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Avec la nounou, qui est ma belle mère...

Vous pouvez remplacer n'importe quel prénom par celui que vous voulez
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Voilà, si je décris aujourd’hui cette histoire sur un site Internet, c’est que je regrette un peu ce qui s’est passé ce week-end là, et que je tente d’exorciser en le publiant sur le Web…


En fait cette histoire commence le dimanche matin, alors que nous sommes invités, ma femme et moi chez son oncle dans son ranch de campagne.

Nous devons comme convenu, passer prendre sur le passage mon beau-père et ma belle-mère afin qu’ils puissent profiter du voyage, et pour le pas surcharger le petit parking à l’arrivée.


Une fois arrivés chez eux, après avoir pris un petit apéritif servi par mon beau-père déjà en tenu, nous attendons que ma belle-mère ait finit de se pomponner.

Et là, surprise à la descente des escaliers en colimaçons en bois, elle descend dans une jupe tailleur noir, bas noirs, avec un décolleté en soie rouge, et une veste tailleur assortie à sa jupe.

Je distingue entre l’échancrure de la veste tailleur et son décolleté son soutien-gorge rouge…


J’en reste baba..


Elle qui toute l’année est plutôt habillée très classique, m’apparaît aujourd’hui très audacieuse..


Devant sa femme, Bernard reste sans voix, et commence à lui faire des reproches sur sa tenue. En fait, il lui reproche surtout ses escarpins et sa jupe, qui juge trop courte pour une réunion familiale en plein air.


Elle ne manque pas de l’envoyer paître comme à l’accoutumée, et se retourne vers moi en me demandant ce qui ne va pas dans sa tenue.

Moi, plutôt étonné par cette question, je lui réponds qu’elle est très sur son 31 en la scrutant de la tête aux pieds.


Il faut dire que pour ses 50 ans passés, Fabienne a su se rendre très belle et désirable aujourd’hui. Elle a pris le temps de se faire couper les cheveux, un carré ondulant qui va parfaitement avec ses cheveux blonds. De plus son tailleur tombe parfaitement sur sa jupe noire et ses bas noirs, malgré les quelques rondeurs dues à l’âge et sa poitrine assez forte.

Pendant ces quelques cinq minutes, je ne cesse de la regarder et elle le remarque…


Nous partons ensuite, moi au volant, mon beau-père sur la place passager avant, ma femme à l’arrière droite et ma belle-mère à l’arrière gauche.

Pendant le trajet, je jette un coup d’œil plusieurs fois à l’arrière, et je peux voir que, tout en nous parlant, elle me fixe du regard a travers le rétroviseur.

Sur le coup je n’en fais pas trop cas..


Notre fille Laura dort dans le siège auto pendant tout le trajet, et nous arrivons tout juste pour l’apéritif servi sur la terrasse.

Là, je prends un petit peu de recul vis à vis de ma belle-famille pour aller saluer mes cousins par alliance, car nous avons des liens de complicité.


Après tous nos sujets favoris épuisés (foot, films, voiture,…), je regagne le clan familial…

Fabienne, m’intercepte entre les deux groupes et m’accuse de les avoir lâchés.. Je m’excuse auprès d’elle au moment où elle passe son bras à l’intérieur du mien.

Je commence à sentir un confus désir naissant, car bien que très modéré, celui-ci revient très souvent depuis ce matin.

Fabienne tout en faisant un dernier tour de table pour faire terminer les quelques restes de charcuterie, s’arrête devant moi, et se penche vers l’avant afin de ramasser quelques timbales abandonnées.

C’est à ce moment là que je peux voir à l’intérieur de sa veste ses deux seins lourds sous son chemisier entrebâillé… Elle surprend mon regard sur sa poitrine et me sourit tendrement.


Comme par hasard, nous nous trouvons face à face pour le déjeuner de midi, et bien qu’elle parle en grande majorité avec sa sœur, elle jette un regard bienveillant sur moi de temps en temps.

Moi de mon coté, je tente de temps à autres un regard sur sa poitrine, fasciné par ses rondeurs.

Et lorsque je reviens à la regarder, elle est en train de me dévisager, avec un air pensif, cherchant je pense à surprendre mes pensées…

Et lorsque sous prétexte d’avoir trop bu et d’avoir trop chaud, elle déboutonne complètement sa veste et la pose sur le revers de sa chaise, laissant apparaître sous son chemisier en soie son soutien-gorge, elle me jette un regard non innocent semblant dire "Vas-y, regarde moi…".


Toute la durée du repas, nous nous jetons des regards à intervalle régulier, et nous nous sourions…


Nous repartons dans la soirée de ce dimanche de juillet, et nous raccompagnons mes beaux-parents chez eux.

Devant leur porte d’entrée je salue Bernard, pendant que ma femme embrasse sa mère. Puis, nous alternons, et je ne sais plus trop ce qui me passe par la tête, mais lorsque je tends la joue pour lui faire la bise, ma main droite vient juste se placer sous le balconnet de son sein gauche. La scène ne dure que 1 à 2 secondes mais j’ai le temps de remonter mon pouce sur le dessus de son soutien-gorge et de poser mon pouce sur son téton.

Elle, dépassée par cet excès de zèle, s’embrouille dans sa dernière bise qui finit sur le coin gauche de ma lèvre.

Elle s’excuse à mon oreille, alors que je lui murmure que tout le plaisir était pour moi…


Cette scène n’a duré que 5 secondes au maximum, et pourtant, mon excitation est à son comble.

Mon sexe commence à se tendre dans mon pantalon, et je suis sûr que Fabienne à pris du plaisir à ce que je lui caresse furtivement le bout des seins…


Nous rentrons, et près avoir couché Laura nous faisons l’amour ma femme et moi, ce qui à l’effet que me calmer un peu. Et alors que Sylvie dort, je repense à sa mère et me pose plein de questions sur ses intentions…




Le lundi est vite là, et comme une semaine sur deux, j’emmène Laura chez sa nounou qui n’est autre que ma belle-mère… Je l’emmène toujours vers les 10H30 ou 11Heures afin de pouvoir profiter de Laura un peu dans la matinée…

Nous arrivons chez Fabienne vers 11h et sonnons à l’Interphone. Sa voix nous répond et nous ouvre le petit portique d’entrée.


Elle nous attend sur le pas de la porte dans le chemiser en soie rouge de la veille, mis à part que cette fois elle ne porte rien dessous.

Je me doute de ce qui risque de se passer et, par désir et par envie d’aller plus loin, je ne cherche pas à trouver un prétexte pour partir plus tôt.

Je m’assieds dans le canapé à quelques mètres de Fabienne.


  • Bernard est de matin ?

Elle me répond :


  • Oui, sa société l’a appelé pour qu’il change de brigade, il rentrera vers 15H.

Tout en jouant un peu avec Laura qui montre des signes de fatigue, elle me lance "Veux-tu un chocolat ?". En fait, elle sait que le chocolat est mon péché mignon et que je ne risque pas de lui dire non.


  • D’accord, si vous en prenez un !

Elle part dans la cuisine, et revient avec une boîte de chocolats qu’elle avait laissée au frais. Et tout en me tendant la boite, elle se penche un peu, juste assez pour découvrir ses seins qui s’offrent tout entier à mon regard. Et tout en regardant ses seins, je sens son regard sur moi.

Je lève les yeux et je la vois qui me regarde. Je n’avais jamais vu ses yeux marrons de si près, ni ses seins non plus.

Et alors qu’elle tend la boîte vers moi à deux mains, je déplace ma main droite et la pose sur un de ses seins.

Elle ne bouge pas et ferme les yeux le temps que je caresse son téton qui à doublé de volume, et qui apparaît très gros sous son chemisier satiné.

J’ai maintenant son sein entier dans ma main et je le caresse en passant ma main d’avant en arrière.

Cela dure bien trois minutes, et lorsqu’elle rouvre les yeux, ceux-ci sont humides et brillants, ses pupilles sont dilatées, ses seins se sont raffermis de désir, ses corolles et ses tétons sont gonflés et ont pris une couleur rougeoyante.


Elle pose la boite de chocolat sur la table, et me dit que cela n’est pas raisonnable entre un gendre et sa belle-mère. Puis elle retourne s’asseoir sur le canapé alors l’envie encombre toutes mes pensées.




Devant un bâillement de Laura, Fabienne décide d’aller la coucher, et l’emmène vers moi :


  • Dis au revoir à papa, il va partir au travail !

Sur ce fait, elle quitte la pièce, et va vers la chambre de Laura.

Moi, dépité, je me rends vers la porte d’entrée, ouvre celle-ci tout en réfléchissant, puis la referme.

Je me dirige vers la chambre de Laura qui est aussi celle de mes beaux-parents. Dans l’entrebâillement de la porte, je vois Fabienne devant moi qui agite doucement le lit de Laura pour l’endormir.


Je rentre sans bruit dans la pièce, me place derrière Fabienne et passe mes mains sous ses bras afin de saisir ses seins. Elle sursaute me croyant parti et tente de stopper mes mains. Malheureusement, comme elle doit bercer Laura, j’ai toujours l’avantage d’une main sur elle.

Elle se lasse enfin, et me laisse passer les mains sous son chemisier. J’en profite bien car j’ai ses deux seins dans chacune de mes mains, et je joue au maximum avec ses tétons qui sont droits et enflés.

Je la sens commencer à prendre du plaisir, car elle accorde ses mouvements de bercement avec le mouvement de mes mains.


Laura s’endort à peine quand Fabienne se retourne vers moi et m’embrasse.

Sa langue cherche la mienne, dans une étreinte passionnée qui dure bien un quart d’heure. Je finis par la basculer sur le lit…

Alors que ses mains recherchent le bouton de mon pantalon, Fabienne me parle et m’embrasse dans le cou.

Je dégrafe son pantalon, m’arrache à sa bouche, et fait glisser le pantalon le long de ses cuisses, remonte ma tête jusqu’à son entrejambe, et là, je pousse délicatement le dessous de sa culotte sur l’un des cotés laissant apparaître ses lèvres pubiennes humides et chaudes. Je les écarte délicatement avec mes doigts, tandis qu’avec ma langue, je suce d’un mouvement vertical ses petites lèvres et son clitoris.


Ses mains se sont placées sur ma tête et m’invitent par de brèves pressions à continuer à la sucer.

Elle est maintenant complètement offerte, ses lèvres petites et grandes son extrêmement mouillées.

Je me dégage de mon pantalon, en le laissant tomber au fond du lit, je descends mon slip, laissant apparaître ma verge en érection.

Fabienne est toujours sous le coup de mes caresses, je pense qu’elle ne s’est même pas rendu compte que j’étais nu. Je remonte le long de son corps, et m’assois doucement sur son ventre, place mon sexe entre ses seins et commence à effectuer des mouvements d’arrière en avant.


Elle me tire vers devant, et prends une partie de ma verge sans sa bouche.

Décidément, dire que j’ai failli abandonner !! Cela aurait été dommage.

En effet, Fabienne me suce très bien, avec beaucoup d’attention. Elle semble prendre beaucoup de plaisir à jouer avec mon gland, et à caresser en dessous avec sa langue..

Finalement, je m’allonge sur elle, lui écarte délicatement la jambe droite jusqu’à ce que sa vulve soit bien offerte, et là par une pression de mon gland sur sa vulve, je parviens à la pénétrer d’un seul coup.

Elle pousse un léger soupir, puis rabat ses jambes sur mes fesses.


Jamais je n’aurais cru que j’aurais pu faire mouiller ma belle-mère comme ça ! . Les mouvements de va-et-vient me procurent une jouissance très forte.

Fabienne, elle, à la tête relevée vers l’arrière, et gémit sous mes coups de reins et sous les caresses de mes mains sur ses seins. Je la sens partir lorsque je me retire.

Elle est complètement offerte, elle semble planer, elle ne se rend même pas compte que je suis en train de la retourner afin de pouvoir la prendre par derrière… Je donne plus d’amplitude à mes mouvements de va-et-vient qui la comblent.


Je ne sais si l’idée qui vient de me traverser l’esprit va la satisfaire…

Je me retire une nouvelle fois de son vagin, et place mon gland contre son anus. Après plusieurs mouvements d’avant en arrière je finis par entrer et là, l’étroitesse de cette fente m’excite de plus en plus alors que je la pénètre de toute la longueur de mon sexe.

Elle a la tête plantée dans son oreiller alors que je la monte de plus en plus fort et que mes coups de boutoirs sont de plus en plus rythmés et forts.


Dans un effort de lucidité, Fabienne parvient à me dire qu’elle va jouir, et qu’elle souhaite que je la pénètre à nouveau vaginalement afin que nous puissions jouir ensemble. Je m’exécute et, après quelques mouvements de pénétration, je sens son vagin se refermer sur ma verge alors que dans un mouvement désordonné elle vient de jouir.

Je continue à la pénétrer par mes mouvements de va-et-vient alors quelle se débat dans son plaisir jusqu’à ce que dans un éclair blanc, j’expulse dans son vagin ma semence chaude et puissante de désir.




Nous sommes restés allongés l’un à côté de l’autre pendant un long moment, le temps de bien reprendre nos esprits, et avons continué notre relation secrète pendant 6 mois avant que d’un commun accord, nous ne cessions nos câlineries.


Aujourd’hui Fabienne et moi sommes restés très copains, malgré ce secret charnel entre nous…