Nathalie, la coquine secrétaire
Vous pouvez remplacer n'importe quel prénom par celui que vous voulez | |||
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- Provocante, non papa, je ne suis pas provocante, si je m’habille si court, c’est parce que je dois montrer mes jambes, ce n’est pas à 50 ans que je pourrais le faire ! » Voilà la dernière phrase que j’avais prononcée à mon père avant de claquer la porte et de partir au travail.
Vêtue d’une minijupe jaune, très courte il faut bien le dire et d’une veste assortie, il faut reconnaître que ce tailleur était un peu court. Mais que Diable, il fallait bien que je puisse mettre en valeur mon corps, si je ne le faisais pas à mon âge quand l’aurais-je fait.
Je travaillais dans une petite société ou j’y exerçais le métier de secrétaire, et il faut dire que mon patron depuis le début de l’été, avait eu très chaud. Vu l’été tout à fait supportable que nous traversions, je ne pense pas que ce fut la température tout à fait correcte dans les bureaux, d’autant plus que nous avions la climatisation, non je pense que c’était mes tenues.
C’est vrai que j’étais provocante, mais je venais de "toucher" un nouveau patron, arrivé tout frais moulu de l’extérieur. À en juger par le personnage, il ne devait pas être frais l’extérieur, il avait du travailler à la RATP ou là la Sécurité Sociale, parce que quand il m’a été présenté, il n’avait d’yeux que pour moi, et mes jambes.
Il était craquant ce petit chef de service, ingénieur d’une trentaine, il avait l’air propre sur lui, un peu hésitant, mais j’avais remarqué qu’il avait un oeil coquin, très coquin, à en juger par les regards qu’il lançaient sur mes cuisses, voire à mes entrecuisses ! !
Bref depuis le début de l’été, je décidais de l’intimider par jeu, et pourquoi pas par tentation. Il m’avait d’abord demandé de l’appeler Nicolas, très vite et cela améliora terriblement nos relations, mon petit Nicolas par ci mon petit Nicolas par là !
Il fallait que je fasse attention, parce qu’il plaisait et pas qu’à moi, mon petit Nicolas. Les copines étaient jalouses de moi, et depuis un certain temps, elle me faisaient carrément la tête au vu de mes tenues provocantes comme dirait mon père, il était vrai, qu’on avait pu observer un raccourcissement de mes tenues depuis un certain temps et surtout plus de pantalon et de vêtements larges, c’est un signe non ?
Cet après-midi là, Nicolas surgit dans mon bureau et me dit d’une voix qui se voulait autoritaire, Nathalie, vous viendrez dans mon bureau dans cinq minutes, j’ai du courrier à dicter. Il faut dire que je l’avais attendu toute la matinée, il n’était apparu au bureau que juste avant le déjeuner à la cantine.
Toujours le même cérémonial la cantine, je mangeais avec ma copine, dans le fond de ce self, minable, toujours face à la salle, pour mieux observer mon petit Nicolas, qui inexorablement, savait se placer pile en face de moi, pour ne rien perdre de son panorama favori, mon entrejambe. C’est peut être à cela que j’avais découvert qu’il était coquin mon petit Nicolas.
Et durant tout le repas, je m’amusais à croiser et à décroiser les jambes, afin qu’il puisse profiter du spectacle tout son saoul, d’ailleurs l’âpres midi, il était toujours d’humeur malicieuse, et là je suis sûre que le lecteur sera persuadé que j’y suis pour quelque chose, je ne vois pas quoi, mais le lecteur aura ce sourire narquois qui m’exaspère !
Bref dès que Nicolas, cet après-midi là m’intima l’ordre de le rejoindre dans son bureau pour prendre une lettre en sténo, je décidais de pousser la provocation plus loin encore ! J’avais été dans les toilettes retirer ma culotte et je m’empressais de la glisser dans mon sac à main ! Le fait de savoir que sous une jupe serrée et si courte je n’avais pas de dessous, cela m’excitait déjà. Quoiqu’il faudrait que je fasse attention aux autres intrus de la société, tous des cochons, à regarder sous mes jupes quand je montais les escaliers, là ils allaient être servis.
Je pénétrais dans le bureau de Nicolas après m’être parfumée abondamment, il aimait tant les effluves de mes parfums, ce jour là c’était Paris de Yves Saint Laurent, et contrairement à l’habitude, j’allais m’asseoir en face de lui. Il faut dire qu’il avait un avantage sur moi, j’étais obligée de garder mes yeux rivés sur la feuille que je griffonnais alors que lui ses yeux avaient toute liberté de mouvements.
J’userai d’autres arguments, je reconnaîtrai facilement son émoi dans le ton de sa voix si douce !
Il commença donc à dicter d’une voix monocorde sa lettre au client récalcitrant à notre paiement. Zut c’était une lettre de relance, il allait falloir que je fasse vite, en principe ce type de lettre n’était pas longue !
A la fin de la première ligne je décidais de décroiser les jambes, langoureusement, et je vis que cela ne le laissait pas insensible au ton haché et aux hésitations qu’il marquait. Il avait observé.
Maintenant à la fin de la troisième ligne, je tenais mon bloc, posé sur mes cuisses, qui ne se croisaient plus et je me penchais en avant, ce qui m’obligeait à écarter mes jambes légèrement mais suffisamment pour qu’il puisse jouir du spectacle.
Je trouvais que la lettre, pour ce style de démarche, n’en finissait pas, qu’il était inventif, mon petit Nicolas, tout l’historique de nos relations avec ce client y passait.
Puis il termina sa lettre mais me demanda si j’avais un moment pour discuter un peu avec lui en arguant que cette lettre pourrait être tapée demain matin, cela suffirait bien !
A présent, je pouvais lever les yeux et je découvris ses yeux brillants de désir plonger impunément dans mon entrejambe, il ne se cachait même plus, le cochon !
C’est à ce moment que je choisis d’écarter très franchement les jambes et de laisser offert à son regard, ma vulve humide, tellement cette petite opération commando m’avait excité.
J’étais très épilée, et il ne pouvait manquer de voir très nettement les lèvres de mon sexe qui n’attendait que sa bouche et ses mains. Voire autre chose, mais là, il fallait que j’attende de voir s’il céderait un jour !
Quand il se leva, je vis de suite qu’il pourrait franchir le pas, à la bosse de son pantalon. Il avait une érection de tous les diables qui ne pouvait pas laisser de doute sur ses intentions !
Il fit le tour de son bureau et s’approcha de moi sans mot dire, il alla fermer la porte à clef, et fit demi tour pour s’accroupir devant moi et écarter mes jambes délicatement. Il posa ses doigts en premier et constata très vite l’émoi que je ressentais. Puis sa langue vint remplacer ses doigts si agiles. Il faut dire qu’il était aussi agile de sa langue que de ses mains.
Je m’abandonnais en arrière sur le fauteuil sur lequel j’étais assise, et commençait sérieusement à ressentir des spasmes au plus profond de mon ventre. Je décidais de me libérer de cette veste qui me tenais chaud, je n’avais rien sous cette veste, cela aussi il s’en était aperçu après tous les efforts que j’avais déployés pour lui faire découvrir ma gorge ferme et généreuse. Il était observateur mon petit Nicolas, c’était un plaisir !
A présent ses doigts fouillaient mon vagin en même temps que mon entrée défendue, quel bonheur, je tressaillais de plaisir et j’entrepris de dégrafer son pantalon pour découvrir à ma grande stupeur un superbe objet de désir, petit chef le p’tit Nicolas, mais de taille plus que raisonnable.
Il avait un vit merveilleux, beau, superbement dressé, il était droit comme un cerf et fort comme lui, sa peau était largement décalottée sur le bout du gland et me laissait découvrir une tête toute rosie gonflée de désir, il bandait comme un taureau, mon cochon !
Ma main s’empara de son sexe, et s’efforçait de recouvrir ce gland avec la peau si douce au toucher, cela lui faisait un bien immense cette sensation, en fait j’étais en train de le branler doucement, amoureusement, et le tout sans un mot. Soudain je décidais de remplacer ma main par ma bouche et c’est cela qui aima le plus, mes lèvres enroulaient cette peau sur son gland et ravalait son sexe jusqu’au fond de ma gorge à m’en provoquer des renvois, il aimait cela et des gouttes de bonheur perlaient sur ma langue et j’aimais ça aussi !
Je décidais de jouer avec son excitation un maximum pour qu’il explose tel un feu d’artifice mon petit Nicolas, je jouais avec son sexe en caressant doucement le filet du bout de la langue. Celle-ci léchait de la base vers le haut du gland, puis ensuite c’était ma main qui enserrant sa peau, la remontait doucement jusqu’à recouvrir complètement le prépuce, c’est avec la langue que je jouais à la faire redescendre, chose plus facile avec la bouche vu le degré d’excitation de Nicolas.
Aucun mot ne sortait de la bouche de Nicolas, il était sous le charme de cette provocation que j’étais loin de regretter. J’étais en train de lui démontrer mes capacités professionnelles, et là il était en train de constater ma sous qualification, par rapport à mon salaire, mais j’étais sûre que cela allait s’arranger ! ! !
Il était beau, Nicolas pendant que nous faisions l’amour, il n’était pas très grand, mais il était d’un brun vif, ses yeux noisettes, se perdaient dans les fonds du plaisir, surtout quand il fermait les yeux pour retenir sa jouissance, je pense, je voyais ses petites fesses se rétracter. Il avait des fesses, bien rebondies assez hautes, fermes et athlétiques. Il avait des jambes musclées et un torse de sportif. Des muscles fins et longs tel un sportif d’athlétisme, il était bien conservé mon chef adoré !
Il était nu dans son bureau, et il s’activait avec un professionnalisme qui aurait laissé pantois plus d’un BIG BOSS, c’eût été le licenciement direct je pense, mais cela en valait tellement le coup, puis depuis que nous étions enfermés dans son bureau, personne ne nous avait dérangés, à part trois coups de téléphone, qui me ravissaient, parce que pendant ce temps je jouais avec son sexe et le suçait tel un esquimau. Sa voix chevrotante me faisait rire, que je pouvais être salope, mais avoir Nicolas à ma merci me ravissait de bonheur
Puis soudain, n’y tenant plus, il se leva, me pria de m’arc-bouter en prenant appui sur le dessus de la plaque du bureau, mes seins s’écrasaient sur ce bureau et je souriais à l’idée de la marque que ceux-ci laisseraient sur ce bureau, Nicolas ne manquerait pas de se souvenir de ce détail, moi non plus, enfin je rêvais certainement ! !
Il vint se placer derrière moi et doucement son sexe dur tel un os, commençait à s’enfoncer en moi, ce qui était facile, vu le degré d’excitation dans le quel j’étais, j’étais trempée, je coulais de plaisir.
Mais je sentis mon Nicolas, beaucoup plus hardi qu’il n’y paraissait, il prit les initiatives en main, il me pénétrait d’un seul coup jusqu’au fond, jusqu’à la garde, je sentais ses bourses claquer contre mon aine, en même temps il humectait ses doigts dans mon sexe et huilait mon entrée défendue, une fois mon vagin une autre fois il commençait à forcer mon anus, de façon alternée, jusqu’à ce que l’ouverture se fasse plus aisée, là il commença à s’enfoncer doucement tout en me caressant le sexe avec la main qui n’était pas occupée avec mes seins durs et gonflés de plaisir. On ne pouvait pas dire qu’il était empoté le p’tit Nicolas ! Je râlais de plaisir et il était contraint de me mettre sa main sur ma bouche pour éviter que des sons trop significatifs ne s’entendent des autres bureaux.
A présent il avait enfoncé son sexe complètement dans mon anus, j’avais mal et en même temps, cela faisait tellement de bien, je sentais ce sexe, long et vigoureux fouiller mon ventre rongé de plaisir, j’aurais voulu que mon vagin soit fouillé en même temps, de cette façon intense, mais hélas il n’était pas un surhomme mon beau Nicolas, quoique j’aurais bien aimé qu’il soit doté de deux sexes, un jumeau à celui qui me fouillait déjà le ventre, mais bon il n’était pas né à Tchernobyl…
Moi j’étais sur le point de perdre la raison, je jouissais fort, je m’abandonnais, j’avais mes jambes qui me lâchaient, heureusement que son pieu m’épinglait à cette table, Nicolas maintenait fermement mes hanches qui s’agitaient comme deux folles ! Je créais ma jouissance au gré de mes mouvements, c’est moi qui donnais le rythme et cela n’était pas pour déplaire à Nicolas.
Je commençais à sentir le gland de Nicolas, gonfler anormalement à l’entrée de mon anus, à entendre le souffle court de Nicolas, je décidais de m’abandonner à mon orgasme qui était maintenant à son paroxysme, c’était à ce moment de cette demi inconscience que j’entendis de la bouche de Nicolas, sortir le premier son,
- je pars dit-il d’un souffle »
Que c’était bon de jouir en même temps, c’était le bouquet final de son feu d’artifice qu’il me tirait rien que pour moi depuis presque une heure maintenant !
Je sentis son suc m’inonder le ventre en saccades chaudes, ses mains s’agrippaient à mes hanches à me faire mal, il jouissait, j’aurais tant voulu voir ses yeux mais il m’embrassait le cou et maintenant son débit de paroles ne s’arrêtait plus.
- Jouis, mon amour, jouis ! Pars maintenant, en même temps que moi, que c’est bon de jouir ensemble, ne cessait de dire Nicolas »
Mais que s’imaginait-il, je jouissais comme une folle, j’avais un orgasme fort et j’aurais voulu rester ainsi pour le restant de mes jours, le plaisir était intense. Puis je sentis Nicolas se détendre doucement, mais rester en moi dans mon anus, il était tendre, il m’embrassait le cou, il me caressait les cheveux, il jouait avec mes seins, il me mordait le bout de l’oreille, j’aimais cette douceur et cette douce torpeur après l’amour.
Il venait d’extirper son sexe resté légèrement gonflé d’amour encore, et nous étions en train de nous allonger sur la moquette, pour continuer cette torpeur que pour rien au monde je n’aurais voulu gâcher. Il était beau, il avait chaud, il était tendre, je me blottissais contre son torse légèrement velu, et malaxais ses fesses, si nous avions eu un peu plus de temps, je pense que nous aurions pu retrouver un deuxième souffle, je sentais sa vigueur recommencer à prendre vie sous les caresses de mes doigts. J’aimais son sexe, viril, long et d’une couleur qui me ravissait, qu’il soit en érection ou qu’il soit détendu, il était beau, pas monstrueux mais d’une taille qui ne m’avait pas trompé sur l’intensité de mon plaisir.
A présent je commençais à me rhabiller, ce qui fut plus vite fait que Nicolas, j’avais moins de choses, séduction oblige ! Avant de sortir, j’allais embrasser celui qui me donna tant de plaisir, tendrement langoureusement, je sentais qu’entre nous une idylle allait commencer, je le lisais dans ses yeux, cette séance nous en avait convaincus tous deux !
Je sortis du bureau avec mon bloc, j’avais honte et ne levais pas les yeux, j’avais l’impression que tout le monde me regardait. Qu’avais-je de bizarre, cette mine réjouie de femme heureuse, non, je n’étais pas folle à ce point et les images d’Epinal était loin de tapisser ma chambre ! Quand je rentrais enfin dans mon bureau, je vis s’accrocher sur les visages de mes deux collègues un sourire narquois, qui me révoltait. Puis ce fut au tour des deux gros balourds qui travaillaient dans le bureau d’à coté, toujours là à guetter mes allées et venues dans les escaliers, ils me regardaient en souriant de façon bizarre.
La seule idée fixe qui m’attachait, c’était de chercher dans mon sac à main, ma culotte pour aller la réajuster au toilettes, je n’allais quand même pas faire le voyage de retour après la journée de travail, en minijupe si courte et sans culotte, je risquais de mourir de honte dans le métro, je n’étais pas libre de mes mouvements. Je saisis mon sac, l’ouvris, et cherchais, cherchais, damnation, mon slip n’était plus dans mon sac.
Je compris tout de suite la raison de tous ces sourires dans le couloir, dans mon bureau et celui d’à coté. J’étais mortifiée, je n’osais plus me retourner, j’imaginais déjà les gros balourds en bas de l’escalier en train d’attendre ma descente pour gagner la sortie. Non je ne pourrais affronter cela !
Je sortis aussi sec de mon bureau pour gagner prestement le bureau de Nicolas et lui expliquer. Il me prit dans ses bras et me dit d’un sourire :
- Mon Amour, ce soir tu ne rentres pas chez toi tout de suite, je t’accompagne, nous irons chercher des affaires chez toi si tu le veux et je veux que nous reprenions la dictée de ma lettre là ou nous l’avons laissée. Je veux passer une nuit d’amour complète avec toi, rien que nous deux. Je veux prendre mes croissants avec toi, ce matin et pourquoi pas non plus un autre matin ! ! »
Je l’embrassais tendrement et pensais dans ma tête :
« Qu’ils la gardent, les deux gros balourds, ma culotte. Et qu’ils m’attendent en bas de ces marches, je n’étais pas prête de descendre ! Puis ma culotte était vierge de tous plaisirs, elle, alors vous pensez ! ! ! »
Je sentais qu’une grande histoire commençait avec Nicolas.