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Ma belle mère (partie 1/3)

Vous pouvez remplacer n'importe quel prénom par celui que vous voulez
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L’avantage, lorsqu’on est un bon mari et un bon gendre c’est qu’on est en général insoupçonnable.


Le début de l’histoire a commencé il y a maintenant six mois. Pour remettre les choses dans leur contexte, je suis marié à une adorable femme depuis maintenant trois ans, et cette union fait suite à une relation remontant à cinq ans auparavant. Ma femme est une jolie brune de 31 ans aux cheveux mi-longs, les yeux bleus, dotée d’une grosse poitrine, d’un ventre plat entretenu par des séances journalières de gym et de natation, et de hanches fines.

Il y a un proverbe qui dit que lorsqu’on veut voir ce que sera son épouse dans vingt ans, il faut regarder sa mère. Sa mère est une copie presque conforme de sa fille si on ne fait pas attention à ce qu’elle est toujours juchée sur des talons de dix centimètres et quelques vingt ans de plus. Je ne vous parlerai pas de mon beau-père, ce dernier étant toujours à courir l’Europe pour son métier.

Afin de terminer les présentations physiques je suis moi-même un homme de 35 ans, simple, brun aux yeux verts, de taille normale, assez sportif. J’ai par contre une particularité physique assez embarrassante qui m’a causé beaucoup de tort dans mon adolescence : la taille de mon sexe qui, au repos, fait déjà la taille d’un honnête sexe en érection… Beaucoup de gens pensent à tort que posséder un sexe de grande taille est un don mais hélas il n’en est rien car après avoir subit les railleries de mes camarades de douche et les craintes de mes anciennes petites amies, certaines pratiques sont hélas à proscrire.

Nous sommes néanmoins un couple épanoui, ayant eu quelques expériences et ouvert à tout, sans tabou particulier. Notre situation actuelle de futurs propriétaires terriens nous incite à être, de manière très fréquente, dans ma belle famille, l’appartement que nous louons étant difficilement supportable les week-ends.


Les parents de Sophie possèdent une belle villa sur les hauteurs de Bandol et nous quittons donc Toulon dès que possible et ceci depuis Mars. Nous logeons dans une aile de la maison, dans un petit appartement réservé aux invités. La vie y est calme, sans voisin ni bruit et les beaux jours rendent encore plus agréable cet endroit. Nous y sommes souvent seuls, mon épouse et moi, sa mère étant toujours en courses ou à son club de gym, avec des amies.

Les semaines passant, la piscine devint un passage obligé lors du repos de la semaine où Sophie et moi-même profitions des moments de solitude pour bronzer nus, et même plus que nus, car aussi bien ma femme que moi détestons toute forme de pilosité ; et aussi parfois jouer à des jeux d’adultes dès que nous en avions la possibilité.


De semaine en semaine je trouvais ma belle mère de plus en plus enjouée, ravie de notre présence. Je remarquais aussi que ses escapades de shopping étaient plus rares. Ses amies venant, elles aussi, profiter du soleil et de la piscine. Je mettais cela sur le compte d’habitudes estivales tout en regrettant les moments ou ma femme et moi étions livrés à nous-mêmes, profitant des lieux en tenue d’Adam et Eve.

Un soir, alors que nous étions au lit chez nous, ma femme me raconta que sa mère l’avait appelée pour lui demander conseils sur son épilation, son institut ne pratiquant pas l’épilation intégrale. Cela nous fit rire, m’émoustilla un peu et une nuit bruyante et fatigante s’offrit à nous. La semaine passa, chacun pris par notre travail respectif, et le vendredi nous partîmes en direction de notre maison de week-end.


Je retrouvai ma belle mère toujours aussi rayonnante et enjouée mais, à tort ou à raison, je la trouvai changée. Habillée plus court, manucurée et coiffée visiblement du jour je la trouvai pour la première fois très excitante. Nous eûmes droit aux sempiternels reproches sur mon beau-père absent encore pour trois semaines, durant le repas du soir, sur cette solitude qui lui pesait, et qu’heureusement nous étions là les week-ends pour lui tenir compagnie…


Ce week-end là, mon épouse était conviée à l’enterrement de vie de jeune fille d’une de ses meilleures amies. Je n’étais, de mon coté, pas invité par son futur époux car nos relations n’étaient pas très bonnes. Nous avions décidé néanmoins de ne pas changer nos habitudes et je préférais rester seul ou en compagnie de ma belle-mère plutôt que dans notre appartement où j’étouffais.

Le samedi matin passa rapidement, occupé par une grasse matinée et un petit déjeuner copieux qui tint aussi lieu de déjeuner. Sophie m’attira ensuite dans notre petit appartement séparé pour que je l’aide à choisir sa tenue, me gratifia ensuite d’une fellation fantastique et partit avec notre voiture en tout début d’après-midi, ayant pas mal de route à faire, promettant de rentrer dès que possible, mais en émettant quand même la possibilité de ne rentrer que le lendemain matin si elle était trop fatiguée, ou bien un peu pompette. Un texto me tiendrait informé.


Je restai un peu à bouquiner sur notre lit, habité par l’image de ma femme à genoux, cambrée comme je l’aime, ses mains jointes sur mon sexe, sa bouche et sa langue s’activant jusqu’à mon plaisir. Cela eut pour effet de me mettre en condition, mais étant seul, je ravalai mes désirs et décidai d’une douche et d’un farniente au soleil. Ma belle-mère était, elle aussi, partie en courses et je me retrouvai donc seul au bord de la piscine, en tenue on ne peut plus minimaliste. Je m’endormis sur le dos et n’ouvris les yeux qu’une heure après, réveillé par le bruit d’un verre qui tombe.


Ma belle-mère était à côté de moi, accroupie de dos, rassemblant les éclats de verre.

Derrière mes lunettes de soleil, j’avais pour la première fois sous les yeux Martine (ma belle mère) en string et seins nus, ses maillots étant jusqu’alors bien plus sages. Sa lourde poitrine, pour ses 52 ans, était superbe et mise en valeur par les marques blanches laissées par ses anciens maillots. Il en était de même pour ses fesses, copies conformes de celles de Sophie, en plus larges. Je voyais pour la première fois ses tétons et ses larges aréoles.

Je cachais mon sexe avec la serviette et lui proposai de l’aider. Elle se retourna, me sourit et déclina mon invitation. Je remarquai qu’elle s’était encore plus cambrée et que ses fesses, posées sur ses talons, me laissaient voir un anus lisse et deviner ses lèvres. Elle se leva ensuite, partit vers le pool house pour jeter les morceaux de verre et revint vers moi. Je trouvais sa démarche chaloupée un peu exagérée, juchée sur ses hauts talons mais la vision de cette femme me troubla et même en conservant la serviette sur mon sexe il me paraissait délicat de rester sur le dos ! Je me tournai donc.


Je ne savais que faire, troublé par la situation, par cette femme qui était la mère de ma femme, mais que je regardais pour la première fois d’une toute autre manière. Elle engagea la discussion sur des banalités, le soleil, le beau temps, la chaleur, pour finalement en venir au fait que je pouvais retirer la serviette de mes fesses car cela ne la gênait nullement. Après quelques hésitations je me résignai à répondre à son invitation, laissant choir cette dernière sur le sol. Le silence s’était fait, mis à part les cigales, je somnolais à nouveau le dos chauffé par le soleil.


Martine me sortit de mon sommeil en me demandant si je voulais boire quelque chose car elle allait se faire un café. J’accueillis cette proposition avec un sourire et lui proposai de rester allongée pendant que je m’en occupais. Je nouais ma serviette autour de mes hanches pour me lever. Je revins avec une tasse dans chaque main et ce qui devait arriver arriva : la serviette tomba, libérant mon sexe à 50 centimètres de Martine. Je posai les tasses, ramassai la serviette et Martine éclata de rire.


  • Tu sais Pierre, c’est pas la peine de la remettre maintenant, j’ai déjà eu l’occasion de la voir lorsque tu dormais et, je te rassure, ce n’est pas la première que je vois !

Je me trouvais tout à coup stupide, face à une femme portant encore un peu de tissu alors que moi j’étais debout et glabre, mon sexe pendouillant. Je souris bêtement, m’assis et fixai ma tasse, la pris et bus mon café.

Martine se leva et avec son plus beau sourire quitta son dernier rempart de tissu, dévoilant à mes yeux un sexe lisse et blanc. Un sexe aux lèvres très proéminentes. Je détournai le regard et l’entendis me dire :


  • Comme cela nous sommes à égalité désormais.

Un grand silence se fit pendant qu’elle but son café et elle me demanda ensuite ce que je craignais, lui passer de la crème sur le dos. Je l’avais déjà fait quelques semaines auparavant, mais ce jour là Martine portait un maillot. Je pris donc la crème et l’étalai, évitant soigneusement les fesses et le haut des cuisses, mais malgré toutes ces précautions mon sexe commençait à se réveiller et prendre ses proportions de "fête".

Martine avait la tête tournée dans ma direction et ne pouvait que regarder mon entrejambe. Elle me demanda si cela me gênait de lui passer de la crème sur ses fesses et ses cuisses, et sans hésiter cette fois-ci je le fis. Ses fesses me donnaient l’impression de venir au-devant de mes gestes et la vision des globes entourant un œillet brun surmontant ces lèvres entrouvertes parachevèrent mon érection.

Martine se retourna, se dressa sur ses coudes et me regardant droit dans les yeux me dit :


  • À mon tour désormais. Allonge-toi. Sur le ventre.

J’obtempérai et j’eus droit en fait à un véritable massage, de la base du cou aux orteils en insistant bien sur mes fesses, qu’elle malaxa. Martine s’assit ensuite sur mes jambes, ses jambes de chaque côté du bain de soleil et j’eus droit à un massage plus appuyé du dos. Je sentais la pointe de ses seins frottant contre mes reins. Imaginer son sexe ouvert de par sa position sur moi me rendais fou…


  • Sur le dos maintenant !

Elle se leva et attendit.


  • T’attends quoi ? Que ta chose se calme ? me dit-elle en éclatant de rire.

Je me retournai donc en tachant de ne pas penser à ce qui allait forcément arriver. Elle tira son bain de soleil a côté du mien et s’assit dessus en tailleur, lèvres ouvertes. Obscène.


  • Quelle queue ! Quelle taille fait-elle ?

Je bafouillai que je ne savais pas vraiment mais…


  • Ne me dis pas ça, tous les garçons se la mesurent à un moment ou un autre alors !

J’avouai donc mes 25 centimètres et profitai de ma lancée pour lui avouer les 6 autres cm terminant mes mensurations. Elle prit mon sexe entre ses doigts, le tirant à la verticale, puis la deuxième main rejoint la première pour contempler qu’il restait encore au moins 10 centimètres à l’air libre. Elle commença alors à me masturber avec une lenteur exaspérante tout en me regardant droit dans les yeux.


  • Tout cela, j’en ai envie depuis des mois et je tiens à ce que cela ne ressorte JAMAIS, quoiqu’il arrive dans l’avenir.

Ses paroles tombaient sous le sens mais le ton employé était très ferme et son visage grave. Je lui souris, et tentai de retrouver ma superbe en lui demandant d’un air goguenard à qui elle voulait que je puisse en parler. Elle me sourit et engloutit dans sa bouche les centimètres restants au-dessus de ses doigts. Mon sexe était dans la bouche de ma belle-mère, sa langue jouait avec mon gland. Une main avait quitté ma hampe pour caresser mes couilles.


  • Comme ça, ça te fera ta deuxième pipe de la journée, me dit-elle… Je vous ai vu tout à l’heure…

Elle se mit ensuite entre mes cuisses, ses mains à plat sur mes tétons et reprit sa fellation. Elle descendait doucement en aspirant puis s’immobilisait et là, sa langue entrait en scène, en alternance. Une de ses mains avait quitté mon torse pour aller trouver refuge contre son sexe. Martine descendait de plus en plus bas, tentant d’avaler le plus possible de ma hampe, jouant avec la limite de ses capacités. Après plusieurs haut-le-cœur, elle se résolut à ne plus tenter le diable. Sa main quitta son sexe pour venir jouer avec ma rosette et elle y glissa un doigt.

Je ne réalisais plus rien, allongé au soleil, et mon plaisir n’allait pas tarder à venir. Elle sentit visiblement cela et cessa son jeu de bouche pour lécher le doigt qu’elle avait enfoui en moi. Elle se leva ensuite, poussa son bain de soleil et vint au-dessus de mon visage.


  • Goûte-moi, lèche-moi !

Elle écarta ses lèvres avec les doigts d’une main, plia ses genoux et colla son sexe à mes lèvres. Son sexe avait une odeur agréable et un goût de sel et de sucre mélangés. J’enfonçai ma langue au plus profond que je pouvais. Martine alternait les mouvements verticaux et horizontaux afin que je lui lèche son entrejambe et qu’elle sente aussi ma langue en elle. Mes mains tenaient ses fesses et je profitais de cela pour les écarter le plus possible et lécher son anus.

Ma belle mère, d’habitude si réservée, était en fait une furie. Elle se leva ensuite pour se retourner et s’allongea sur moi, tête bêche, enfonçant ma queue au fond de sa bouche. Sa petite taille m’empêchait de la lécher encore et je jouais avec mes doigts, alternant caresses sur son clitoris et pénétration. Ses réactions à la pénétration me dictèrent de me concentrer sur cela et j’enfonçai mes doigts le plus profond possible, les écartant à l’intérieur d’elle. Son sexe était très élastique et quatre doigts la pénétraient. Son corps venait à ma rencontre, poussant vers moi son sexe comme si elle voulait que ma main la pénètre.

Elle avait arrêté de me sucer, concentrée sur son plaisir. Je poussai de plus en plus mes doigts en elle, collai mon pouce aux autres doigts et attendis sa réaction. Elle vint au-devant de ma main et, dans une poussée lente, fit entrer cette dernière en elle en gémissant. Pour la première fois de ma vie, je fistais une femme. Ma main était au fond d’elle, jusqu’au poignet.


  • Ferme ton poing et bouge, s’il te plaît !

Je m’exécutai et, après quelques mouvements, elle hurla et fut animée de tremblements. Je restai quelques instants immobile en elle et retirai ma main le plus délicatement possible. Son sexe était béant et ma main gluante de ses sécrétions.

Elle resta quelques minutes immobile puis entreprit de reprendre une fellation lente et profonde. Quelques minutes passèrent ainsi. Elle me maintenait en état d’excitation extrême, sentant à chaque fois l’approche du point de non retour et ce supplice était divin.


  • J’ai envie de te sentir en moi, veux tu ?

Mais sans attendre ma réponse elle se releva et vint s’empaler sur moi. Mon sexe entra en elle et j’avais la sensation étrange de ne pas remplir un sexe complètement, pour la première fois de ma vie. Elle guidait la chevauchée, j’étais comme un gode humain, passif.

Je pris ses seins dans mes mains et pinçai ses tétons, les faisant rouler entre mes doigts. Son visage était concentré sur son plaisir, des perles de sueurs coulaient entre ses seins. Elle accéléra le rythme et je sentis le point de non retour arriver pour moi aussi. Nous jouissions ensemble et je me vidais en elle.


Nous restâmes un moment emboîtés l’un dans l’autre, les yeux clos et quand je les ouvris elle me souriait.


  • Cela faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort, mais aussi deux fois presque coup sur coup !

Elle se pencha sur moi et m’embrassa du bout des lèvres.


Il était tout juste 16 heures et quelque chose me disait que Sophie ne reviendrait pas avant le lendemain. Je connaissais ses amies !