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Ma belle mère (partie 2/3)

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Martine nous accueillait, sa fille et moi, chaque fin de semaine dans sa maison et se faisait de plus en plus pressante afin que nous laissions notre appartement temporaire, prétextant que cela ne servait à rien, que c’était de l’argent jeté en l’air, que la maison était suffisamment grande pour que nous puissions y vivre en attendant que la nôtre soit construite.

L’été se passa ainsi, à faire les allers-retours entre Toulon et les hauteurs de Bandol.


La rentrée dite scolaire marqua un tournant.


Sophie, ma femme, devait suivre un stage au siège de son entreprise en région parisienne, stage de dix semaines qui l’éloignait de notre domicile durant les jours ouvrables.

Sa mère en profita pour revenir à la charge, argumentant que ce serait mieux si j’étais à ses côtés durant la semaine, que cela lui ferait une présence pendant les déplacements fréquents de son mari…

Et nous avons cédé.

Nous emménageâmes donc dans l’aile des "invités".


Ce qui s’était passé quelques semaines avant entre Martine et moi ne s’était pas renouvelé, et je gardais un souvenir heureux de cet écart malgré un sentiment de culpabilité vis à vis de ma femme.

Je m’étais remis sérieusement au sport à raison d’une heure de natation chaque jour et courais chaque soir mes huit kilomètres.

La natation avait été un bon alibi pour terminer ma chasse aux poils sur mon corps, assouvissant un fantasme, le plaisir d’être totalement lisse, partout. Sophie appréciait mais avait été quand même étonnée de me retrouver ainsi un soir, car je réservais cela, habituellement, tout comme elle, à mes parties intimes.

Sophie attaqua son stage, et je partageai mes repas avec Martine chaque soir, avec quelques allusions de la part de Martine à un certain après-midi passé…


Un après-midi où j’avais décidé de travailler depuis "mes" appartements (en tenue d’Adam), j’entendis une conversation entre Martine et une de ses amies qui rentraient de leur cours de gym.

Martine ne savait pas que j’étais rentré.

La conversation était axée sur le sexe, dont le sujet était ce fameux après-midi où les relations entre elle et moi avaient dérapé.

Elle lui raconta tout dans les moindres détails, lui avouant sa jouissance et son envie depuis de remettre ça, et aussi quelques envies qu’elle avait depuis. Son épilation intégrale faite dans un but précis, son plaisir d’être ainsi "plus que nue"… et son envie de poser un anneau sur une de ses lèvres que j’appréciais tant.

Son amie lui fit à son tour quelques confidences sur ses aventures extraconjugales…

J’avais arrêté de travailler pour écouter cela, et je les observais depuis ma table de travail à travers les rideaux, mi-amusé mi-excité.

Son amie Dominique, une brune aux cheveux courts, assez fine, était vêtue d’un jogging assez ample et d’un bustier près du corps qui mettait en valeur une petite poitrine et qui, de ce que je voyais, se passait de soutien-gorge. Martine était quant à elle plus que séduisante, moulée dans une combinaison noire mi-cuisse mi-bras, et qui rendait tout port de dessous impossible, de ce que je voyais.


Je décidai de feindre de rentrer à l’instant et de me joindre à elles comme si de rien n’était.

J’enfilai à même la peau un pantalon et une chemise, pris mon cartable et mis mon plan à exécution.

Lorsque j’arrivai sur la terrasse, les deux femmes n’étaient plus sous la pergola. Seuls leurs habits étaient posés sur les fauteuils.

Je feignis de ne pas le remarquer et m’avançai vers la piscine.


Mon arrivée avait visiblement fait changer la conversation, qui roulait sur des sujets classiques tels que le temps superbe pour septembre, le sport, les enfants, etc, etc…

Je fus amusé en pensant aux confidences entendues, et promenai mon regard sur Martine en fixant ouvertement par moments son entrejambes pour voir sa réaction. Le jeu ne lui échappa pas et subrepticement le compas de ses cuisses s’ouvrit, laissant plus de place pour ma vue.

Cela commençait à me faire quelque effet et mon bas-ventre se réveillait.


Martine me proposa de me joindre à elles pour un petit bain…

Je prétextai un coup de fil à donner et quelques mails à envoyer pour m’éclipser, tout en promettant de venir les rejoindre dès mes tâches acquittées.


Mettre un maillot, ne pas en mettre… Que faire ?

Je regagnai alors mes appartements et les observai depuis ma table. Dominique avait visiblement de jolies fesses, de très beaux seins aussi malgré leur petitesse.

Une jolie femme, souriante.


Je laissai un certain temps s’écouler pour justifier du fameux coup de fil et décidai finalement moi aussi de me passer de maillot, entourant mes hanches d’une serviette nouée.

Je rejoignis les deux amies qui étaient assises sur la margelle face au soleil, et me déshabillai.

Dominique regarda mon corps, visiblement étonnée du fait qu’aucun poil ne recouvre ma peau.

J’entrai dans l’eau et entamai quelques longueurs (façon de parler vu les dix mètres de long de la piscine) et revins vers elles, me calant face à elles, dans l’eau.

Martine me demanda alors de dire à Dominique pourquoi je m’épilais.

Un peu gêné quand même, je lui expliquai que pour la natation c’était mieux, que je trouvais cela aussi plus esthétique… Et Martine en éclatant de rire ajouta que pour certaines choses aussi c’était plus agréable !

Dominique aussi éclata de rire tout en rougissant. Martine enfonça le clou en ouvrant ses cuisses et exposant ses lèvres intimes à mon regard.

Une raideur certaine, dissimulée par l’eau m’empêchait de sortir de la piscine…

Ses petites lèvres avaient la particularité d’être très développées et de largement dépasser des grandes, et cette vision était très excitante depuis l’endroit où j’étais.

Mon sexe était maintenant au mieux de sa forme, rendant toute sortie de l’eau véritablement impossible en présence de Dominique.

Martine tenta de m’y forcer néanmoins en me demandant d’aller leur chercher à boire, ce que je ne pouvais évidemment pas refuser, mais Dominique vint à mon secours et se proposa de "faire le service".

Elle partit vers la cuisine, ce qui me permit de détailler son épilation quasi intégrale et d’apprécier une démarche très sensuelle.

Je profitai de ce moment pour rapidement sortir de l’eau et Martine fixa en souriant mon bas-ventre, visiblement satisfaite de son manège.

Je renouai ma serviette autour de mes hanches et vins au-devant de Dominique afin de débarrasser la table des journaux qui y étaient posés.

Martine nous rejoignit dans le plus simple appareil alors que Dominique avait passé un string.

Nous prîmes un rafraîchissement, parlant de tout et de rien et Dominique dût partir, devant aller chercher ses enfants à l’école.

Elle se rhabilla, embrassa Martine, me dit au revoir et partit.

Martine l’accompagna jusqu’à l’entrée et revint s’asseoir face à moi en tailleur, laissant à mon regard la vision de son coquillage bien ouvert.


  • Jolie femme, Dominique non ? Qu’en penses-tu ?
  • Très jolie en effet mais ce n’est pas mon style, tu sais bien que j’aime les formes et elle en manque quand même un peu.
  • C’est sûr qu’elle n’a pas mes formes ni celles de ma fille ! dit-elle en éclatant de rire.
  • Clairement, mais personnellement, je trouve bien plus beau un corps de femme doté de hanches bien marquées et d’une poitrine conséquente.
  • Je dois donc conclure que tu préfères mon corps au sien ?
  • Absolument, d’autant plus que depuis quelques temps il me semble que tu le mettes plus en valeur… Mais pas assez à mon goût !

Je m’engouffrais dans une brèche et j’allais bien voir la réaction de Martine…


  • Qu’entends-tu par « pas assez » ?
  • C’est sûrement déplacé de te dire cela, mais il me semble que quelques bijoux pourraient mettre, parfois, selon les circonstances, ton corps encore plus en valeur…
  • Quoi par exemple ?
  • Un piercing à une lèvre… Quelque chose dans ce style…
  • J’y ai pensé mais comment justifier cela vis à vis de Bernard ?
  • À toi de voir, mais il existe des anneaux sans perçage qui se clipsent…
  • Où trouver ça selon toi ?
  • Sur le net sûrement, veux-tu qu’on regarde ? Je vais chercher mon portable ?

Quelques minutes après, nous étions ma belle-mère et moi en train de surfer sur des sites de bijoux intimes, assis l’un à côté de l’autre.


  • Ça doit être sur ce genre de sites que Bernard a dû acheter certains trucs, je reconnais celui-là !!!
  • Tu as des « jouets » dans ce style ? Comme quoi je découvre encore des choses…

Mon sexe était toujours dissimulé sous la serviette nouée mais la bosse devenait visible.


  • Oui il nous en a acheté quelques-uns… Veux-tu les voir ???
  • Volontiers.

Martine partit chercher ses trésors et revint quelques minutes après portant un coffret, une sorte de coffret à cigare qui avait déjà attiré mon attention dans leur chambre, coffret fermé à clefs… Et ni mon beau père ni Martine ne fumaient de cigares…

Martine s’assit à mes côtés en léger décalé et ouvrit le coffret. Ce dernier renfermait du gel, des boules de geisha, un plug anal de bonne taille ainsi qu’un gode en verre superbe.


  • Voilà… Tu sais tout désormais… dit-elle avec un sourire malicieux.
  • Lequel préfères-tu ?
  • C’est selon, mais les boules par exemple ne m’ont jamais fait d’effet…

Je pris le plug et le lui tendit… Mais elle ne le prit pas.


  • Celui-ci doit être agréable non ???

Elle avait les yeux qui brillaient et sa respiration lente faisait se tendre sa poitrine. Mon regard se porta plus bas et je vis le coquillage ouvert et humide.

Mes doigts vinrent à la rencontre de son sexe pour vérifier son état, Martine ferma les yeux en poussant son bassin en avant.

J’enfonçai deux doigts en elle, recueillant son miel que je portai à sa bouche.

Elle était passive, écartant juste sur ses petites lèvres, me laissant jouer avec son corps. J’alternai pincements de tétons et étirements, avec un doigtage profond.

Je pris le plug et le portai à sa bouche. Ses lèvres s’ouvrirent lentement sur lui et elle commença une succion lente et profonde, le mouillant abondamment de sa salive.

Je le portai ensuite à son sexe qui s’ouvrit sur lui, l’engloutissant en entier y compris la base. Je le retirai grâce au petit cercle de métal et le lui redonnai à sucer.

Je pris ensuite Martine par le bras, lui intimant de se lever et la mis debout devant moi. Je dénouai alors ma serviette, libérant mon sexe d’où perlait ce fameux liquide translucide.

Elle tendit ses fesses vers moi en s’appuyant sur la table, ouvrant ses cuisses et offrant à ma vue ses lèvres que je trouve si excitantes.

Je pris le gode en verre pour quelques allers et venues en elle et vins ensuite coller ma bouche sur elle, léchant et aspirant son clitoris.

Son petit œillet brun me tentait et ma langue le rejoignit. Martine prit ses fesses entre ses mains, s’ouvrant sur ma langue du mieux qu’elle le pouvait…


  • Mouille-moi bien, lèche-moi, je veux le plug en moi !

Je lubrifiai de mon mieux son entrée secrète et ajoutai à ma salive un peu de gel. Je la dilatai doucement avec mes doigts et présentai le plug sur l’œillet qui s’ouvrit doucement, se distendant peu à peu, l’aspirant…

Je me levai à mon tour et vins derrière elle. Elle guida mon sexe dans le sien et m’enfonça jusqu’à la garde en elle d’une seule poussée.

Martine soutenait d’un bras sa lourde poitrine et se tenait à la table de sa main laissée libre.


  • Prends-moi à fond, baise-moi fort !!!

J’accélérai le rythme et sa jouissance vint.

Une fois que je fus sorti d’elle, Martine se retourna et s’agenouilla pour me prendre dans sa bouche.

Je pinçai ses tétons et après quelques allers-retours, n’y tenant plus, je me vidai dans sa bouche…

Martine me garda longtemps en elle, avalant ma semence en continuant sa fellation lentement.

Elle me sourit et se releva.


  • Il est encore tôt non ? Tu dînes dehors ce soir ou tu restes avec moi ?
  • Rien de prévu…
  • Moi non plus je n’avais rien de prévu mais j’ai une idée maintenant…
  • Martine… Tu n’as rien oublié ???
  • Non… Je le garde en moi.

La soirée promettait…