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Je récupere ma belle mère à la gare pour le weekend

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  • Tu sais que maman vient nous voir ce week-end, chéri. Elle arrive à la gare vendredi en début d’après-midi. Je ne sais pas comment j’irai la chercher, on a une réunion hyper importante au boulot.
  • Mais ne t’inquiète pas ma chérie, j’ai des heures à rattraper, j’irai attendre ta mère et je lui tiendrai compagnie.

Il faut vous dire que j’ai 47 ans et ma belle-mère Maryse 63. Elle est veuve et vient souvent nous voir. Moi depuis quelques mois, je fantasme sur elle au point d’en devenir fou. J’ai pris plein de photos d’elle à son insu, même sous sa douche, c’est vous dire ! Et je me demande toujours si elle ne ressent pas les mêmes choses pour moi. Toujours attentionnée, elle me ramène souvent des petits cadeaux (elle adore m’offrir des caleçons !) et même l’autre jour j’avais fait tourner ma webcam dans sa chambre, qui me sert de bureau, pendant qu’elle se déshabillait et je l’ai vue essayer de me mater quand je prenais ma douche (la salle de bain est à côté et j’avais laissé la porte entr’ouverte).

C’est vous dire que cette annonce de ma femme au petit-déjeuner me laissait espérer de réaliser enfin mon rêve. Si j’osais bien sûr, parce que Maryse est quand même ma belle-mère !

Fébrile, j’attends donc sur le quai de la gare. Je vois Maryse arriver de loin avec sa grosse valise. Je me précipite vers elle, je lui fais une bise et j’empoigne son bagage. Comme elle me plaît ! Elle d’habitude si stricte s’est habillée aujourd’hui d’une jupe rouge, elle a un chemisier entr’ouvert et des bas, ou des collants, noirs. Elle est maquillée, sans outrage, et parfumée abondamment. Je la félicite pour sa mise et elle me répond :

  • Frédéric, ma fille m’a dit que vous aviez eu la gentillesse de prendre un congé pour me tenir compagnie. Je ne voulais pas vous faire honte. Vous savez, les gens s’imaginent n’importe quoi…

C’était tout elle, ce genre de phrase, toujours à double sens, mais bon, on verrait bien. Une fois dans la voiture, j’avais du mal à détacher mes yeux des genoux de Maryse gainés de nylon qu’elle croisait et décroisait. Je fis plusieurs fautes de conduite, ce qu’elle remarqua.

  • Alors, mon gendre, je vous trouve bien distrait aujourd’hui. Vous ne me parlez pas. Vous n’êtes pas à votre conduite. J’espère que vous n’avez pas de soucis. Il faut me le dire, vous savez que je suis une amie pour vous.

À quoi jouait-elle ? Avait-elle décidé de me mettre au supplice ou bien ne se rendait-elle compte de rien ? Heureusement, nous arrivions à la maison. Une fois dans le salon, Maryse sortit de sa valise un petit paquet :

  • Tenez Philippe, un petit cadeau pour vous, oh vous verrez, ce n’est pas grand-chose.

Le rituel, quoi… J’ouvris mon paquet et, au lieu du traditionnel caleçon, je découvris dans le paquet une culotte de Maryse ! Une de ses vieilles culottes de grand-mère en coton blanc, bordée de dentelles… Je balbutiai :

  • Mais vous êtes sûre que vous ne vous êtes pas trompée ?
  • Mais non Frédéric, j’ai bien remarqué que cet été vous me preniez en photo en cachette. J’ai même vu que cette culotte avait l’air de vous plaire. Alors je vous l’offre…

Je devins cramoisi.

  • Allons Frédéric, ne soyez pas gêné. Vous savez, je connais les hommes. Le mien cachait des revues de femmes nues dans son atelier. Je l’ai toujours su mais je ne lui ai jamais rien dit. Je préférais ça à ce qu’il coure à droite à gauche. Alors si ce petit présent peut vous aider à ne pas tromper ma fille autrement qu’en pensée, je serais très heureuse de contribuer au bonheur de votre couple. Et puis ça restera en famille, ajouta-t-elle avec un petit rire…

Ainsi elle savait tout ! J’avais moi-même du mal à cacher mon trouble. Il faut dire que j’avais un pantalon ample déformé par une bosse proéminente. Entre la vue du décolleté de Maryse, de ses jambes gainées, de ses fesses un peu larges moulées dans sa jupe, j’étais servi. Et voilà que je tenais entre mes mains sa culotte que j’avais prise en photo, en cachette (du moins l’avais-je cru !) et que je regardais quand j’étais seul sur mon ordi pour me « motiver ».

Il n’y a pas d’autre mot : je bandais comme un taureau !

Toujours sérieuse, derrière ses grandes lunettes, ma belle-mère sut une fois de plus trouver les mots :

  • Allons, Frédéric, ne soyez pas honteux, dit-elle en jetant un regard appuyé sur mon entrejambe. Puisque cette culotte vous plaît tant, allez vous amuser avec quelques minutes, il n’y a pas de mal à ça ! Moi j’ai beaucoup de choses à faire pour m’installer, vous reviendrez calmé !

Ainsi elle me proposait d’aller me masturber en cachette avec sa bénédiction ! Mais je ne l’entendais pas de cette oreille et m’enhardis :

  • Maryse, ce n’est pas seulement votre culotte qui me plaît, c’est vous, je n’arrive pas à vous chasser de mes pensées.
  • Allons mon gendre, voulez-vous bien arrêter et aller reprendre vos esprits ! dit-elle avec un petit sourire.

Et elle se penche en avant vers moi pour me dévoiler ses seins emprisonnés dans un soutien-gorge à dentelles noires. Je tentai alors le tout pour le tout et dégrafai ma ceinture, ouvris mon pantalon et sortis mon sexe gonflé de mon caleçon. Elle suivait mes gestes avec attention et dit :

  • C’est donc ça que vous voulez, et bien faites donc votre petite affaire devant moi. J’espère que cela alimentera vos pensées les autres fois et que vous en garderez un bon souvenir. Les hommes, vous êtes bien tous les mêmes ! ajouta-t-elle avec un petit rire.

Mais moi je voulais bien plus. Je restais donc sans bouger, en la regardant fixement.

  • Vous êtes vraiment un empoté, Frédéric. Il faut que je vous montre comment utiliser cette culotte ? Je pensais que vous en trouveriez l’usage seul.

Et elle vint s’asseoir sur le bras du canapé, à côté de moi. J’essayai de l’enlacer pour pousser mon avantage, mais elle ne l’entendait pas de cette oreille.

  • Allons Frédéric, n’oubliez pas que je suis votre belle-mère, il ne faut pas me toucher, moi non plus je ne vous toucherai pas.

Le supplice était à son paroxysme, j’avais près de moi une femme qui m’obsédait littéralement et j’en étais réduit à l’approcher au plus près sans pouvoir avoir un contact. Ma queue était quant à elle au meilleur de sa forme, dressée comme un I. Maryse me prit la culotte des mains et me dit :

  • Voilà comment il vous faudra faire.

Et elle encapuchonna ma queue dans le coton puis sa main vint se fermer sur le tissu. Quel contact exquis ! Mes yeux couraient du décolleté de Maryse, à la hauteur de ma tête, à ses cuisses gainées, sa jupe remontant. Je me contenterais de ça pour le moment. Puis la main de Maryse fit glisser l’étoffe de haut en bas de ma verge, sans appuyer. Elle me regardait dans les yeux.

  • Vous voyez Frédéric, il faut savoir profiter de ce que l’on vous donne.

Puis Maryse se mit à serrer un peu plus fort et à accélérer ses mouvements. J’étais si excité que très vite de grosses taches vinrent humecter la culotte en saccades. Quel orgasme incroyable !!! Elle continuait et continuait encore, comme si elle voulait me vider. Puis quand je commençai à débander, elle essuya ma queue, toujours sans la toucher directement, d’une façon très maternelle. Elle me fit alors un petit baiser au coin des lèvres, se leva, rajusta sa tenue puis me dit :

  • Frédéric, je ne veux plus entendre parler de ça, compris ! Je vous laisse la culotte, cachez-la bien et réutilisez-la quand vous voudrez. Ce sera notre petit secret. Moi, le voyage et toutes ces émotions m’ont fatiguée, je vais me reposer un peu. À tout à l’heure, mon gendre !

Et je la vis monter l’escalier, très digne, avec sa valise.

Moi, j’étais encore sous le charme de ce cadeau magnifique. Je restais sans rien dire, un peu rêveur. Quelle femme ! Quelle maîtrise de soi et quel savoir-faire !

J’étais seul dans le salon et retrouvais mes esprits petit à petit. Non, je n’avais pas rêvé. Je tenais entre mes mains la culotte de Maryse encore humide des caresses qu’elle avait su me donner. Où la cacher ? Je ne voyais que mon bureau, où ma femme ne vient jamais. Mais Maryse y était. Bah, elle a le sommeil lourd ! Je montais donc l’escalier sans bruit et mis mon oreille à la porte, je savais qu’elle ronflait. Mais au lieu de cela, j’entendis une respiration saccadée…

J’entrouvris la porte : quel spectacle ! La jupe rouge était remontée révélant les cuisses de Maryse, des cuisses larges gainées de bas noirs avec une petite dentelle. Je voyais sa culotte en dentelle, noire aussi, dans laquelle elle avait glissé sa main qui s’y agitait frénétiquement. Elle avait les yeux mi-clos, tout à son désir.

Je restais là à la contempler de longues minutes et l’effet ne fut pas long à venir. À nouveau je bandais. J’avais toujours à la main sa culotte blanche. Et si je testais son utilisation solitaire ? Je descendis ma fermeture Éclair et sortis mon sexe que j’encapuchonnai dans la culotte, comme elle me l’avait montré, quand le regard de Maryse croisa le mien.

  • Frédéric, vous êtes incorrigible ! Notre séance de tout à l’heure m’a excitée, que croyez-vous ? Il y avait si longtemps que je n’avais palpé un sexe masculin. J’ai mes envies moi aussi. Alors sortez ou entrez, mais ne restez pas ainsi sur le pas de la porte.

Je vins donc m’asseoir près d’elle et lui proposai de lui rendre la politesse. Elle ne répondit pas et se contenta de me prendre la main et de la poser sur son chemisier. Quel plaisir de caresser ses gros seins ! Je m’allongeai près d’elle et mes deux mains jouaient sur son corps. Un à un je défis les boutons de son chemisier, je couvris son ventre rond de baisers. Elle ne disait plus rien sinon « Frédéric, vous êtes fou ! », mais elle se laissait faire. Ma main glissa dans sa culotte et vint caresser son bouton d’amour. Quelle chaleur, quelle moiteur dans son sexe ! J’étais fier de déclencher de telles envies chez cette femme.

C’est elle qui dégrafa sa jupe et la fit glisser aux pieds du lit. Je lui enlevai soutien-gorge et sa culotte. Je n’avais plus que Maryse nue près de moi, avec seulement ses bas. Je continuai mes caresses et me serrai contre elle. Mon sexe se frottait à ses hanches. Quelle peau douce ! Je quittai mon pantalon et mon caleçon et me retrouvai nu à mon tour. Je sentais la respiration de Maryse s’accélérer, son corps ondulait à mes caresses. Mon sexe se gonflait de désir. Je n’y tins plus et je vins sur elle, mon gland à la porte de sa grotte humide.

  • Non Frédéric, il ne faut pas ! dit-elle faiblement.

Mais pas un geste de refus, au contraire, elle me caressa la nuque puis me donna un long baiser. Comment résister ? Je m’enfonçai en elle, je sentis son sexe me serrer la bite. Je commençai de lents va-et-vient, elle avait fini par accepter et maintenant elle ne disait plus que des « Oh oui !!! ». Elle me prit les fesses entre ses mains pour me donner son rythme, elle réclamait des coups de boutoir ! Le rythme s’accélérait et j’entendais comme une longue plainte : elle jouissait de tout son être, je ne fus pas long à venir aussi. Nos râles emplissaient la pièce !

Nous sommes restés enlacés, épuisés, de longues minutes, puis Maryse, toujours les pieds sur terre, regarda sa montre et me dit :

  • Frédéric, déjà 16 h. Ma fille va rentrer. Vite, préparons-nous ! Nous sommes fous !

Elle avait raison, une fois rhabillés ma femme ne fut pas longue à revenir :

  • Alors, maman, tu as passé une bonne après-midi ?
  • Oh oui, ma fille, tu as un mari très attentionné. J’espère que vous ne vous êtes pas ennuyé, Frédéric, avec une vieille dame comme moi ? Je sais bien que ma compagnie n’est pas passionnante.

Et la soirée se passa tranquillement, comme si rien n’était arrivé. À la fin du repas, Maryse se leva puis nous ramena de sa chambre ses traditionnels petits cadeaux, un foulard pour mon épouse, un caleçon pour moi. Nous avons papoté un peu, puis Maryse nous dit qu’elle allait se coucher, le voyage l’ayant fatiguée. Nous ne fûmes pas longs à en faire autant. Quand je partis me laver les dents, en caleçon et t-shirt pour la nuit, ma femme me dit :

  • N’oublie pas d’aller faire une bise à maman avant de te coucher.

Je frappai donc à sa porte. Elle avait un pyjama en flanelle, rien à voir avec ses tenues sexy. J’allai vers elle pour l’embrasser, elle me fit un long baiser accompagné d’une caresse sur mon sexe. J’étais de nouveau en feu. Je voulus la prendre dans mes bras, mais elle me repoussa :

  • Non, Frédéric, vous avez votre devoir conjugal à remplir, dit-elle avec un petit rire.

Et effectivement, ce soir-là, ma femme eut droit à un festival. Je m’endormis épuisé avec un petit sourire : lorsque Maryse m’avait dit qu’elle ne voulait que le bonheur de sa fille, elle était sincère, même si elle s’arrangeait avec la morale…

* * * * *

  • Chéri, je dois aller faire des courses et passer chez le coiffeur, mais reste au lit, tu dois être crevé après tes prouesses d’hier soir.

J’ouvris un œil, ma femme était là, habillée, il était 10 h au réveil. J’avais dormi comme un bébé. Il est vrai que toutes ces émotions m’avaient fatigué. Elle me fit un bisou et me lança « À tout à l’heure ». Moi je faisais semblant de dormir. J’attendis que la voiture soit loin et me levai. Personne à la cuisine, personne dans le salon. J’entendais juste au premier étage le bruit de la douche. Maryse était donc là !

Je pris à peine le temps d’avaler un café et montai les escaliers. Ah, cette salle de bains ! Combien de fois avais-je espionné ma belle-mère dans ses ablutions par une lucarne donnant sur le balcon. J’avais même des photos d’elle dans ces moments intimes qui avaient plus d’une fois excité mon imagination.

  • C’est toi, Nathalie ? dit une voix derrière la porte.
  • Non, c’est Frédéric. Nathalie est partie en ville.
  • Eh bien, entrez donc, gros bêta. La porte est ouverte.

Je ne me fis pas prier.

  • Alors, vous voyez, vous n’aurez pas besoin d’acrobaties aujourd’hui. Franchement, je ne vois pas ce qui vous excite de regarder une vieille femme comme moi dans sa douche, mais puisque vous vous êtes bien conduit avec ma fille hier soir – eh oui, je vous ai entendus – vous avez droit à une petite récompense.

Ainsi Maryse voyait tout et entendait tout. Quelle coquine ! Je pouvais la voir près de moi, elle avait ouvert le rideau de douche et se savonnait abondamment. Elle prenait un malin plaisir à s’attarder sur ses seins, ses fesses. La vue était imprenable, bien meilleure qu’à mon poste d’observation habituel et la vapeur d’eau qui emplissait la pièce donnait à la scène une touche irréelle. Bien sûr, mon caleçon ne fut pas long à ressembler à une tente apache, ce que ne manqua pas de remarquer ma belle-mère.

  • Venez avec moi, Frédéric, vous avez certainement aussi besoin d’un bon nettoyage.

En quelques secondes j’étais nu sous la douche. Maryse prit une savonnette et s’employa à me laver, comme un enfant. Ses mains enduites de mousse me massaient : quel plaisir, surtout lorsqu’elles vinrent sur ma colonne tendue. Elle me branlait avec douceur en riant.

  • Quelle santé, mon gendre, vous êtes insatiable !

Moi je caressais aussi tout son corps ruisselant. Ses grosses fesses emplissaient mes mains, ses seins aussi.

  • Maintenant vous êtes bien propre, Frédéric, moi aussi. Alors il faut nous habiller !

Et Maryse coupa la douche. Je protestai mais elle fut intraitable.

  • Si vous voulez rester sous l’eau, faites-le, mais il faut que je me prépare.

Il fallait bien prendre ce qu’elle me donnait, la garce ! Je rouvris donc la douche et continuai à me savonner pendant qu’elle se séchait. J’essayai de continuer ce qu’elle avait commencé, mais il faut bien reconnaître que les sensations n’étaient pas les mêmes. Elle, faisait comme si je n’étais pas là. Elle noua une serviette autour de ses seins, une autre sur ses cheveux et se fit une beauté devant la glace qu’elle avait essuyée. Ses fesses apparaissaient dans les plis de la serviette. Elle me tournait le dos et la vue était excitante. Trop ! Je sortis de la douche et vins derrière Maryse, mon sexe collé contre ses fesses. J’empoignai ses seins et lui déposai des baisers dans le cou.

  • Vous me rendez fou !

Elle avait l’air d’aimer ! Elle prit appui sur le lavabo pour me présenter sa croupe. Ses fesses étaient dégagées, dessinées par la serviette-éponge, je n’en pouvais plus et la pénétrai en levrette. Son sexe était trempé. Nous fîmes l’amour comme des bêtes, ce fut bref mais intense. Je déchargeai tandis qu’elle jouissait.

  • Eh bien Frédéric, nous sommes bons pour un second lavage, dit-elle en riant. Mais pas de folies, cette fois, ce n’est plus de mon âge !

Et effectivement elle reprit une douche, puis tint à me laver le sexe elle-même. Elle essaya sans succès quelques manipulations et eut un petit sourire.

  • Je vois que la bête est calmée. Tant mieux, car la journée va être longue et je ne veux pas de bêtises quand Nathalie sera là.

Et elle me fit un petit bisou sur le bout du sexe.

La journée fut longue effectivement. En famille. Maryse avait remis des vêtements de tous les jours, un large pull, un pantalon ample. La vie avait l’air de reprendre comme avant, comme s’il ne s’était rien passé. À nouveau, au moment du coucher, je vins lui présenter mes hommages. Elle eut les mêmes gestes que la vieille, et Nathalie ne s’en est pas plainte !

Dimanche. Avant le repas Maryse est partie se changer et est revenue avec la « tenue de combat » qu’elle portait vendredi, prétextant la nécessité de se faire belle pour voyager. Elle mangeait en face de moi et je ne pouvais m’empêcher de me remémorer tous les épisodes de ce week-end. Elle le savait et elle en jouait, me lançant des œillades assassines, se penchant pour un oui pour un non pour me montrer ses seins. Au dessert, je sentis son pied nu gainé de nylon remonter le long de ma jambe puis chercher mon entrecuisse. Son gros orteil trouva mon sexe tendu dans le pantalon et lui dispensa une courte caresse. Elle eut un grand sourire et dit :

  • Je trouve ce dessert excellent.

Puis la mère et la fille ramassèrent la table pour aller à la cuisine faire la vaisselle. Je n’osai pas me lever tant qu’elles n’étaient pas parties. Je montai alors au bureau, sortis la culotte de Maryse de sa cachette et « l’étrennai ». Je ne fus pas long à jouir… Je retrouvai Maryse et Nathalie au café, papotant. Je m’assis avec elles, comme si de rien n’était.

  • Alors, au fait, mon gendre ? Avez-vous essayé ce nouveau sous-vêtement que je vous ai offert ? Est-ce qu’il vous plaît ? dit Maryse, l’air de rien.

Je la regardai dans les yeux et lui répondis sans ciller :

  • Il est parfait, belle-maman. Vous connaissez bien mes goûts.

Nous emmenâmes Maryse à la gare. Elle nous remercia pour l’excellent week-end.

  • Je reviendrai pour Noël, si je ne vous dérange pas. En attendant, pensez à moi de temps en temps, ça me fera plaisir.

Je la regardai s’éloigner sur le quai, ses fesses se dandinant. Au retour, c’est Nathalie qui allait encore une fois en profiter ! Le temps serait long jusqu’à Noël, mais avec tous les souvenirs qu’elle m’avait laissés, je saurais faire avec…

* * * * *

Épilogue

Déjà trois semaines que Maryse nous a rendu visite. Trois longues semaines ! Difficile de ne pas me souvenir des moments délicieux qu’elle m’avait accordés. J’y repensais souvent en me couchant et il faut bien dire que ma vie conjugale s’en trouvait au beau fixe. Baiser la fille en pensant à sa mère, bizarre, non ? Mais finalement tout le monde trouve son compte dans ce petit arrangement de famille, non ?

Ce soir, c’est mercredi et Nathalie est partie au cinéma avec ses copines. Je suis seul à la maison et enfin je vais pouvoir voyager en pensée avec Maryse pour essayer de retrouver les sensations qu’elle a su si bien me procurer. Je monte dans mon bureau, qui est devenu un vrai sanctuaire depuis que je l’ai découverte se masturbant sur le canapé-lit. J’allume mon ordinateur pour visionner les quelques photos volées que j’ai gardées d’elle et je sors de sa cachette la culotte qu’elle m’a offerte, un peu raidie du sperme séché, souvenir de ce week-end érotique. Le décor est planté et je vais pouvoir laisser vagabonder mon esprit pour m’offrir une branlette de qualité.

Je commence à regarder des photos de Maryse cet été, en t-shirt moulant. Celle que j’adore, c’est une de dos, penchée, où ses fesses sont un peu dévoilées ; elle m’a toujours fait un effet extraordinaire. J’ouvre mon pantalon, je défais ma braguette, je baisse mon caleçon. Comme ça va être bon de me caresser avec la culotte de Maryse tout en matant ses photos !!!

Dring ! Dring !

C’est le téléphone qui sonne en bas. Qui est ce fâcheux ? Tant pis, je laisse sonner, et puis il y a le répondeur. Répondeur qui décline son annonce : « Veuillez nous laisser un message après le bip sonore ». C’est alors que j’entends une voix connue, un peu grave, très suave :

  •  Allô, Nathalie c’est maman.

Je dévale les escaliers quatre à quatre en tenant tant bien que mal mon pantalon pour ne pas m’entraver, pourvu que j’arrive à temps ! Je décroche, essoufflé :

  • Allô, bonjour, c’est Frédéric.
  • Bonjour, c’est belle-maman. Je voulais juste faire un petit coucou à ma fille.
  • Elle… elle n’est pas là, elle est sortie… au cinéma.
  • Ce n’est pas bien grave. Dites-lui de me rappeler, ça fait longtemps que nous n’avons pas fait la causette toutes les deux. Je ne vous dérange pas plus.

Il est vrai que souvent la mère et la fille passent de longues heures au téléphone, et que moi, je suis plutôt lapidaire quand Maryse appelle. Mais ce soir, je n’ai pas envie de la lâcher comme ça. Alors j’essaie de faire durer la conversation.

  • Il y a quelque chose de spécial à lui dire ?
  • Oh, mais non, Frédéric. Allez, passez une bonne soirée.

Je suis dans le salon, assis dans le canapé où elle m’offrit ses premières faveurs, j’entends sa voix contre mon oreille. Ah non, je ne vais pas la laisser raccrocher si vite !

  • Et vous Maryse, vous allez bien ?
  • Merci de vous en soucier, Frédéric. Oh j’ai repris ma petite vie. Je m’occupe toujours de mon club de peinture. Aujourd’hui nous inaugurions notre exposition annuelle avec un vin d’honneur. À vrai dire je suis un peu fatiguée.
  • Ah oui ?
  • Il a fallu que je m’habille, je devais faire le discours d’ouverture. Et puis les mondanités ensuite. Vous savez que je déteste ça. Heureusement que j’avais la tenue que je portais quand je suis venue vous voir, sinon je crois que j’aurais fait la réception en jogging. Vous savez, la jupe rouge et le chemisier blanc. Enfin, je sais que les hommes ne s’intéressent pas trop aux toilettes des femmes.

Si je m’en rappelle !!! Je ne pense qu’à ça même !!! Et de l’imaginer dans cette tenue lorsqu’elle me parlait a avivé une belle érection. Je balbutie :

  • Mais si, bien sûr que je m’en souviens, oh oui, je m’en souviens !

Elle a un petit rire :

  • Ah oui, c’est vrai ! En tous cas cette tenue a l’air de faire de l’effet. Je ne pouvais pas me dépêtrer de l’adjoint au maire venu à notre vernissage. Pourtant il a au moins dix ans de moins que moi. Il n’a pas lâché des yeux mon décolleté de tout le vin d’honneur. Heureusement que j’ai pu m’éclipser pendant que notre trésorière discutait avec lui de la subvention. Quelle colle, cet homme !

Voilà qu’elle me parle maintenant de son décolleté ! Je n’y tiens plus et commence à caresser ma queue en l’écoutant.

  • Allô Frédéric ! Vous ne m’écoutez pas. Allez, je vois bien que je vous dérange, vous avez mieux à faire que d’écouter mes histoires de vieille femme.

Là, il faut que je me lance !

  • Non, Maryse, non, je vous écoute, mais vous me mettez au supplice ! Je suis dans le salon, au même endroit où nous étions tous les deux. Et vous me parlez de vous, de votre tenue, comment voulez-vous que je ne repense pas à tout ça ? Et j’y pense… très fort, si vous voyez ce que je veux dire !

Elle rit à nouveau :

  • Allons, allons, un petit problème passager. Je ne savais pas que j’avais tant de pouvoir, surtout à distance ! Je vais peut-être vous laisser. Il faut vous calmer.
  • Oh non, Maryse, c’est si bon de vous entendre, de vous imaginer près de moi. Ne raccrochez pas !
  • Petit cochon ! Mais qu’attendez-vous de moi ?

Ce que j’attends d’elle, c’est difficile à avouer. Alors je brode :

  • Eh bien… j’ai bien essayé de me donner à nouveau du plaisir avec votre culotte, mais je n’arrive pas à me souvenir exactement comment vous vous en êtes servi la première fois, et je ne retrouve pas les sensations.
  • Vous l’avez près de vous ?
  • Non, non, elle est au bureau.
  • Eh bien allez la chercher.

Sitôt dit, sitôt fait. Je reprends le combiné et le colle à l’oreille.

  • Alors, Frédéric, vous y êtes ?
  • Oui, Maryse.
  • Vous pensez à quoi ?
  • À vous assise près de moi, à votre jupe, à vos jambes gainées, à vos seins.
  • Ah oui, mes seins, ils vous plaisent, hein ? Eh bien regardez-les, petit cochon ! Ils sont bien serrés l’un contre l’autre, j’ai un soutien-gorge noir et deux boutons de mon chemisier ouverts. Vous voulez que j’en ouvre un troisième ?
  • Ouiii…
  • Voilà, ça y est, vous pouvez admirer toute ma poitrine, vous aimez les dentelles qui la dessinent ?
  • Ouiii…
  • Eh bien maintenant baissez votre pantalon et votre caleçon avant qu’il ne vous arrive un accident, je ne voudrais pas vous occasionner en plus de la lessive !

Elle a raison, je suis dans un état proche de l’explosion. Sa voix grave et douce m’emplit la tête et je la sens près de moi.

  • Je crois que c’est le moment de prendre la culotte, non, Frédéric ? Votre sexe est bien tendu ?
  • Oh oui !
  • Alors posez-la très délicatement sur le bout de votre sexe, il faut qu’elle le couvre bien. Vous y êtes ?
  • Ouiii…
  • Ne soyez pas pressé. Pensez à moi. Regardez, je suis face à vous maintenant et je dégrafe ma jupe, je la laisse glisser à mes pieds. Je n’ai plus que ma culotte. Je vais me tourner pour vous montrer mes fesses. Pour vous j’ai mis un string noir.
  • Oh oui, vos grosses fesses ! Maryse ! Oh, pardon, je ne voulais pas dire ça.

Elle a de nouveau un petit rire.

  • Allons, ne vous excusez pas, je sais que j’ai pris quelques kilos ces dernières années. Mais ça n’a pas l’air de vous déplaire. Vous voudriez les caresser ?
  • Ouiii…
  • Et vous ressentez quoi ?
  • J’aime leur douceur, Maryse ! J’aime leur blancheur !
  • Eh bien continuez à les caresser pendant que votre belle-mère s’occupe de votre petit problème. Voyez, je suis agenouillée sur le côté sur le canapé près de vous, passez une main sur mes fesses pendant que je vais vous donner ce que vous attendez.
  • Ouiii…
  • Vous n’avez pas trop de conversation, dites donc ! Mais attention, si vous voulez que je continue, vous ne ferez rien sans que je vous le dise. Vous avez toujours ma culotte sur votre sexe ? Vous n’avez touché à rien ?
  • Non, non.
  • Bon, alors maintenant vous voyez, je pince la culotte à deux doigts vers votre gland et je la soulève en la faisant glisser le long de votre sexe. Vous aimez ?
  • Ouiii…
  • Racontez-moi, Frédéric !
  • Je la sens glisser contre mon sexe. Elle me caresse doucement. Je suis terriblement excité.
  • Eh bien refaites ça deux ou trois fois très doucement. Pensez à ma main qui monte et descend et à la vôtre qui caresse mes grosses fesses, comme vous dites.
  • Oh ! c’est bon, Maryse !
  • Ne vous précipitez pas, surtout ! Découvrez votre gland et dites-moi, est-il mouillé ?
  • Oui ! Il y a une petite goutte au bout.
  • Je vous l’étale délicatement sur votre gland Frédéric. Avec mon majeur, vous le voyez ? J’ai peint mes ongles en rouge.
  • Oooh Maryse !
  • Je crois que la situation est grave. Je vous remets la culotte sur le sexe et maintenant je l’entoure de toute ma main. Sans appuyer surtout. Bien compris, n’appuyez pas.
  • Non, non, Maryse.
  • Allez-y, plongez vos yeux dans mes seins pendant que ma main fait coulisser ma culotte sur votre hampe. Lentement, toujours, lentement.
  • Mmm Maryse !

Ma main va-et-vient sur ma queue, je sens la douceur de la culotte qui caresse mon sexe empli de désir et j’entends sa voix qui me susurre :

  • Doucement, très doucement. Je vous caresse, Frédéric et vous, vous caressez mes fesses.

Il me semble qu’elle est là, très près de moi, et que c’est elle qui me fait tout ça.

  • Oh Maryse, je n’en peux plus !
  • Allez-y Frédéric, je sens que vous allez exploser. Serrez bien la culotte sur votre sexe et allez-y ! Je veux vous entendre jouir !

Je me branle frénétiquement. Un jus visqueux emplit spasmodiquement la culotte. Je gémis au téléphone :

  • Oh c’est bon, Maryse, c’est trop bon !

Après un long silence je l’entends enfin :

  • Vous alors Frédéric, vous me faites faire de ces choses ! Enfin, j’espère que ça vous a plu. Vous voyez que ce n’est pas sorcier. Vous vous en souviendrez, j’espère ?
  • Oh oui, excusez-moi, je suis désolé.

Encore son petit rire :

  • Désolé de rien, mon cher gendre. Tous les hommes sont un peu égoïstes, je le sais. Mais vous, au moins, vous avez la fantaisie qui manquait à mon époux. Et puis c’est flatteur pour une femme de mon âge de déclencher de telles envies chez un jeune homme, bien que je ne comprenne pas trop. Et n’oubliez pas de dire à ma fille que j’aimerais qu’elle me rappelle. Moi, je crois que je vais avaler un bouillon de légumes et aller au lit. Tous ces amuse-gueule au vin d’honneur m’ont barbouillé, et puis le champagne me fait faire des bêtises.

Elle a un dernier petit rire et elle raccroche. Tout d’un coup, le salon me semble vide. Je suis seul dans la pénombre. Mon sexe a perdu de sa superbe. La culotte est trempée, c’est le seul souvenir de ce moment d’extase.

Il est temps pour moi de remettre un peu d’ordre. Je monte au bureau éteindre l’ordinateur. Le diaporama est en train de passer une vieille photo de Maryse qui me tend la main pour m’inviter à danser. Je ferme la session. Je cache la culotte. Je vais faire un brin de toilette. Je me coucherai tôt. Je me mets en tenue de nuit, caleçon et t-shirt et redescends au salon. Dans la pénombre, une lumière clignotante. Ah oui, c’est le répondeur. Machinalement j’appuie sur le bouton pour réentendre la voix de Maryse. Ce que je n’ai pas prévu, c’est qu’il avait continué à enregistrer après que j’ai décroché.

Alors j’écoute. Pas une seconde de nos ébats virtuels ne manque. Je souris et pense : « Quelle sainte Nitouche, cette Maryse ! Mais c’est elle qui mène le jeu, et elle sait très bien ce qu’elle fait ! ».

À la deuxième audition, ce qui devait arriver arrive. Je suis à nouveau excité. Je regarde l’heure : 22 heures, ma femme ne rentrera pas avant trois quarts d’heure. J’efface l’enregistrement en regrettant de ne pouvoir le conserver et appuie sur la touche rappel.

Deux sonneries et c’est Maryse qui répond, d’une petite voix :

  • Ah c’est toi, Nathalie, ça pouvait attendre demain, tu sais.
  • Non, non, c’est Frédéric. Je vous dérange ?
  • Je m’endormais, Frédéric. Qu’y a-t-il de si important ?

C’est vrai que Maryse a un téléphone à côté de son lit. La situation est très excitante !

  • Rien, rien, je voulais juste vous dire encore merci pour tout à l’heure. Et m’excuser de mon égoïsme.
  • Ah, mais ce n’est pas si grave, je vous l’ai dit. Et puis ce n’est pas grand-chose, quand on peut faire plaisir, vous savez.

J’entends sa voix résonner, elle a dû mettre le chorus.

  • N’oubliez pas de dire à Nathalie de me rappeler quand même !

Je ne sais pas ce qu’elle a, mais elle a l’air pressée que je raccroche.

  • Alors je vous souhaite bonne nuit, Maryse. Votre bouillon de légumes était bon ?

Elle a son petit rire que j’aime tant et qui a le don de m’exciter.

  • En fait je ne l’ai pas préparé. Je ne sais pas si c’est le champagne ou les folies que vous m’avez fait faire, mais je n’ai eu qu’une envie, c’est celle de me coucher.

J’entends toujours sa voix résonner et son souffle me semble court, voire haletant. Pourquoi tient-elle à garder les mains libres ?

  • Vous n’avez pas votre voix habituelle, Maryse ? Vous n’êtes pas malade au moins ?
  • Mais non, Frédéric, ne vous inquiétez pas.
  • Vous êtes bien emmitouflée dans votre pyjama de flanelle ?
  • Vous voulez tout savoir, hein ? Eh bien non, je suis nue. Tout à l’heure quand je suis allée à la cuisine, j’ai trouvé les légumes sur la table, et figurez-vous qu’il y avait une courgette qui m’a fait penser à vous. Juste la même taille et la même forme oblongue. Alors vous voyez, je suis en train de la réchauffer entre mes seins. Vous aimeriez ça, Frédéric ?

Elle a repris le contrôle de la situation ! Rien que la pensée de ma queue entre ses seins me fait de nouveau bander. Et elle continue :

  • Je masse mes seins sur votre belle courgette, Frédéric. J’adore sentir quelque chose de dur entre mes globes. Je me caresse les bouts. Vous savez, mon mari adorait ça. Combien de fois ai-je étalé sa semence sur ma poitrine ! C’est sans doute pour cela qu’ils tiennent encore si bien, il paraît que ça nourrit la peau. Mais lui il s’endormait tout de suite après, et souvent il fallait que je me finisse toute seule dans la salle de bain. Vous n’êtes pas comme ça, vous, Frédéric ?
  • Non, non, Maryse.

Et je commence à me caresser en l’écoutant.

  • Vous savez, maintenant la courgette est bien chaude, je la promène sur mon ventre. Vous aimez mon ventre, Frédéric ? J’aime sentir une queue palpiter contre mes bourrelets, vous aimez aussi, Frédéric ?
  • Oh oui, Maryse !
  • Alors racontez-moi, à votre tour.
  • Eh bien je caresse votre ventre avec ma queue, je la frotte lentement, je sens votre peau douce. Mes mains caressent vos fesses.
  • Oh oui, Frédéric !
  • Mettez-vous à quatre pattes, Maryse, que je contemple votre croupe. Vous sentez ma queue qui s’y promène, qui la caresse ?
  • Oh oui, Frédéric !
  • Et ma main qui s’active sur votre clitoris ? Qui le caresse doucement.
  • Oh Frédéric, oui, je sens tout ça !!! Je suis trempée !!! Venez !
  • Oui, Maryse, je vous ai pénétrée maintenant. J’aime voir vos fesses en même temps que je vous baise. Je vais et viens lentement, je me retire presque à chaque fois.
  • Oh Frédéric !!! Je sens votre courgette en moi. Vous vous caressez aussi ?
  • Mais oui, ma belle, je me branle pour vous.
  • Alors chevauchez-moi au grand galop ! J’en ai trop envie.
  • Oui, Maryse, je vous prends à fond. Vous sentez ma queue qui vous livre de grands coups de boutoir ?
  • Oui, Frédéric, oui !!! Oh que c’est bon !!!

De l’entendre jouir me déclenche un orgasme simultané :

  • Oh Maryse, oh Maryse !
  • Oh Frédéric, oh Frédéric !

Maintenant Maryse a repris sa voix habituelle, elle parle dans le combiné et me susurre :

  • Nous sommes fous, j’ai honte. Mais c’est si bon.

Nous nous disons au revoir. Je vais pouvoir me coucher, épuisé, mais heureux. Nathalie ne tarde pas à arriver. Je suis dans la chambre en train de lire :

  • Alors mon chéri ? Tu as passé une bonne soirée ?
  • Ouais, tu sais j’avais besoin de me reposer. J’ai pas fait grand-chose. Au fait, ta mère a téléphoné, il faudra que tu la rappelles demain.
  • Qu’est-ce qu’elle voulait ?
  • Oh je sais pas trop, te parler, je crois, il y a une histoire d’expo de peinture ou je ne sais quoi.
  • Je vois ça, une fois de plus tu t’es conduit comme un ours au téléphone ! Je sais bien que les histoires de ma mère ne t’intéressent pas, mais tu pourrais au moins faire semblant des fois ! C’est fou ce que tu peux être égoïste !