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Mon mari demande à mon gendre de l'aider à me faire jouir

Vous pouvez remplacer n'importe quel prénom par celui que vous voulez
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**Histoire racontée du point de vue de mon gendre**

Mes beaux-parents ont transformé ma vie.

Par mesure de discrétion, j’ai tenu à changer les prénoms des personnes citées dans cette curieuse aventure. La vie est parfois surprenante. Les personnes qui vous entourent, que vous pensiez bien connaître peuvent un jour vous surprendre. C’est ce qui m’est arrivé il y a quelques années.

Cette histoire qui a commencé il y a quelques années avec mes beaux-parents, perdure à ce jour. Je ne regrette rien, bien au contraire, même si une « soi-disant » morale me condamnerait.

Je m’appelle Alain, j’ai à présent 42 ans. Bien dans ma peau, bien dans ma vie. Je suis marié, et avec ma compagne tout se passe à peu près bien, quoi que… Au lit, c’est une autre histoire. Nous ne faisons pas souvent l’amour, parce qu’elle « tombe » de fatigue tous les soirs. Les seuls moments où nous arrivons à profiter l’un de l’autre, c’est pendant les vacances. Rien de très « folichon » mais vous allez voir que ce qui va suivre va « combler un manque » et bouleverser quelque peu ma vie.

C’était le matin d’une journée où j’étais en RTT. Je reçois un coup de téléphone de mon beau-père :

  • Alain, il faut que je te parle de vive voix, j’ai quelque chose à te demander…
  • Mais tu ne peux pas me le dire maintenant ? lui répliquai-je.
  • Impossible, c’est quelque chose de confidentiel, une situation très délicate.
  • Veux-tu que l’on se voie maintenant ?
  • Si ça ne te pose pas de problème, je t’attends à la maison.

En une demi-heure, je suis rendu chez mes beaux-parents. Ils avaient sans doute entendu le bruit du moteur de mon auto, car la porte d’entrée s’ouvre aussitôt.

Nous nous faisons la bise et je pénètre dans le hall d’entrée.

  • Rentre, Alain. Veux-tu prendre un café pendant que nous discuterons ?

Ma belle-maman est là devant sa cuisinière à préparer le repas du midi. Je lui fais la bise et la complimente sur le fumet dégagé par sa préparation.

  • Quel bon vent t’amène ? … me demande-t-elle sans sourciller.

Je suis quelque peu surpris pendant quelques instants mais en regardant mon beau-père, je comprends qu’elle n’est pas au courant de la conversation qu’il a eue avec moi au téléphone tout à l’heure.

Nous nous installons autour de la table de la cuisine, Juliette, ma belle maman, sert à chacun, une tasse de café. Nous parlons de choses et d’autres puis Raymond, mon beau-père, me demande de le suivre dans son atelier. Dans le sous-sol, Raymond me fait face, me précisant tout de suite que ce qui va se dire maintenant ne doit surtout pas sortir de ce lieu, ni être ébruité. Je suis très intrigué par tout ce mystère, que veut-il me dire ou me confier ?

  • Voilà, tu es un garçon en qui j’ai une extrême confiance. Tu sais que j’ai été opéré de la prostate l’an dernier !… Eh bien voilà : avec ta belle-mère, je n’ai plus de rapports. J’ai consulté plusieurs médecins mais rien n’y a fait. L’outil ne veut plus monter…
  • Mais tu peux lui donner du plaisir autrement !… lui dis-je un peu gêné.
  • Oui, mais je me rends bien compte que ça ne suffit pas, que ça ne la comble pas. Elle m’a dit que ce n’était pas grave, que le principal, c’est de s’aimer. Dans notre conversation, je lui ai demandé si dans nos ébats, elle accepterait un autre homme. Elle a été très surprise par ma proposition mais m’a dit qu’il fallait voir !… Elle ne semblait pas me prendre au sérieux.

Je suis là, devant lui, à l’écouter mais ni tenant plus, je lui demande ce que je viens voir dans tout ça.

  • Eh bien, c’est à toi que j’ai pensé, tu es à nos yeux l’homme de la situation.
  • Comment ça ?…
  • Eh bien, si tu es d’accord bien sûr, je te demande si tu accepterais d’honorer ta belle-mère, de lui donner le plaisir que je ne peux lui donner par la pénétration.

Je reste complètement anéanti, surpris par une telle demande. Je pouvais m’attendre à tout mais là, je n’en reviens pas.

  • Si je comprends bien, tu me demandes de faire l’amour à ta femme ?
  • Oui, mais prends ça comme un bien nécessaire pour notre couple.
  • Et pourquoi moi ?
  • Parce que je l’ai questionnée durant des mois, ça n’a pas été facile mais j’ai su qu’elle avait un penchant pour toi.
  • Un penchant pour moi ? Je pense qu’elle m’aime bien en tant que gendre et j’en suis très flatté mais de là à faire des choses avec elle !…
  • Ne sois pas idiot, elle accepte ma proposition qu’a une seule condition, c’est que la tierce personne, ça soit toi, bien sûr si tu es d’accord !
  • Ça me gêne beaucoup une telle demande.
  • Tu ne trouves pas Juliette attirante ?
  • Oh si, bien sûr, elle est très belle !
  • Alors ! Tu n’as jamais eu des fantasmes de ce genre ?
  • Plus ou moins mais ce n’étaient que des fantasmes. Là, tu me demandes de passer à l’acte et ça me laisse quelque peu dubitatif.
  • Réfléchis… si tu n’es pas d’accord, tu me le fais savoir rapidement et on oublie tout, ok ?
  • Ok Raymond.

En retournant dans la cuisine, Juliette ma belle-maman était toujours affairée à la préparation de son repas. Elle se tourna vers moi et d’un large sourire, me demande :

  • Tu manges avec nous, ce midi ?
  • Eh bien, je pensais rentrer mais puisque tu me le propose, j’accepte. Que puis-je faire pour t’aider ?
  • Mets le couvert, s’il te plaît, tu sais où se trouves les assiettes…

Je m’exécute aussitôt mais tout en plaçant les assiettes, verres, fourchettes, couteaux, je ne peux m’empêcher de penser à tout ce que m’a dit mon beau-père il y quelques instants. J’ai l’impression d’avoir rêvé. Suis-je dans un monde virtuel, ai-je tout inventé ? Suis-je suffisamment obsédé par ma belle-mère, pour inventer de pareilles histoires ?

À table, la réalité me fait face. Juliette est assise devant moi et me dévisage. Je suis terriblement gêné, une telle situation ne m’est encore jamais arrivée. En s’adressant à moi.

  • Vous avez parlé ensemble, les deux hommes ?
  • Oui, mais… bredouillé-je.
  • Raymond, je suppose que tu as demandé à Alain s’il était d’accord pour ce que tu sais !…
  • Bien sûr, mais il doit réfléchir !

Elle me dévisage à nouveau et me demande aussitôt :

  • Tu n’aimes pas ta belle-mère ?
  • Si, si, bien sûr !… lui répliqué-je un peu gêné.
  • Je ne te plais pas ?

Surpris par le côté direct de la question, je bafouille un « si » inaudible.

  • Eh bien, eh bien !… Tu m’as l’air troublé par ma question, Alain.
  • Oui, je ne m’attendais pas à ce côté un peu direct !
  • Tu sais Alain, lorsque ton beau-père m’a fait cette proposition, j’ai été très surprise sur le coup mais un peu plus tard, après réflexion, les tabous étant tombés, je me suis dit qu’après tout, pourquoi pas ! Notre vie de couple, l’amour que nous avons l’un pour l’autre ne doit pas changer. Si je t’ai choisi, c’est que tu es un garçon sérieux, le compagnon de notre fille. Je sais que ce n’est pas bien vis-à-vis d’elle mais ça reste en famille. De plus, ton seul lien familial avec moi, c’est ton mariage. Il ne s’agit donc pas d’inceste. Il est bien évident qu’il ne faut pas qu’elle l’apprenne car elle ne le comprendrait pas à moins que vous soyez un couple libre !… Qu’en penses-tu Alain ?
  • Vous me prenez un peu de court, je n’ai pas eu le temps d’y réfléchir !
  • Pourquoi avoir ce besoin de réfléchir, la proposition ne te convient pas, je ne te plais pas, tu me trouves trop vieille, je te choque peut-être ?

Me voyant quelque peu dubitatif, elle me sert un verre de vin et me prend aussitôt la main :

  • Allez Alain, accepte !…
  • Oui, mais c’est tellement surprenant comme situation !
  • Tu es libre, cet après-midi ? me demande-t-elle.
  • Oui, je suis en RTT.
  • Alors, si tu es d’accord, on peut essayer, qu’en penses-tu ?

Je les regarde tous les deux, leur confirmant mon accord par un signe de tête.

Après le dessert, nous passons dans le salon afin d’y boire le café. Juliette s’est excusée afin de s’absenter quelques instants. Je me trouve en face à face avec Raymond, mon beau-père installés confortablement dans des fauteuils.

  • Alors, tu es partant ? me demande-t-il.
  • Vous me prenez de court mais si c’est ce que vous voulez !…
  • Je te remercie, Alain !
  • Oui, mais toi Raymond, qu’est-ce que tu vas faire ?
  • Aujourd’hui, je te laisse avec elle et après, nous verrons !…

Sur ces entrefaites, une femme transformée apparaît devant nous. Juliette était partie se changer. Elle porte sur elle une robe noire, très sobre qui l’amincit. Je vois qu’elle a mis des collants ou des bas noirs aux motifs irisés qui se terminent par des escarpins assortis à l’ensemble. Sa bouche porte la trace d’un léger rouge à lèvres. Elle s’est parfumée, car la fragrance qu’elle dégage nous enveloppe aussitôt. Je trouve ce parfum très subtil.

  • Je suis prête, me dit-elle, tu es toujours d’accord Alain ?

Je me lève, regarde mon beau-père qui me fait signe d’y aller. Juliette me prend la main et m’entraîne en direction de leur chambre. Je suis un peu paniqué mais j’essaie de ne pas trop le faire paraître. La porte se referme et ses deux bras m’enlacent aussitôt.

  • Comment me trouves-tu ? me demande-t-elle dans le creux de l’oreille.
  • Tu es magnifique et très attirante, Juliette !…

Ses lèvres se posent aussitôt sur les miennes, nos langues se rencontrent dans ce premier contact amoureux. Elle semble déchaînée. Sa langue tournoie à une telle vitesse que j’ai du mal à respirer.

  • Vas-y Alain, touche-moi ! Qu’est-ce que tu attends ?

Mes mains s’exécutent aussitôt, glissant et allant à la rencontre de son corps. La pression de sa poitrine me provoque très rapidement une forte érection. Je reste plaqué contre elle et les ondulations produites par son bassin ne tardent pas à faire leur effet. Mon désir est au maximum. J’ai vraiment à présent envie de la baiser, de jouir de son corps. Tous les tabous se sont envolés. Ses doigts s’affairent sur les boutons de ma chemise. Un à un, ils se défont, laissant apparaître mon torse. Elle s’empresse d’embrasser la moindre parcelle mise à nu. Ma ceinture de pantalon suit aussitôt, et en quelques secondes, je me retrouve en caleçon devant elle. J’essaie de la dévêtir mais ce n’est pas évident car elle semble déchaînée sur mon corps. Enfin, après de multiples efforts, sa robe finit par tomber à ses pieds.

J’ai contre moi, une femme en soutien-gorge et slip. Ma foi, je ne suis pas déçu, elle est encore très belle pour ses 58 ans. Dire que ça fait des années que je fantasme sur elle, que je me masturbe quelques fois en pensant à elle, mon rêve devient réalité, je n’arrive encore pas à y croire. Le temps l’a magnifiquement bien préservée, bon sang, qu’elle est bandante !… Le soutif a l’air bien rempli. Je me suis souvent demandé quelles pouvaient être ses mensurations mammaires : 95 C ou D ?… Là, j’étais aux premières loges, pouvant palper, toucher, pétrir ses gros obus à travers le soutien-gorge. Après quelques difficultés pour enlever ce rempart de tissu, deux magnifiques globes de chair m’apparaissent. Ouah ! Qu’ils sont beaux et désirables. Je m’empresse aussitôt de les goûter, les lécher, les pétrir. Ses aréoles sont assez larges et foncées. Ses bouts de seins sont relativement gros, comme je les aime. Je les aspire, les mordille, les faisant rouler autour de ma langue. Elle a vraiment de très beaux « nibards » qui malgré les années se tiennent encore très bien. Mon sexe commençait vraiment à me faire mal. Mon érection était au paroxysme et le gland butait contre la ceinture de mon caleçon provoquant un début d’irritation.

  • Mon pauvre chéri, il faut que je m’occupe de toi, que je libère ton oiseau qui ne doit plus pouvoir supporter d’être enfermé dans sa cage.

Elle s’agenouilla et de ses deux mains, fit glisser ce rempart de tissu. Comme dans ces boîtes magiques où l’on voit la marionnette d’un petit clown sortant de sa boîte en exécutant un léger balancier, mon sexe gonflé par le désir lui atterrit sur le visage, semblant la défier.

  • Oh, qu’il est beau !

Elle semble fascinée quelques instants par cette colonne dressée devant elle. Quelques secondes plus tard, ses lèvres, sa bouche absorbent aussitôt le gland puis une partie de la tige. C’était divin, incroyable, et terriblement tabou de la voir s’affairer ainsi. Elle s’y prenait merveilleusement bien. Sa langue glissait le long de ma tige, passait sous les bourses puis elle m’absorbait à nouveau. J’avais vraiment peur de ne pas pouvoir tenir très longtemps avec un tel régime. Elle me lécha à nouveau les couilles tout en me masturbant. Elle me fixait d’un regard intense, plein de désir. Cette situation était terriblement excitante. Bon sang, qu’elle est bandante cette femme !… Comment rester insensible avec un tel traitement ?

Elle se releva d’un coup et m’entraîna vers le lit.

  • Allonge-toi ! me demanda-t-elle.

Elle se positionne à cheval sur mes jambes, reprenant de plus belle sa succion. Je suis complètement déconnecté, ne pensant qu’au plaisir, même si cette situation est tout bonnement incroyable. En l’espace de quelques secondes, je sens que la situation a changé. Il faut dire que j’ai fermé les yeux durant un laps de temps, dégustant ce petit moment qui m’est donné. Juliette vient de s’empaler sur ma tige. Un cri puissant sort de sa gorge. Elle semble être comblée, il faut dire que la nature m’a quelque peu gâté de ce côté-là. Je n’ai rien à faire, c’est elle qui mène les débats. Elle est déchaînée, j’ignorais tout de la sexualité de ma belle-maman. Elle devait en être privée depuis un bon bout de temps ou alors : quelle femme ! quel tempérament !…

Je comprends à présent la raison qui a poussé mon beau-père à lui trouver un amant. Elle monte et descend à un rythme d’enfer, semblant prendre beaucoup de plaisir à chaque va-et-vient. Je sens par moment mon sexe buter tout au fond d’elle. Sa jouissance arrive plus vite que prévue. De mon côté, je suis tellement absorbé par la vue de son corps que j’en oublie mon propre plaisir. Il faut dire que cette femme m’a énormément perturbé depuis que j’ai fait sa connaissance il y a quelques années. Je ne sais pas pourquoi je la désire tant. Suis-je normal ?…

Je suis encore dans mes pensées quand la voix mélodieuse de mon amante me fait revenir à la réalité :

  • Tu ne me désires pas Alain ? Tu n’as pas joui ! me dit-elle en me regardant fixement.
  • Si, si, Juliette, je te désire énormément mais je t’observais !
  • Comment ça !… Tu me trouves trop vieille ?…
  • Pas du tout, c’est tout le contraire, tu es magnifique !
  • Alors, si je te plais tant, viens me prendre par-derrière, je sais qu’en général, les hommes adorent ça !

La vue de son abricot tout luisant me donna une nouvelle vigueur. Elle était très peu poilue, sans doute prenait-elle soin de cette partie de son corps. Je m’enfonce en elle jusqu’à la garde. Pendant quelques secondes, je ne bouge plus, profitant de cet instant incroyable. Mon bassin à l’appel de ses petits à-coups, reprend le rythme de croisière qu’il est donné en de pareils instants. Je m’agrippe à ses hanches, commençant à prendre beaucoup de plaisirs. J’accélère le rythme de mes va-et-vient. Juliette a la tête enfoncée dans un oreiller, ses cris fusent mais fortement atténuée par le matelassage de ce dernier. Je sens qu’il ne me sera pas possible de tenir très longtemps à ce rythme. Il règne un tel climat d’érotisme dans ce lieu. Ma jouissance arrive beaucoup trop vite. Je me lâche, envoyant à l’intérieur de son corps, plusieurs salves bienfaitrices. Je reste en elle quelques secondes afin de récupérer de cette chevauchée fantastique. J’en profite pour lui caresser les seins qui par le phénomène de gravitation, semblent avoir pris davantage de volume.

Nous sommes tous les deux exténués mais dans un certain état d’extase. Nos corps se trouvent à présent allongés l’un contre l’autre. Elle m’avoue, ce jour-là qu’elle avait flashé sur moi dès le premier jour, mais son rôle de future belle-mère voulait qu’il n’en paraisse rien. Je lui avoue que, me concernant, c’était la même chose. Nous nous mettons alors à rigoler. Revenant d’un coup à ce que nous venions de vivre, Juliette m’avoue que ça faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas autant joui. Je lui confirme qu’en ce qui me concerne, c’était la même chose.

  • Ouah, que c’était bon ! Tu m’as donné beaucoup de plaisir Alain, tu as l’air très doué en amour.

Je la complimente à mon tour, lui avouant que ça ne m’arrivait hélas pas souvent, sa fille n’étant pas très portée sur la chose.

  • Qu’elle est sotte, excuse-moi de te parler ainsi d’elle, mais je trouve qu’elle passe à côté que quelque chose d’important dans la vie d’un couple !…
  • Je suis d’accord avec toi mais malgré toutes les discussions que j’ai eues avec elle sur le sujet, rien n’a changé.
  • Tu es quelqu’un de fidèle ! Tu n’es jamais allé voir ailleurs pour combler ton manque ?
  • Non, mais j’y ai souvent pensé !…
  • Je ne devrais pas te dire ça, car en tant que belle-mère, mon rôle est de protéger mes enfants. Tu n’es peut-être pas suffisamment attentionné avec elle ? Avec les femmes, il faut parfois faire quelques concessions pour obtenir ce que l’on veut.

Nous continuons à discuter cinq bonnes minutes puis nous nous rhabillons. Raymond est dans le salon, un livre à la main.

  • Ça s’est bien passé ? nous demande-t-il.
  • Oui mon chéri, c’était parfait, tu as eu raison de me proposer cette alternative et surtout avec notre gendre !
  • La prochaine fois, j’aimerais être avec vous, bien sûr avec ton accord, Alain !…
  • Pourquoi pas, mais je ne sais pas si je serais aussi performant sachant que je suis observé.
  • On verra ! Nous répond aussitôt Juliette puis, se tournant vers moi : j’espère que tu pourras te rendre libre la semaine prochaine ?

Je prends à nouveau un café en leur compagnie puis regagne mes « pénates » avec l’impression d’être sur un petit nuage.

À partir de ce jour-là, mes RTT furent bien remplies. Il n’était pas question de déplaire à mes beaux-parents, surtout à belle-maman !