Comme quoi le bricolage peut réserver bien des surprises !
Vous pouvez remplacer n'importe quel prénom par celui que vous voulez | |||
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J’ai une voisine très mignonne : la trentaine, blonde, toujours bronzée, un peu BCBG. Elle a un physique que je qualifierais de « canon » et porte la plupart du temps des vêtements mettant en valeur ses jambes, ses fesses et ses seins, sans pour cela être vulgaire. Jusqu’à présent, nos rapports s’étaient limités aux sourires et aux traditionnels « bonjour ». Je n’avais jamais eu l’occasion d’engager la conversation. Jusqu’à hier…
Seul à la maison, je profitais du week-end pour installer des étagères dans le garage. Je l’avais aperçue la veille, manifestement seule aussi. En cette fin de mois de juillet, le lotissement était quasiment désert. Il faisait une chaleur torride dans le garage et je ne portais qu’un short.
J’étais donc en train de bricoler quand j’entends frapper à la porte du garage et je la vois se faufiler dans l’entrebâillement.
- Ça ne vous gêne pas que je jette un œil ? me demande-t-elle avec un grand sourire. Nous avons aussi prévu d’aménager un espace de rangement dans notre garage.
Tout en répondant à ses questions pendant qu’elle examinait mes rayonnages, je la détaillais du coin de l’œil.
Elle portait des escarpins à talons très hauts, une jupe collante fendue jusqu’en haut de la cuisse. Manifestement elle n’avait rien dessous, car la jupe lui moulait parfaitement les fesses. En haut, elle avait une sorte de débardeur très ajusté sous lequel on devinait parfaitement le globe et le bout de ses seins.
Je sentis mon sexe se redresser dans mon short.
- Ce n’est pas mal, me dit-elle avec un sourire coquin et un regard appuyé vers mon short, sans que je ne puisse savoir si cela se rapportait à mon travail ou mon anatomie.
- Vous n’avez pas l’impression que mon débardeur est un peu trop ajusté ? continua-t-elle sans transition. L’été je ne porte pas de sous-vêtements, mais là j’ai l’impression que mes seins sont un peu trop gros pour ce tee-shirt ; vous ne les trouvez pas trop gros ?
Le tissu de mon short se tendit à nouveau et je lui répondis d’un ton amusé :
- Ils sont parfaits, croyez-en un spécialiste !
- Voyez-vous cela ! Un spécialiste ! Alors pouvez-vous me dire quelle taille de soutien-gorge je fais, Monsieur le spécialiste ?
- Parfaitement, rien qu’au toucher, je suis capable de le déterminer.
- OK, me défia-t-elle, en collant ses fesses sur mon ventre et en me prenant les mains pour les plaquer sur ses seins.
- D’accord, mais je gagne quelque chose, si je devine ?
- Vous aurez le droit d’aller plus loin, me murmura-t-elle en frottant ostensiblement ses fesses sur mon sexe.
Je lui malaxais les seins à travers le tee-shirt et j’agaçais ses pointes qui maintenant étaient gonflées et très dures. Pendant ce temps, elle avait plaqué ses mains dans mon dos et remuait ses fesses. Mon sexe était très dur et elle me masturbait avec la raie de ses fesses.
- 95 C ! laissai-je échapper entre deux soupirs.
- Bravo, gagné ! dit-elle, puis plus bas :
- Caresse-moi les cuisses.
J’avais entièrement dégagé ses seins du tee-shirt et, tout en lui mordillant l’oreille, je remontais ma main entre ses cuisses. C’était doux, chaud et de plus en plus humide au fur et à mesure de ma progression. Pendant ce temps, elle avait glissé ses deux mains dans mon short. D’une main, elle me masturbait doucement tandis que l’autre me pétrissait et me griffait les couilles. Ma main atteignit sa fente, et je commençais doucement à tirer sur son clitoris ; elle me dit alors entre deux halètements :
- Oui, suce-moi-le maintenant.
Il y avait dans le garage un vieux vélo de fitness de type « semi-allongé ».
Je lui remontai la jupe jusqu’à la taille, l’installai au bord du siège et lui fis mettre les pieds sur chaque extrémité du guidon. Je m’installai entre ses cuisses et commençai à lui lécher la fente. Sa chatte était aussi réussie que le reste : entièrement épilée, les lèvres joliment dessinées. Je l’ouvris délicatement avec les doigts et je me mis à lui téter le clitoris. J’aspirais, je suçais, je tirais dessus avec mes dents. Elle haletait de plus en plus fort.
- Enfonce-moi tes doigts.
Je mis d’abord deux doigts et je commençai à l’astiquer puissamment. Elle jouit une première fois. Je mis deux doigts de plus, puis carrément toute la main. Elle était complément dilatée et elle poussait de plus en plus fort avec son bassin pour que je la pénètre plus profondément.
- Oh oui… c’est trop bon ! éructa-t-elle en jouissant une deuxième fois. Donne-moi ta queue.
Tout en continuant à la pistonner avec ma main, je me déplaçai pour lui permettre d’enfourner ma queue. Elle m’attrapa par les couilles et commença à me téter le gland. Puis elle l’avala une première fois, et continua son va-et-vient en m’agaçant le manche avec les dents. C’était divinement bon. Je sentais la chaleur monter au creux de mes reins et me dit que si je ne me retenais pas, j’allais tout lui lâcher sur la langue. Heureusement, je l’entendis me dire :
- Viens m’emmancher, maintenant. J’ai envie de me faire bourrer la fente.
Je me mis entre ses cuisses, lui pris les fesses par en dessous pour bien lui écarter les fesses. Pendant ce temps, elle écartait ses lèvres d’une main tout en se masturbant le clitoris de l’autre. Je rentrai dans sa chatte doucement, c’était chaud et très humide. Elle me sourit et me dit :
- Vas-y ! Défonce-moi fort maintenant !
J’avais lâché ses fesses et, tout en lui masturbant les seins, je m’enfonçai d’un coup jusqu’à la garde. Elle cria :
- Oh oui ! C’est bon ! Elle est grosse, je la sens bien. Vas-y, bourre-moi plus fort !
Je la défonçais comme un fou pendant une dizaine de minutes. Elle gémissait, criait. Elle me suçait l’oreille et me murmurait des insanités entre deux gémissements. J’étais à deux doigts d’exploser quand elle me dit :
- Je la veux maintenant dans le cul. Je veux que tu me défonces la rondelle.
Elle me fit installer à sa place, se retourna et après avoir lubrifié sa raie avec de la salive, positionna ma queue à l’entrée de son anus. Le gland pénétra doucement et puis d’un seul coup, elle s’empala sur mon chibre avec un long gémissement. Je la tenais par les seins. Je ne sais pas si c’était du 95 C mais ils étaient très gros, bien gonflés et leurs bouts étaient durs et sensibles. Elle montait et descendait sur ma bite tout en s’enfilant plusieurs doigts dans la chatte, elle haletait très fort et je l’entendis dire :
- Tiens, voilà ton copain qui s’invite à la fête.
Entièrement absorbé par mon pilonnage, je n’avais pas vu mon autre voisin et néanmoins ami, qui, sans doute attiré par le bruit, était entré dans le garage.
- Il reste de la place, lui dit-elle en se passant la langue sur les lèvres. Vous avez bien quelque chose à me mettre entre les cuisses.
Je n’en revenais pas. Lui ne se le fit pas dire deux fois, il baissa rapidement son short. Il avait la bite très épaisse, elle devait bien faire six centimètres de diamètre. Il s’approcha et la fourra d’un seul coup. Il faut dire que je lui avais bien préparé le travail. Pendant qu’elle faisait coulisser son cul le long de ma queue, il la bourrait comme un fou avec son gros chibre. Elle jouissait de plus en plus vite et je la sentais couler sur mes cuisses.
Avant que nous ayons pu tous les deux décharger, elle nous proposa un final un peu inédit. Je m’installais à califourchon sur elle pour une super-branlette espagnole pendant qu’elle enfournait le pieu de mon copain. Bon Dieu, qu’elle était divine ! Mon voisin défourailla le premier. Il lui balança de longues giclées de foutre dans la bouche qu’elle avala avec le sourire. Pendant ce temps, je continuais à m’astiquer entre ses seins, tout en lui branlant la fente. Au moment où j’étais près à partir, elle m’aspira littéralement et je lui lâchais tout au fond de sa gorge.
- C’était très bon, les garçons, nous dit-elle en se rajustant. Je vous inviterai certainement bientôt. Mon mec n’est pas terrible côté sexe, mais il adore que je le pompe tout en me faisant défoncer par deux beaux mecs bien montés !
Sur ce, avec une pirouette, elle nous abandonna, un peu stupéfaits, au fond du garage. Nous nous regardâmes, légèrement interloqués, conscients du décalage entre l’idée que nous faisions de cette jolie femme et du récital qu’elle venait de nous donner.
Comme quoi, les apparences sont souvent trompeuses.