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Révision de mon bac avec ma tante

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J’avais 18 ans à l’époque de mon Bac., comme beaucoup de garçons de mon âge. Habitant Paris, ma mère avait demandé à son ex-belle sœur habitant dans le Sud-Ouest de m’héberger pour la quinzaine, afin de m’aider à réviser mes examens.

Else, d’origine Hollandaise, était une superbe femme de 38 ans, divorcée et vivant seule. Son statut de prof de maths suffisait à valider le concept pour ma mère, ne sachant pas la passion que j’éprouvais en secret pour cette femme depuis ma tendre enfance.

Arrivés donc début juin, en pleine chaleur d’Aquitaine, Else nous accueillit avec beaucoup d’entrain.

  • Que tu as grandi ! me lança-t-elle.

Et continuant à s’adresser à sa belle sœur :

  • C’est un beau jeune homme, maintenant.

Ma mère, toujours frileuse que son petit soit mal installé, paraissait réconfortée. Les deux premiers jours se passèrent simplement, j’alternais séances de travail avec pauses au bord de la piscine. Pendant ces moments, les deux femmes discutaient beaucoup de sujets inutiles, alors que je profitais des moments de bronzette pour admirer les formes de ma tante.

Très coincée sur les choses du sexe, ma mère ne pratiquait pas le monokini, aussi Else, par respect pour elle, avait gardé son haut, mais je connaissais ses goûts pour plus de liberté vestimentaire.

Les deux jours du week-end où ma mère devait rester là se passèrent sans grands émois, bien que les quelques regards amusés de ma tante, me voyant me faire tartiner le dos de crème par ma mère, montrait bien qu’elle avait compris mon agacement.

Le lendemain, jour du départ de ma mère, je suis réveillé très tôt.

Je sors de ma chambre et je file au cabinet, le sexe dressé dans mon caleçon trop serré, comme tous les garçons au matin. Navigant au radar, je ne prête pas attention à Else qui est déjà levée.

En voyant la forme prise par le caleçon dont l’élastique est soulevé par cette érection monumentale, elle laisse échapper un petit soupir. Vêtue seulement d’un léger tee-shirt, Else est assise dans la cuisine, à lire un livre au frais. Sa tenue légère ne peut pas me faire plus d’effet. Aussi, toujours aussi à demi inconscient, je me détourne pour l’embrasser et vais au cabinet faire dégonfler mon érection.

La matinée de travail passe, et après le départ de ma mère, Else m’invite à aller me baigner pour faire une pause.

Elle a déjà enlevé son soutien-gorge et mis un maillot blanc très fin, très harmonieux sur son teint bronzé de femme blonde.

  • Tu ne vois pas d’inconvénient à ce que je sois seins nus ? me demande-t-elle. Ta mère n’aime pas ça, alors j’ai fait un effort pendant deux jours.
  • Non, pas du tout, au contraire ! Tu as une poitrine magnifique.

Ce compliment lui va droit au cœur.

Allongé sur le ventre et sur les coussins, à côté d’elle, la discussion commence à mon initiative sur les quelques problèmes de maths résolus le matin, sur ses conseils de la veille.

  • Tu es une experte avisée ! lui dis-je.
  • Point du tout, tu es un élève studieux, avec tout pour toi, une tête bien faite, un beau minois et tu es très bien fichu, me répond-elle. Tu dois avoir pas mal de succès avec tes copines à Paris.

Je lui réponds que non, car je trouve les filles de mon âge un peu pénibles, à se prendre pour des déesses. Et quant aux plus jeunes, je ne peux pas. J’avais une copine au début de l’année, mais on a rompu.

  • Je préfère les femmes plus âgées que moi, lancé-je un peu pour voir.

Elle me répond que cela n’a rien de choquant et qu’il faut savoir prendre les choses comme elles viennent.

J’ai senti la conversation se dérober doucement. Le soleil me brûle déjà la peau et alors que je prends le tube de crème pour m’en passer sur les bras, elle me propose de m’en passer sur le dos.

  • Tu n’auras qu’à m’en mettre aussi après, cela me fera du bien ! ajoute-t-elle.

Lentement, la crème glisse sur ses mains expertes, et elle entreprend un massage de mes épaules, très agréable. Peu à peu, ses mains descendent vers le bas du dos. Profitant des contours de mon échine, elle passe ses mains sur le côté pour remonter vers la ceinture du maillot de bain. Puis, elle fait couler un peu de crème sur les cuisses et les mollets en disant :

  • Là aussi, il faut en mettre, sinon tu va griller, mon garçon.

Ses gestes se font-ils plus lents ? Elle remonte doucement ses mains vers le haut de mes cuisses, et je sens déjà le moment où il faudra que je me relève pour lui en étaler. Le film défile dans ma tête et mon sexe commence à gonfler légèrement.

  • À toi maintenant, dit-elle en me tendant le tube de crème.
  • Je vais essayer de faire aussi bien que toi, lancé-je.

Et me voilà en train d’étaler délicatement de la crème sur le dos nu de ma tante. Décidé à ne rien laisser, je me décide à jouer les garçons pas timides ; après tout, je ne risque rien.

Je lui masse alors le dos comme elle l’a fait pour moi, en insistant sur les rebords de sa poitrine. Mes mains descendent peu à peu vers le bas du dos. C’est divin. À genoux à côté d’elle, je masse avec mes jeunes mains son dos et commence à mettre de la crème sur ses cuisses. Imperceptiblement, je sens ses cuisses s’ouvrir légèrement pour recueillir toute la subtilité de la caresse. Mes mains se font plus délicates.

Alors que je finis la première cuisse, je sens sa main qui remonte sur ma cuisse. Ses doigts partent à la recherche d’un lieu secret.

Ayant compris son appel, je décide de m’attarder sur le haut de sa cuisse. Mes doigts passent alors furtivement sous l’élastique, comme pour y mettre un peu de crème. Je vois ses cuisses qui s’ouvrent de plus en plus. Toujours allongée sur le ventre, elle me tend ses fesses, et ma main droite passe alors sur l’autre jambe, à la recherche d’un coin encore inexploré.

Mes doigts caressent délicatement le tissu de haut en bas. Sur le haut, la rondeur de ses fesses n’offre pas de contact avec la peau, mais ce que mes doigts provoquent sur le tissu lui fait échapper un petit soupir. Puis, doucement, la fine barrière de tissu n’offre plus qu’un faible rempart au contact de mes doigts. Je sens au travers de son maillot la rondeur de sa vulve, dont l’humidité naissante laisse apparaître quelques traces révélatrices d’un plaisir naissant. Je passe un doigt délicatement de haut en bas, pour sentir frémir son jardin secret.

Le contact est lisse, et je suppose que sa vulve est lisse. J’écarte doucement la dernière paroi protectrice pour laisser glisser un doigt inquisiteur dans son intimité humide.

De son côté, elle ne perd pas son temps ; toujours sans échanger un mot (à quoi bon parler !), sa main a trouvé mon sexe durci et mes coucougnettes. Elle passe maintenant sa main sur ma queue et titille mon gland, comme elle peut à cause de notre position inconfortable.

Toujours à genoux à ses côtés et tourné vers ses pieds, j’approche ma tête de ses cuisses et écarte un peu plus son maillot. Je peux voir à présent sa vulve magnifique, gonflée de plaisir et bien taillée, dans l’attente d’une caresse buccale. Lentement, je baisse ma tête un peu plus et écarte son maillot.

Elle se cambre alors pour m’offrir son intimité et je commence à lécher délicatement sa vulve, par derrière. J’adore cette position qui permet de profiter de l’intimité. Ma langue commence à rentrer délicatement dans sa fente, et mes doigts vont chercher son bouton d’amour impatient d’être sollicité. Je la lèche comme j’aime.

N’en pouvant plus de ce traitement infernal, elle finit par jouir sous les coups de ma langue et serre ses cuisses dans un orgasme profond.

À peine remise, elle se retourne et ôte mon maillot.

  • J’ai envie de ta queue depuis ce matin, me dit-elle. C’est injuste d’avoir un si bel outil et ne pas en faire profiter.

À ces mots, elle approche sa bouche et décalotte plusieurs fois mon gland humide. Ses lèvres s’approchent, et elle dépose un baiser délicat sur mon membre. Puis, laissant lentement glisser sa bouche vers l’extrémité de mon membre, elle le met en entier entre ses lèvres, pour commencer à jouer avec sa langue et ses doigts. Elle me presse le gland pour en faire sortir le liquide lubrifiant. Ma queue est devenue plus glissante qu’un litre d’huile tellement elle m’excite.

Mon corps n’en peut plus. Je l’informe que je vais bientôt jouir, mais elle me répond que personne ne l’a sucée comme je l’ai fait, alors, elle me rend mon cadeau.

Tout en continuant avec sa langue, ses mains massent mes couilles comme pour en préparer la substance. Elle me suce à fond. Je suis glissant de crème et de mouille. Je l’interromps pour mêler nos deux bouches car le goût de ma queue sur sa bouche m’excite. Elle reprend de plus belle et dans un râle d’extase, je libère mon jus d’amour qu’elle avale sans frémir.

Épuisé par cette cavale infernale, elle me laisse me reposer cinq minutes avant de reprendre son massage buccal pour redonner de la vigueur à son jouet. Rapidement, l’excitation revient et mon sexe redevient dur.

M’allongeant alors sur le dos, elle vient s’empaler sur mon sexe, ses jambes en avant et bien écartées. Nos corps montent rapidement à l’unisson. Mon membre dur rentre et sort de son intimité glissante dans un bruit de claquement humide et à peine couvert par nos souffles haletants.

Je vois sa toison magnifique par-devant et mes mains caressent ses seins. Je parcours ses hanches et laisse mes mains caresser ses fesses. Elle me prend alors la main pour la guider vers son anus. Délicatement et sans interrompre nos ébats, je récupère un peu de mouille pour humidifier son anus. Un doigt rentre et je sens alors notre excitation monter de plus belle. Mon pénis et mon doigt suivent le même rythme quand elle éclate en spasmes, laissant échapper quelques petits cris contenus.

Ses convulsions d’orgasme la plongent dans un demi-coma pendant quelques secondes.

Épuisée et comblée, elle m’embrasse à pleine bouche. Ses yeux expriment plus que ses paroles.

Après quelques minutes de repos, on plonge dans la piscine pour se rafraîchir. Les jours suivants furent difficiles pour les révisions, mais pas pour le sexe.

J’ai fini par rentrer à la maison avec mal à la queue, mais finalement bien préparé.