment allez-vous ?
  • Bien et toi, comment vas-tu ?
  • Bien merci, Marie n’est pas avec vous ?
  • Non, désolé, elle est malade, mais ne t’inquiète pas, rien de bien méchant, elle te dit bonjour d’ailleurs.
  • C’est gentil, vous lui donnerez le bonjour de ma part également.
  • J’y penserai.
  • Eh bien entrez, j’ai fait de la tarte, si vous en voulez.
  • Ce n’est pas de refus, Marie est collée au lit, c’est moi qui dois faire à manger, et je dois avouer que je ne suis pas le meilleur cuisinier.

Nous nous sommes installés dans la cuisine pour manger mon petit dessert, il m’a alors demandé s’il ne me dérangeait pas :

  • Mais non pas du tout, je n’avais rien à faire de toute manière aujourd’hui. D’ailleurs, avant que vous n’arriviez, j’étais en train de flâner au soleil à côté de la piscine.
  • Alizée, je t’ai déjà dit cent fois de me tutoyer, et en parlant de piscine j’ai amené mon maillot de bain, tu me permets d’en profiter ?
  • Bien sûr que vous… que tu peux en profiter, c’est grâce à vous si on l’a fait construire avec Vincent.
  • Merci, je vais chercher mes affaires dans la voiture et je me change.

Sur ce il est parti, j’en ai profité pour ranger la table et ce qui restait de tarte. Il est revenu avec son sac à la main, il m’a demandé où il pouvait se changer et je lui ai indiqué la salle de bain. Marc était brun dans son jeune âge mais désormais, à 50 ans, il tendait plus vers les cheveux gris blanc et clairsemés. Il devait mesurer 1,73 m pour 73 kg, il était un peu enrobé, les yeux marron.

Il ressortit de la salle de bain et me dit :

  • C’est parti ! Tu viens te baigner ?
  • Peut-être, je verrai.
  • OK, tu sais où me trouver.

Et il est parti en courant vers la piscine, je l’entendis plonger de loin. Je me suis dis alors que je pouvais continuer ma bronzette de tout à l’heure. Je retournai donc prendre place sur le transat. Mais le bruit que faisait Marc dans l’eau m’empêchait d’être tranquille. Je me décidai donc à le rejoindre dans l’eau, espérant qu’il se fatiguerait rapidement pour que je puisse reprendre ma bronzette au calme.

L’eau était à bonne température et son contact sur ma peau me fit ressentir un frisson de plaisir. Dès que Marc me vit rentrer dans l’eau, il se dirigea vers moi avec un étrange sourire aux lèvres. Je compris alors que je ne pourrais pas non plus me baigner tranquillement, Marc avait bien l’intention de jouer avec moi. Lorsqu’il fut assez près, je l’ai éclaboussé avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit.

  • Ah tu m’as bien eu, tu as deviné ce que je voulais faire, bien joué !

Sur ce, il m’éclaboussa à son tour. Je nageai donc vers l’autre bord de la piscine pour lui échapper. Mais il continuait à me poursuivre, il réussit à m’attraper la cheville et à me ramener à lui, je réussis à me défaire de son étreinte et à m’échapper. Ce jeu continua un petit moment, il m’attrapait, me mettait la tête sous l’eau, moi je réussissais à m’enfuir et on recommençait, c’était très amusant et en même temps très étrange. Sentir les mains de mon beau-père, sur ma peau nue, sentir ses mains autour de mes hanches, ses mains qui parfois, volontairement ou non, me touchaient les fesses, c’était étrange, je ressentais une impression d’excitation.

Me ressaisissant, je lui dis que j’étais fatigué. Je sortis donc de l’eau et retournai m’allonger sur le transat. Marc continua de se baigner plus calmement pendant un petit quart d’heure, puis il sortit et me rejoignit. Il s’installa sur un transat près de moi. Il devait être environ 16 heures et nous étions tous les deux en train de bronzer sous le soleil.

Il me dit alors :

  • Tu es en train de rougir comme une écrevisse. Tu devrais mettre de la crème.
  • Oui, tu as raison. Toi aussi, tu devrais en mettre. Je vais en chercher.

Je me rendis donc dans la salle de bain pour prendre la crème, puis je revins dehors et tendis la crème à Marc.

  • Tiens, vas-y, sers-toi.
  • Merci.

Il s’étala la crème sur tout le corps, puis me regarda d’un air embarrassé.

  • Tu pourrais m’aider ?
  • À quoi ?
  • À me mettre de la crème sur le dos.
  • D’accord, mais tu m’aideras aussi tout à l’heure.
  • Promis.

Il s’allongea donc sur le dos et me passa le tube de crème. Pour plus de confort, je me suis assise sur ses fesses. Je commençai alors à lui badigeonner le dos de crème, la fraîcheur de la crème sur son dos le fit frissonner.

  • Je sais, c’est froid au début, ce n’est pas très agréable.
  • Mais si, c’est très agréable, au contraire.
  • Dis donc, tu me sembles bien stressé en ce moment, tes muscles sont tout tendus, je vais te faire un massage pour relaxer tout ça.
  • Merci, c’est très gentil.

Je commençai donc à le masser doucement. Petit à petit, sentir mes mains caresser son dos, caresser ses muscles, cela m’électrisa, la même impression que tout à l’heure. Je continuai comme si de rien n’était, puis lorsque j’eus fini, je me relevai et retournai m’allonger sur mon transat. Je me rendis compte alors que mon maillot était mouillé, mais pas de l’eau de la piscine, j’étais tellement excitée. Soudain, j’eus peur : se pouvait-il qu’il eût senti mon excitation ? J’espérais bien que non. Je me ressaisis et fit comme si de rien n’était.

C’était au tour de Marc de me mettre de la crème. Il s’est donc lui aussi assis sur moi, sur mes fesses. Il commença donc à me masser le dos délicatement, ses mains caressant mon dos. Il me demanda alors s’il pouvait délacer le nœud de mon maillot. Je fus alors surprise et il m’expliqua que c’était plus pratique pour mettre la crème. J’acquiesçai, il délaça donc les deux nœuds de mon maillot. Ses caresses se firent alors plus pressantes, plus appuyées, et ses mains descendaient de plus en plus sur le côté de mon dos, vers mes seins. Il passait également plus souvent dans le bas de mon dos. Je ne disais rien, j’étais comme envoûtée, et surtout j’étais excitée. Soudain, je le sentis bouger. Il s’est alors penché sur moi et a commencé à embrasser mon dos. Je n’ai rien dit. Il a continué, et est remonté jusqu’au niveau du cou. J’ai alors succombé, je n’avais donné aucun signe de résistance et je n’en donnerais pas.

Il avait deviné, il ne faisait plus semblant, il me caressait vraiment et je ne l’en empêchais pas. Je l’aidais même, je me suis soulevée un peu et il a pu me caresser les seins autant qu’il le voulait. Je me suis alors retournée vers lui et je l’ai embrassé. Nous nous sommes enlacés l’un dans l’autre en nous embrassant. Il a alors enlevé mon haut qui était déjà en partie enlevé et a embrassé mes seins. J’étais aux anges.

  • Hum… Oui… Continue.
  • Tu aimes ?
  • Hum, c’est trop bon.

Je vis alors qu’il bandait sous son maillot et je me suis dis qu’il méritait bien une petite récompense. J’ai sorti son sexe de son maillot et ai commencé à le masturber. Il avait l’air d’apprécier, j’ai donc continué à le masturber plus rapidement, puis voyant qu’il avait été sage jusque là, je me décidai à aller plus loin, je me suis mise alors à le sucer dans les règles de l’art. Pendant ce temps, il caressait mon dos et cherchait à atteindre le dernier bout de tissu présent sur moi. Je l’y aidai en l’enlevant, il put ainsi admirer mon sexe humide. J’avais envie de lui, je voulais qu’il me prenne comme sa femme et qu’il me fasse jouir de plaisir. J’ai donc enlevé complètement son maillot et je le fis s’allonger sur le transat.

  • Que fais-tu, Alizée ?
  • Je te veux entièrement.
  • Mais nous ne pouvons pas faire ça.
  • Et pourquoi ?
  • C’est une chose de s’amuser, mais là c’est différent. Tu es la femme de mon fils et nous ne sommes pas protégés.
  • Laisse-toi faire, tu verras

Sur ce, je m’empalai sur lui.

  • Hum… Oui.
  • Oh, non Alizée… Non… Hum.
  • Tu vois, tu aimes aussi.
  • Hum… Oui… Tu es vraiment une belle coquine.
  • Allez, vas-y, fais-moi l’amour !
  • Hum… Tiens, tu vas voir ce que tu vas prendre !

Il me serrait contre lui, mes seins contre son torse, ma bouche contre sa bouche et mon sexe contre son sexe. Il me tenait par les hanches pendant que je bougeais sur lui. Je sentais le plaisir monter en moi. Il me prit ensuite en levrette, l’excitation était à son comble. Il me pilonnait et me caressait les seins. Je me donnais entièrement à lui.

  • Oh… Alizée… Je viens… Je vais jouir.
  • Oh oui… Oui… Vas-y.
  • Je vais me retirer…
  • Nan… Prends-moi… Reste… Je veux te sentir en moi… Je veux ta semence en moi.
  • Oh oui Alizée… Humm… Je t’aime…
  • Hummmm… Oh oui… Mmmm… Vas-y…

Je le sentis alors se dresser en moi, et dans un dernier soubresaut il lâcha sa semence en moi.

  • Ohhhhhhhh… Oui Alizée… C’est bon…
  • Hmmmmm… Marc… Ouuuuuiiiiiiiiiii…

J’avais joui moi aussi. Nous étions tous les deux essoufflés, nous nous sommes regardés et embrassés.

  • Marc, merci.
  • Merci à toi.
  • Je t’aime.

Je n’avais pas encore réalisé ce que nous avions fait et les conséquences que cela pouvait entraîner. Nous sommes allés dans ma chambre, il était 17 heures, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. À 18 heures, Marc est reparti, mais je lui avais fait promettre de revenir le lendemain. Je ne pensais plus à mon mari, mais à son père et à l’enfant que j’attendrai peut-être de lui. En effet, nous ne nous étions pas protégés et je ne prenais pas la pilule. J’aimais Vincent mais pour le moment j’aimais Marc, peut-être parce qu’il avait l’expérience de l’âge en plus, qu’il avait un côté plus protecteur.

En attendant, ce soir-là, je me couchai en pensant à Marc et à son sperme qui coulait en moi.