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Ma belle mère (partie 3/3)

Vous pouvez remplacer n'importe quel prénom par celui que vous voulez
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Les choses se compliquaient peu à peu…


J’avais une femme superbe, j’étais sous le toit de sa mère de 49 ans toute aussi superbe, et je venais de succomber pour la deuxième fois aux charmes de cette dernière. Martine, visiblement, ne tenait pas à ce que l’incartade du début d’été reste sans suite et venait de me le prouver en faisant tout son possible pour me faire encore une fois craquer… La chair est faible on dit…


La fin d’après-midi fut riche d’informations. J’étais retourné dans mes appartements pour y prendre une douche et adresser quelques mails professionnels, puis avais lancé une messagerie bien connue afin de voir qui de mes contacts étaient connectés. Martine l’était. Ma belle mère faisait partie de mes contacts car du temps où nous résidions Sophie et moi à Toulon, parfois il nous arrivait d’échanger quelques mots ou bien elle avait avec sa fille quelques conversations vidéos. Je traitai mon courrier et adressai ensuite un message à Martine.


  • Quelle idée as-tu pour ce soir ?

La question resta sans réponse quelques minutes alors que je m’étais mis à surfer de sites en sites. Une petite fenêtre orange se mit à clignoter au bas de mon écran.


  • Pas une mais DES idées… Je suis avec Dominique en ligne, laisse-moi y réfléchir encore un peu et nous en parlerons plus tard.

PS : Suis toujours aussi "remplie" derrière…


J’hallucinais de savoir que Martine papotait tranquillement devant son ordinateur avec son amie Dominique, les fesses encore habitées par le plug que je lui avais mis. Je décidai alors d’espionner Martine et quittai mes appartements pour écouter sa conversation depuis le couloir. Une porte me séparait de Martine et je n’entendais que le bruit des touches sur son clavier. Elle n’avait donc pas branché sa webcam. J’étais sur le point de retourner vers mon "chez-moi" quand j’entendis rire. Un rire qui provenait des hauts parleurs de Martine. La conversation audio (peut-être vidéo) était en route et selon ce que j’entendis j’en conclus que Martine lui avait raconté nos derniers amusements. Cela devenait intéressant.


  • Et tu l’as encore ?
  • Oui.
  • T’es folle… Montre-moi.
  • Regarde.

Je fantasmais sur le fait que Martine ait pu montrer le plug à son amie…


  • T’es dingue y’a rien d’autre à dire…
  • Pas plus que toi ma belle… Tu veux me reparler de tes trucs bizarres avec tes amis de Nice ??
  • C’est différent, je voulais pas mourir conne et essayer aussi ce genre de trucs.
  • Ça t’a plu visiblement non ?…
  • Et toi, ça te plaît pas peut-être ? En tout cas j’ai jamais eu cette impression !… Je dois te laisser Martine, je dois conduire Guillaume à l’aéroport et poser les deux monstres chez mes parents… Je t’appelle plus tard.

Je quittai le couloir sans faire de bruit et revins à ma table de travail. Je supposai que Martine était donc visiblement bisexuelle et avait au moins une fois fait cela avec Dominique… Ou alors des choses m’échappaient. Où avais-je mis les pieds en tout cas ! Je répondis à quelques e-mails arrivés entre temps puis enfilai un shorty et un tee-shirt pour mon footing quotidien. Lorsque j’en revins, Martine était au téléphone dans le salon, vêtue d’un paréo transparent et elle était visiblement de nouveau avec son amie au téléphone. Je filai prendre une autre douche et bientôt Martine vint frapper à la porte. Son paréo était noué derrière la nuque, drapé sur ses seins, laissant son ventre et son sexe visibles.


  • Dominique a emmené son mari à l’aéroport et sort avec nous ce soir… pas trop déçu ?
  • Non pas déçu, car elle est très agréable, mais ce qui est dommage c’est pour les idées que tu avais… Elles auraient pu me plaire !
  • Cela n’empêche peut-être pas… Déjà, c’est toi qui vas me dire comment m’habiller…
  • Tout dépend de ce que vous avez prévu de faire et où nous sortons.
  • Un resto et ensuite on verra… Ça te convient Pierre ??

Je la regardai… Martine était appuyée contre mon bureau, hanches en avant et épaules rejetées en arrière et mon regard était irrémédiablement attiré par son sexe délibérément offert.


  • Une chose est sûre, c’est que tu ne pourras pas sortir comme ça, mais j’aimerais bien que tu t’habilles assez court si cela ne te pose pas de soucis vis-à-vis de ton amie… Un petit haut et une jupe… Ou bien… une robe serait agréable… Tu me montres ce que tu as à proposer ??

Je suivis Martine dans sa chambre et m’assis. Martine sortit plusieurs petits ensembles assez courts et mon choix se porta sur un haut noir, dos nu, se nouant sur la nuque, légèrement brillant et dont la fine matière semblait élastique. Je l’invitai à le passer et Martine quitta son "drapage". Ce haut, que je ne lui connaissais pas, lui allait à merveille et moulait sa lourde poitrine dans les moindres détails. Je ne cessais de m’étonner du corps de cette femme malgré ses 49 ans. Je l’invitai ensuite à choisir elle-même de quoi se chausser et elle choisit une paire de mules noires à talons hauts. Ni elle ni moi n’avions encore évoqué le "problème" des dessous, ni celui de sa jupe. Martine s’accroupit en face de moi pour ranger la boîte de ses mules, ce qui me permit d’admirer encore son coquillage ouvert. Martine sourit, elle avait suivi mon regard.


  • Tu n’as plus le plug ?
  • Non, je l’ai retiré quand je suis allée me doucher.
  • Dommage, l’idée me plaisait bien !
  • Il est quand même un peu gros… mais je sais qu’il en existe des plus petits, plus faciles à garder.

Était-ce un message ? Je décidais alors de saisir la balle au bond et lui dit :


  • Dommage que Dominique soit avec nous ce soir car nous aurions pu en acheter un, ce n’est pas les endroits qui manquent à Toulon ou Marseille. D’ailleurs, mon idée était de t’emmener dans un de ces endroits pour choisir quelques petits trucs…

Martine rougit mais ne se démonta pas.


  • Tu penses à quoi ?
  • Tu m’as avoué avoir pensé à te faire poser un anneau sur une lèvre, moi je te propose des petites chaînes avec des petits poids au bout pour étirer encore un peu tes lèvres.
  • Mais ça va pendre beaucoup ! T’es malade !!!
  • Faudrait essayer pour voir.

Je m’approchai de Martine. Elle fit un pas en arrière pour s’appuyer contre la commode et écarta d’elle-même ses cuisses. Je pinçai alors ses lèvres entre mes doigts et les tirai vers le bas en les écartant un peu. Martine se mit instantanément à haleter, ouvrant encore ses cuisses. Je m’amusai un moment à étirer ses chairs…


  • Ce qui me ferait plaisir Martine, c’est que tu remettes ce que je t’ai mis cette après-midi…
  • Prends-le, il est dans la boîte là… Mais prends aussi le gel s’il te plaît.

Je le pris et lorsque je me retournai, Martine était de dos, sa poitrine appuyée contre la commode et elle tenait ses fesses ouvertes avec ses mains. Je lui caressai le sexe et son entrée secrète, et lui tendis ensuite mon index à sucer. Elle l’aspira et le noya de salive. Ses fesses s’ouvrirent sans effort sur mon doigt, et j’enduisis de gel pour la forme le plug afin de l’introduire. Il pénétra sans mal. Je tirai un peu dessus sournoisement pour voir son anus se tendre et repoussai les mains de Martine. Elle se dirigea ensuite vers le dressing afin de choisir une jupe. Elle la choisit noire, mi-cuisses, et légèrement fendue de chaque côté. Elle prit aussi une fine veste de la même couleur. Nous quittâmes ensuite la chambre pour nous diriger vers le salon. Martine me précédait, ce qui me permit de constater que le tissu de la jupe était très fin et qu’en contre-jour son entrejambe se devinait. Par une des portes-fenêtres, nous vîmes alors Dominique qui était assise sur la terrasse, feuilletant un magazine. Nous sortîmes la rejoindre.


  • J’ai tapé à la porte et personne ne m’a ouvert, j’allais pas rester debout devant la porte à attendre, alors je suis rentrée dit-elle en souriant.
  • Tu as bien fait… Pierre m’aidait à ranger des cartons qui étaient un peu hauts pour moi dans le dressing.

Dominique sourit et après l’avoir détaillée des pieds à la tête, complimenta Martine sur sa tenue. Dominique n’était pas en reste non plus question tenue. Elle avait choisi une robe beige assez ample soulignée par une ceinture ton sur ton et des jolis escarpins sable coordonnés à son sac. Martine s’assit en face de moi en me regardant. La voir s’asseoir sachant ce qui était au fond d’elle m’était très agréable… Nous prîmes l’apéritif en discutant de tout et de rien, je surveillais Martine en apercevant parfois un peu plus que ses cuisses, elle était radieuse. Les "Filles" proposèrent de lever l’ancre et je fus désigné pour prendre le volant, comme de coutume. Martine proposa d’aller vers Cassis ou Marseille pour changer de Toulon, et notre choix se porta finalement sur Marseille, car Cassis en semaine est plutôt sinistre dès que la rentrée des classes a eu lieu. Nous avons décidé de dîner en terrasse sur la Corniche afin de profiter de la température encore clémente.


Le vin avait visiblement un peu d’effet sur Martine et Dominique car leurs rires devenaient plus sonores (tout en restant dans le raisonnable quand même) et les allusions de Dominique sur ma relation avec Martine fusaient. Les deux amies étaient assises en face de moi, un couple finissait de dîner à deux tables de nous, le repas était bon et l’ambiance agréable. Mes pensées allaient vers "l’after"… Comment allions-nous continuer la soirée, sachant que les deux femmes ne travaillaient pas, et que j’étais en RTT le lendemain ? Je décidai de me laisser porter par les envies des femmes, attendant de voir ce qu’elles allaient proposer. Le couple avait fini et se préparait à partir. Martine ôta sa veste et se leva pour une destination qui se devinait, et je la suivis du regard, profitant visuellement de ses formes et de son dos bronzé. Dominique me regardait en souriant, je lui rendis son sourire.


  • Vous avez une vie bien remplie en ce moment Pierre, de ce que je sais et devine…
  • En effet, j’espère juste que vous ne portez aucun jugement…
  • Non car je serais très mal placée pour le faire… On pourrait se tutoyer non ?
  • Volontiers, mais pourquoi serais-tu si mal placée ?
  • Ce serait trop long ,Pierre, et sans grand intérêt…

Martine revenait vers nous et j’eus l’impression que ses cuisses étaient plus dénudées. Elle s’assit, découvrant l’espace d’une seconde son sexe, ce qui n’échappa pas à Dominique qui pouffa !


  • Tu as jeté ton string aux toilettes ou bien il est dans ton sac ?
  • Ni l’un ni l’autre, je n’en ai pas mis… mais c’était pas notre pacte ? Et toi, tu l’as respecté aussi ?
  • Évidemment, regarde !

Et Dominique se mit de profil vers Martine, relevant le bas de sa robe en ouvrant ses cuisses. Son sexe était lui aussi tout aussi libre et désormais aussi lisse que celui de Martine. J’éclatai de rire et osai demander à Dominique s’il m’était possible de vérifier cela moi aussi, ce qu’elle fit.


  • Vous m’excuserez de ne pas vous montrer mon absence de caleçon, il faudra me croire sur parole !

Les filles éclatèrent de rire et nous continuâmes à dîner.


Les sujets de discussion étaient par contre plus intimes et j’appris que Dominique avait 42 ans, que son "péché mignon" était la sodomie, qu’elle et Martine se donnaient souvent du plaisir mutuellement, que le mari de Dominique avait aussi eu droit aux faveurs de Martine lors d’un trio improvisé, que ce dernier était bisexuel et qu’il arrivait à Dominique de partager son mari avec un amant…


Je tombais des nues, imaginant à tort que ce genre de choses était réservé à une certaine tranche d’âge… Le repas touchait à sa fin et en attendant l’addition, le sujet arriva sur les bijoux intimes. Je proposai alors une visite de sex-shop pour nous "documenter". Nous avons trouvé notre bonheur dans un boulevard perpendiculaire à la Canebière.


Martine avait perdu de son assurance et était entrée timidement. Dominique, elle, avait visiblement décidé de prendre son amie sous son aile et avait demandé au vendeur où était ce genre de bijoux. Ces derniers étaient sous vitrine, dans une alcôve. Martine était visiblement très gênée mais aussi très excitée par la situation. Je choisis une paire d’anneaux clipsables avec des poids dorés pendus au bout de courtes chaînettes, réglables d’une dizaine de centimètres. Dominique demanda au vendeur à les voir de plus près. Ce qu’il fit et les lui tendit. Elle les prit, les soupesa en souriant. Je les pris à mon tour et décidai de les acheter. Martine était rouge comme une pivoine et Dominique éprouvait un plaisir non dissimulé à voir son amie dans cet état.


Le vendeur alla s’occuper d’un homme et nous laissa seuls à nos choix. Étant hors de vue du vendeur et de son client, je relevai la jupe de Martine jusqu’à la taille et lui écartai les cuisses. Je pris une lèvre, l’étirai et clipsai l’anneau. Son sexe était trempé. Le résultat était au-delà de mes espérances !! Dominique me regardait en souriant, puis s’accroupit et fit la même chose avec son autre lèvre, sans être choquée que son amie/amante ait l’anus occupé. Elle étira alors les poids sur les côtés et lécha lentement le sexe et le clitoris de Martine. Ses doigts la prirent ensuite profondément quelques secondes puis elle se releva et les donna à lécher à Martine. Mon sexe me faisait mal à force d’être en érection. Martine avait les yeux clos et léchait les doigts de son amie, sa jupe remontée aux hanches.


Je choisis ensuite un bijou d’anus en métal orné d’un strass pour Martine, de diamètre légèrement inférieur au plug et appelai le vendeur. Ce dernier me le tendit et proposa aussi de nous offrir du gel, alors que je lui demandais de nous montrer des pinces à poser sur les seins. Il me donna ensuite les petites pinces et retourna voir son client. Martine avait rabattu sa jupe mais le vendeur nous fit comprendre d’un sourire qu’il avait saisi où étaient les anneaux. Dominique prit le plug en métal en souriant et demanda à Martine si elle pouvait être la première à l’utiliser. Martine ne fut pas capable de répondre et Dominique prit cela pour une acceptation. Elle retroussa la jupe de son amie, l’introduisit dans son sexe et se l’enfouit ensuite dans les fesses en soupirant. Elle souleva ensuite le haut de Martine, libérant la lourde poitrine emprisonnée et tourna Martine vers moi en lui maintenant les poignets dans le dos. Les tétons de Martine dardaient et je lui fixai les pinces, reliées entre elles par une longue chaînette réglable qui pendait. Dominique repositionna le haut de Martine et s’agenouilla à nouveau devant elle. Elle fit tourner la jupe de Martine d’un quart de tour en la relevant un peu de sorte que les fentes se positionnent sur ses fesses et son sexe. Elle régla les petites chaînes de sorte que le bas des chaînettes et les poids soient visibles.


  • Viens te voir dans la glace lui dit-elle d’un ton autoritaire en lui prenant le bras.

Martine se retrouva devant la glace sous le regard du vendeur et de son client, qui n’en croyait ses yeux. Martine avait les yeux baissés. Sa soumission m’ouvrait de nouveau horizons.


  • Tu te plais Martine comme ça ? demanda-t-elle.
  • Réponds !

Un petit oui sortit de la bouche de Martine. Dominique jubilait.


  • Montre-nous comment c’est fixé à toi. Relève ta jupe et écarte tes cuisses !

Lentement Martine s’exécuta, montrant à nous tous sa nudité et ses entraves sans lever les yeux.


  • Regarde-nous !

Martine leva la tête et soutint nos regards. Elle éprouvait sans aucun doute beaucoup de plaisir à être ainsi exhibée, soumise. Elle ordonna à Martine de régler les achats et nous sortîmes. La démarche de Martine était hasardeuse… et dès le boulevard traversé sous les phares des quelques voitures qui passaient, Dominique remonta encore la jupe que Martine avait baissée en sortant du sex-shop, offrant à la vue de qui viendrait à passer par là, le sexe de Martine et ses parements. Nous n’avons hélas croisé personne. Arrivés à notre voiture, Dominique exigea que Martine se déshabille totalement, ce qu’elle fit sans hésiter et l’installa à l’arrière, au centre, dissimulée heureusement par les vitres noires.


Dominique vint s’asseoir à ma droite en relevant sa robe pour être "à l’aise", se retourna et écarta les cuisses de Martine en lui ordonnant de rester ainsi pour le trajet. Dominique défit ma ceinture et libéra mon sexe au premier feu rouge et dès les premiers tours de roue sur l’autoroute, se mit à genoux, de travers sur son siège, et plongea sa tête sur mon membre, l’engloutissant jusqu’à la garde sans haut-le-cœur, dans de grandes allées et venues jusqu’à ce que je jouisse. Martine me fixait droit dans les yeux en se caressant… Dominique prit alors le bout de la chaîne qui reliait les tétons de Martine, l’attira vers elle et l’embrassa à pleine bouche. Nous rentrâmes sur les hauteurs de Bandol dans la maison de Martine.


La suite de la nuit fut telle que vous pouvez peut-être l’imaginer.