La femme à la plage et sa grosse poitrine
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Bord de mer. Ma chère et tendre épouse bronze sur la plage, sous un soleil de plomb. Je préfère jouer au ballon dans l’eau avec mes neveux et nièces… Toute une bande d’ados, une belle brochette de jeunes, toute la progéniture de mes deux frangins. Moi qui ai toujours souhaité ne pas avoir d’enfants, c’est plus agréable de s’occuper de ceux des autres, du moins pour avoir la paix.
Soudain, en voulant faire une reprise de volée acrobatique, derrière moi, près de moi, je trébuche sur quelqu’un. Je manque de renverser une femme mûre qui se baigne… Je m’excuse… platement… Elle fait une mine offusquée, je suis confus et réitère maladroitement mes excuses les plus plates. Mais, oh, surprise ! Tandis que je bafouille, je ne peux que remarquer son opulente poitrine qui déborde de partout de son maillot une pièce. Hum, ma baigneuse, à qui j’ai écrasé le pied et violenté le dos, a une poitrine énorme ! Et ceci a bientôt pour effet de me donner une trique d’enfer. Mais mon caleçon lâche ne peut rien dissimuler et, comme je n’ai de l’eau que jusqu’aux genoux, j’aurais beaucoup de peine à cacher mon état.
J’ai peur que mes neveux ne le remarquent. Pour m’en débarrasser et ne pas leur faire face, j’envoie valdinguer le ballon d’un grand coup de poing pour le catapulter à perpette les ouailles. Et je me retourne aussi sec pour plonger. Mais ma baigneuse est toujours là, à me regarder. Je pense qu’elle a tout remarqué de mon état présent et qu’elle en a deviné la cause. L’espace d’un instant, je croise son regard et… ses énormes mamelles. Je trique tellement que mon gland se dresse un peu plus devant moi. La mamie n’en perd pas une miette. Je plonge aussitôt dans l’eau froide pour refroidir mes ardeurs et me mets à nager comme un dératé pour me calmer… Mais j’ai bien du mal à revenir à un état normal, j’ai envie de cette vache à lait et de ses gros tétons. En plus, elle est encore dans l’eau, tournée vers le large, donc tournée vers moi, de l’eau jusqu’au ventre et ses nichons énormes qui débordent de son maillot. Elle me regarde nager d’un air étonné, sans doute stupéfaite de l’effet qu’elle m’a fait. Nos regards se croisent, se recroisent. De retour du large, après un aller et retour à vitesse grand V, je me repose à quelques pas d’elle, exténué par l’effort, en soufflant comme un bœuf. Et je la mate d’un œil lubrique à quelques encablures. Malgré l’eau glaciale j’ai encore la bite en feu et des idées plein la tête…
Lentement, imperceptiblement, je me laisse ramener vers elle par la vague. Elle trône dans le ressac en s’interrogeant sans doute sur la suite des évènements. Dommage que ma nièce profite de ce moment précis pour venir me chercher, m’inviter à jouer à nouveau avec les garçons. Elle est là, à tourner autour de moi, à me tanner et à m’asticoter. Oh ! les mômes… j’ai bien fait de ne pas en avoir, parfois ils sont sympas, mais parfois aussi pots de colle.
De toute façon, je ne suis pas en état de jouer au ballon, avec ma queue dure et mes idées adultères. Je sors rapidement de l’eau et cours vers ma serviette avant de me remettre à bander. Je m’allonge à plat ventre, la tête tournée vers l’autre grosse vache à lait qui a finalement rejoint son parasol et son mari. Hum, quels pis ! Et quelle salope ! Le pire maintenant c’est justement qu’elle fait glisser ses bretelles et qu’elle dénude ses outres, sous prétexte sans doute de bronzer au soleil. Mais pas vraiment au soleil, puisqu’elle s’arrange pour se tourner vers moi. Ce serait plutôt un bain d’ombre, si je ne m’abuse. Malgré la présence de son mari, elle continue à me regarder, toujours aussi intriguée par mon désir. Elle est juste face à moi et me dévisage sans complexe, sans doute hyper heureuse de se sentir ainsi désirée et de faire un tel effet à un beau mâle. D’ailleurs son mari, lui, ne remarque rien, ou alors il s’en contrefiche, sans doute totalement blasé par les gros appas de son épouse, dont il a fait déjà mille fois le tour. Il bronze tranquillement et préfère regarder passer les minettes, se souciant peu des désirs inavouables de son épouse.
De mon côté, je suis seul. Mon épouse est partie chercher les petits au club de plein air. Heureusement d’ailleurs, car avec sa jalousie morbide, elle ne pourrait que remarquer la pose aguicheuse que prend notre voisine et les avances qu’elle sous-entend par ce comportement. Dans ce cas, elle aurait vite fait de m’arracher les yeux si par hasard j’avais le malheur de tourner mon regard dans cette direction. Mais en son absence, je ne me gêne pas, les absents ont toujours tort, comme dit le proverbe. Aujourd’hui, j’ai de la chance, ma nièce vient me dire que ma moitié et les garçons sont partis faire du shopping, et qu’en gros il faudra que je me démerde tout seul pour ramener les affaires. Petite corvée pour un si grand bonheur : le plaisir de mater de belles grosses mamelles de femme mûre et de m’imaginer en train d’en profiter.
Le comportement de ma voisine ne laisse aucune ambiguïté. Elle s’exhibe carrément à moi, la coquine. Et lorsqu’elle se passe de la crème à bronzer sur les seins, lorsqu’elle se les caresse à moitié, c’est en me regardant. Je suis à plat ventre dans le sable, j’ai la queue enfoncée dans le sol, un désir fou dans tout le bas-ventre, un désir de me branler entre ses gros pis bien lourds et de lui asperger le visage de foutre… Elle ouvre même largement les cuisses sur sa serviette et écarte même, l’espace d’un instant, son maillot, faisant mine de retirer du sable, juste le temps pour moi d’entrapercevoir son triangle doré.
Malheureusement, son vieux grigou, quelque temps plus tard, signe le rappel des troupes. Il est temps de partir, semble-t-il, ça doit être l’heure de son apéro et l’heure pour bobonne de faire la popote. Obéissante, bobonne plie les affaires, sans omettre de me jeter quelques regards bucoliques. Je suis certain qu’elle en veut, elle aussi, et que si nous n’étions pas mariés tous les deux, elle accepterait sans hésiter une petite excursion récréative dans une cabine de bain, le temps de nous éclater tous les deux. Je suis sûr qu’elle y a pensé, en tout cas, il y a des regards qui ne trompent pas. Dépité par tant d’injustice, je la regarde s’en aller et suivre son grincheux de mari. Et j’ai le plaisir de la voir une dernière fois tourner la tête et me jeter un regard concupiscent…
Du coup, je suis rentré à l’hôtel dare-dare et j’ai pris une bonne douche pour me calmer. Mais j’y pensais encore et j’étais tellement excité que, lorsque ma femme est revenue de ses courses, je me suis jeté sur elle et, dégrafant son chemisier vite fait, je me suis masturbé entre ses seins et l’ai aspergée de tout mon foutre à la va-vite, en pensant à l’autre salope. Cela faisait des années que je ne m’étais pas jeté comme ça, comme un fou, sur mon épouse, en la prenant par surprise. Et je crois qu’elle en a été agréablement surprise et que ça l’a excitée, car le soir même, nous avons refait l’amour et elle s’est démenée comme rarement auparavant.
Comme quoi, sous le plus froid des glaçons sommeille toujours un volcan au bord de l’éruption…
De retour à l’hôtel, je dîne tranquillement en tête-à-tête avec mon épouse quand, à quelques tables de là, s’installent la laitière et son divin mari. Oui la laitière, vous savez, cette femme mure à l’opulente poitrine qui m’avait allumé sur la plage. Elle est face à moi et me regarde comme l’autre fois, toujours stupéfaite de mon intérêt évident pour elle. Et il est vrai que je n’arrête pas de la mater faisant simplement le strict nécessaire pour que mon épouse ne remarque rien. J’ai d’ailleurs du mal à suivre la conversation, je suis très lunatique, heureusement que ma femme est un véritable moulin à paroles et qu’elle assure à elle seule les questions et les réponses. Je me contente d’acquiescer de temps en temps, les yeux rivés vers le lointain. Les yeux plongeant dans la poitrine opulente de l’autre cochonne. Son mari et elle ne se parlent pas, pas un mot, silence total. Sans doute n’ont-ils plus rien à se dire. Lui sirote un apéritif en jouant avec sa cuillère tandis qu’elle me regarde franchement et sans détour, de façon si évidente que je me dis que tout le monde va s’en apercevoir.
Je me demande simplement si elle a pensé à moi depuis l’autre jour… Mais il n’y a qu’à la regarder pour s’en assurer. Peut-être même s’est-elle caressée en repensant à notre rencontre de l’autre jour, en imaginant ma queue dure entre ses seins gigantesques ou en rêvant de l’avoir entre les cuisses. Son mari ne doit plus tellement s’occuper d’elle ou alors simplement de temps en temps pour se vider les couilles. Mais visiblement il n’en a plus rien à foutre, visiblement il préfèrerait pincer les fesses de la serveuse que de s’enquiquiner avec les lourdes mamelles de sa moitié. C’est un peu l’histoire de tous ces couples qui n’ont plus rien à se dire. Je le sais par expérience, moi et ma femme c’est un peu la même chose…
Nos regards sont suspendus au temps qui passe, instants merveilleux et inoubliables. Presque seuls au monde malgré tous les autres. Et cette femme qui n’a sans doute rien d’extraordinaire si ce n’est ses gros nibards, cette femme qui est sans doute loin d’égaler la mienne sur le plan esthétique et intellectuel, cette femme recueille malgré tout toute mon attention, tout mon intérêt, tout mon désir. Et pas seulement à cause de ses opulents appâts. Non maintenant c’est bien autre chose, c’est l’intérêt qu’elle me porte, c’est l’envie d’être ensemble, tous les deux et de s’éclater comme des bêtes. Le repas semble interminable, le service est lamentable, la nourriture est insipide et mon épouse m’exaspère en me relatant des histoires de famille que je connais par cœur et qui ne m’intéressent surtout pas.
Lorsque juste avant le désert, ma complice se lève pour aller aux toilettes et passe près de moi à me frôler, je sens le signal. L’occasion est trop belle et préméditée. J’attends une minute et lui emboîte le pas, prétextant un coup de fil à passer… Et de la rejoindre en bas de l’escalier où elle m’attend… Sans rien dire, nous nous enfermons tous les deux dans les toilettes pour handicapés. Je dénude prestement sa poitrine (Fais glisser sa robe et dégrafe son soutif). Et je me penche pour la téter. Apparemment elle y trouve son compte, elle y prend goût, elle gémit de plaisir tandis que je grignote ses gros tétons saillants. J’aimerais bien qu’il s’en suive une bonne branlette et que je jute sur ses gros pis… Mais l’endroit est décidément trop exigu d’une part et d’autre part nous sommes sans cesse dérangés par d’autres personnes qui viennent dans les toilettes voisines. Finalement, elle calme mes ardeurs, se rafistole et nous décidons de nous retrouver sur la plage après le dîner. Nos époux respectifs n’ont pas bougé d’un pouce. Ma femme m’avoue être fatiguée. Ça tombe bien «Oui chérie, vas donc te reposer pour être en forme pour demain. Tu sais que nous avons promis à nos chérubins de les emmener au zoo…». Du coup, la tisane à peine avalée que la voici déjà qui monte se coucher. À la table d’à côté, ça traîne un peu plus longueur, Monsieur déguste son pousse-café. J’en profite pour sortir fumer une cigarette. Je prie pour qu’elle parvienne rapidement à se débarrasser de son Jules. Elle me rejoint sur la plage une demi-heure plus tard et se jette dans mes bras en me disant qu’elle l’a envoyé au casino. Nous ne sommes pas seuls sur la plage, il y a des groupes de jeunes. Nous allons un peu plus loin, de l’autre côté des rochers dans une petite crique tranquille.
Ses seins à nouveau dénudés, je recommence à les téter avec délectation. Quelles mamelles, c’est une ancienne nourrice et elle adore se faire traire. Humm je les tête en les malaxant, en les pétrissant. Ses pointes durcissent d’un plaisir visible de même que ma queue. Nous nous retrouvons nus, entièrement nus sur la plage, en 69, en train de nous bouffer avec délectation. Elle a un clito énorme, beaucoup plus gros que celui de mon épouse, une véritable petite bite de plus d’un centimètre entre les cuisses et il se dresse de plaisir aux moindres caresses. Puis l’un dans l’autre, je la prends sur le sable, je la monte sauvagement sous la lune en grognant comme une bête. Un couple d’amoureux qui passe par là nous regarde un instant puis fait un détour pour nous éviter. Je continue à l’usiner avec mon gros braquemart qui la remplit bien à fond comme elle dit. Et au dernier moment je me sors pour les asperger ses grosses miches de foutre.
Enfin je lui demande le les lécher et d’aspirer mon foutre pendant que je la broute à nouveau jusqu’à la faire exploser par ma bouche. Nous nous rhabillons prestement et elle retourne rapidement à son hôtel parce qu’elle a peur que son mari ne découvre la chambre vide.
Depuis ce jour là nous n’avons guère eu l’occasion de nous revoir. Pour eux les vacances se terminaient deux jours plus tard et ils habitent malheureusement trop loin de chez nous pour que je puisse faire une simple virée… Mais nous avons malgré tout échangé nos numéros de portables et nous nous appelons de temps en temps. Nous essayons de comploter quelque chose pour l’été prochain…