Le tournant de ma relation avec ma belle mère
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Agé aujourd’hui de 32 ans, je suis enfin un homme très heureux. Marié avec Camille depuis 11 ans et père de deux enfants, je vis une vie faite de bonheur et d’amour. Ma femme, une belle plante blonde aux seins généreux et montée sur la plus belle paire de jambes que je connaisse, est une experte dans l’art du plaisir.
Lorsque j’ai connu Camille, elle avait la fraîcheur de ses 20 ans, tout comme moi. Chacun de notre côté nous avions découvert le sexe, moi à 21 ans et elle à 18. Ma première femme était une amie de ma mère de vingt ans mon aînée, une pointure qui en quelques séances m’avait fait faire le tour du câlin, du soft, du hard et de petites perversions. Par la suite, filles et garçons de mon âge ont profité de l’expérience acquise…
Avec Camille, je suis rentré dans le rang, et dans sa famille. Son père, un militaire stricte et rigide, sa mère l’inverse de sa fille, petite blonde un peu effacée devant son mari, mais toujours charmante et attentive au bien-être des siens et à l’harmonie de sa maison. En deux ou trois mois, j’étais comme chez moi. Celui que j’allais appeler Arthur me faCamilleit participer à ses activités extra-professionnelles : sport (footing, randonnée et vélo) tous les dimanches et discussions animées sur tous les sujets d’actualité.
Louise, la douce, s’appliquait à nous inventer des moments chaleureux, autour d’une table ou lors de longues promenades à pied dans toute la région. Camille, elle, pourvoyait à mon insatiable envie de sexe le soir dans sa chambre de jeune fille. Enchaînant tout à la fois plaisirs manuels, plaisirs charnels et jeux érotiques raffinés. À chaque fois, ma verge ressortait essorée et repue, et ma douce remplie dans tous les sens du terme.
Le changement dans mon petit monde est survenu à l’approche de notre mariage, les préparatifs étaient stressants, mais nous avions une organCamilletrice hors pair, Louise. Tous les détails étaient préparés, étudiés, et avec toujours le même objectif : qu’Camille et moi soyons les fêtés du grand jour.
Un soir où j’exposais mon admiration pour tout le travail de sa mère à Camille, celle-ci me fit part d’une confidence faite par Louise :
- Ma chérie, ton Phil (moi) est l’homme dont toute femme voudrait être l’épouse, il est toujours là pour toi, en fait c’est la perle rare que tu devras savoir garder et combler.
Et moi de répondre :
- Ça c’est du compliment.
Camille de rajouter :
- Et ce n’est rien, car elle a ajouté :
- Un homme bien et un amant excellent à priori.
Moi de m’étonner :
- Pardon ?
- Et oui, il semble que nos ébats soient assez torrides pour être entendus de sa chambre.
- Quand même, tu es parfois bruyante c’est vrai, mais de là à extrapoler…
- Ma mère m’a avoué n’avoir jamais connu d’autre homme que mon père, et que pour la bagatelle ce n’était pas très brillant. Mon père se consacre plus à son travail et à ses aventures qu’à Maman. Elle n’a jamais connu d’orgasme, si ce n’est lors de caresses solitaires.
- Et tu sais ça, toi.
- Et oui, je me suis toujours confiée à ma mère et elle m’a depuis longtemps avoué avoir besoin de câlins solitaires. D’ailleurs, je lui ai même conseillé de prendre un amant, mais tu la connais. Depuis que tu vis chez nous, je crois qu’elle prend conscience du manque d’amour qui existe dans sa vie et nos ébats viennent agrémenter ses fantasmes quand elle est trop seule.
À partir de ces confessions, j’ai pris l’habitude de regarder plus souvent Louise, disons avec un œil moins « gendre » mais plus « homme ». Avec ses 45 ans, son 1m63, une poitrine que j’estime à un petit 85b, je découvrais une femme toujours très soignée, habillée avec raffinement, parfois d’une pointe de coquetterie sexy. Comme par exemple ce tailleur avec jupe fendue, mais pas trop, un chemisier assorti fermé avec juste le bouton de trop et sans doute une paire de bas. Le genre de femme mature sur laquelle les hommes pourraient facilement fantasmer. Moi entre autres…
Un soir où nous étions tous les deux seuls à discuter après le repas sur la terrasse, je me risquai à un compliment.
- Louise, vous êtes très en beauté ce soir.
- Merci Phil… Vos compliments me vont droit au cœur, car j’en entends si peu souvent. Arthur vous savez est avare en ce domaine.
- Quel dommage, car vous êtes comme toujours charmante, et votre mari devrait vous le dire. Vous avez plus de charme que bien des jeunes femmes que je connais. Hormis votre fille bien sûr.
- Voyons Phil, je vais rougir…
Et moi de poursuivre :
- Ne soyez pas timide, ni gênée Louise, c’est une réalité, parfois je vous trouve même très… désirable… Pardon… Enfin, je veux dire…
Je ne savais plus comment finir ma phrase.
- Oh, dites donc, est-ce bien vous Phil, le futur époux de ma fille, qui tient ce genre de propos, c’est parfaitement déplacé.
Puis dans un souffle :
- Même si c’est très très plaCamillent à entendre.
Peut-être avais-je ce soir-là bu un verre de vin en trop, toujours est-il que je continuai :
- Et bien oui, c’est juste un constat, regardez ce soir, un bouton de votre chemisier ouvert en plus et je contemplerais avec délice un décolleté que je devine très attirant. Je vois même vos petits seins libres sous le tissu, prêts à être cueillis.
- Arrêtez, je vous en prie.
Le trouble s’installait, je la sentais fragile et je poursuivis :
- D’ailleurs que pourrais-je découvrir aussi sous votre jupe fendue, une femme bien sage ? Non. Je distingue vos bas et s’ils sont là c’est pour vous rappeler votre parfaite féminité, votre désir de plaire et à qui ? Votre mari ne vous regarde plus, me semble-t-il. Alors que moi, je suis là dans votre maison, donc cette tenue c’est un peu pour moi non ?
- Phil, Arrêtez, dit-elle la voix tremblante.
Et avant que je puisse réagir, Louise, d’un bond, quitta la terrasse. À cet instant, je sais, oui, je viens de mettre à jour ma future belle-mère. Aujourd’hui, elle aussi me regarde comme un amant potentiel.
À mon tour, je regagne la maison et notre chambre. Là, Camille m’attend sagement endormie, semble-t-il. Après m’être déshabillé et avoir éteint la lumière, je me suis glissé dans le lit, le sexe tendu par ces instants très particuliers que je viens de vivre. Je sens alors une main prendre possession de ma queue et la voix d’Camille à mon oreille :
- Ben dis donc mon cochon, c’est quoi ça ? Tu viens d’où ?
Heureusement pour moi, sans attendre de réponse, Camille est descendue prendre le problème en bouche et d’une fellation experte m’a amené vers les rives du plaisir. Mais, dans ma tête, c’est une autre qui venait de me vider les bourses.
Les jours qui suivent, je ne fais que croiser Louise. Elle est toujours tendue, occupée, ou absente. Le malaise est vite perçu par Camille qui m’en fait part.
- Je crois que Maman a des problèmes, il faut que je parle avec elle.
- Ah bon, je n’ai pas vraiment remarqué…
Plus tard, elle me confiera :
- Elle ne veut rien me dire, je ne comprends pas…
Tout va basculer en un jour. Camille est en déplacement professionnel pour la semaine, Arthur en mission à l’étranger. Après le boulot, je rentre ce le soir-là tard et fatigué. Louise est dans le salon et m’appelle.
- Phil, je vous ai préparé à manger dans la cuisine, il faut juste réchauffer.
- Merci mais je n’ai pas faim, la journée a été harassante alors je vais me coucher.
- Vous ne venez même pas un moment pour me tenir un peu compagnie, pour moi aussi la journée a été longue.
Je suis surpris car, en deux phrases, elle m’a plus parlé que ces quinze derniers jours. Je reviens vers le salon, j’y entre. De suite, je sens son parfum, lourd et voluptueux, et là, je la découvre assise sur le canapé dans une splendide robe vietnamienne de soie bleue. Son vCamillege est maquillé sublimement, ses yeux me fixent d’un air moqueur.
- Même pas quelques minutes pour votre belle-mère préférée ?
Je m’assois à ses côtés et constate que la robe est fendue laissant apparaître une bande de chair blanche. Elle me sourit et me dit :
- Pas de compliments ce soir ?
Avant même que je puisse répondre, elle se lève et tourne rapidement sur elle-même, les deux pans de sa robe s’envolent et je découvre que la fente remonte de chaque côté bien plus haut que les cuisses. Une fraction de seconde, je crois voir une fesse nue.
Je me lève à mon tour et sans aucune parole je plaque Louise contre mon corps et dépose au coin de sa bouche un léger baiser. Sa bouche s’entrouvre et nous échangeons un long baiser. Sa langue, un instant timide, vient jouer avec la mienne, s’enroulant, reculant puis forçant ma bouche, le baiser profond se poursuit longuement.
M’écartant d’Louise, je la contemple, elle semble tellement fragile, une petite poupée de porcelaine. Je regarde son corps menu moulé dans cette robe et constate qu’au travers du tissu, deux tétons pointus se dressent fièrement. Je me place derrière elle et me colle à son dos, ma bouche dépose de petits bisous furtifs sur sa nuque et mes mains parcourent ses épaules, descendant rapidement sur ses seins.
Là, je constate que leur taille est juste celle de la paume de mes mains, je les cueille littéralement malaxant les tétons au travers du tissu. Puis, je parcours ses hanches, revenant sans cesse sur son petit ventre presque plat. Son souffle devient rapide et d’une voix faible elle murmure :
- Phil, oh mon grand.
Jouant toujours sur son corps, je glisse doucement vers son mont de vénus, l’instant suivant, je suis posé sur son sexe dont je sens qu’il est libre sous la robe. D’un élan, elle se retourne vers moi, ses yeux sont remplis de larmes.
- Pourquoi ces larmes, Louise ?
- Phil, je suis heureuse mais aussi honteuse. Je t’aime en secret depuis des mois, je veux le bonheur de ma fille, mais mon corps me rappelle sans cesse que je te veux aussi pour moi. Je rêve de toi toutes les nuits.
Ses mains jusqu’ici retenues me prennent à la taille et m’attirent à nouveau vers elle. Son corps épouse le mien. L’instant magique est venu.
Debout au milieu du salon, nos corps serrés l’un contre l’autre, Louise a plaqué ses mains sur mes hanches, les miennes reposant sur le bas de son dos. Au travers du tissu de sa robe de soie, je sens la fermeté, mais surtout la nudité de ce fessier parfait. À 45 ans, Louise a un postérieur de jeune fille.
Tout en lui massant doucement les fesses, je reprends possession de sa bouche. Un baiser long et profond, partagé goulûment. Glissant mes doigts vers les deux côtés de sa robe fendue, je prends possession de ses cuisses et remonte doucement vers les hanches, entraînant les deux pans de tissu vers le haut. J’ai maintenant accès aux deux globes bien nus comme je le supposais.
Je me promène du sillon de sa raie au haut des cuisses, puis ma main se glisse entre celles-ci. Louise n’esquisse aucun mouvement, ses mains sont restées sagement sur mes hanches, un léger écartement de ses jambes me permet de prendre enfin position juste en dessous de son entrejambe, mais serrant ses cuisses à nouveau, elle bloque là ma progression.
- Doucement Phil, ne va pas trop vite, je veux profiter de tous ces instants.
Ne pouvant resté coincé ainsi, j’impose la pression de mon corps sur le sien, afin qu’elle sente bien l’effet puissant qu’elle me fait. Ma verge est bien à l’étroit dans mon boxer, distendu par une érection intense. Son ventre perçoit le sens de mon avancée et un léger mouvement vient me frotter. Je décide d’accéder à son corps et, après quelques recherches, découvre une multitude de boutons que je dois ouvrir un à un.
Louise ne bouge toujours pas, elle semble figée sur l’instant présent, presque absente, hormis sa respiration plus saccadée. Ayant enfin fini de déboutonner son dernier rempart, je la retourne et fais glisser doucement sa robe à ses pieds. Là je contemple une superbe femme blonde, un corps léger, fragile, et une peau blanche, une perfection jusqu’à sa poitrine, certes menue, mais qui me semble aussi bien ferme.
Je suis à nouveau collé à son dos, mes deux mains ont pris en coupe ses deux petites poires et je joue avec les deux tétons qui pointent fièrement. Ils roulent sous mes doigts et prennent une taille que j’ai rarement connue chez une femme. Presque deux centimètres surgissent pour mon plaisir. Je m’imagine déjà tétant comme un bébé et mordillant doucement ces tendres bouts de chair. Je poursuis mon examen sur son ventre que je caresse en rond, tournant sur son nombril, dans lequel je vais d’un doigt simuler une pénétration. Reprenant ses hanches, mes mains descendent le long des cuisses et remontent doucement. À nouveau, elle réagit et j’entends un feulement sortir de sa bouche
- Hummm, Phil, c’est fort… Humm.
Ma main se pose enfin sur le mont des plaisirs. Sa touffe blonde est légère sous mes doigts, je les plaque sur cette chatte tant désirée. D’un léger va-et-vient, je prends possession de ses lèvres intimes. En un instant, mon majeur glisse dans la fente où je découvre une humidité chaude qui atteste par son abondance d’un désir partagé.
Bientôt, mon doigt est crochet et pénètre doucement la grotte sacrée dans laquelle il mouline sur les parois. Puis, ressortant, je serpente entre les lèvres en remontant vers son clitoris, et là je découvre le réveil d’un troisième téton, bien dissimulé entre les petites lèvres. Mon jeu de doigts vient de provoquer son érection. Je le tire, le pince, le caresse. L’effet est presque immédiat. Le corps d’Louise se tend en un spasme brutal et sa bouche laisse jaillir un cri de jouissance profond et primitif.
Son corps s’échappe de mes bras et glisse sur le tapis du salon. Elle se recroqueville à genoux, je ne vois plus que son dos arrondi et ses fesses. Ses bras enserrent sa tête et rapidement j’entends des sanglots étouffés. Tel un idiot, debout dans mon costume, je ne comprends pas. Je me baisse vers elle pour la prendre dans mes bras, mais elle résiste et d’une petite voix me dit :
- Laisse-moi, je ne suis qu’une salope, je viens de trahir en quelques minutes ma vie, ma fille, mon mari. Je suis une moins que rien. J’ai fantasmé sur cet instant pendant des semaines, me caressant comme une perverse le soir dans mon lit. Comment vivre sous le regard des autres alors que je me suis salie sous tes mains, m’abandonnant comme une catin ?
Je ne sais comment stopper ce flot de paroles. Je suis bouleversé, je viens de réaliser que, pour moi, il ne s’agit pas que d’une relation banale, mais plutôt d’un puissant désir amoureux. Mon sexe est certes toujours très tendu, mais mon cœur me fait part d’un sentiment tout autre, bien plus profond.
- Écoute, Louise, je suis là. Moi aussi je suis fautif, mais je ne me sens pas coupable, car depuis des mois tu as pris dans mon cœur une place à part. Mon regard pour toi est celui d’un amoureux, pas d’un profiteur. Bref, je t’aime. Tout comme d’ailleurs j’aime Camille. Vous êtes dans mon cœur ma double part de bonheur. Ce soir, nous ne trompons personne, nous sommes juste des amoureux.
Ôtant ma veste, je la pose sur le corps nu de mon nouvel amour. Je la serre dans mes bras et lui murmure des mots doux d’amour. Elle se pelotonne contre moi tremblante, j’embrasse son vCamillege, bois ses larmes, caresse ses cheveux. Alors, sans rien dire, elle s’offre à nouveau à mes baisers. Qu’elle est belle, ma madone ! Je la soulève et la dépose sur le canapé, moi assis à ses pieds. Elle a pris ses jambes repliées vers elle et pose son vCamillege sur ses genoux tout en me fixant, un sourire pâlot sur les lèvres.
Pour moi, le choc est de découvrir à hauteur de mes yeux ce que tout à l’heure j’avais sous les doigts, sa vulve blonde à peine dissimulée par ses poils blonds. L’instant est érotique et magique. Je n’ose le briser par un geste malencontreux et les minutes passent. Mon regard est tour à tour fixé sur son vCamillege puis sur son minou. Enfin elle se décide.
- Phil, mon amour, je suis touchée par tes mots. Il ne le faudrait pas, mais je ne saurais vivre plus longtemps sans t’avoir eu complètement à moi, et en moi. Je ne veux pas non plus perdre ma famille, alors après cette nuit où nous serons amants, nous reprendrons nos vies. Tu seras à nouveau mon gendre parfait et moi ta belle-mère préférée.
Avec ma veste sur les épaules pour tout vêtement, elle se lève et me prend par la main. Au passage, elle pose un doigt sur ma bouche m’intimant le silence et m’entraîne vers l’étage. Là, elle ouvre la porte de la chambre que nous occupons, Camille et moi, et me dit :
- Tu vas me faire l’amour ce soir, comme à ma fille, et dans votre lit. Ce n’est pas toi le coupable, mais bien moi. Je serai elle et ainsi pour moi tu ne l’auras jamais trompée.
À cet instant, j’ai compris sa démarche, mais pour moi c’est plus clair, c’est Louise que je veux, et pas une autre. Mon sexe veut posséder cette femme mature, l’amener vers des jouissances inconnues, et pas seulement un soir. Je la veux mienne tout comme je veux être son objet. Il n’est pas question d’une aventure sans lendemain. Alors ce soir, je vais être ce qu’elle souhaite et demain nous verrons.
Elle est là, près de moi, et commence à me déshabiller. Lentement, les mains tremblantes, elle m’enlève la chemise et ses doigts parcourent mon torse, une découverte lente et douce, chaque centimètre est caressé, alors sa tête se penche et sa bouche vient me picorer. Sensation de bisous, lèvres humides et petite langue qui par moment lèchent ma peau. Puis, elle s’agenouille devant moi et défait la ceinture de mon pantalon, glisse le zip de ma braguette et me voilà en caleçon.
Une de ses mains se pose alors sur mon sexe et, au travers du tissu, joue sur ma hampe, qui je dois le dire a repris toute sa superbe. L’autre main appuie sur mes fesses et me pousse doucement vers son vCamillege. Ses lèvres remplacent sa main qui vient me saisir les bourses et je sens son souffle chaud. Enfin l’instant rêvé, elle glisse mon dernier rempart vers le bas, mon sexe jailli raide, presque douloureux d’impatience, fier bras au bout duquel déjà perle mon envie.
- Oh Phil… Quel engin, je n’en connaissais pas d’aussi impressionnant !
- En as-tu connu tant que ça, demandai-je ?
- Une seule en réalité, celle de Arthur. Les autres, je les regardais avec envie dans des magazines. Il y en avait certes de belles, mais là j’ai sous les yeux un vrai symbole phallique.
Une bouche maladroite prend lentement possession de ma verge, savoureusement sa langue parcourt mon gland, jouant sur celui-ci, pénétrant mon méat, cette fente humide d’où ma semence est déjà prête à exploser. Mais je dois tenir…
La pompe s’est mise en marche d’une manière appliquée, quoique je sente bien une inexpérience dans cette fellation et j’apprécie d’autant la gâterie d’Louise. Elle a les yeux fermés, et avale de plus en plus loin mon chibre. Finalement, son front vient heurter mon ventre, elle pratique la gorge profonde comme une pro, je n’en peux plus, un cri m’échappe alors que mon foutre jailli en longues giclées dans sa bouche.
Je sens un brusque recul que je bloque de mes mains. Mais il n’y a plus de résistance et un léger mouvement de déglutition me conforte dans mes espérances, elle boit à ma source. Elle se redresse, ses yeux pétillent de plaisir et nous échangeons un baiser où la salive cache à peine le goût de mon sperme. Je suis ravi et la pousse sur le lit. La nuit ne fait que commencer…