Avec ma belle mere, qui ne tente rien, n'a rien
Vous pouvez remplacer n'importe quel prénom par celui que vous voulez | |||
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Je m’appelle F., j’ai 39 ans, mesure 1, 80 m, bien sous tous rapports, plutôt dans la norme quoi ! Je connais S., ma belle-mère depuis maintenant 17 ans et, je ne sais pas pourquoi, ça fait une bonne dizaine d’années que je fantasme comme un malade sur elle. S. Est une femme mariée de 60 ans, ronde (1, 57 m’pour environ 80 kg), qui porte bien ses kilos et qui assume parfaitement ses formes et ses rondeurs. Ses seins sont assez gros (100D) et je dois vous avouer que j’ai souvent eu envie de les bouffer…
Voilà, le cadre est posé.
L’anniversaire de ses 60 ans restera à jamais gravé dans ma mémoire…
Ce soir-là, durant l’été dernier, nous sommes à peu près cent convives à faire la fête dans une salle qui se trouve à environ cinq cents mètres de l’habitation de mes beaux-parents. Ceux-ci, vu le monde qui devait dormir sur place le week-end, avaient gentiment installé leur caravane dans la cour de leur maison qui se trouve à la campagne. Il est aux alentours de minuit et demi, la fête bat son plein. J’ai déjà pas mal picolé, je suis même bien bourré, mais j’ai encore grandement conscience de mes actes et je sors me griller une cigarette.
Il fait nuit mais, après un temps d’adaptation, la pleine lune permet d’y voir assez correctement dans l’obscurité. Je m’éloigne de la salle et je vais me poser cinq minutes, un peu plus loin, sur un rocher qui se trouve à environ cent mètres de l’entrée… Quand tout à coup, je vois S. Qui sort, certainement pour prendre l’air, car la chaleur à l’intérieur est un peu étouffante. C’est sans doute l’incandescence de ma clope et sa curiosité légendaire qui la font venir vers moi. Arrivée à ma hauteur, elle me reconnaît et entame la discussion :
- Quelle belle soirée, j’ai vraiment été gâtée ! me dit-elle…
Je lui réponds :
- Oui et tout le monde a l’air de bien s’amus… BUUUUURP.
Et là un gros rot incontrôlé sort de ma bouche, je suis encore plus surpris qu’elle et j’arrive tout juste à dire
- Euh… pardon !
- Ça va ? me dit-elle, tu n’es pas malade F. ?
Et là me vient une idée diabolique…
Je me mets à balbutier :
- Mouais bof… dans un charabia qui lui faisait croire que j’étais en fait complètement bourré !
Je fais même celui qui a envie de vomir, me lève en titubant et le plan commence à marcher…
- Tu ne m’as l’air vraiment pas bien, tu ferais mieux d’aller te coucher F., veux-tu que je te raccompagne jusqu’à la caravane ?
Je lui réponds :
- Non, non… Ça va aller ! Et là je m’affale par terre afin qu’elle m’aide à me relever.
- Allons ce n’est pas sérieux ! me dit-elle, je ne peux pas te laisser comme ça, allez viens, je te ramène à la caravane !
Ni une, ni deux, elle me prend par le bras, je me relève en la prenant par la taille et, bras dessus bras dessous, tant bien que mal, nous nous dirigeons vers le chemin qui mène à la maison… Son contact me fait tout de suite réagir… Après environ 150 m’de parcours sur un sentier qui est parsemé de racines d’arbres, il me vient une nouvelle idée saugrenue et machiavélique… Je fais semblant de trébucher sur l’une d’entre elles.
- Ouh là là… Fais attention mon grand, tu pèses ton poids, dis-donc… me dit-elle en me rattrapant, et moi j’en profite pour lui coller ma main directement sur sa grosse fesse, quel plaisir furtif !
HHHhhhhmmmm, malgré la grosseur de son fessier, la fesse est bien ferme et, petite remarque que je me fais, elle qui met des culottes de grand-mères d’habitude, je ne sens pas la moindre couture… La main est à peine posée sur sa grosse fesse (je n’ai malheureusement pas pu voir sa réaction) que je la sens tout de suite me rattraper le bras pour le remettre au-dessus de sa ceinture… « Grrrr, un coup d’épée dans l’eau », me dis-je, mais je suis trop excité, je ne vais certainement pas en rester là, foi de F. !
Nous continuons le chemin comme si rien ne s’était passé… J’attends encore une bonne minute, que tout ceci se tasse, nous arrivons à une centaine de mètres de la cour où se trouve la caravane, on va sortir du sentier et là, je me dis c’est maintenant ou jamais ! Dernière racine, je la tape, du pied gauche, franco, c’est plus violent que tout à l’heure, je fais en même temps le mec qui va gerber. (Sans trop en faire non plus !) Là encore, elle me rattrape mais cette fois-ci, je claque ma main directement sur sa cuisse, juste au-dessus de l’arrière du genou, où venait tomber sa légère robe rouge à grosses fleurs, par ailleurs très sexy, on peut même dire vraiment très bandante, et je remonte violemment la main sur sa fesse…
Très surprise, elle ne réagit pas tout de suite, j’ai le temps de sentir sous mon pouce qu’elle a en fait un string, je ne vous raconte pas l’excitation qui monte en moi à ce moment-là ! C’est encore meilleur que tout à l’heure, le contact direct de ma main sur cette peau froide… J’en profite rapidement pour bien la malaxer, la caresser comme il se doit, la prendre à pleine main… Quel bonheur ! Mon cœur bat la chamade. Réaction immédiate de sa part, elle me dit :
- NON F. !
Je fais semblant d’être dans un état de semi-conscience, la regarde dans la pénombre avec un air complètement abruti qui la persuade totalement :
- Quelle couche tu tiens, t’es complètement bourré, toi, mon bonhomme !
Je ne vous raconte pas dans quel état je suis au niveau de mon caleçon, je me sens très à l’étroit, ça me fait presque mal ! ! Nous arrivons à la caravane.
- Allez, zouh ! Au lit, ça t’évitera de faire des bêtises…
Nous sommes maintenant depuis un moment dehors et la pleine lune nous permet de voir plus que correctement, même à l’intérieur de la caravane où le lit est prêt…
Je fais celui qui n’arrive pas à déboutonner ma chemise, elle m’aide…
- Pour le pantalon… tu vas te débrouiller ! me dit-elle.
Oooooh, mais que n’avait-elle pas dit là ! Ni une, ni deux, je déboutonne mon pantalon et baisse froc et caleçon d’un coup sec, mon sexe hyper tendu surgit immédiatement de sa cachette et se dirige, droit comme un i, vers elle. Je la devine dans la pénombre, elle ouvre les yeux en grand et ne dit rien pendant quelques secondes… Elle se reprend, fait celle qui n’a rien vu et me dit :
- Allez zouh, au dodo maintenant !
Je n’avais quand même pas fait tout ça pour finir par me tailler frénétiquement une branlette tout seul dans la caravane, ah ça non, mince alors !
Elle commence à se diriger vers la sortie, à ce moment-là, nouveau plan, je fais toujours celui qui est bourré, m’approche d’elle en bafouillant !
- … un bisou alors… !
Par le passé, ça m’est déjà arrivé d’être bourré, et elle sait d’après les dires de ma femme que l’alcool me rend quelque peu amoureux…
- Ok, juste un bisou, et après je retourne à la salle… me dit-elle.
Je m’approche d’elle, et tout en l’embrassant bien bas sur la joue, même sur le cou, je me colle un peu plus à elle. Faisant 1, 80 m’et elle 1, 57 m, ma queue vient se plaquer sur son ventre rondouillard, recouvert de la fine couche de tissu rouge à fleurs… Et là, rebelote, je fais en sorte de perdre l’équilibre mais cette fois-ci, je l’entraîne avec moi sur le lit, un léger cri de surprise sort de sa bouche, et quand nous nous affalons sur le lit, je plaque littéralement ma main droite sur son sein, elle murmure un « nooooon F. » qui ne me convainc absolument pas, je lui dévore le cou, et je la sens de moins en moins réticente, j’ai même l’impression qu’elle commence à apprécier terriblement. Ah là là, les femmes et le romantisme…
À partir de ce moment, je savais que le plus dur était fait, la partie était gagnée… Je ne tarde pas à me diriger vers cette forte poitrine qui me fait rêver et bander depuis des années. Je commence par sortir un sein au-dessus de sa robe, je balaie le soutien-gorge en le relevant vers son cou et là, je ne vous raconte pas le bonheur… Un gros sein d’un blanc qui semblait laiteux surgit, avec une aréole de taille plus qu’honorable et un téton à son extrémité qui grossissait à vue d’œil… Je prends tout ça en bouche, direct, et là je la sens partir au quart de tour, ses quelques soupirs font encore durcir mon braquemart qui me fait de plus en plus mal, je suis gonflé à bloc ! Je découvre aussi l’autre nichon, je les lui bouffe goulûment, comme si j’avais pas bouffé depuis des mois. Je l’entends grommeler « Ooooohh, mon cochon ! » Je les suçote, les aspire, les dévore… ils sont gros et bons, quel bonheur ! Vicelard comme je suis, j’aimerais qu’elle prenne un peu les choses en main quand même, qu’à cela ne tienne, je fais en sorte d’amener par hasard mon gourdin à hauteur d’une de ses mains, nouveau soupir, elle le prend à pleine main et me murmure :
- Eh ben dis-donc, c’est moi qui te fais cet effet-là ?
Tout en commençant à me branler. Purée, que c’est bon bordel !
De mon côté, je continue de m’occuper de ses nichons et de ses tétons, devenus énormes. J’en avais jamais eu d’aussi gros en bouche, je salive comme un gosse devant un éclair au chocolat ! Un régal, que dis-je un délice, c’est véritablement exquis, succulent !
Pendant ce temps, une de mes mains commence à courir le long de ses courbes généreuses pour descendre jusqu’au genou, passer à l’intérieur et remonter lentement, très lentement, à l’intérieur de sa cuisse, jusqu’à venir effleurer le petit bout de tissu deviné tout à l’heure, je la sens déjà moite, nouveau long soupir de sa part, elle commence à activer sérieusement sa main sur ma queue, je n’en peux plus… Je glisse un doigt sous la ficelle tendue, elle est assez poilue, moi ni n’aime pas les poils, je peux vous dire que pour une fois ça ne me dérangeait absolument pas !
Je progresse un peu plus, et là, ce n’est plus moite, ni même humide, c’est indescriptible, mon majeur monte et descend le long de sa fente, véritablement trempée et gonflée de désir. Franchement je n’en peux plus ! Merde, je prends les choses en main, elle est prête, à point. Je la remonte un peu sur le lit, relève complètement sa robe pour ce qui est du bas, et la baisse complètement sur son ventre pour la partie du haut. Le soutien-gorge ne me résiste pas longtemps, il vole dans la caravane, je ne prends même pas le temps de lui enlever son string, j’écarte la ficelle et je viens présenter Bérénice à celle qui va bientôt morfler… S. m’encourage ! Pas besoin de chercher le chemin bien longtemps… Quoique, je doive aider quelque peu Bérénice, tellement le chemin est glissant. Ça y est !
Dix ans que j’attendais ça ! Je ne vous raconte pas l’état d’excitation dans lequel je suis, je n’ai jamais senti ma queue, qui fait habituellement dans les 17 cm, taille plus qu’honorable selon les dires de ma femme, aussi grosse et paradoxalement s’enfoncer aussi facilement !
Belle-maman glousse et le va-et-vient s’intensifie dès les premiers coups de reins, y’a rien à faire, impossible de maîtriser quoi que ce soit… Heureusement, j’arrive quand même à me retenir, qu’on s’amuse un peu quand même, qu’on fasse durer le plaisir.
Pendant ce temps, S. Continue de glousser, je l’embrasse sur la bouche, lui roule un gros patin bien baveux, et la pilonne un peu plus vite. La caravane commence sérieusement à faire du bruit, mais ce n’est pas grave, il n’y a personne aux alentours. Je continue de pilonner belle-maman quelques minutes, sans trop accélérer la cadence, car sinon, dur de se retenir… ça serait ballot, attendre dix ans pour se la sauter et éjaculer après simplement quelques minutes ! Non, merde, je ne suis pas précoce quand même !
Je descends mes paluches sur ses grosses fesses que je prends à pleine main, ça n’a vraiment pas l’air de lui déplaire, ses « ohouhhhh ohoouuuh ohouuuuuhhhh » s’intensifient. Je sens qu’elle en redemande. J’accélère encore un peu plus, le rythme commence à être bien soutenu… Je sens que le retour va être sans fin !
Elle m’attrape les fesses comme pour me demander d’aller encore plus vite. De mon côté, je suis au taquet, je crois que je ne suis jamais allé aussi vite et à fond dans le con d’une femme. Elle ne gémit plus, ne glousse plus mais commence tout simplement à beugler (heureusement que personne n’est à proximité !), et plus elle beugle, plus je lui en mets. Le lit craque de partout, la caravane va de droite et de gauche au rythme de mes couilles qui viennent claquer sur ses grosses fesses. Je n’en peux plus… attention… Merde, je vais tout balancer ! S. jouit comme un folle, elle hurle, eh bim, j’en peux plus, je lâche tout.
Premier jet au fond de sa chatte, et un gros coup de boutoir en même temps. Attends, tu ne paies rien pour attendre. Rebelote, deuxième jet, puis troisième, quatrième, cinquième… bordel ça ne s’arrête pas ! Mais y’a quelle quantité là-dedans ? D’où est-ce que je sors tout ça ? Huitième, neuvième (un peu moins vigoureux, cette fois-ci) mais j’ai encore de sérieuses contractions au niveau de ma queue…
Enfin, ça y est, je suis vidé, et elle bien remplie… Et dire que je la croyais frigide… Bordel, ce qu’elle est bonne, belle-maman !
Depuis ce jour, plus rien ! S. ne m’a jamais reparlé de cette histoire. Peut-être se dit-elle que j’étais tellement bourré ce soir-là que je ne me rappelle de rien ! Bien au contraire…
De mon côté, j’essaie souvent de faire l’âne pour avoir du son, mais sans succès !
Je n’ai aujourd’hui qu’un seul regret : celui de ne pas en avoir profité ce soir-là pour la sauter et la défoncer dans toutes les positions…