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Avec mes voisines - Partie 4/4

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Chapitre 9

Où l’on découvre que l’immeuble bénéficie de l’eau, du gaz et du stupre, et ce à tous les étages et où Jean-Baptiste découvre l’affreux commerce auquel Thibaut C. contraint "l’innocente" Marie.


Mais la jeune fille n’était pas là quand je frappai à sa porte. Très excité, j’allais essayer sur le palier d’en face, mais Nicole non plus n’était pas chez elle. Déçu, je décidai d’aller faire un tour dehors pour me changer les idées et descendis l’escalier. Arrivé au niveau de la loge de la concierge, j’entendis de petits grognements familiers. Décidément, cet immeuble était un véritable lupanar. Je poussai la porte de la loge discrètement et aperçus, de trois quarts dos par rapport à la porte, le frère de Camille, Thibaut, appuyé sur la table, en train de se faire sucer par Marie, la fille de la concierge. Il lui maintenait la tête de sa main et lui imprimait un rythme lent en grognant. La jeune fille, dont la mère vantait à tous la récente réussite au Bac, semblait très douée pour les sciences naturelles. Brune, les cheveux au carré, elle faisait glisser avec applications dans sa bouche un membre d’une longueur plus que correcte. Cette vision contrastait nettement avec l’image de jeune première de sa classe dans l’école privée catholique du quartier et je l’immortalisai d’une photo avec mon portable au moment où Thibaut éjaculait dans la bouche de Marie.

Mais le plus étonnant restait à venir. Après avoir joui dans sa bouche, Thibaut se rhabilla rapidement et, après avoir fouillé dans sa poche de pantalon, tendit un billet de 20 euros à la jeune fille.

  • Tu te fous de moi ? On avait dit trente si tu venais dans ma bouche !
  • Marie, sois sympa, je te filerai la suite la prochaine fois, et puis, ça t’a plu aussi, non ?
  • Gros porc ! Dégage d’ici !
  • Allez, fais pas ta mauvaise tête…

Je décidai que j’en savais assez et partis me cacher derrière la porte de la courette de l’immeuble. Thibaut sortit peu de temps après, apparemment Marie n’était pas satisfaite de s’être fait avoir de la sorte, vu les insultes qu’elle lui envoyait, les dents serrées.

Je décidai de profiter de l’absence de ses parents et de tenter ma chance tout de suite. Je frappai à la porte de la loge.

  • Un instant, j’arrive !
  • Bonjour Marie, je ne te dérange pas ?
  • Non, je travaillais un peu.
  • Après ta brillante réussite au Bac ?
  • Ah, je vois que ma mère en a déjà parlé à tout l’immeuble…
  • Eh bien oui, tu as l’air douée en plus d’être jolie.
  • Je travaille dur, surtout.
  • Tu aimes quand c’est dur, on dirait ?
  • Euh… oui, si on veut. Vous vouliez voir ma mère ? Parce qu’elle n’est pas là en ce moment et…
  • Non non, je voulais voir tes jolis petits nichons en fait.
  • Pardon ?
  • Tes seins, si tu préfères.
  • Mais vous êtes malade ? Espèce de…

Je lui collais mon portable devant les yeux avec la photo de ses récents exploits à l’écran. Elle pâlit instantanément.

  • Tu en veux une copie pour tes amis ? Ces petits gadgets ont une définition impressionnante, il paraît.
  • Qu’est-ce que vous voulez ?
  • Eh bien voir tes seins pour commencer, je viens de te le dire. Ensuite, te montrer que ce petit radin de Thibaut ne mérite pas l’intérêt que tu lui portes… surtout à ce tarif.

La mention de l’argent qu’elle gagnait en monnayant ses charmes la fit pâlir un peu plus. Elle ouvrit rapidement son corsage blanc.

  • Très joli. Il y a de la place pour moi là-dedans ?

Je me mis aussitôt à lui caresser les seins.

  • Rentrons.
  • Tout ce que tu veux, petite coquine.

Elle m’entraîna dans sa chambre et, une fois rentrés, me plaqua contre la porte et m’embrassa. Je lui plaquai ma main sur ses fesses et commençai à lui pétrir le postérieur. De son côté, elle défit ma chemise et se mit à descendre. Une fois à genoux, elle enleva son corsage et ouvrit mon pantalon. Une fois ma bite en main, elle commença à me branler en me regardant dans les yeux, avec un air d’une perversion inouïe dans le regard.

  • Je vais te sucer la queue, je vais la lécher, la prendre dans ma bouche en te caressant les couilles, je vais te tailler la pipe du siècle, tu ne vas pas le regretter.
  • J’espère bien, je t’ai vue à l’œuvre, tu as l’air douée.

Et, il faut l’avouer, elle me fit une pipe mémorable. Une pipe sensationnelle pendant laquelle je sentis qu’elle aimait avoir une bite dans la bouche et y sentir le goût du sperme. Mais j’en voulais plus. Je sortis ma bite d’entre ses lèvres et la poussai sur la moquette de sa chambre en l’embrassant. Rapidement, je descendis plus bas. Je lui léchai un peu les seins avant de plaquer mes mains sur sa culotte et de commencer à lui caresser la chatte. Rapidement, je sentis le tissu s’humidifier. Je plantai mes yeux dans les siens. Elle aimait ça la garce. Mais elle ne s’attendait pas à la suite, et quand je plongeais ma tête entre ses jambes, elle poussa un petit soupir étonné.

  • Mais, tu… tu me, ma, OhHHhHHHHH mon Dieu, Ahhhh… Ahhhhhhh… AHHHHHHHHHHHH Oh oui, ne t’arrête pas, lèche-moi, Ohhh, MpmFF, lèche, plus viiite, encore, encore, lèècchhhe bien là, comme ça !!!

Je la fis mettre à quatre pattes et continuai, lui léchant toute la raie et doigtant sa petite chatte qui bougeait toute seule autour de mon doigt. Je décidai qu’elle était mûre pour la suite et introduisis alors le bout de mon majeur dans son petit trou. Vu le soupir qu’elle poussait, elle aimait ça. Mais je décidai de m’en assurer.

  • Alors, tu aimes ?
  • Ohh ! Oui, alors !
  • Tu veux que je continue ?
  • Oh par pitié oui, on ne m’a jamais fait ça, c’est boooon !
  • Alors je continue ?
  • Mmmmgrrr, oh, oh oui, comme ça, en décalé, ma chatte, mon petit trou, AhhAaahhhHHHHH !!!
  • On t’a déjà sodomisé ?
  • Ahh, non, jamais, Ahhh, Mmmmmmm !!!

Je pris cette réponse pour une invitation et me redressai, ma queue prête à exploser entre ses fesses. Au moment où j’allais l’enculer, elle se retourna et me dit, les cheveux collés par la sueur sur son front, mon portable entre ses mains :

  • Profites-en bien mon salaud, je viens d’effacer la photo…

Je la tirai par les cheveux et, m’enfonçant d’un coup dans son cul, je lui susurrai avec aplomb un mensonge à l’oreille :

  • Petite garce, pour qui me prends-tu ? Je me suis déjà envoyé la photo par mail. Si tu insistes, je peux en déposer une copie dans chaque boîte aux lettres de l’immeuble, de la rue, de toute la ville si ça m’amuse
  • Salaud ! C’est pas la peine, ta queue est assez bonne pour que tu n’aies pas besoin de me… de me faire chanter, enfin de me faire chanter cet air-là. Je peux ch… oh putain ce que c’est bon !!! MmMmmpFFFF… reviens quand tu veux si c’est pour me faire ça…
  • Ça ?
  • Ta bite, là…
  • Où ?
  • Dans mon cul, entre mes fesses, tu sais bien.
  • J’aime qu’on me dise les choses, ça m’excite.
  • OK, je serai bavarde dans ce cas !
  • Doigte-toi la chatte.
  • En même temps ? Ohhhhh !?
  • Bien sûr, en même temps ! Tu manques d’imagination, on dirait.

Je sentis ses doigts me griffer les bourses avant de s’introduire dans son sexe trempé. Elle avait les deux épaules au sol maintenant, la tête sur la moquette, et en moins d’une minute, elle atteint l’orgasme. Tout prêt de jouir moi-même, je lui demandai :

  • Je vais jouir, tu aimes le goût du sperme ?
  • Non, Thibaut me force, mais je n’aime pas.
  • Vraiment, tu ne veux pas goûter le mien ?

Je pris son silence pour un non et lui jutais sur le cul. Les épaules toujours au sol, elle s’étala mon foutre sur tout le bas de son dos en me regardant, se mordant la lèvre inférieure dans une moue de salope comme je n’en avais jamais vu.

J’entendis la porte claquer et une voix de femme. Sa mère. Marie ne bougeait pas, mon foutre sur son cul bronzé, la moitié du visage rougi par le bref frottement sur la moquette et l’air toujours absente.

  • Passe par ma fenêtre, murmura-t-elle, ça donne sur la courette derrière.

Je me rhabillai rapidement, et l’embrassai avant de sortir par le chemin indiqué.

  • Reviens quand tu veux et… inutile de me mentir pour la photo, me dit-elle en m’envoyant un clin d’œil…

Chapitre 10

Où la famille s’agrandit avec l’arrivée de la belle-sœur et de la nièce de Madame C.


Les semaines qui suivirent furent torrides. L’absence de Monsieur C., parti à Bruxelles où il était conseiller pour une commission européenne quelconque, laissait Hélène seule et elle se consolait de son absence dans les bras de votre serviteur. Aucune limite ne semblait l’arrêter, je l’envoyais acheter toute une série de gadgets dans un sex-shop du boulevard Pigalle dont je savais que nous n’en utiliserions pas la moitié. J’interdis à Hélène de porter des collants et lui offris un porte-jarretelle grâce à l’argent qu’elle me donnait pour ses « cours ». J’inventais de petits jeux : je lui prenais sa culotte et l’envoyais chez les différents boulangers du quartier choisir la baguette dont elle aimerait avoir l’extrémité entre les jambes. Elle revenait les cuisses trempées, grignotant le croûton d’un air songeur.

Brigitte revint nous voir deux fois et nous l’accueillîmes avec plaisir, vérifiant une fois de plus la sagesse du vieil adage qui dit que, plus on est de fous, plus on rit. Enfin, malgré plusieurs refus définitifs, je continuais de travailler Hélène « au corps » pour une petite séance à trois avec Nicole.

Je découvris d’ailleurs que cette dernière entretenait l’incendie qui lui ravageait les fesses de différentes manières, toutes plus imaginatives les unes que les autres. Je remarquais qu’elle se faisait régulièrement livrer des frigos énormes, des matelas, des machines à laver, machines qu’elle renvoyait après les avoir essayées, ainsi que les livreurs qui les lui avaient montées dans son appartement… et leurs collègues qui venaient les rechercher.

Un soir, après lui avoir labouré son joli derrière pendant une vingtaine de minutes (elle jouissait étonnamment plus fort quand elle se faisait prendre par derrière m’avoua-t-elle), je remarquai de nombreuses boîtes de pizzas à peine entamées dans sa cuisine. J’en déduisis qu’elle ne dédaignait pas de consommer des livreurs plus jeunes. Je lui avouai d’ailleurs que j’avais peur que sa lubie la fasse un jour quitter son appartement juste pour le plaisir d’essayer une équipe entière de déménageurs. Elle me répondit qu’elle avait déjà essayé mais que l’amour à plus de trois l’empêchait de se concentrer sur ce qu’elle faisait.

Je lui montrais également les photos d’Hélène et ma proposition d’une petite séance à trois l’enchanta tout de suite, démontrant une fois de plus son ouverture (d’esprit, vous l’aurez toutes et tous compris). Un matin, alors qu’Hélène quittait l’appartement de sa fille, Nicole sortit vêtue de la robe de chambre qu’elle portait la première fois que je l’avais vue et l’ouvrit tout simplement devant Hélène qui, toujours hésitante, se retira en courant chez elle, le souffle court et l’entrejambe sans doute emperlé d’une humidité qu’elle se refusait d’accepter.

Camille, dont sa mère ignorait complètement la gourmandise débridée, se faisait désirer, comme si elle se voulait rare et insaisissable. Je ne pus la coucher contre moi que trois fois en un mois et demi. Elle m’avoua qu’elle était à l’heure actuelle occupée par trois liaisons : une avec son jeune professeur de français, une autre avec « Gérard », le voisin du quatrième, à qui elle et Marie avaient emprunté le prénom pour baptiser leur gode-ceinture en raison de ses impressionnantes proportions, et la troisième enfin avec… la pharmacienne du bout de la rue, qui d’après Camille avait les seins les plus doux qu’elle ait jamais pris dans sa bouche.

Marie quand à elle devint peu à peu ma préférée. La douce perversité de son regard m’enflammait le corps et l’esprit et je passais de nombreuses soirées à la butiner et à la lutiner dans tous les endroits possibles. Nous cochions sur un plan d’évacuation de l’immeuble arraché à un couloir les différents appartements dont les clefs de sa mère nous offraient l’accès. Elle fut impressionnée par la collection de godemichés que j’avais fait acheter à Hélène et je fis moi-même l’étonné. Nous fîmes le serment de les essayer un par un. Certains d’entre eux possédaient deux extrémités et étaient plus particulièrement conçus pour une pratique saphique. L’idée ne semblait pas enthousiasmer Marie, je me promis de la faire changer d’avis sous peu en me demandant quelle combinaison serait des plus judicieuses. Il faudrait en parler à Camille…

Un soir, Hélène vint frapper à ma porte, l’air angoissée. Elle m’apprit que nos petites séances allaient devoir s’arrêter : sa belle-sœur Anne-Claire, accompagnée de sa fille Clémence, arrivait dans deux jours, envoyées par son « connard de mari » (je la cite, je ne me permettrais pas d’employer un tel vocabulaire avec mon propriétaire, dont la générosité involontaire me comblait à tant d’égards). La description qu’elle me fit d’Anne-Claire de V. avait de quoi faire frémir : une harpie sèche et méchante, coincée de « la chatte et du cul » selon Hélène. Quand je l’interrogeais au sujet de sa bouche, Hélène ne rit même pas.

  • Tu ne te rends pas compte, évidemment, ça n’est pas toi qui vas l’avoir sur le dos pendant trois semaines.
  • Et il n’y aurait pas moyen de l’avoir sous le ventre, demandai-je en collant le petit postérieur d’Hélène contre moi pendant que je lui faisais sortir les seins de son corsage.
  • Jean-Baptiste… si tu savais, Anne-Claire a failli rentrer au couvent, c’est une grenouille de bénitier qui… Mmmmm oui, là c’est bien, continue. Tu sais, il faudrait vraiment qu’on essaye le black mamba avant qu’elle arrive, hier il rentrait pratiquement sans que…
  • Et sa fille, Clémence ?
  • Clémence, ohh, MMMMPPPPFFmmmm… elle avait… 12 ans la der… la dernière fois que je l’ai vue. Une petite blonde sans intérêt, missel et jupe plissée…
  • Mais, la coupai-je, tu as mis les boules de geisha, petite cochonne ?
  • Une dans la chatte, deux dans le petit trou ! m’annonça-t-elle en rougissant un peu.
  • Mmm… Hélène, tu progresses, tu sais.
  • Je peux avoir un bonbon, alors ?
  • Mmmm, deux si tu veux même, avec une grosse sucette en prime, bien longue et bien dure.
  • Heureusement que le dentiste n’est pas au courant, n’est-ce pas ?
  • Ne t’en fais pas, c’est une sucette spéciale, très bonne pour ce que tu as. Laissons le dentiste en dehors de ça et ouvre grand ta bouche surtout…
  • Oh, en plus… c’est mon parfum préféré !
  • Et quand elle fond il y a une surprise, tu verras.
  • Mmmm… j’adore les… Mmmmmmmmmmm… surprises…
  • Suce bien surtout, n’oublie pas de lécher mes couilles… Voilà. Mmmmm, Hélèène, tu es divine. Monte sur le lit et poursuis à quatre pattes, dos à la glace. Et baisse ta culotte, que je vois ce que tu fais avec les doigts.

Elle s’exécuta et je la vis se sortir les boules de geisha. Peu de temps après, je prenais leur place.

Deux jours plus tard, Anne-Claire et Clémence arrivèrent. Quand Hélène me les présenta, je fus déçu de constater que la description qu’elle m’avait faite de sa belle-sœur collait fidèlement à la réalité. Mais en revanche, Clémence avait bien changé apparemment. Majeure le jour des résultats brillants de son Baccalauréat (sa mère semblait trouver dans cette coïncidence un signe des dieux), fine de partout, avec de petites taches de rousseur sous les yeux, son air innocent conjugué aux vêtements de jeune fille trop sage que sa mère lui faisait porter achevait de peindre la plus parfaite incarnation de l’écolière salope. Sauf qu’il allait falloir la dévergonder rapidement. Je me promis d’y parvenir, imaginant déjà tout ce qu’on pourrait faire de ces deux longues nattes blondes.

Ma première approche passa par un cours de dessin auquel j’invitais Clémence. Rien que l’odeur de ses cheveux couleur miel me faisait bander mais il allait être difficile d’avoir plus que ça puisque, pour tout ce qui la concernait, sa mère était présente. Je dus me contenter de me pencher au-dessus de l’épaule de la jeune fille pour apercevoir un fragment de petit soutien-gorge rose entre deux boutons de son corsage. J’essayais ensuite d’apercevoir sa culotte en ramassant sa gomme mais je ne vis rien. Hélène n’avait pas beaucoup progressé, mais il est vrai que c’était la première fois qu’elle tenait un vrai crayon lors de nos séances, au lieu de se frotter celui de son professeur tout contre son anatomie.

Clémence n’avait aucun talent, son œil était aussi peu doué que ses mains pour le dessin, mais je me réjouissais de l’empressement qu’elle mettait à suivre mes conseils. Je repris son dessin plusieurs fois et à la fin du cours réussis à la persuader qu’elle était l’auteure des lignes essentielles de son dessin.

  • Maman, regardez, Jean-Baptiste dit que c’est une réussite, vous avez vu, Maman ?

Anne-Claire opina en tentant de faire passer pour un sourire affectueux un long pincement de ses lèvres pâles. Cette femme était décidément la gorgone la plus glaciale que j’avais jamais vue.

Je poursuivais mon approche le jour suivant en proposant à Clémence de lui faire visiter ma faculté, puisqu’elle envisageait des études de droit l’an prochain. Accompagnés de sa mère et d’Hélène, nous fîmes donc un tour complet de l’université. Clémence, qui venait pour la première fois à Paris, était fascinée par mes anecdotes et mon apparente connaissance de tous les aspects de la vie étudiante parisienne. À notre retour à l’appartement d’Hélène, je profitais d’une seconde d’inattention de sa mère pour lui glisser dans la main un petit mot que j’avais pris soin de préparer auparavant. La courte lettre disait :

 

Ma belle amie,

Pardonnez la maladresse de mon geste mais depuis que je vous ai vu, les mots se bousculent sur mes lèvres et troublent jusqu’aux quelques songes que mes rares moments de sommeil m’autorisent. Vous le devinez, c’est le cœur battant et l’esprit fiévreux que j’ai trouvé l’audace de vous faire passer ce mot.

Clémence, votre arrivée a bousculé ma petite existence plus que je ne peux vous le décrire entre ces quelques lignes, il faut que je vous parle. Seule. Par pitié, permettez-moi de vous parler, trouvez un moyen d’éloigner quelques minutes votre mère dont la présence dévouée m’empêche de laisser mes lèvres ouvrir grand les portes de la citadelle qu’est devenu mon cœur, pour que s’envole librement ces mots que je n’ose vous écrire sur cette entre ces lignes brouillonnes que vous me pardonnerez peut-être.

Par pitié, douce Clémence, répondez-moi, votre silence scellerait de bien triste façon le sort de votre dévoué serviteur.

Particulièrement satisfait du style ampoulé vaguement « amour courtois » de mon message et de l’allitération finale en « s », j’espérais récolter le plus vite possible ce que ce premier échange sèmerait peut-être, d’abord dans le cœur de la jeune fille, puis, qui sait, entre ses longues jambes fuselées qui fermaient la citadelle qui m’intéressait moi.

J’en parlais le soir même à Nicole après avoir comblé ses brûlants appétits. Elle rit beaucoup et me conseilla d’être audacieux.

  • Je suis sûre que tu vas transformer cette petite bêcheuse en salope, mon petit Jean-Baptiste. Mais souviens-toi, le temps te presse, il faut frapper fort, et les plus coincées sont souvent les plus cochonnes, regarde ce que tu fais faire à la mère de Camille…

Le lendemain, Hélène suggéra une sortie au cinéma. Le choix du film fut compliqué à négocier : même le dernier Harry Potter ne convenait pas à Anne-Claire, qui avait sans doute peur que nous apercevions la culotte d’une jeune sorcière passant en balai au-dessus de la caméra. Finalement, nous nous décidâmes pour un poncif ennuyeux pseudo documentaire sur la vie des tribus de nomades au Népal. De belles images mais une histoire très ennuyeuse. Je me retrouvais à côté de Clémence après que celle-ci ait inventé une excuse assez grosse pour me laisser croire que j’avais peut-être fait mouche. Apparemment, Clémence prétendait que, la placer à l’extrémité du rang risquait de lui donner mal au cœur, et qu’il valait donc mieux qu’elle s’assoie plus au milieu. Je me retrouvais donc avec la jeune Clémence à ma gauche et Hélène à ma droite. Cette dernière, à peine les lumières éteintes, commença à ma branler à travers mon pantalon. Bien que très agréables, ses caresses risquaient d’être aperçues par sa nièce, me faisant passer du chevalier courtois au jeune dévergondé dont je me sentais, vous vous en doutez, nettement plus proche. Je demandai à Hélène de se caresser elle, lui promettant de venir lui mettre un coup de queue aux toilettes à la sortie du film. Soudain, Clémence me jeta un papier froissé sans tourner la tête vers moi. Elle avait mordu à l’hameçon !

 

Mon tendre Jean-Baptiste,

Votre lettre m’a ému au plus haut point. Moi aussi, j’aimerais entendre ces mots s’envoler de vos lèvres. Je suis sûre que l’intérêt que vous me portez est pur mais jamais ma mère ne nous laissera nous entretenir. Je me désole de ne pas avoir de solution à vous offrir, mon doux ami, il ne nous reste qu’à prier que le Seigneur, ami des cœurs aimants, nous accorde ces doux instants qui nous font défaut et que j’appelle moi aussi de tous mes vœux.

Si tendrement,

Votre dévouée Clémence

 

J’eus bien du mal à lire son message dans le noir. Heureusement, Hélène était trop occupée par une partie bien précise de son anatomie (je découvris peu de temps avant la fin du film qu’elle avait amené un petit gode au cinéma). Au fur et à mesure de ma discrète lecture, ma queue se tendit. Si elle avait pu rugir, je suis sûre qu’elle l’aurait fait.

Je regardai Clémence à la dérobée, son visage apparemment sage. Mais sa respiration haletante trahissait son émoi. Décidant d’écouter Nicole, je lui pris la main un court instant, aussi discrètement que possible. Sa mère semblait fascinée par le film, pas de risque de ce côté. Trente secondes plus tard, Clémence cherchait à son tour ma main et la serra fort. Nous restâmes une minute entière cramponnés ainsi puis elle relâcha son étreinte. Je fis le prochain mouvement : profitant du cri qu’un Yack rétif poussait dans le film, je glissai ma main sous le gilet que Clémence avait posé sur ses genoux. Elle me regarda stupéfaite, les yeux fous, comme si je venais de la sodomiser sans prévenir, alors que j’avais juste posé ma main SUR sa jupe Voilà qui promettait. Elle tenta de me repousser mais je sentis qu’il s’agissait d’un appel à aller plus loin. Et je savais qu’elle ne pouvait pas s’en aller, je poursuivis donc mon avancée. D’un mouvement vif du poignet, je passai sous sa jupe et pressai sa cuisse gauche, serrée très fortement contre la droite. La lèvre inférieure de Clémence bougeait frénétiquement, elle me suppliait d’arrêter. Mais je continuai et affermissai ma position, glissant mes doigts vers l’intérieur de ses jambes. Enfin, je glissai le bout d’un doigt sous sa culotte et soudain, Clémence s’avoua vaincue, préférant m’ouvrir ses jambes plutôt que de risquer un esclandre public. Je fonçai et glissai ma main entière par le côté de sa petite culotte, avant de me raidir à mon tour : Clémence avait la chatte rasée.

Cette cochonne avait la chatte rasée ! J’avais beau me le répéter, ça avait du mal à rentrer ans ma tête. Au même moment, je sentis la main d’Hélène, décidément de plus en plus entreprenante, sortir ma queue de mon pantalon avant de commencer à me branler lentement. De ma main libre, je jetai mon pull par-dessus et lui fis savoir d’un regard que j’appréciai son audacieuse initiative. Branlé par la tante, la main dans la culotte de la nièce, je passais un moment de pur délice. Cette dernière semblait aimer la caresse que je prodiguais à sa petite chatte, elle mouillait de plus en plus. La main crispée sur son pull, on aurait dit qu’elle voulait m’enfoncer la moitié de mon bras dans son entrejambe. Quand je lui enfonçai le majeur à l’orée de sa chatte, je vis une larme de plaisir pointer à la lisière de son œil faussement fixé sur l’écran.

Clémence jouit avant moi, dévastée par un orgasme que je suspectai être le premier, malgré son étonnante épilation. Je sentis son corps se tendre à se rompre avant qu’elle ne s’affaisse littéralement sur elle-même, à tel point que sa mère lui demanda si le film l’ennuyait.

  • Pas du tout Maman, je trouve ça réellement fantastique, ça me bouleverse à un point que je ne peux vous décrire.

Appréciant le compliment que je m’attribuai, je jutai entre les doigts d’Hélène peu de temps après, et cette dernière me nettoya comme elle put en se léchant les doigts. Chose promise, chose due, elle s’éclipsa peu de temps avant la fin du film et je la rejoignis dès l’apparition du générique, proposant à Clémence et à sa mère de se rejoindre devant le cinéma. Dans les toilettes, Hélène m’attendait.

  • Mon pauvre garçon, je t’ai tout sali, me pardonneras-tu ?
  • Hélène, ta main sur ma queue était tout simplement divine, tu ne peux pas imaginer.
  • Et ta queue dans ma chatte, sera-t-elle aussi parfaite ? dit-elle en me tournant le dos et en s’appuyant sur la cuvette des WC.
  • À toi de me le dire, lui dis-je en pénétrant sa chatte trempée.

Tout en la besognant, je repensais à la suite de mon programme avec Clémence et éclatais dans sa chatte en moins de deux minutes.

  • Dis-moi, quelle vigueur, j’ai à peine eu le temps de jouir de mon côté.

Je la laissai imaginer qu’elle était responsable de cette vigueur-là et nous partîmes rapidement rejoindre sa belle-sœur et Clémence. Cette dernière évitait comme je m’y attendais mon regard. Toujours le rose aux joues, je sentais que tout son corps appelait le mien tandis que son esprit tentait de s’en défendre. Mon pull étant tâché, je le gardais noué à la taille en ignorant le vent glacial qui me gelait les sangs.

Arrivés à la maison, j’avais mis mon plan au point. Je proposai une orangeade à tout le monde et fis un détour par la salle de bains avant de me rendre à la cuisine. Je pris deux comprimés de laxatifs et les broyai finement avant de les verser dans le verre d’Anne-Claire. Cette solution était résolument extrême mais avait le mérite de m’assurer les quelques jours de tranquillité nécessaire à la poursuite de ma conquête du cul de sa fille.

Le résultat fut étonnant : la sinistre belle-sœur d’Hélène fut clouée entre le lit et les toilettes pendant les quatre jours qui suivirent, et il lui en fallut une semaine de plus pour pouvoir sortir normalement. Mettant le « désordre » de son organisme sur le compte de l’air vicié de la capitale, elle fut donc contrainte d’abandonner la surveillance continuelle de sa fille et je fus le premier à en profiter.

Chapitre 11

Où Jean-Baptiste poursuit sa conquête avec ardeur et fait découvrir à la douce Clémence qu’on peut s’amuser sans être entravés par les liens sacrés du mariage.


Dès le soir je repassais à l’attaque. Prétextant l’oubli de mon carton à dessins, que j’avais effectivement pris soin de laisser tomber derrière le canapé des C., je partis trouver Camille pour qu’elle me prête les clefs de l’appartement de ses parents. Quand je lui appris le but de cette visite, elle me paria que je n’arriverais pas à arriver à mes fins, prétendant connaître les « filles comme Clémence » dont il n’y avait rien à « tirer ». Pour intéresser l’enjeu, nous pariâmes pour elle un cunnilingus par jour pendant une semaine entière, à l’heure et l’endroit qui lui conviendrait, et pour moi une sodomie et une branlette entre ses seins. Camille était dure en affaires, comme vous le voyez, mais j’étais très motivé et sûr de ma réussite.

Une fois chez les C., j’appelais Hélène, que je savais absente à cette heure (elle visitait une vieille tante malade boulevard Malesherbes, à qui elle amenait quelques courses et des nouvelles de la famille C.). Devant l’absence de réponse, je pénétrai dans l’appartement en quête de la jolie silhouette de Clémence qui n’était pas dans l’une des chambres d’amis mise à sa disposition. Silencieusement, je me faufilai dans chaque pièce et la trouvais dans la salle de bains, en train de coiffer ses cheveux lâchés, le regard absent. Je me glissai dans son dos et lui mis la main sur la bouche pour étouffer son cri.

  • Jean-Baptiste, mais que faites-vous ici, je ne vous ai pas entendu entrer, qui vous a ouv… ?
  • Je me suis procuré les clefs, je voulais vous voir.
  • Je ne…
  • Je voulais juste vous voir, imprimer votre silhouette gracieuse dans mon esprit, sans quoi, je sais que je ne pourrais pas dormir ce soir.
  • Ce que vous m’avez… au cinéma tout à l’heure, il ne fut jamais quest…

Je me jetai à ses genoux et l’attirai contre moi en écrasant ma tête juste sous sa petite chatte rasée.

  • Oh Clémence, pitié, ne me repoussez pas, je sais que je n’aurais pas dû, mais j’étais comme possédé, vous me possédez corps et âme, vos cheveux, vos mains, votre long cou, vos adorables dents blanches, vos…

Du bout de mon visage, je frottais son bas-ventre en faisant non de la tête comme pour me libérer de cette « emprise » que je prenais tant de soin à lui décrire.

  • Mais, arrêtez, Jean-Baptiste, ma pauvre mère pourrait nous… ohhh… nous entendre, arrêtez, je vous en conj…
  • Clémence, ne me condamnez pas, je plaide la folie, vous m’avez ensorcelé, je ne me contrôle plus !
  • Mais… ohhhh, arrêtez, votre visage, non, ne me… Mmmmmm, c’est mal vous le savez…

Je pétrissais maintenant ses fesses de mes mains à travers sa jupe et enfouissais mon nez entre ses cuisses toujours serrées. À travers le tissu de sa jupe, je parlais directement à sa chatte.

  • Oh Clémence, où voyez-vous du mal ? je suis votre esclave, comment pourrais-je vous faire du mal, moi qui ne veux que votre bonheur, moi qui ne cherche que votre plaisir…
  • Mon Dieu, mais que faites-vous (je venais de passer ma tête sous sa jupe), OH ! Non, votre bouche, pas Ahhhh… MPPFFFF Oh oui, arrêtez tout de suite, Jean-Baptiste, je vous interdis, ça n’est pas… Oh oui, encooOORRE ! Mon Dieu, qu’est-ce qui m’arrive ?

Je venais de baisser sa culotte sur ses chevilles d’un coup sec, ma langue fouillait maintenant sa petite chatte, aspirant son clitoris tandis que mes mains lui écartaient les fesses.

  • Clémence, mon Dieu, comme votre chatte est chaude et trempée ?
  • Oh oui, léchez-moi bien là, je ne… Ohhhhh, oui ! ouiii ! oui ! oui ! encore, làààà… OUUUHHHHH mon Dieu, quel délice, Jean-Baptiste, vous léchez si bien ! Où avez-vous appris ça ? Oh n’arrêtez pas, c’est mal… oh non, continuez, c’est bon, MMMMPPPPPPPFF ! Ah ! Oui ! Encore ! Encore ! Petit vicieux, lèche-moi bien !

Je lui tétais le clitoris, puis je la pénétrais de ma langue en donnant de petits coups de tête. Clémence s’était hissée maintenant au lavabo et levait une jambe pour me faciliter la tâche. À genoux sous sa chatte, je lui caressais la fente avec ardeur, laissant ma langue s’attarder par moment sur son petit trou plissé. Je la laissai au bord de la jouissance et prétextai avoir entendu un bruit. M’emparant de sa culotte discrètement, je lui indiquai l’étage où j’habitais avant de l’embrasser et disparus furtivement, la laissant pantelante imaginer elle-même une excuse plausible à donner à l’auteur du bruit imaginaire pour son air défait et le feu sur ses joues.

Je me retenais de me branler, du moins je m’arrêtais avant de jouir, frottant sa culotte sous mes bourses, sur mon gland prêt à exploser, sur toute la longueur de ma queue. À vingt-deux heures, on gratta à ma porte. Clémence était là, en chemise de nuit, une lampe de poche éteinte à la main sur le seuil de ma chambre. Je l’observais un instant à travers le judas, me demandant par quel morceau commencer. Quand j’ouvris, elle se jeta sur moi et avant que je puisse parler m’enfonça voracement sa langue dans sa bouche. Je reculai avec elle jusqu’à ce que nous basculions sur mon lit. Comme possédée, toujours au-dessus de moi, elle avança à genoux en levant sa chemise de nuit et vint littéralement poser sa chatte sur ma bouche.

  • Lèche-moi encore, lèche, lèche-moi ! Lèche-moi bien, lèche-moi longtemps, lèche-moi fort ! je ferais tout ce que tu veux, tant pis si c’est pêché, c’est trop bon !

Je m’exécutai, ravi de constater l’émoi que ce premier cunnilingus avait laissé dans son esprit, et explorais tous les recoins possibles de son entrejambe avec ma langue.

Elle jouit si fort que je crus qu’elle perdait connaissance. Je retirai ma tête de sous elle pour l’observer, à la lueur de ma lampe de chevet, affalée sur le ventre, le bassin légèrement relevé, exposant sans pudeur son intimité ruisselante de ma salive et de sa mouille.

  • Jean-Baptiste… je suis vierge, je ne pensais pas qu’on pouvait avoir du… avoir du plaisir avant… tu sais.
  • Tu ne t’es jamais touchée ?
  • Touchée ?
  • Mon Dieu…

Je restais songeur.

  • Mais de quoi tu par… oh mon Dieu, qu’est-ce qui t’arrive ?

Se retournant, elle venait de découvrir ma queue, fièrement sortie de mon pyjama, longue et raide, le gland gonflé. Je m’approchai.

  • Clémence, tu me mets dans un tel état… j’ai du mal à y croire.
  • Mais, ça ne te fait pas mal ?
  • Pas du tout, c’est même le signe que tu me fais beaucoup de bien. Tu peux toucher tu sais ?
  • Toucher ? Mais où, comment ? C’est si… gros.

Je lui pris la main et la posai autour de ma bite.

  • Comme ça, tu vois, c’est facile. Avec l’autre main, tu peux prendre mes bourses et les caresser.
  • En dessous ? Là ? Oh mon Dieu, elle grossit encore !
  • C’est parce que tu es douée. Tu n’as jamais vu un garçon ?
  • Nu ? Oh non, jamais !
  • Bouge ta main.
  • Comme ça ?
  • Comme ça, branle-moi bien la queue.
  • C’est drôle, ça me fait des choses ce que tu dis, et ta… enfin, tu sais, dans ma main, là…
  • Ma queue ?
  • Ta… queue, murmura-t-elle, presque gourmande. Ta grosse queue, longue et dure, précisa-t-elle en pouffant, l’index dressé comme si elle apprenait une leçon… MMmmmmm.
  • Tu peux aussi la prendre dans ta bouche, tu sais ?

Elle l’avala aussitôt, avant de se reculer et de tousser.

  • Doucement, gourmande. Lèche-la un peu d’abord. Voilààà… tu suces bien, tu sais ? On appelle ça tailler une pipe.

Je lui pris la tête dans mes mains et commençais à lui imprimer un lent va-et-vient. Ce mélange de gourmandise et de maladresse allait me faire venir très vite.

  • Clémence, quand un garçon jouit, son sexe crache un liquide blanc qu’on appelle du foutre.
  • C’est comme du sperme ?
  • Mais c’est… Mmmmmm… c’est du sperme, tu connais ?
  • On en a parlé un tout petit peu en classe de bio.
  • Eh bien, tu vas voir le goût que ça a. Dans peu de temps !

Je commençai à lui baiser la bouche et rapidement, je me déversai dans sa gorge en enfonçant ma queue brutalement entre ses lèvres.

  • Avale bien tout, petite catin !

Les mots étaient sortis tout seuls. Je me retirai et me laissai tomber sur le dos. Clémence déglutit.

  • C’est salé, c’est meilleur que ce que je croyais.

Elle se léchait la commissure des lèvres, songeuse.

  • Tu aimes ça ?
  • Mmm… ça ne me déplaît pas, disons.
  • Tant mieux. Passons à la leçon suivante alors, dis-je les yeux brillants. Tu ne t’es jamais touché, donc ?
  • Non.
  • Viens. Contre moi. Voilà.
  • Elle va rester dure longtemps ?
  • Eh bien, tant que tu seras dans les parages, je pense.

Je lui pris la main et la posai entre ses jambes.

  • Passe tes doigts sur ta fente, de haut en bas.
  • Mmmmm, c’est facile ça ! Et c’est bon ! Mmmmm…
  • En haut c’est ton clitoris, caresse-le.
  • C’est ça que tu aspirais tout à l’heure ?
  • C’est ça.
  • Et plus bas, c’est ta chatte, c’est là que je vais mettre ma queue quand…
  • Non ! Tu ne peux pas, je dois rester vierge. Pour mon mariage tu comprends ?
  • Clémence, on est au vingt-et unième siècle, tu ne…
  • Non Jean-Baptiste, inutile d’y aller de ce ton-là !

Elle commençait à se dégager. Je décidai de botter en touche. Il y aurait bien une solution plus tard. À ce moment-là, j’ignorais où tout ceci nous amènerait.

  • Très bien, très bien, comme tu voudras, jamais je ne te forcerais à faire quoi que ce soit que tu ne me demandes pas.

Et je lui remis la main entre ses jambes, en l’embrassant dans le cou, lui aspirant le lobe d’oreille tandis que mon autre main cherchait son petit sein.

  • Jean-Baptiste, merci, oh merci ! c’est si… MMMmmmmm… important pour moi… Ohhhh oui, ta main sur mes seins, comme ça, mais ! OHHHH pince le bout, fais-le rouler comme ça, oui, encore, et caresse ma chatte, caresse-la… quel dommage que je…
  • Il y a bien une autre solution, tu sais ?
  • Comment mais que… où ?
  • Là ! dis-je en commençant à lui masser les abords de l’anus.
  • Mmmm, mon petit trou ? Mais… Ohh, mais c’est bon aussi, Jean-Baptiste !

Je lui fis lécher mon doigt, jouant de l’autre main avec son clitoris avant de replonger entre ses jambes et de lui caresser le derrière du bout de mon doigt, humide de salive. Je tournais autour, dans un sens, dans l’autre, pressant, caressant.

  • Mets-le, mets-le-moi je n’en peux plus, c’est trop bon…
  • Pardon ? de quoi tu parles ?
  • Mmm… petit vicieux, tu me rends folle… ton doigt, là
  • Mon doigt ? où ça ? Et je mettais le majeur juste à l’entrée de son joli petit derrière.
  • ICI ! dans mon cul !!!
  • Dans ton cul ?
  • Dans mon petit cul, enfonce ton doigt, oh oui, comme ça, bouge-le, pas trop vite, oh si ! plus vite, voilà comme ça, OOHHHHH OUII, Jean-Baptiste, dans mon cul, dans mon cul !!!
  • Suce-moi en même temps.

Elle se mit à quatre pattes instantanément et entreprit une fellation endiablée.

  • Oh oui, je suis une salope, je suis ta salope, continue, tu me… mais ? MMMmmmm, oh oui, deux doigts c’est meilleur, c’est… je suis ta salope, traite-moi comme ta salope, doigte bien le cul de ta salope, comme çaAaAaaAA OH OUI PUTAIN, DOIGTE-MOI LE CUUULL !!
  • Suce bien, petite salope !
  • Mmmm, comme ça, tu aimes quand je te lèche la queue ? Quand je lèche ta grosse queue ?
  • Ma grosse bite ?
  • Ta grosse bite, bien longue et bien raide !
  • Dis-le que tu l’aimes, ma pine !
  • Oh oui, je suis une vraie putain, deux doigts dans le cul et j’en veux encore… Je l’aime, ta pine ! Ta grosse queue, ta bite !
  • Tu la veux hein, ça ne te suffit pas dans la bouche, tu veux que je te la mette ailleurs ?
  • Oh oui, mets-la-moi, mets-la-moi dans…
  • Dans le cul ?
  • METS-LA-MOI DANS LE CUL !

Je lui tirai les cheveux violemment et la couchai sur le flanc, avant de lui lever une jambe qu’elle fléchit et écarta d’elle-même.

  • Tu crois que ça va… elle est si grosse, tu crois qu’elle va rentrer ? me demanda-t-elle un peu craintive.
  • Elle rentrera, lui assurai-je.

Et, après avoir lubrifié son cul avec sa mouille, je commençai à l’enculer. Doucement au début, elle avait l’air de souffrir et fermait les yeux, une grimace de douleur sur le visage. Sa respiration était hachée, elle serrait les dents. J’aurais pensé que ça m’aurait excité mais ça me toucha.

  • Tu veux que je me retire ?
  • Oh non, par pitié reste là où tu es, vas-y doucement, c’est tout. Elle est vraiment grosse. Voilà, comme ça, ça passe doucement. Sainte-Marie, mère de Dieu, par tous les Saints du Ciel, ce qu’elle est grosse !

L’arrivée inopinée de la Vierge et des Saints dans la « conversation » me fit sourire. Mais je préférais ne pas commenter et, à force de patience, mon gland finit par passer la barrière de son cul. Clémence cria de plaisir, je lui plongeai la tête dans l’oreiller, craignant qu’elle ne réveille tout le quartier.

Elle se redressa mais resta silencieuse, comme concentrée sur la colonne de chair qui lui ravageait le cul en cadence, grognant pour elle-même, dans un état second.

De mon côté, je prenais bien soin de lui laisser de cette première sodomie un souvenir agréable et faisais de mon mieux pour l’amener à l’orgasme. Je lui conseillais de se caresser en même temps et, peu de temps après que ses doigts se soient posés sur sa chatte, elle explosa dans un orgasme violent qui agita son corps de petits tremblements. Son plaisir provoqua le mien et je me vidai à mon tour entre ses fesses avant de m’effondrer sur elle.

Chapitre 12

 

Où Camille se révèle une bien mauvaise joueuse et réclame à Jean-Baptiste une preuve de sa victoire, qui le force à être encore plus imaginatif.

 


 

Quand j’apportai la culotte de Clémence à Camille, cette dernière m’accusa de l’avoir volée tant l’idée même que j’ai pu réussir à dévier la vertu de sa cousine lui était inconcevable. Elle exigea des photos. Je la trouvai bien mauvaise joueuse, mais ne me laissai pas démonter et mis en place un stratagème qui devait m’ouvrir l’accès à son petit trou.

 

Sans le dire à Marie, je chapardais le double des clefs de l’appartement de Camille et y installai dans la chambre un petit caméscope entre deux livres de son étagère. Je vérifiai la batterie et le cadrage avant de dissimuler la télécommande de l’appareil. J’allais me faire Clémence dans la propre chambre de sa cousine. Une idée plus audacieuse me vint, mais j’avais besoin de demander à Nicole son aide.

 

J’empruntais à Hélène un de ses bustiers dégageant les tétons et y ajoutais et une petite nuisette affriolante à laquelle j’ajoutais une petite note.

 

 

On m’a enfin prêté un lit assez grand pour que je t’aime comme tu le mérites. Viens habillée avec ce que tu trouveras dans la boîte et garde tes mi-bas.

Rendez-vous sur le palier du dessus à 23 heures.

PS : Inutile de porter ta culotte

 

 

À l’heure dite, Clémence attendait, excitée et tremblante dans le noir, craignant l’arrivée d’un ascenseur ou le passage d’un locataire. Je l’épiais une minute de plus et lui ouvrit la porte. Elle était sublime, et le fait de l’imaginer nue sous la nuisette couleur prune me faisait douloureusement bander. Sans dire un mot, nous nous embrassâmes longuement, d’abord debout, puis à moitié allongés, rampant lentement vers la chambre de Camille. Clémence me déshabilla, me prit dans sa bouche sur le seuil de la pièce. Pendant qu’elle me suçait, elle m’avoua que le tissu satiné de la nuisette qui lui caressait la pointe de ses petits seins chaque fois qu’elle se penchait pour me sucer la faisait défaillir. Cet aveu faillit me faire exploser dans sa bouche sur le champ. Je la pris par les cheveux et sortis de sa bouche. D’un geste, je fis taire sa protestation et l’amenai vers le lit. J’allumai la lampe couverte d’un voile et mis discrètement en marche le caméscope.

 

Clémence me reprit dans sa bouche malgré mes protestations. Décidément, elle aimait sucer, et cette fois-ci, inutile d’espérer lui échapper. J’éclatai dans sa bouche rapidement, lui envoyant de longs jets de sperme au fond de la gorge. Elle avala tout consciencieusement, se léchant finalement les lèvres en riant doucement. Elle était adorable.

 

Je sortis de dessous le lit deux verres et une bouteille de vodka. Clémence ne buvait pas et rapidement, je sentis sa volonté s’amollir dès le premier verre. Elle riait pour un rien, ses mouvements devenaient maladroits, dolents. Malgré ses protestations, je lui en servis un second et rapidement, je sus que je pourrais en faire ce que je voulais.

 

  • J’ai envie de t’attacher, Clémence.
  • Attache-moi, mais tu sais, je ne m’enfuirai pas.
  • Vraiment ?
  • Oh oui, surtout si ta main va bien là où je crois qu’elle va.

 

Je sortis deux foulards et attachai Clémence aux montants du lit. Avec un troisième, je lui bandai les yeux. C’est à ce moment-là que Nicole sortit de derrière la porte. Je lui fis signe d’avancer et de disposer de la jolie Clémence comme bon lui semblerait. Je lui pétrissais les seins pendant qu’elle léchait Clémence, qui couinait comme une perdue, riant et gémissant à chaque coup de langue de Nicole. De mon côté, je mis ma queue dans la chatte de Nicole et la pris doucement, calquant le rythme de ma bite sur celui de sa langue. J’avais l’impression de prendre Clémence moi-même.

 

  • Tu aimes, ma jolie ?
  • Oh oui [elle rit]. Ta bouche est si douce, tu me fais tellement de bieeeenn [nouveau rire] !!! J’aime bien quand tu descends plus bas.
  • Quand je te lèche ton petit trou, coquine ?
  • Ouiiii ! Mon petit trou, c’est ça.
  • Je vais durcir ma langue et comme ça, je t’enculerai avec, tu veux ?
  • Oh oui, encule-moi avec ta langue toute dure. Après tu mettras ta queue… et tu m’enculeras comme hier ! Au moins avec ta langue je pourrais m’asseoir demain matin [rire]
  • Je t’ai fait mal hier ?
  • Un peu au début, mais après, c’était… c’était comme… je ne sais pas, c’était gé-nial ! Je ne sais pas pourquoi la sodomie est un pêché, c’est tellement bon. Si j’avais su, j’aurais essayé… avant. Ohhohh ! hmmmhohhhh… OHHHHH ! OH MON DIEU !!! MmmmMMMpPPF… ta langue c’est comme une petite bite qui… AhhHHHHhhH [elle soufflait bruyamment] Oh ! Oh ! Oh ! j’ai envie de me toucher la chatte, détache-moi, pitié !
  • Pas question, je m’en occupe !

 

Et j’envoyais une claque sur les fesses de Nicole qui me fit un clin d’œil en commençant à caresser la petite chatte lisse de Clémence.

 

  • Comme ça ?
  • C’est parfait. Tu connais tellement bien les besoins féminins, on dirait que tu es à moitié une femme.
  • Vraiment ? Tu aimerais qu’une femme te fasse ça ?
  • Oh ! mais ce serait un autre… de toute façon c’est inutile, aucune femme ne pourrait faire ça mieux.

 

Pour récompenser Nicole, je lui enfonçais l’index entre les fesses. Elle poussa un petit cri de surprise.

 

  • Jean-Baptiste ? Tu as entendu ?
  • Je ne sais pas.
  • On aurait dit une voix de femme.
  • Tu délires, ou bien tu prends ton désir pour la réalité. Je suis sûr que tu aimerais lécher une chatte à ton tour, avoue-le.
  • Mmmm ! Ouhhh ! Mmmpf, ah ! Aah ! Aaaah! Non, je ne veux pas jouir encore, arrête, enlève ta main… Mais continue avec ta langue, par contre.
  • Allez, dis-le-moi, tu voudrais bien qu’une autre fille nous rejoigne, non ?
  • Eh bien, si elle a autant d’expérience que toi… je ne sais pas, peut-être.
  • Tu lui lécherais la chatte ?
  • Et le petit trou ! dit-elle en se mordant les lèvres.
  • Alors, imagine qu’une femme soit là, imagine-le fort, imagine qu’elle présente sa chatte devant ton visage…
  • Hihihi, d’accord !
  • Imagine, elle aurait des gros seins…
  • Des seins énormes, et je les lécherais et elle frotterait les bouts sur ma chatte aussi !

 

Cet enthousiasme et cette imagination nous étonnèrent, Nicole et moi. Elle gloussa et je lui fis signe d’accéder aux désirs secrets de Clémence. Elle se coucha au-dessus d’elle et frotta ses gros nichons sur son visage.

 

  • Ohh, Jean-Baptiste, c’est un rêve, on dirait qu’on me frotte le visage avec des seins. Mmmm, ils sont groooos, énormes. Regarde, je les lèche comme une petite salope. Ça te plaît ?
  • Ne t’arrête pas, je m’occupe de toi.

 

Et je mis un oreiller sous ses fesses avant de lui écarter les jambes, d’y frotter un des godemichés de Camille contre sa raie et de le placer contre son œillet. Nicole s’était tournée et collait sa chatte sur le joli minois de Clémence, qui se mit à laper comme un petit chien.

 

  • Mmmm, c’est un peu désordonné mais pas désagréable, continuez jeune fille, mettez-y tout votre cœur, je m’occupe de vous.

 

Et Nicole plongea entre ses jambes pour reprendre le cunnilingus qu’elle avait entamé auparavant. De mon côté, je godais Clémence avant de l’enculer moi-même. Puis j’alternais entre la bouche de Nicole et le cul de Clémence, qui dans l’intervalle avait joui en couinant doucement. J’allai exploser et lui proposai de jouir sur elle.

 

Inerte, alors que Nicole venait à son tour de se laisser tomber sur Clémence, crucifiée par l’orgasme, je me levai et les arrosai toutes les deux de mon foutre. Elles se l’étalèrent sur le corps, se léchèrent les doigts, et la langue. Enfin, Nicole enleva le bandeau de Clémence.

 

  • Vous êtes si belle, lui dit-elle en prenant ses deux gros seins dans ses mains.

 

Et elle s’endormit sur la poitrine de Nicole.

 

Cette dernière se dégagea quelques minutes plus tard, attendrie par le spectacle de la jeune fille endormie sur ses impressionnants nichons. Je dois avouer que ce spectacle m’émut moi aussi. Puis Nicole glissa un oreiller sous la tête de Clémence et regagna ses appartements en me remerciant. J’allai vérifier la bande vidéo de mon côté. Je réveillai Clémence et la portai dans mes bras jusque sur le palier des C. J’avais gagné mon pari avec Camille mais le prix qui m’attendait m’intéressait moins que je ne l’aurais cru.

 

Clémence me troublait de plus en plus.

 

Chapitre 13

 

Où Jean-Baptiste réclame son dû à Camille qui lui accorde d’excellente grâce, et où il découvre à cette occasion que Clémence a pris dans son cœur une place plus grande que dans son lit.

 


 

Je déposai le lendemain matin la bande vidéo dans la boîte aux lettres de Camille. J’imaginais sa tête en découvrant que j’avais baisé Clémence dans sa propre chambre, et avec l’aide de Nicole en plus.

 

Le soir, je découvris une enveloppe glissée sous ma porte. À l’intérieur, un mot de Camille m’informant que je pouvais passer « prendre » (le mot était souligné) possession de mon cadeau ce soir à 23 heures.

 

À l’heure dite, je poussai la porte entrouverte de son appartement. L’intérieur était illuminé par des bougies et Camille m’attendait dans l’entrée, à quatre pattes par terre, les coudes à plat sur le sol. Elle ne portait que des bas, un bustier en cuir noir trop petit et de longs gants sombres qui remontaient haut sur ses avant-bras.

 

Cambrée au maximum, elle avait un collier de chien autour du cou d’où pendait une chaîne métallique, et un grand ruban rouge autour de la taille. Elle m’offrait son cul en cadeau, attendant que je la sodomise en remuant les hanches, un grand sourire sur les lèvres.

 

  • Il y a une cravache sur la console me dit-elle d’une voix rauque.
  • Tu as quelque chose à te faire pardonner ?
  • J’ai été vilaine.
  • Vilaine ?
  • Très vilaine.
  • Tu mérites une punition dans ce cas, dis-je la cravache dans une main et la chaîne de la laisse dans l’autre.

 

Je fis faire un tour complet à Camille, comme pour la jauger. Du bout de la cravache, je lui désignai ses fesses.

 

  • Écarte-les avec tes mains.
  • Tout ce que vous voudrez…

 

Ce vouvoiement servile m’électrisait. Bien que n’étant pas spécialement amateur de SM, l’ambiance que Camille avait installée me plaisait beaucoup.

 

Je glissai la pointe de la cravache dans sa raie ouverte et m’arrêtai sur son petit trou, poussant légèrement.

 

  • Mmmm… oui, j’ai été très vilaine, il faut me punir.

 

Je sortis la cravache et la fis claquer sur la fesse droite qui se marqua légèrement de rouge.

 

  • Ah ! oh oui, punissez-moi comme je le mérite.

 

Sans un mot de plus, je lui fis faire un tour de l’appartement à quatre pattes. Arrivés dans la kitchenette, je la fis monter à quatre pattes sur la table et sortis ma bite de mon pantalon.

 

  • Suce, et suce bien !
  • Mmm, une belle queue comme ça, ça ne se refuse pas. Bien longue, bien dure…
  • Comme tu les aimes ? lui fis-je remarquer, me souvenant de cette première nuit où je l’avais entendue formuler cette remarque, collé à sa porte tandis qu’elle se faisait prendre violemment en levrette de l’autre côté.
  • Comme je les aime, concéda-t-elle en souriant.

 

Pour me sucer, elle devait se pencher assez bas et ses seins pendaient et ballottaient à chaque fois que ma queue rentrait et sortait de sa bouche. Quand elle sentit que j’allais venir, elle se recula et tira la langue, prête à recevoir mon foutre dans sa bouche. Mais j’eus une meilleure idée. Je me reculai et, du bout de la cravache, lui ordonnai :

 

  • Baisse la tête ! Tu veux qu’on te traite comme une chienne, tu seras traitée comme une chienne !

 

Sans que Camille ne puisse voir ce que je faisais, j’attrapai un bol qui séchait sur l’égouttoir et finis de me branler dedans. Je mélangeai le sperme à un peu d’eau et tirai sur la laisse pour faire descendre Camille de la table. De retour dans l’entrée, je posai le bol par terre et le désignai du bout de la cravache. La langue sortie, amusée Camille vint laper mon foutre. Elle n’en laissa pas une goutte dans le bol.

 

  • Bon chien, c’est bien, fis-je remarquer en souriant.
  • Je sais être le meilleur ami de l’homme, murmura-t-elle en ronronnant.

 

Et elle vint frotter sa tête contre ma jambe.

 

  • Tu peux te lever maintenant, Camille, tu te remettras à quatre pattes plus tard.
  • Merci, mes genoux commencent à me faire vachement mal, dit-elle en se relevant péniblement.

 

Je tirai la laisse et l’attirai contre moi dans un cliquetis métallique. Nous nous embrassâmes longtemps.

 

  • Ce que tu as fait à Clémence est diabolique, je n’ai pas reconnu ma cousine.
  • Elle est vraiment… elle est formidable je trouve.
  • Attention, tu es en train de tomber amoureux d’une grenouille de bénitier. Une jolie grenouille d’accord, mais…
  • Non, c’est plus compliqué que ça. Et puis, son côté ridiculement prude mélangé à ce goût naissant pour la débauche, ça m’excite à un point inouï.
  • Je vois ce que tu veux dire. Moi-même, je me suis branlé trois fois en regardant ton film. Tu devrais le mettre sur le Net.
  • Hors de question.
  • Tu es un gros égoïste, minauda-t-elle.
  • On ne me vouvoie plus ? dis-je en faisant claquer la cravache sur son cul.
  • Aïe ! pardon, décidément, je les accumule.
  • Tu aggraves ton cas, c’est sûr, petite garce.
  • Pardonnez-moi, je vais me reprendre.
  • Je vais TE reprendre !
  • Ainsi soit-il… dit-elle les mains jointes et le menton levé en simulant une prière. Bénissez-moi mon père parce que j’ai pêché, rajouta-t-elle en s’agenouillant.

 

Je m’assis et lui fis enlever son bustier. Puis je l’attirai à moi et collai ma queue entre ses seins. Elle lui fit bon accueil et l’enferma entre ses nichons avant d’entamer un va-et-vient qui allait crescendo. Je faisais des mouvements plus profonds de temps en temps pour qu’elle puisse prendre mon gland dans sa bouche.

 

  • Mmmm, votre queue semble être faite pour cette pratique.
  • Tes nichons me semblent eux aussi naturellement faits pour ça, ma jolie.
  • Tu vas… pardon, « vous » allez me jouir dessus cette fois-ci ?
  • Je vais te gicler sur le visage si tu veux. Et tu peux me tutoyer maintenant.

 

Je me reculai et elle présenta sa tête en attendant, les yeux fermés et la langue dehors que j’éclate sur son beau visage. Elle en avait plein les cheveux, un peu sur le front et sur la pommette droite.

 

Épuisé, je me laissais tomber sur le fauteuil.

 

  • Fatigué ?
  • Tu m’as vidé, cette fois !
  • Dommage, le prix final du concours n’est valable que ce soir…
  • On ne peut pas remettre ça à demain ? Parce que ça fait déjà deux fois et je ne suis pas un surhomme.

 

Constatant la mollesse de ma queue de sa main, elle me dit :

 

  • Viens, j’ai une idée pour te redonner des forces.

 

Elle m’entraîna dans sa chambre et s’assit à quatre pattes sur le lit, ne portant plus que ses bas et ses gants, sans oublier la chaîne autour du cou. Elle remua son derrière et se mit à me supplier.

 

  • Jean-Baptiste, enculez-moi maintenant, ça fait si longtemps que j’en rêve, prenez-moi les fesses avec votre grosse queue. Vous voyez mon petit cul comme il vous appelle ? Mettez-la-moi, prenez-moi comme une chienne, dit-elle en me tendant la laisse.
  • Tu sais te montrer… motivante, Camille, dis-je en me positionnant derrière elle.

 

Je frottais ma queue contre sa raie et repris un peu de vigueur.

 

  • Mmm, voilà, je la sens bien. Dans quelques minutes elle sera bien dure et vous pourrez me la mettre dans le cul. En attendant, vous pouvez préparer le terrain.
  • Tu as du gel ?
  • Suis-je sotte, non ! mentit-elle. Il va falloir utiliser votre don pour les langues…

 

Je me mis à lui lécher la raie et ma queue grossit encore un peu, atteignant des proportions raisonnables. Quand ma langue pénétra son petit anus, je sentis que j’étais prêt. Après une minute de ce traitement, je me redressai et pris la selle dans une main. Camille me positionna dans l’axe et je poussais. Le gland passa d’un coup, et le reste de ma pine rentra lentement entre ses fesses.

 

Je la ramonais pendant dix bonnes minutes et sentis l’orgasme pointer timidement deux fois sans éclater. Camille tourna la tête et me dit, la télécommande de sa télé dans la main :

 

  • Il faut quelque chose de motivant, je crois.

 

Et soudain, la télé se mit en marche. À l’écran, le film tourné au même endroit la veille avec Clémence et Nicole. Camille me regardait, mon foutre encore dans les cheveux. Je me mis alors à la prendre plus sauvagement, plantant mes ongles dans son ravissant petit cul bronzé, les yeux sur l’écran.

 

Je n’enculais plus Camille, j’étais en train de sodomiser Clémence comme hier. Je me mis à souffler bruyamment.

 

  • Prends ça, salope, tu la sens ma queue.
  • Oh oui, je la sens, elle grossit encore !
  • Je vais t’éclater les fesses, tu vas voir.
  • DÉFONCE-MOI LE CUL ! Oh oui, comme ça !

 

Je tirais sur la laisse, la faisant se cambrer en même temps que je la bourrais furieusement. Je pris deux longues mèches blondes dans mes mains et lâchai la chaîne, me servant désormais de ses cheveux pour guider mes assauts de plus en plus furieux. Je vis le visage de Clémence devant moi et j’éclatais, remplissant le cul de Camille d’une quantité insoupçonnable de foutre. Elle se finit en se caressant la chatte, ma queue toujours dans son cul et, une minute plus tard éclata d’un râle bestial avant de devenir toute molle dans mes bras.

 

Je détachai le collier et me couchai contre le corps chaud de Camille. Mais je m’endormis avec le nom de Clémence sur les lèvres.

 

Épilogue

 

J’ai épousé Clémence environ un an plus tard.

 

Le soir de notre nuit de noces, elle m’avoua, fébrile, qu’elle m’avait menti depuis le début : elle n’était pas plus vierge quand elle m’avait rencontré qu’aujourd’hui. Mais elle voulait être sûre de mon engagement, certaine que si j’étais prêt à l’épouser pour avoir sa virginité c’est que j’étais soit un pervers sans nom, soit amoureux d’elle. Je lui fis remarquer que son stratagème n’excluait pas la première possibilité, ce à quoi elle répondit en m’embrassant qu’elle espérait bien que j’étais aussi amoureux que pervers.

 

Aujourd’hui, nous vivons en Vendée dans une vieille maison que nous retapons lentement. Nous voyons aussi peu que possible ma belle-famille, qui n’a pas été spécialement ravie de notre mariage, et préférons nous occuper de nos deux magnifiques enfants. Notre vie sexuelle reste formidable, malgré l’installation d’une légère routine que nous combattons de nos imaginations conjuguées. Je n’ai jamais trompé Clémence et chaque fois que j’ai envie d’une autre femme, je lui en parle et lui demande son avis. À deux reprises, nous sommes même tombés d’accord pour l’essayer ensemble.

 

Hélène, aujourd’hui ma tante par alliance, est toujours mariée mais elle rend de fréquentes visites à sa voisine Nicole, qui m’a avoué l’avoir présenté à certains de ses amis livreurs.

 

En revanche, son dessin n’a pas progressé.

 

Camille est toujours très occupée, même si elle vient de se fiancer à un homme de quarante-cinq ans, « parce qu’il a du fric, une grosse bite et qu’en plus il s’appelle Gérard » m’a-t-elle avoué dans une carte postale envoyée du Mexique l’an dernier.

 

Marie vient d’être reçue à Polytechnique. Je regretterai toujours de ne pas avoir doublé la photo que j’avais prise d’elle à l’époque où elle arrondissait ses fins de mois à la main. Thibaut, quant à lui, n’a jamais compris pourquoi du jour au lendemain elle lui a fermé sa porte. C’est un imbécile qui n’a jamais compris que le plaisir se partage paradoxalement mieux à deux que tout seul.

 

Monsieur C. enfin fait toujours la navette entre Paris et Bruxelles, petit personnage aussi terne qu’indispensable à ces chroniques, qui lui sont bien entendu dédiées.