Ma belle-soeur Cathy et sa poitrine incroyable
Vous pouvez remplacer n'importe quel prénom par celui que vous voulez | |||
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Cette histoire m’étonne encore… et m’a appris que le bonheur est souvent très proche de nous.
Ma femme et moi étions partis chez sa sœur qui possède un petit chalet à St Lary. Elle fait les saisons en montagne et cette année, se retrouvant célibataire, elle nous hébergeait pour une semaine. Nous n’avions vu son dernier mec que trois fois et n’aurions sûrement pas accepter cette invitation sans son absence. Cathy est plus âgée que ma femme, elle a 37 ans, brune, mince et une poitrine que j’ai eu le plaisir de reluquer tout l’été. J’ avais été au martyr durant ses trois semaines de congé. Lorsque j’entrais après une dure journée de labeur, je la voyais se lever de son transat, et le torse nu elle venait nonchalamment me faire la bise sous les yeux de ma femme. Dans ces moments je ne savais plus ou mettre mes mains et n’avais d’yeux que pour cette poitrine insouciante qui me frôlait. Ma femme souriait et à son tour, venait m’embrasser dans la même tenue. Françoise est faite sur le même moule, sportive, des hanches rondes et des chevilles aussi fines que sa sœur. Seulement ses cheveux châtains et ses yeux noisettes les éloignent.
Nous voici donc réunis à nouveau pour une semaine. La première bise de bienvenue de Cathy me renvoie à mes fantasmes bestiaux de l’été dernier. J’ai envie de la coucher là dans l’entrée, déchirer son chemisier et lui défoncer la chatte. Mais je dis juste "salut" , on n’est pas des sauvages et ma femme est à côté, raison de plus. Je remets mes fantasmes dans ma poche et me dis que cette semaine va être dure.
Nous passons la première soirée ensemble, Cathy finit à 16 h 30 ce jour-là. Lorsque nous rentrons d’une après-midi de ski éreintante. Elle est là, dans une robe de velours pourpre, nu-pieds, ses seins rapprochés par le tissu, ce qui gonfle encore sa poitrine.
Le ragoût qu’elle nous a préparé est excellent et nous n’attendons pas une heure pour nous mettre à table. Le vin qui l’accompagne est un bourgogne, un peu lourd, et les voilà toutes les deux parties dans des fou-rires interminables en parlant de leurs petits copains d’enfance, le truc qui m’énerve… et celui-ci tatati et celui là tatata….et Cathy qui se mets à vanter mes mérites, très sympa, de belles épaules…et tu as de la chance toi d’avoir un beau mec…Françoise ne rit plus tout d’un coup…voyant que je reprends goût à la conversation. Un silence lourd s’installe dans la pièce… et moi qui ai du mal à détacher mes yeux de ceux humides et pétillants de la frangine. Cathy propose alors pour changer de sujet de faire un scrabble… ha! Ça du moins ça va me refroidir. Je vois ma femme retrouver son sourire et nous nous installons prés de la cheminée sur une table basse. Le jeu (chiant) peut commencer.
En un quart d’heure Cathy mène déjà… elle a placé FELLATION sous la désapprobation de Françoise, j’ai croisé avec LIBERTIN dont ma femme s’est emparé pour faire ICEBERG. Cathy qui était en vaine s’autorise SODOMIE auquel j’ajoute prestement un S. Ma femme s’en sert pour imposer SALOPE. Sa sœur aimée, après réflexion, passe son tour en échangeant 2 lettres. Je pouvais mettre LEVRETTE avec la SALOPE de Françoise mais je décidais de passer pour ne pas semer la zizanie. Françoise se jeta alors sur la FELLATION de Cathy pour former FRIGIDE. Dommage qu’il n’y ai pas de point d’exclamation dans ce jeu, sinon elle en aurait mis à chaque fin de mot ! Le jeu commence à tourner en rond… Et tourna court.
Ne voulant pas assister aux prises de bec récurrentes des 2 frangines, je prétexte une grosse fatigue pour aller me coucher. Je ne manque pas de lancer un regard lourd de sous-entendus à la délicieuse Cathy en montant l’escalier.
Après une douche brûlante je m’installe dans une des deux chambres de l’étage, Cathy nous a dit de choisir. Je me glisse sous la couette, vanné, et mes fantasmes reprennent… je sais que ma femme va bouquiner au coin du feu jusqu’à l’épuisement, et ne viendra me rejoindre que lorsque je serais dans un profond sommeil, inutile de compter sur elle pour éteindre le feu qui brûle dans mon ventre… j’imagine le corps de Cathy, sa façon de bouger, son regard lorsque je suis allé me coucher… J’éteins la lampe de chevet et me laisse aller à mes songes éveillés….Et si Cathy se trompait de chambre ?
Depuis combien de temps suis-je là à sommeiller ? C’est un petit bruit feutré qui réveille mes sens. Je suis nu, brûlant, ma position sur le ventre bloque une érection naissante. Dans l’encadrement de la porte j’ai le temps de voir une silhouette se glisser furtivement dans la chambre. Des bruits de tissu qui tombent sur le plancher, un soutien-gorge qui claque. Mon cœur s’emballe, je n’ose plus bouger et mon sexe ne demande qu’à revoir l’air libre. Je sens alors sur mon pied nu une langue caressante qui me fait frissonner, elle remonte lentement le long de ma jambe. Des soupirs, des cheveux qui chatouillent mes cuisses. Oh, c’est si bon.
Sa langue continue de monter et viens laper mes couilles, elle monte encore, je ne bouge pas. Pour donner un peu d’air à ma queue je soulève mes fesses qui viennent se coller sur son visage, et sa langue continue son office, me mouillant l’orifice. Ses griffes zèbre mon dos, je frémis. Je me retrouve à quatre pattes, me laissant lécher le cul, ses mains coulissent sur mon vit juteux et je découvre à cet instant le plaisir que peut ressentir une femme dans cette position, totalement offerte aux caprices de son amant. L’entrejambe humide d’excitation. Elle me tire le membre en arrière et le met en bouche, les bruits de succions me ravissent, je n’en peux plus. Il me faut la toucher, dévorer sa bouche, aspirer sa langue, sentir son sexe sur mon visage. Je me dégage… et d’un mouvement parfaitement synchrone nous nous retrouvons bouche-à-bouche, mon odeur est sur ses lèvres, une odeur animale, nos langues s’enroulent. Je pars déguster ses lèvres, celles qui me donneront un autre nectar. Mon visage est immédiatement trempé de ses humeurs, ma langue taquine son bourgeon et je ressens au même moment les contractions de son vagin sur mes doigts qui la fouillent. Elle vient de jouir.
Mes sécrétions se font plus abondantes, et elle se hâte d’en recueillir les gouttes, se tourne et offre son autel à mon dard. La saisissant par les seins je la relève violemment et l’empale sur mon pylône. Je reste planté là, je pousse de tout mon corps pour en sentir le fond. Je la lime méticuleusement recueillant son eau pour l’étaler sur sa fleur. Mon pouce entre dans cette croupe docile, je la sens vibrer, ses spasmes son incontrôlables et l’oreiller étouffe les cris de son orgasme. Mon gland viens caresser sa rosette, il s’y complaît comme dans une bain mielleux, et décide d’y plonger la tête. Elle est si serrée que je dois reculer, mais ses doigts viennent forcer la place et la prépare à l’assaut. Je peux enfin m’installer dans le fief, je me sens aspiré, et en de savantes contractions elle cherche à extraire la semence qui libéra mes tensions, ses mains griffes mes cuisses, son cul se rempli de foutre, un voile bleu passe dans mes yeux, j’entends à peine nos râles de plaisir dans cet orgasme synchrone.
J’étais complètement déboussolé et tombais dans une langueur insurmontable, nos corps emmêlés commençaient à ressentir la fraîcheur du bâtiment pyrénéen. Nous retournions à la réalité. Je la sentis se dégager et le matelas sursauta. Quelques instants plus tard j’entendis des bruits d’eau dans la salle de bain. Quelques voix chuchotantes. Puis….gros dodo.
À mon réveil je me retrouve seul, comme sortant d’un long coma. Quelle heure est-il ? Françoise est déjà levée. Comment n’aurait-elle pas soupçonné ce qui s’était passé avant qu’elle ne se couche ? L’ odeur de nos corps devait flotter dans la pièce… L’angoisse me saisit. Que va t-il se passer lorsque j’aurais franchi la dernière marche de l’escalier ? Bon, il faut bien me décider… De toute façon, je ne vais pas finir mes jours dans la chambre d’un chalet au fin fond des Pyrénées.
Dans la cuisine l’ambiance est joyeuse, à mon plus grand étonnement… et Françoise me gratifie d’un baiser amoureux en guise de bienvenue. Elle chantonne même. Je lance des regards interrogatifs à Cathy qui hausse les épaules. Elle ne comprend pas elle non-plus cette gaieté soudaine. C’est vrai y a pas de quoi. Le petit dej’ se passe en silence, je ne peux quitter la frangine du regard et je retourne en pensée à cette nuit. Elle me fixe aussi, en désignant Françoise du menton. Je peux lire dans ses yeux mille questions au sujet de sa sœur.
- Mais qu’est-ce que vous avez tous les deux ? Lance alors Françoise. Vous préparer une blague ?
Puis elle se penche à mon oreille… les quelques mots qu’elle articule me font sursauter et j’en lâche ma tartine dans le café.
Encore une fois j’avais baisé ma femme cette nuit-là.
Comme quoi le bonheur est plus proche qu’on ne le pense.